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Alexandra : Le journal très privé d'une hôtesse de l'air (I)

Ecrit par Christian
Parue le 16 novembre 2014
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Cette histoire érotique a été lue 9936 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Alexandra
Le journal très privé d'une hôtesse de l'air

1.
Je m'appelle Alexandra, Alexa pour tout le monde et Alex pour mes intimes … grande et élancée, les cheveux bruns et longs, des yeux noirs envoûtants, une bouche large aux lèvres nerveuses. Mon corps souple et nerveux attire les regards, avec une poitrine agréablement gourmande, un ventre plat et tendu, des fesses musclées et douces, des jambes sans fin. Mon royaume secret offre à celui ou à celle qui sait le gagner mes seins charnus et sensibles, mon pubis à la douce toison bouclée rasée au maillot, mes grandes lèvres appétissantes, mon clitoris pointant, voire mon trou de bronze accueillant.
Hôtesse de l'air, responsable de cabine dans une compagnie privée spécialisée dans les voyages pour les VIP, j'ai une vie agréable qui me donne l'occasion de découvrir des pays et des gens nouveaux, et qui me laisse de larges moments de loisir. Chaque jour m'apporte une nouveauté, une rencontre, un nouveau plaisir, que je sois accompagnée ou seule … Tout cela a commencé l'année de mes dix-huit ans …

2.
Notre maison de Skorpios est bien froide quand j'y pénètre en ce premier samedi de mars. Mes parents, qui ne doivent arriver que le lendemain, devant rendre visite à une vieille tante chez qui je n'ai aucune envie de passer la nuit, ont accepté que je les précède, à contrecœur, en raison de l'isolement de la maison sur l'île, qui inquiète beaucoup ma mère. En dépit de la saison, le temps n'est en outre guère amène, mais après que j'ai allumé un feu dans la cheminée, la maison redevient accueillante, et presque douillette. Je peux alors me déshabiller et, après ma douche, vêtue d'une courte chemise diaphane, je m'installe sur le rocking-chair, auprès de l'âtre réconfortant.
Je place dans le magnétoscope du salon une cassette vidéo porno, parmi les nombreuses que possèdent mes parents, et qu'ils dissimulent maladroitement dans un meuble de leur chambre.
Depuis plusieurs heures, un désir lancinant de me masturber me tenaille, plus précisément depuis que j'ai croisé sur le bateau le regard d'un mauvais garçon mal rasé, un voyou d'une vingtaine d'années, mais très craquant, qui m'a fait mouiller abondamment.
Ce soir, devant la cheminée, il me suffit de repenser à ce mec pour bander. Les pointes de mes petits seins, que j'agace de mes doigts humectés de salive, sont toutes dures, exactement comme mon clitoris. A vrai dire, voilà bien longtemps que je ne me suis pas branlée. Mais, tout comme la bicyclette, cette pratique ne s'oublie pas et, après quelques effleurements maladroits de mes tendres nymphes, mes doigts retrouvent leur rythme d'antan, et je parviens à faire mouiller ma jolie chatte.
Depuis que j'ai commencé à faire l'amour, d'abord avec ma copine Iphigenia, il y a deux étés, dans cette même maison, à l'âge de quinze ans, puis avec plusieurs mecs de passage, j'avais négligé cette pratique, considérant, bien à tort, qu'une femme comblée n'avait pas besoin d'y recourir. Au contraire, comme je m'en rends compte, la masturbation, outre le plaisir physique qu'elle me procure, fait resurgir à ma mémoire des images bien troublantes.
Tandis que mon doigt glisse avec assurance entre mes lèvres bien souples et brûlantes, je pense à Malkos, mon dernier copain, que j'ai quitté quelques jours auparavant en d'assez mauvais termes, mais que j'espère néanmoins retrouver bien vite.
Malkos, qui sait si bien lécher mon adorable petit con, comme il l'appelle... Malkos, dont j'aime tant la saveur de la splendide queue... Malkos, qui a si bien su, il y a quelques semaines, dépuceler mon minuscule anus ...
A ce souvenir, mon doigt glisse imperceptiblement de ma chatte vers mon petit trou. Placée sur le côté, blottie entre les bras confortables du fauteuil, j'écarte mes fesses de mon autre main. Après m'être un instant caressé le périnée, j'atteins l'orifice froncé. Son humidité me surprend.
Bien avant que je ne l'autorise à me pénétrer par cette voie, Malkos m'a fait découvrir l'extrême sensibilité, que je ne soupçonnais pas auparavant, de cette partie de mon anatomie. L'esprit envahi par l'image de mon amant, je me branle maintenant le cul. D'abord, comme s'il était la langue de Malkos, mon index explore consciencieusement la minuscule pastille.
