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Au campus

Ecrit par Jérôme
Parue le 02 octobre 2017
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Cette histoire érotique a été lue 2063 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Faute de place on nous avait mis deux par deux dans les chambres du campus et c'est comme ça que je me suis retrouvé avec Alexandre. Nous venions de passer le bac et nous continuions nos études dans la même fac Alexandre et moi. Je venais de Toulouse et lui de Paris pour finalement nous retrouver à Bordeaux.
Nous avons tout de suite sympathisé, chacun avait son bureau, son lit, son armoire et son lavabo. Les douches étaient au fond du couloir. Nous nous sommes mis d'accord pour laisser les volets ouverts ce qui fait que en pleine nuit les réverbères de la rue éclairaient notre chambre.
Alexandre était mignon,bien élevé, petit adolescent imberbe au visage de fille. Dès que je pouvais je le matais et j'avoue qu'il me faisait envie.
Une nuit je me suis réveillé et en jetant un regard vers mon voisin, je vis qu'il était étendu en slip sur le lit. Son sous-vêtement baillait et je voyais son petit sexe non circoncis déborder. Quelle vue magnifique !
Au bout d'une demie-heure d'observation, n'y tenant plus, je décidais de me lever et de ramper jusqu'à son lit. Il dormait profondément. Du bout des doigts je me saisis de la petite chose et du bout de ma langue j'ai commencé à lécher l'extrémité de son prépuce. Son sexe prit un peu de dimension et délicatement je le mis dans ma bouche et je fis rouler sous ma langue. Il dormait mais sa tige prit de la raideur et commençais à remplir ma bouche. Lentement je me mis à le pomper en y mettant beaucoup de salive. Sa tige raide glissait bien entre mes lèvres et je me régalais. Il se réveilla "mais...qu'est-ce que tu fais". Il ne repoussa pas, au contraire, il posa sa main sur ma tête. D'une main je le branlais alors que ma bouche l'aspirait, le léchait, le suçait...
J'entendis quelques gémissement et son bassin se mit à onduler. Son sexe tendu me remplissait la bouche et je malaxais ses boules dans ma main.
Les mouvements de son corps furent plus rapides et lâchant un petit cri il déversa tout son sperme dans le fond de ma gorge par petites saccades. J'avalais son jus avec gourmandise et pinçais les lèvres pour en absorber toutes les gouttes. J'arrêtais de pomper mais gardais son sexe dans ma bouche jusqu'à ce qu'il revienne à sa première dimension.
"Oh, que c'était bon, ce que tu m'as fait là" me dit-il. "Je n'ai jamais joui aussi fort". Je suis monté dans son lit pourtant étroit et je l'ai embrassé. Il a répondu à mes baisers. "Attends" me dit-il, je vais te sucer aussi". Il sortit du lit et enfourna ma tige déjà bien raide dans la bouche. Il se mit à me pomper avec avidité comme s'il avait toujours fait ça et rapidement je crachais tout mon jus dans sa bouche. À son tour il avala tout en y prenant du plaisir. Il revint s'étendre à côté de moi en se pelotonnant. Nous avons discuté le reste de la nuit. Au matin nos ardeurs étaient revenues et je pris l'initiative de lui lécher l'anus après l'avoir retenu. Son petit oeillet sous la pointe de ma langue s'ouvrit peu à peu. Quand je jugeais qu'il s'était suffisamment dilaté je posais mon gland sur son anus et j'appuyais lentement jusqu"à ce que mon gland franchit la bague. Je stoppais et peu à peu progressais pour m'enfoncer à fond. J'attendis qu'il prit possession de ma tige et je me mis à le limer. Il bombait les fesses vers moi pour se donner. Je m'enfonçais à fond et me retirais presque complètement pour replonger à nouveau. Puis ne pouvant plus me retenir je lâchais tout mon sperme dans son ventre.
Tous les soirs nous remettions ça en inventant toutes les positions. Le week-end nous rejoignions nos parents respectifs, ce qui nous permettaient de nous reposer.


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