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AU CHATEAU

Ecrit par ARCAY
Parue le 08 avril 2014
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Cette histoire érotique a été lue 6208 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Le jour de la SAINT GERMAIN approchait.
Toute la population du village et des hameaux se préparait.
C'était en effet le jour ou le personnel serait choisi pour servir au château pour une année.
Depuis la mort du marquis, c'est son épouse qui s'en occupait.
Contrairement à son époux elle ne prenait que des hommes âgés de 18 à 40 ans.
Ils devaient tous se présenter, propres et correctement habillés, le jour de la Saint GERMAIN à 11 heures précises.
A l'heure dite la marquise Clémence,sortit sur le perron accompagnée de ses deux filles, Isabelle et Clotilde et du père Daniel abbé du village
Le silence se fit parmi les hommes présents.
"Cette année vous serez 7, maintenant défaites vous" dit la baronne.
Aussitôt il quittèrent leurs vêtements et furent bientôt nus.
Elle descendit les marches et s'approchât du premier rang.
Elle fit sortir des rangs un tout jeune garçon qui cachait son sexe derrière ses mains.
"Les mains derrière le dos"
En tremblant il obéit. Sa bite était longue et fine et deux grosses couilles pendaient sur ses cuisses.
"Toi tu seras à mon service, rentre dans le grand salon"
Elle choisit ensuite un homme plus âgés, petit et râblé, très poilu et doté d'un sexe court et épais.
" A vous Isabelle de choisir vos serviteurs"
Sa fille s'approchât et jetât son dévolu sur deux gaillards d'environ 25 ans, blonds et munis de queues de belle taille.
"A vous maintenant Clotilde"
La jeune fille s'avançât à son tour un petit sourire vicieux au coin des lèvres.
Elle pris son temps, examinant chaque homme de près, tâtant leurs muscles soupesant leur sexe.
Son choix se portât sur deux des hommes les plus vieux.
"Mon père allez choisir votre serviteur"
Le père Daniel prit tout son temps pour sélectionner celui qui serait à son service. Il regardait chaque homme, tournant autour d'eux, les faisant se pencher en avant, passant sa main grasse entre leurs fesses.
C'est un des plus jeunes garçon qui fit l'objet de son choix. Il était très mince, et avait une tout petite queue qui dépassait à peine de sa toison pubienne.
"Vous pouvez rentrer chez vous"
Les hommes qui restaient ramassèrent leurs vêtements et quittèrent rapidement le château.
La marquise, ses filles et l'abbé rentrèrent dans le grand salon.
Les hommes attendaient en silence, tête basse.
"Voyons si vous êtes vigoureux, branlez vous!"
Ils prirent leur sexe en main et commencèrent à se masturber.
Bientôt les bites se dressèrent, sauf celle du jeune choisit par le prêtre. Sa queue en érection ne devait pas faire plus de 8 cm.
"Hé bien mon père vous avez bien choisi.
- Oui madame la marquise il me plait bien, me permettez vous de l'essayer maintenant?
- Bien sur faites comme bon vous semble"
Le père Daniel s'approchât du jeune homme. Il relevât sa soutane et sa bite noueuse apparut.
" A genoux mon garçon, suces moi".
Le jeune homme obéit et pris la bite dans sa bouche.
"Allons un peu d'entrain, actives toi"
Le garçon faisait de son mieux. Il sentait la queue venir au fond de sa gorge provoquant des hauts le coeur.
"Allez maintenant, retournes toi et montre moi ton cul.
Il s'exécutât, offrant son cul juvénile aux regards.
Sans ménagement, l'abbé lui écartât les fesses et présentât sa bite devant son anus.
D'un coup de reins il s'empalât sur lui. Le garçon ne put retenir un cri de douleur.
"Tu verras ça ira mieux dans quelques jours" dit l'abbé en s'activant dans le cul écartelé.
Rapidement il se vidât en lui et se retirât.
Le garçon restait prostré, un long filet de sperme lui coulant sur les cuisses.
"Mon père, quelle vigueur, dit la marquise, je prendrais volontiers votre bite dans mon con"
"A votre disposition Madame la Marquise"
Isabelle demandât à sa mère de se retirer.
Elle partit, emmenant avec elle ses deux serviteurs.
Arrivée dans sa chambre elle leur dit:
"Déshabillez moi, j'ai envie de vos bites"
Rapidement elle fut nue et s'allongeât sur son lit.
"Il me semble que vous ne bandez pas très fort, venez vous allonger et sucez vous.
Les deux hommes se regardèrent et voulurent refuser.
"Allez pressez vous, vous savez ce qui arrivent à ceux qui n'obéissent pas?"
Il ne le savaient que trop. En effet, la marquise faisait couper les couilles de ceux qui n'avaient pas montré assez d'ardeur ou désobéit
Ils s'allongèrent tête bêche chacun pris le sexe de l'autre.
Malgré leur dégout, ils s'appliquaient et bientôt leurs bites devint bien dure.
Pendant ce temps, Isabelle se caressait, et peu à peu le plaisir montait en elle.
"Prenez moi maintenant avec vos bites bien dures. Un par devant, un par derrière"
Elle se fit embrocher, un dans la chatte, l'autre dans son cul bien ouvert. Les deux gaillards la ramonaient à grands coup de reins et elle criait de plaisir.
Pour son bonheur, ils lâchèrent en même temps leur foutre.
"Maintenant nettoyez vos queue et laissez moi"
