Histoire erotique : Alice et Jules 10

Pour des raisons professionnelles, je m'étais absenté de la maison. Après deux semaines d'absence, il me restait encore un bon mois à vivre en célibataire géographique, ce qui ne me plaisait pas outre mesure.
Un matin, alors que j'allais quitter ma chambre d'hôtel, on m'apporta un petit colis, déposé par la poste à la réception. De forme plate et carrée, il ne comportait aucune mention de l'expéditeur. Cette livraison de provenance inconnue attisa ma curiosité. Un peu fébrile, j'ouvris le paquet. Il contenait un DVD réinscriptible avec un bristol. Je saisis le petit carton et reconnu immédiatement l'écriture manuscrite de ma femme qui s'exprimait en ces termes :
« Mon petit amour, il y a une surprise pour toi sur ce DVD. En espérant que ça te plaira. Nous pourrons en reparler à ton retour. Je t'aime. Alice. »
Ce petit mot énigmatique m'interpella et je décidais de découvrir de suite le contenu du DVD. Au préalable, je retardais mon rendez-vous de l'après midi. Avec nervosité, je fis démarrer mon ordinateur posé sur une table basse et y insérais le DVD. Après un double clic rapide sur le volumineux fichier vidéo, le logiciel se lança. Je m'installais ensuite confortablement dans un fauteuil, prêt à visionner ma surprise.
La première image qui apparu montra un pièce que je ne connaissais pas. L'image était figée. Seule des bruits parasites étaient audibles. J'observais chaque détail de cette pièce. Il devait s'agir d'une chambre d'hôtel. Elle était vide d'occupant. En gros plan, et plein centre, il y avait un petit canapé ancien. Après quelques secondes, je distinguais des bruit de pas. Quelqu'un marchait avec des talons dans cette pièce. Tout à coup, venant de la gauche, ma femme apparu dans le champ de la caméra. Elle portait un manteau long, qui cachait tout son corps, et ses mules noires très sexy. Elle s'assit délicatement sur le canapé, face à l'objectif, me sourit et dit :
« Tu te demande bien ce qu'est ta surprise hein ? »
Elle marqua un temps d'arrêt, sûre que j'allais réfléchir après cette mise en scène.
Après un autre sourire, elle se leva, ouvrit son manteau, le retira et le jeta dans la pièce, hors du champs de la caméra. Elle était nue et portait uniquement des bas noirs fins.
Debout, face à l'objectif, elle dit alors :
« Surpris ? »
Et puis, après quelques secondes de silence, pour me laisser mieux mijoter, elle regarda sur les côtés et tendit ses mains. Et là, deux hommes apparurent, un de chaque côté. Ils étaient nus tous les deux. Deux mecs de belle taille, bien musclés ayant chacun une trentaine d'année. Il s'arrêtèrent près d'elle et restèrent immobiles, comme des statues. Ils étaient aux ordres. Alice sourit avec son air effronté, puis elle ajouta :
« Surprise ! Ça y est ! Surprise pour toi et plaisir pour moi ! Et peut-être aussi plaisir pour toi !»
Je restais interdit devant l'écran de mon ordinateur. Cette mini scène de théâtre me paraissait irréelle. Et pourtant, il n'y avait pas de doute. Alice s'était faite filmer avec deux mâles dans un lieu inconnu.
Alice se mit à genoux au pieds des deux hommes puis elle saisit leur sexe, un dans chaque main.
« Braguette ! » lança t-elle à la caméra. En fait, elle me demandait de l'ouvrir, mais rien de plus.
Alice savait y faire et elle planifiait en général tout. Elle masturba les deux queues et s'adressa à moi.
« Tu voies ces bites mon chéri ? Et bien je vais me les payer toutes les deux ! »
Elle se tut, les suça alternativement pendant quelques secondes et ajouta.