A l'écran, une superbe fille hurle son plaisir d'offrir son arrière-train à un type incroyablement membré. Subjuguée par ce spectacle, je glisse, presque sans m'en rendre compte, sur la moquette soyeuse qui recouvre le sol du salon et me positionne à quatre pattes.
Ainsi, les reins cambrés, mon fessier s'épanouit de lui-même et je peux m'introduire aisément un doigt. Mon excitation monte encore d'un cran quand je me rends compte que le couple de la télévision a reçu le renfort d'un second homme. Je retiens mon souffle lorsque la fille, qui chevauche son premier partenaire, s'apprête à recevoir l'autre dans son anus. J'ai ressorti mon index et au moment précis où la jolie actrice se fait enculer, je m'enfile moi-même deux doigts.
Je n'ignore évidemment pas l'existence de la perversion à laquelle j'assiste à l'écran. Iphigenia, ma petite gouine chérie, m'a si souvent raconté les cochonneries qu'elle pratique avec ses deux cousins que je ne suis pas vraiment surprise du spectacle auquel j'assiste.
Très vite, sous l'effet du vigoureux massage que j'inflige à mon cul, mes gémissements rejoignent en intensité ceux qui me parviennent par le haut-parleur de la télévision, et je jouis quand la salope reçoit sur son visage le flux torrentiel du foutre mêlé des deux types.
Évidemment épuisée par toutes ces émotions, je plonge bientôt dans un sommeil profond, peuplé, comme il se doit, de rêves sensuels. Mais mon repos est de courte durée : un bruit violent, comme les vitres d'une fenêtre que l'on brise, me réveille en sursaut.
Toute tremblante - je n'oublie pas que je suis toute seule dans cette immense maison -, je me lève et me dirige vers l'escalier qui mène au rez-de-chaussée.
Mon oreille ne m'a pas trompée : au pied d'une fenêtre de la salle de séjour, j'aperçois en effet du verre brisé ; il est hors de doute qu'une ou plusieurs personnes ont pénétré dans la maison, qu'ils pensaient probablement inoccupée. Que dois-je faire ?
Il me vient alors à l'esprit que mon père a dissimulé dans un tiroir du buffet de la pièce où je me trouve une arme, un pistolet, je crois, en prévision d'une visite nocturne de ce type. En quelques secondes, je m'empare de cette arme, dont le contact me rassure, même si je ne suis pas certaine d'être capable de m'en servir.
Des bruits de meubles renversés m'informent que les intrus sont maintenant dans la bibliothèque, de l'autre côté du couloir. Sans bruit, je traverse celui-ci. Par l'embrasure de la porte, je distingue deux ombres dans l'obscurité. Quand mes yeux s'habituent à l'obscurité, j'aperçois les cambrioleurs : deux mauvais garçons, à peine plus âgés que moi, me semble-t-il, un blanc et un noir, très baraqués.
- Mettez les mains en l'air ! dis-je d'une voix forte, qui fait sursauter les voleurs.
Croyant d'abord à une plaisanterie, ils se figent quand ils aperçoivent mon pistolet. Il n'en reste pas moins que je suis une fille et très vite le Noir retrouve son assurance et m'interpelle :
- Allons, ma jolie, ne fais pas de bêtises... Pose ce joujou !
- Certainement pas ! Sachez que je n'hésiterai pas à m'en servir, s'il le faut.
Je songe alors que je dois m'assurer que les deux rigolos ne s'échappent pas, le temps que je prévienne la gendarmerie, et je leur ordonne :
- Enlevez vos pompes et vos pantalons !
- Quoi ???
- Obéissez ! Fais-je d'une voix qui ne souffre pas de réplique.
Avec un empressement qui pourrait être comique si la situation n'était pas si grave, les deux voleurs se déshabillent maladroitement. Quand ils ont terminé, j'exige qu'ils remettent les mains en l'air.
A mon immense surprise, je me rends compte que mes prisonniers se sont permis d'avoir une érection, qui plus est sans mon autorisation ! Il est vrai que je porte toujours ma chemise légère, que je n'ai pas pris la peine de reboutonner, et les mecs ont une vue imprenable sur mon anatomie.
Cet état est plus visible chez le Blanc, qui porte un slip moulant, tendu à craquer par sa bite. Le Noir, quant à lui, est vêtu d'un caleçon qui dévoile moins ses attributs, mais dont je devine qu'ils sont plus considérables encore. Poussée par une envie irrépressible, et encouragée par le fait que je suis en position de force, je les somme d'enlever également leurs sous-vêtements.
- Mais enfin, tu es folle ou quoi ? m'interroge l'immense Noir.