Ils se relevèrent et commencèrent à s'essuyer.
"Non je veux que vous vous laviez avec la bouche.
Les malheureux furent obligés de se sucer de nouveau.
Pendant ce temps Clotilde avait entrainé ses deux serviteurs dans sa chambre.
"J'ai vu que vous ne mettiez pas de bonne volonté pour vous branler tout à l'heure, il va falloir que ça change, je vais commencer par vous montrer qui commande"
Elle prit une cravache sur la cheminée et commençât à les frapper.
Ses coups visaient les fesses et le sexe des deux hommes qui commencèrent à gémir. Elle frappait si fort que des gouttes de sang perlaient sur leurs fesses.
La douleur leur avait fait perdre leur érection ce qui amusât beaucoup Clotilde.
Elle s'amusait à soulever leur bites ramollie du bout de sa cravache
"C'est bien mou tout ça, il va falloir faire un effort"
Elle s'allongeât sur le lit, remontant sa longue robe. Son sexe épilé apparut.
"Voyons si vous êtes habiles avec vos langues, toi vient me lécher et toi approche ta bite que je la suce."
Elle commençât à sucer la queue qui peu à peu reprenant de la vigueur tout en triturant les couilles de l'homme.
L'autre s'activait entre ses cuisses titillant son clito enfonçant profondément sa langue rapeuse.
Elle ne tardât pas à jouir.
Elle les fit se relever. Ils attendaient la bite dressée, avec l'envie de pouvoir vider leurs couilles.
"Je vais vous faire débander"
Elle pris de nouveau sa cravache et ils reçurent une nouvelle série de coups, ce qui les fit débander rapidement.
" Je vous interdit de bander et de vous branler sans mon autorisation et pour en être certaine je vais vous encager"
Elle ouvrit un tiroir et en sortit deux cages métalliques.
Elle emprisonna leurs sexes. Les cages entouraient leurs bites et leurs couilles. Elles furent fermée avec un cadenas dont elle mit la clé autour de son cou au bout d'une fine chaine en or.
La marquise n'était pas restée inactive.
Elle avait entrainé ses deux serviteurs dans sa chambre et avait convié l'abbé à venir avec elle.
"Je ne vais me servir que de celui ci, dit elle en désignant celui qui était doté d'une fine et longue queue, vous pouvez vous amuser avec l'autre si vous le voulez"
L'abbé ne se fit pas prié et s'agenouillât devant l'homme à la queue courte et épaisse. Il le pris en bouche, le suçant et caressant ses couilles poilues.
Pendant ce temps, la marquise s'était allongée sur et avait retroussé sa robe.
La vue de ce sexe ouvert et offert avait excité le jeune homme et sa queue se dressait.
"J'ai bien choisi, tu as une belle queue, viens me la mettre."
Sans hésiter,il vint sur elle, s'enfonçât dans sa chatte et commençât à aller et venir.
Elle sentait sa bite aller jusqu'au fonds d'elle même et soupirait d'aise.
Elle fût comblée car non seulement il avait une très longue bite mais il était aussi très endurant.
Il la fit jouir deux fois avant de lâcher sa semence.
L'abbé avait cessé de sucer son partenaire. Il bandait de nouveau et sa queue soulevait sa soutane.
Il la relevât fit agenouiller le pauvre garçon et présentât sa bite entre ses grosses fesses poilues. Il fut rapidement en lui écartelant son petit trou.
Il l'enculait à grands coups.
"Ne jouissez pas mon père venez mettre votre bite dans mon cul" dit la marquise en me mettant à quatre pattes.
L'abbé ne se fit pas prié et vint enculer la marquise.
Ils jouirent ensemble.
La marquise se rajustât et redescendit dans le salon ou ses filles étaient déjà arrivées.
"Hé bien mes filles, êtes vous satisfaites de vos serviteurs"
"Oui, mère, ils sont bien dans quelques temps ce sera parfait le temps de les éduquer"
"Et vous mon père?
C'est parfait madame la marquise, le jeune homme que j'ai choisi à un beau cul et une belle petite bite.
Il doit être puceau, dit Clotilde, me le prêterez vous que je le dépucelle?
Bien sur ma fille, déjà son cul n'est plus vierge mais je pense aussi qu'il est puceau, n'est ce pas mon garçon"
Le garçon répondit oui timidement.
"Maintenant je ne veux plus voir" dit la marquise, allez dans l'écurie c'est la que vous vous tiendrez à présent. Je veux que vous restiez nus et à notre disposition et bien entendu à celle de nos invités quand nous recevons.
Avant de rejoindre l'écurie vous passerz par le petit salon afin que Clotilde vous mette vos cages.
"Oui Madame la marquise".
Il se retrouvèrent rapidement la bite et les couilles bien serrées dans leurs cages métalliques, empêchant toute érection.

Leur séjour durât jusqu'à la Saint Germain suivante, obéissant et se pliant à toutes les envies et caprices de la marquise , de ses filles et de l'abbé.
Ils se sentaient même heureux, bien nourris et pouvant baiser très souvent. Vivre nus ne les dérangeait plus. il appréciaient même de faire l'amour entre eux.
Seules ombres au tableau, le port de cage qui les empêchait de bander et les soirées de la marquise qui recevait jusqu'à une trentaine d'amis de tous sexes qu'il fallait satisfaire et qui les laissait épuisés.
En un mot ils n'étaient pas pressés que la Saint Germain revienne









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