« Humm !... Elles sont bonnes ! S'ils sont sages, je les finirais dans ma bouche et tu seras aux premières loges ! Gros plan ! »
Elle se remit à les sucer goulûment et me dit entre deux pipes :
« branle-toi ! »
J'étais impressionné par la maîtrise de ma femme. Sans plus attendre, je sorti mon sexe et commençais à me masturber, solitaire sur mon fauteuil. Des questions m'assaillaient. Où et quand Alice avait fait ça ? Qui étaient ces types et comment les avait elle choisi ? Était-ce la première fois qu'elle faisait ça avec eux ?
À un moment donné, elle mit les deux glands dans sa bouche et les branla très vite en fixant la caméra. Comme pour faire croire qu'elle allait les faire jouir tout de suite et en même temps dans sa bouche.
C'était vraiment très excitant de la voir ainsi, avide de sexe. Je repensais à l'évolution récente de notre vie de couple. Alice avait totalement changé. Elle n'était plus du tout la même. Ça avait commencé par des exhibitions autour d'une piscine devant un voyeur, Mathis, qui se masturbait dans son grenier en la regardant. Puis, elle n'avait pas hésité à l'intégrer à notre vie sexuelle en le laissant jouir sur son visage et ses seins alors qu'elle mimait une fellation avec un sex-toy. L'accélération avait ensuite été fulgurante. Elle s'était découvert un appétit féroce pour le sexe, trop longtemps endigué par une culture qui bridait ses envies et la culpabilisait. La fois suivante, lors d'un dîner au restaurant, elle avait branlé Mathis avec ses pieds sous la table et le serveur l'avait vu. Trop contente, elle l'avait provoqué en commandant de la sauce blanche préparée à la main. Pas fou, le serveur s'était pris au jeu et il lui avait ramené son sperme dans une saucière. Alice ne s'était pas démontée. Elle avait goûté le foutre du serveur et Mathis avait joui entre ses pieds. Mais ceci n'était qu'un hors d’œuvre, car elle en voulait bien plus. Ce dîner au restaurant n'avait alors que pour but de préparer une soirée où elle pourrait s'envoyer plusieurs hommes en même temps. Et c'était Mathis qui avait été chargé du recrutement. Il avait trouvé cinq hommes. Cette nuit là, Alice s'était faite pénétrer par tous ses orifices, se faisant jouir sur le visage et buvant le contenu de deux préservatifs. Depuis, elle n'hésite plus à organiser des petits moments très particuliers, parfois même sans m'en avertir. J'en avais encore une belle illustration.
Mais ma réflexion fut vite interrompue.
Alice se releva en gardant les deux bites dans ses mains. Elle fit asseoir un des deux hommes sur le canapé, légèrement en diagonale, puis elle le chevaucha et s'empala sur lui au plus profond de son vagin. Dans cette position, elle me tournait en partie le dos. D'un geste du bras, elle amena l'autre queue au niveau de ses fesses. Je la vis alors tourner sa tête vers la caméra.
« Tu sais quoi mon chéri ? Et bien il va m'enculer très, très profond. Regarde ! »
Elle écarta les fesses. Le type posa son gland au contact de son anus, puis il la sodomisa lentement. Je vis le sexe s'enfoncer et disparaître en elle. Alice, qui restait le visage orienté vers l'objectif, ferma les yeux de plaisir. Elle les rouvrit à moitié.
« Baisez-moi ! » Leur dit-elle en me fixant.
Les deux hommes entrèrent en action. Ils la besognèrent puissamment. J'entendis ma femme pousser des gémissements de plaisir, les yeux mi clos. Elle en prenait plein les fesses pendant que moi je me masturbais en la regardant. Les deux inconnus commençaient à faiblir. Celui qui la sodomisait était presque au point de non retour. Alice s'en aperçu très vite. Elle le repoussa, se leva et lui fit signe de la suivre. Dans la foulée, elle vint mettre son visage à environ un mètre de la caméra.