Mais son copain lui conseille, avec un drôle d'air, de m'obéir. Les pines splendides qui m'apparaissent achèvent de me faire perdre la tête. Le Blanc, conscient que l'avantage vient de changer de camp, m'interpelle :
- Elles sont belles, nos bites, n'est-ce pas ? Mais si tu veux continuer à les admirer, il va falloir que tu sois bien gentille. Comment tu t'appelles, au fait ?
- Alexandra, réponds-je d'une voix troublée par l'émotion.
- Alors, Alexandra, tu vas commencer par poser ton flingue. Et tu vas vite m'enlever ta chemise.
Totalement subjuguée par le désir de m'emparer de leurs deux queues, je m'exécute. Tandis que je me dénude, les mecs prennent leurs bites en main, décalottent leurs glands, et commencent à se branler.
- C'est bien, tu es très jolie, Alexandra. Tu sais ce que l'on va faire, tous les trois ? continue le type.
- Non ?
- On va se donner du bon temps, et on te promet de ne pas te faire de mal, et même de s'en aller sans rien emporter. Tout le monde sera gagnant, comme cela, tu ne penses pas ?
- Oui, je suis d'accord ! m'écrie-je, avec peut-être un peu trop d'enthousiasme dans la voix.
Sans plus de formalité, je m'approche des deux pines tentatrices, que j'empoigne d'un geste décidé. J'embrasse à tour de rôle les deux malfaiteurs et je masturbe en même temps leurs bites. Elles sont toutes deux d'une taille appréciable, mais je suis plus bouleversée encore par celle de l'Africain, dont ma bouche s'empare bien vite.
Pendant un long moment, j'hésite à avaler tout entier ce membre démesuré, et je me contente d'en pourlécher l'énorme gland, afin de me familiariser avec sa taille. Quand le mec en a assez de mes léchouillages, il s'empare de ma chevelure blonde et d'un geste assuré, bien que sans méchanceté, il m'oblige à l'emboucher en totalité. Jamais évidemment je n'en ai eu une aussi grosse dans ma bouche, et il me faut quelques interminables secondes pour m'y accoutumer. Quand c'est chose faite, je jouis du rare plaisir d'avoir entre les lèvres cet incroyable morceau de chair.
De temps à autre, il me faut tout de même me consacrer à l'autre malfrat, mais sa bite, bien que de dimensions respectables, ne peut se comparer à celle de son copain, vers laquelle je retourne bien vite. Le Blanc finit donc par se lasser et, à mon intense satisfaction, vient s'occuper de mon entrecuisse dégoulinant.
Je n'attends aucune délicatesse de ce malfaiteur, mais je suis tout de même un peu surprise quand il m'enfonce d'un coup, sans préparation, son majeur tout au fond du con, dieu merci abondamment lubrifié par ma mouille. Il en va tout autrement de mon anus, dans lequel le mec introduit bientôt de la même façon son doigt.
- C'est super, Bemba, il est vachement serré. On va bien se marrer, quand on va la prendre tous les deux en même temps, la petite salope !
- Tu as raison, Aldo... Prépare-la moi, je veux l'enculer, pendant que tu la baiseras.
Ces paroles m'emplissent de sentiments très contrastés. D'un côté, je commence à prendre un peu peur de la tournure que prennent les événements. Je comprends en effet que les deux bandits sont décidés à jouir au maximum de mon corps et que cela pourrait tourner mal si jamais je me rebiffais. Mais d'un autre côté, un sentiment de plénitude m'envahit à l'idée d'être bientôt labourée par les queues d'acier des deux mecs, et c'est celui-ci qui prédomine, et de loin.
Mais, pour que les choses se passent au mieux, je dois reprendre le contrôle de la situation. Précisément, Aldo ne parvient pas à s'introduire entre mes fesses, qu'il a pourtant largement ouvertes.
- Putain, elle est trop serrée, j'y arrive pas ! s'écrie-t-il à l'adresse de son copain.
- Tu n'as qu'à forcer, ça va bien finir par passer.
- Non mais ça va pas ! dis-je alors, abandonnant momentanément la bite de Bemba. Tu vas te conduire en mec civilisé, pour une fois, et tu vas me lécher le cul ! Après, je te promets que ça passera tout seul...
Un instant décontenancé par cette injonction, le mec finit pourtant par obtempérer. Sa langue râpeuse est maladroite dans mon cul, mais mon désir est si intense que bien vite je m'épanouis. En outre, je ne perds pas de vue que je vais dans peu de temps être défoncée par l'énorme queue de Bemba, et qu'il en conséquence vital que l'action de son complice soit efficace. C'est pourquoi je me permets de temps à autre de conseiller le cambrioleur empoté, plus à l'aise sans doute pour faire s'ouvrir les coffres-forts que les anus des jeunes filles !