« Regarde chéri ! Regarde tout ce bon foutre qui va me gicler dans la bouche ! » Me dit-elle en caressant lentement la queue de l'homme qui se trouvait devant elle. De cet inconnu, je ne voyais plus rien à par son sexe, son bas ventre et le haut des ses cuisses.
Alice amena le gland au contact de ses lèvres. Elle se mit un peu de côté et ouvrit la bouche. Là, elle le masturba à toute vitesse. L'homme capitula aussitôt. Il émit quelques gémissements, puis un cri bref. Une première giclée fusa directement dans la bouche d'Alice, les autres éclaboussèrent ses lèvres et ses joues et retombèrent sur son épaule et son dos.
« J'aime... J'aime le foutre ! » Dit-elle en étalant le sperme sur ses lèvres et ses joues avec le gland du type qui était devenu trop sensible.
Alice se tourna franchement vers l'objectif et se lécha les lèvres.
« J'en veux encore ! C'est trop bon ! » Dit-elle en faisant signe au deuxième homme d'approcher.
« Baise ma bouche ! Baise ma bouche fort ! » Lui demanda t-elle.
Alice mit les mains de l'inconnu sur sa nuque, puis elle s'empala le visage sur sa queue raide. La bite du mec s'enfonça au plus profond de sa gorge. Son nez venait buter sur la toison pubienne du second inconnu. Les mains puissantes de l'homme imprimèrent un mouvement de va et vient de plus en plus rapide à la tête d'Alice qui se laisser baiser la bouche comme s'il s'agissait d'un vagin. Le bassin du type fut animé d'un soubresaut, il trembla de la tête au pied, saisit à pleine main la chevelure de ma femme et lui jouit dans la bouche en s'y enfonçant. L'éjaculation de cet homme était impressionnante. Du sperme se mit à couler en longues coulées hors de la bouche d'Alice qui ne pouvait retenir ce flot de semence. Il lui en ressortit même par le nez. La jouissance de cet homme ne paraissait pas avoir de fin. Il se retira de la bouche d'Alice. Un vrai geyser ce type. Son sperme continuait à fuser et elle reçut les dernières giclées en plein visage. Elle était couverte de foutre. Ça lui coulait sous le menton et entre les seins en une rigole qui s'étendait jusqu'à son sexe trempé. Alice regarda la caméra. Elle saisit la queue encore raide et, tout en se caressant le visage avec le gland dégoulinant de sperme, elle me dit sur un ton implorant.
« J'ai adoré son foutre ! Humm... ! J'en veux encore ! »
Alice approcha son visage au plus près de l'objectif. Elle récupéra le sperme qu'elle avait sur le visage avec le gland du type et se le mit ensuite à la bouche pour l'avaler. Des filaments de foutre reliaient ses lèvres au gland de l'inconnu.
Cette vision m'acheva et je jouis immédiatement.
Sur l'écran de l'ordinateur, Alice continuait à s'étaler le sperme sur le visage et les seins, certaine que ces derniers gestes auraient raison de moi. Elle n'avait pas tort.
Alice fit signe à l'homme qui avait joui le premier d'approcher. Elle saisit sa queue et attira les deux glands vers ses lèvres maculées de sperme. Elle les lécha , les caressa, comme si elle voulait leur redonner une seconde vigueur.
Après que les deux sexes aient retrouvé une certaine rigidité, elle s'exprima de nouveau.
« Ça t'a plut ? Je suppose que pour toi, c'est terminé mon chéri. »
Elle continua à les masturber en regardant l'objectif. Ils étaient de nouveaux raides comme au début. Elle sourit.
« Parce que pour moi, ça ne fait que commencer.... ! »
J'entendis des bruits dans la pièce. Trois autres hommes apparurent derrière Alice, nus eux aussi. Elle me fit un signe de la main pour me dire au revoir, et se remit à sucer les deux bites avec délectation. Derrière elle, les trois autres inconnus se masturbaient en approchant leur sexe de sa tête.
La caméra trembla un peu. L'image devint subitement noire.

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