- Ecarte-moi bien les fesses... Maintenant, lèche la petite rondelle ... Pas trop vite. Oui, comme cela c'est bien !
Le type comprend, à mes gémissements, que j'apprécie à leur juste valeur ses progrès et, s'enhardissant, il introduit le bout de sa langue dans mon tunnel resserré.
Cette vicieuse incursion me conduit à cambrer les reins et à soulever ma croupe. Aldo comprend que le moment est venu et il vient placer son gland tout contre mon anus humide. Je m'attends à ce qu'il m'encule tout de go, mais il se contente de faire aller son instrument entre mes fesses satinées, se révélant ainsi meilleur amant que je ne l'avais pensé au départ.
En effet, ce petit jeu a pour effet d'enflammer plus encore mes sens, et j'en viens à supplier mon tentateur de m'enfiler enfin. Le calibre de son membre se révélant assez semblable à celui de Marc, avec lequel mon petit cul est si familiarisé, il peut dès le premier assaut me le mettre tout au fond, ce qui m'arrache un soupir de contentement.
Pendant que je prodiguais mes conseils avisés à mon futur enculeur, il va de soi que j'ai dû délaisser un moment la monumentale pine du Noir, me contentant de l'astiquer de ma main, des couilles jusqu'au gland. Quand il se rend compte que son copain est bien en place, Bemba me prend avec rudesse la tête entre ses mains, qu'il plaque aussitôt contre sa queue. Je me retrouve à la hauteur de ses bourses velues, qui ont durci spectaculairement sous l'effet de mes caresses manuelles. Le type sursaute quand je les effleure du bout de ma langue.
- Oh oui, continue, poupée ! Tu sais pas ce qu'elle est train de me faire, Aldo ? Elle est en train de me lécher les couilles ! On me l'avait jamais fait... Quel âge tu as, Alexandra ?
- Dix-huit ans, parviens-je à balbutier, entre deux gémissements.
- Oh, la petite garce. En plus, on a affaire à une jeunette, c'est génial. Et pour toi, Aldo, elle est bonne ?
- Elle est super, tu veux dire ! Elle me fait du bien à la bite, la gamine, tu peux pas savoir. Elle est serrée juste ce qu'il faut, ça va être un régal pour toi, mon pote. Tiens, prend ça, salope !
Les deux mecs me traitent comme une vraie chienne, et le pire, c'est que je justifie totalement cette attitude, agitant le plus que je peux ma croupe sous l'effet du pilonnage de Aldo, et engloutissant en totalité l'immense bite de Bemba.
- Bon, ça suffit comme ça, déclare bientôt celui-ci. Maintenant, je vais te sodomiser, ma jolie ! File-moi la place, Aldo ...
A cette annonce, les battements de mon cœur s'accélèrent. Dès qu'il est ressorti de mon cul, Aldo s'allonge sur le sol, et il m'attire rudement au-dessus de lui.
Mais je n'ai pas l'intention de me livrer sans résistance aux fantaisies des deux mecs, et je décide de me livrer à un de mes amusements préférés. Tout en branlant de ma main droite la queue de Bemba, que je gratifie d'un petit coup de langue lorsqu'il s'approche de moi, je m'empare de la pine de l'autre mec, que je frotte délicatement contre la peau si douce de mon entrecuisse, contre les boucles blondes de mon pubis, contre les lèvres en feu, béantes de désir, de mon sexe.
- Oh la pute, elle est en train de me branler avec sa moule ! parvient à éructer mon amant à l'adresse de son copain.
- Eh bien, Alexandra, on dirait que tu as fait cela toute ta vie ! apprécie Bemba, en connaisseur. Mais si mon pote a envie de t'enfiler, tu as intérêt à obtempérer !
Il assortit cette dernière réflexion d'une retentissante claque sur mon fragile arrière-train. Sous l'effet de ce geste, je m'empale brusquement sur la queue de Aldo, qui pousse un soupir de soulagement. Le Noir, quant à lui, m'introduit d'un seul coup son majeur dans l'anus, qu'il fait aller et venir sans aucune douceur, me donnant ainsi un aperçu de la double pénétration que je désire. Tandis qu'il se masturbe de son autre main, il m'insulte copieusement :
- Je sens que tu as envie de ma grosse bite, petite garce. Mais je ne suis pas certain de vouloir t'enculer. Je vais peut-être juter sur ta jolie gueule, à la place ! Est-ce que tu es vraiment assez salope pour que je te sodomise, ma petite Alexandra ?
- Oh si, encule-moi ! Je suis une putain, une vraie chienne, m'écrie-je, suppliante, afin de tenter de le fléchir.
Je sais que j'y suis parvenue quand je sens l'énorme sexe de Bemba remplacer son doigt à l'entrée de mon petit trou. Fort heureusement, mon enculeur n'est pas un sadique, et, même s'il me prend sans tendresse, il a la délicatesse de m'enfiler en deux temps, d'abord son gland démesuré, qui me déchire la rondelle et m'arrache un cri, puis le reste de la verge, qui coulisse avec moins de problèmes.
Je n'en reviens pas de la facilité avec laquelle j'ai accueilli ces deux sexes ! Il faut croire que les filles sont vraiment faites en caoutchouc à cet endroit-là... Cette aisance ne va évidemment pas sans un soupçon de souffrance, qui fait tout le piment de l'opération.
Depuis qu'il m'a pénétrée, le Noir a pris le contrôle de notre copulation ; il s'est emparé de mes hanches et à grands coups de reins donne le rythme de la chevauchée commune. Tandis que Bemba martyrise comme une brute mon petit anus, il se permet de pincer cruellement les bouts de mes seins fragiles et continue de me traiter de tous les noms. Tout se passe comme si les deux mecs tenaient entre eux une discussion dont je serais l'objet unique, et dans laquelle les mots de salope, vicieuse, chienne, reviennent le plus souvent. Le terme qui me trouble le plus est celui de " pute ", car j'ai conscience qu'il est parfaitement justifié : ne me suis-je pas vendue à ces deux mecs en échange de leur promesse de ne pas cambrioler la résidence familiale ?
La douleur initiale a laissé place en moi à la joie intense de sentir mes orifices comblés par les deux énormes mandrins. Pourtant les deux malfrats ne me ménagent pas, surtout Bemba, dont la pine coulisse sans égard dans mon trou du cul, rendu plus étroit encore par la présence de Aldo.
Les grossièretés dont m'abreuvent les deux mecs, au lieu de me révolter, ont pour effet, moi qui suis habituellement plutôt réservée pendant l'amour, de m'arracher des insanités plus perverses encore que les leurs, du style :
- Allez-y, espèces de salauds, c'est bon ! Défoncez-moi, éclatez-moi le cul, j'aime ça ! Prenez-moi comme une putain...
Les deux types sont incroyablement endurants, et je commence à penser que nous sommes tous les trois soudés les uns aux autres, pour une éternité de jouissance, quand je sens enfin les signes d'un dénouement proche, à l'accélération du pilonnage de mon cul et de mon con.
- Je veux boire vos jus, donnez-moi vos queues, j'ai soif ! m'écrie-je alors.
Les malfaiteurs ne se font pas prier et, bientôt, je suis allongée sur le lit, deux sexes au-dessus de mon visage avide, que leurs propriétaires masturbent habilement.
Quand le déluge commence, je me rends compte que j'ai été un peu inconsciente d'offrir ma bouche menue au flot de leurs foutres, que très vite elle ne parvient plus à contenir. Je dois alors à mon grand regret fermer mes lèvres et tandis que je déguste en connaisseuse le nectar que je suis parvenue à absorber, du sperme bien chaud continue à dégouliner sur mes joues, mon menton, et même mes seins, dont les salauds se servent sans vergogne pour essuyer leurs pines gluantes.
Sitôt cette apothéose achevée et les garçons repartis, fidèles à leur promesse de ne pas cambrioler la maison, je m'endors comme une masse, repue de plaisir, prenant tout juste le temps de revêtir ma chemise et de remonter dans ma chambre. C'est là que mes parents me retrouvent le lendemain midi, à leur arrivée, extrêmement anxieux de mon sort, après qu'ils ont vu le verre brisé dans la bibliothèque.
Tandis que je me remémore les événements bouleversants de la nuit, je me taille un joli succès auprès de mes parents en leur racontant une histoire abracadabrante, dans laquelle je fais preuve d'un courage prodigieux en faisant fuir à moi toute seule les méchants cambrioleurs à l'aide du pistolet de mon père. Ma mère, bouleversée par mon récit et très inquiète de mes traits tirés, est même prête à faire appel à un médecin, pour soulager mes angoisses.
La pauvre, si elle savait …

3.
Lorsque j’étais étudiante, j’habitais un appartement dans un immeuble ancien du centre d’Athènes. Le salon s’ornait d’une cheminée surmontée d’une grande glace où se reflétait toute la pièce. Une large baie donnait accès à un balcon mitoyen de celui du locataire voisin, un étudiant en sports sur qui je flashais un peu. J’avais souvent eu l’occasion de le voir déambuler nu dans son appartement, son corps musclé et bronzé éveillant en moi des sentiments peu honnêtes.
Ce jour-là, il faisait très chaud, une journée d’été moite sous un soleil de plomb. Je rentrai du mariage d’une amie, le corps, humide collant à ma légère et courte robe blanche à bretelles. M’affalant dans le canapé devant la cheminée, je sombrais dans une douce torpeur, harassée par la chaleur oppressante. Par la baie grande ouverte, me parvenaient des bruits de voix : mon voisin s’était installé sur son balcon pour boire un verre avec quelques amis.
C’étaient les heures les plus chaudes du jour et les bruits de la nature s’étaient tus, absorbés par la touffeur ambiante. Malgré moi, je prêtais attention aux propos de mes voisins. À les entendre, un trouble m'envahit peu à peu, car ils discutaient d'une femme avec des propos plus qu'évocateurs : je les écoutais la décrire avec admiration, une lubricité chaude pointant sous leurs paroles. Ils n'en finissaient pas de citer les courbes souples de son corps, les rondeurs attirantes de sa poitrine, le galbe de ses reins, l'ombre de sa toison au creux de son bassin, la brillance de son sexe entrevu. Tout cela dit en des termes courtois certes, mais derrière lesquels la tension et l'excitation de ces jeunes mâles était tellement prégnante.
À quelques détails aux détours de leurs phrases, je réalisais soudain en rougissant que c'était de moi dont ils parlaient ! Ainsi donc, je n'avais pas été la seule à jeter un regard dans l'appartement de mon voisin pour apprécier clandestinement le spectacle de sa nudité : il pratiquait lui aussi discrètement ce "sport" et profitait abondamment de mes habitudes de vie plus que décontractées. Souvent, et encore plus durant cet été torride, il m'avait regardée vaquer à mes occupations, nue ou presque, trop heureuse de pouvoir me débarrasser de mes vêtements dans ce que je pensais être l'intimité de mon logement. Souvent, en rentrant d'une longue journée à l'université, il m'arrivait de me mettre à l'aise, pieds nus, tout juste vêtue de lingerie soyeuse. Tout ce qu'il décrivait me portait à croire qu'il avait vraiment dû passer beaucoup de temps à me mater pendant ces moments de détente !!
Mon corps abandonné sur le canapé se brouillait d'une chaleur excitante en les écoutant. Mes mains se mirent lentement en mouvement, froissant ma robe immaculée tandis que je cherchais à détendre par de douces caresses la tension qui montait en moi. Je dégrafais le haut de ma robe pour dégager ma poitrine sertie dans un délicat soutien-gorge de dentelle blanche. Un léger souffle d'air balayait ma gorge comme si une plume légère jouait entre mes seins, me coupant le souffle et faisant gonfler mes globes de chair à la peau si douce.
Bientôt, n'y tenant plus, je fis glisser ma robe sur mon corps enfiévré d'émoi. Cachés aux regards, un soutien-gorge et un string de fine dentelle blanche complétaient ma tenue. Mes longues jambes fuselées s'ornaient de fins bas blancs; dont les hauts brodés étaient retenus par un porte-jarretelles assorti à mes sous-vêtements. Mes pieds fins se laissaient admirer dans l'écrin de légères sandales blanches à talons aiguilles que seule une bride arachnéenne retenait à mes chevilles. Le miroir en face de moi me renvoyait l'image d'un corps doré de soleil, emperlé de sueur, aux attraits soulignés par la blancheur éclatante de cette lingerie. Sur le coup, je suis tombée amoureuse de cette image et je n'ai plus eu d'autre envie que de satisfaire cette odalisque indécente, de la faire s'écarteler de plaisir sous mes caresses, de la voir gémir de jouissance sous mes attouchements.
De plus en plus fébriles, mes mains voletaient sur mes courbes gainées de soie, passant comme des papillons impudiques des mes cuisses écartées à ma poitrine, s'attardant sur les triangles de peau nue entre mes bas et mon string, glissant sur l'arrondi souple de mes fesses musclées pour venir faire vibrer mon ventre et se perdre dans ma chevelure défaite. Les sournoises si agiles détachèrent sans que je m'en aperçoive les attaches de mon porte-jarretelles, libérant les doux étuis de soie qui habillaient mes jambes.
Ma poitrine, gonflée à en être douloureuse, luttait contre la prison de soie qui l'encageait doucement. Je fis glisser les bretelles de mon soutien-gorge, libérant mes globes fermes dont mes caresses firent rapidement se dresser mes tétons hypersensibles. Mon porte-jarretelles tomba au sol, bientôt suivi par mon soutien-gorge, tandis que mes frôlements de plus en plus précis ne laissaient aucun répit à ma peau enflammée. Je sentais mon sexe gonfler et mes lèvres laisser sourdre mes jus d'amour. La tache humide qui s'élargissait sur mon string révélait le degré de mon excitation. Le désir de jouir me rendait aveugle et sourde à tout ce qui m'entourait, lorsque je réalisais soudain que je n'entendais plus discuter mes voisins. La pensée qu'ils pouvaient être en train de me mater vrilla mon corps d'un orgasme ravageur et lubrique. Trop engagée maintenant dans la recherche du plaisir, je ne réagis même pas à cette idée, leur offrant le spectacle de ma jouissance en récompense de l'excitation qu'ils m'avaient donnée.
La conque trempée de mon string collait à ma toison et gênait mon entrejambes : je le fis glisser sur mes jambes, frissonnant des caresses que ce chiffon de dentelle mouillé de mes sucs prodiguait à mes cuisses. Mes doigts recueillirent ma cyprine tiède pour l'étaler sur mon corps enfiévré, y laissant de douces traînées luisantes et poisseuses comme si un escargot lubrique s'était perdu sur mon jardin d'Eden.
Me relevant à genoux sur le canapé, seulement vêtue de mes bas et de mes chaussures, je me concentrais sur ma poitrine, pinçant mes tétons électrisés, tandis que je fouaillais mon sexe et le sillon de mes fesses. L'orgasme me foudroya et m'abattit pantelant sur les coussins, le corps brillant de sueur. Je m'imaginais que mes mâles voisins m'entouraient, en s'activant sur leurs hampes viriles dressées, pour honorer la déesse perverse que j'incarnais. Mon sexe béant et mon œil de bronze palpitaient, prêts à happer leurs poignards de chair pour se satisfaire. Mes doigts inondés remplacèrent ces vits absents du mieux qu'ils purent, allant et venant dans ma grotte d'amour et dilatant mon sphincter culier. Je sentais une nouvelle jouissance monter en moi et s'emparer de mes reins cambrés. Les épaules et les talons ancrés dans le canapé, je projetais mon bassin vers le ciel pour me pénétrer encore plus profondément. Mon rêve érotique atteignit son apogée, et je vis mes partenaires exploser, m'arrosant d'une abondante douche de sperme. Mon imagination me fit sentir leurs gouttes sur ma peau brûlante, et je jouis à nouveau violemment, laissant exploser un râle de jouissance animale, le corps arqué comme un ressort, mes mains soudées au plus profond de mes puits d'amour. Les yeux clos, je m'écroulais à moitié inconsciente dans le silence qui suivit mon cri d'extase.
Des applaudissements inattendus me rappelèrent à la réalité. Mes mains glissèrent hors de mes orifices béants avec un bruit de succion humide. Me retournant, je découvris mes voisins penchés par-dessus la rambarde de mon balcon, qui manifestaient leur admiration devant le spectacle que je venais de leur offrir. Il va sans dire que nous avons rapidement fait connaissance et que nous avons passé une grande partie de la soirée et de la nuit à rejouer pour de vrai la scène que j'avais fantasmée.

4.
C'est pendant mes années d'université que j'ai su que le sexe, la jouissance physique devaient être partie intégrante de mes journées. J'avais à l'époque pour amie Anthinea, une grande rousse piquante à la longue chevelure. Nous avions l'habitude de nous retrouver après les cours dans le bar que dirigeait son frère. Le scénario était immuable et fonctionnait à merveille.
Pour ces séances, Anthinea était à son avantage, vêtue d'un tailleur de daim, dont les premiers boutons défaits laissaient plonger dans le sillon de sa poitrine pulpeuse. Sa courte minijupe, fendue jusqu'aux hanches, surplombait de longues jambes gainées de soie brune et de hautes bottes de peau. Lorsqu'elle croisait les jambes, assise sur un tabouret du bar, elle offrait aux regards une cuisse fuselée et l'amorce de l'arrondi d'une fesse soyeuse. Le haut en dentelle de ses bas laissait entrevoir l'attache d'un porte-jarretelles noir. À part cette enveloppe extérieure excitante, elle ne portait rien d'autre, aucun sous-vêtement n'attouchait sa peau fébrile.
Quant à moi, j'optais pour un costume masculin, veste et pantalon noirs sur une blouse de soie diaphane. Une cravate sombre, des chaussures noires et mes cheveux retenus en un chignon serré complétaient ce look viril. Rien de plus, car comme Anthinea, je préférais sentir mon corps fluide sous les vêtements, sans entraves, libre et dégagé (même si j'étais déjà sensible à l'érotisme des dessous, et si me pavaner juste vêtue de dentelle légère m'excitait au plus haut point).
Généralement, il ne fallait que quelques minutes pour qu'un client du bar s'approche d'Anthinea et se mette à l'entreprendre. Sans manifester la moindre gène, je les laissais s'entretenir en prétendant discuter avec le barman. Au bout d'un moment, elle me demandait de l'excuser sous un prétexte quelconque. Du coin de l'œil, je les voyais, elle puis lui, s'éclipser par la porte marquée "Privé" qui conduisait au bureau dont elle avait la clé. Je continuais à discuter quelques minutes, le temps de laisser l'action s'échauffer. Puis, je me glissais à mon tour dans le bureau, en fermant la porte à clé derrière moi.
Du paravent derrière la porte, je contemplais sans être remarquée la scène qui s'offrait immanquablement à moi. Anthinea et son admirateur étaient debout face au lave-mains du bureau, elle s'appuyant des deux mains au bord du lavabo, lui plaqué à sa croupe. Elle se dressait, le dos arqué, les jambes écartées. Sa jupe était retroussée sur ses hanches et sa veste ouverte découvrait ses seins que je voyais bouger dans le reflet de la glace à chaque coup de boutoir de l’homme. Pantalon et caleçon baissés jusqu’aux chevilles, il la besognait continûment par derrière. Ferment campé sur ses pieds, il pétrissait de ses mains les globes laiteux de ma copine. Le miroir me montrait le visage d’Anthinea, radiant de plaisir; m'apercevant, elle m'adressait un clin d'œil au travers de sa frange collée de sueur.
Lorsque je m’approchais sans bruit, elle m’adressait un grand sourire accompagné d’un clin d’œil de complicité, m’indiquant que nous avions affaire à un bon candidat, membré et vigoureux. En silence, je m’agenouillais derrière l’homme pour m’inviter à leur fête qui déjà mouillait mon entrejambe.
Il marquait un temps de surprise quand je commençais à caresser ses fesses, regardant par-dessus son épaule qui s’attaquait ainsi à son intimité. "Continue", lui murmurais-je d'un sourire pour qu'il reprenne son pilonnage sans se soucier de moi. En confiance, il s'enfonçait de plus belle dans le sexe d'Anthinea, avec des va-et-vient puissants qui la soulevaient presque du sol.
De mes doigts agiles, je parcourais ses fesses, glissant de temps à autre dans son sillage culier pour l'exciter encore plus. J'interrompais d'un coup mes caresses pour déboutonner mon veston et libérer ma poitrine gonflée. Mes seins remplaçaient alors mes mains, leurs pointes durcies l'explorant du bas du dos au début de ses cuisses musclées. Mes mains libérées venaient rejoindre leur union de chair pour sentir le frottement de sa verge entre les lèvres mouillées du conin d'Anthinea.
Mes doigts inondés de cyprine s'emparaient de ses bourses dures qui commençaient à vibrer, au bord de la jouissance. Alors qu'Anthinea jouissait une première fois avec un râle rauque, je contrôlais l'explosion de son amant en enserrant de mes doigts le bas de sa verge et en arrêtant de malaxer ses glandes gonflées. Je les laissais ensuite reprendre leurs ébats, tandis qu'une main glissée par la braguette de mon pantalon, je caressais mon sexe ouvert et poisseux.
Je renouvelais l'opération deux ou trois fois, pour procurer à ma copine un maximum de jouissance, maintenant son amant aux portes de la délivrance et faisant monter ma propre excitation. Peu à peu, la situation devenait incontrôlable, les râles de l'homme se mêlant aux soupirs de plaisir d'Anthinea et à mes gémissements d'impatience.
Je lâchais alors les rênes, et je massais une dernière fois les testicules bouillants de l'homme, en l'enfonçant au plus profond d'Anthinea. Ses glandes se crispaient spasmodiquement, envoyant des jets puissants de sperme qui débordait bientôt du vagin de ma copine. Celle-ci partait dans un orgasme violent, le corps tendu, les cuisses nerveuses, les seins dressés vers le miroir, le visage ravagé de plaisir tourné vers le ciel, un cri d'extase jaillissant de sa bouche. Mon plaisir se joignait aux leurs lorsque je pénétrais mon sexe affamé d'une main luisante de mes jus, mes doigts butant au fond de ma cavité brûlante.
Anthinea s'affalait sur le lavabo, ses jambes ne la portant plus et les bras douloureux de crampes. L'homme s'écroulait sur son dos, glissant hors d'elle avec un bruit humide. M'emparant de sa verge mollissante, je le conduisais vers la porte. Devant mon attitude hiératique et dominatrice, malgré le débraillé de mes vêtements, il partait en se rajustant gauchement.
Relevant Anthinea, j'essuyais avec la pochette de mon veston le sperme et les jus qui ruisselaient le long de ses cuisses. Après lui avoir fait sentir pour la requinquer, j'enfouissais le carré de tissu dans ma poche pour avoir près de mon visage les senteurs mêlées de leurs sexes.
Après nous être rajustées mutuellement en nous caressant, nous retournions toutes les deux finir la soirée au bar …



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