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Ciné permanent

Ecrit par Jean-Michel
Parue le 11 janvier 2018
Il y a 5 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3079 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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C'était plus fort que moi, il fallait que j'aille dans un sex-shop pour voir des films avec d'autres keums. Mater des images avec des filles superbes et regarder des hommes qui se masturbent m'excite au plus haut niveau.
Je suis donc entré dans le magasin, j'ai fait un tour pour voir les dernières nouveautés en matière de lingeries et gadgets divers puis j'ai demandé à pénétrer dans la salle de projection commune pour visionner un film x. Il fallait écarter un léger rideau puis en avancer un peu pour se faire à la mi-obscurité. Un regard périphérique pour situer les différents spectateurs et trouver une place adéquate. 2 fauteuils double de chaque côté de l'entrée occupés par deux vieux qui se tripotaient le bas-ventre et sur les quatre rangées de banquettes deux étaient occupées avec chacune un homme de la quarantaine et un homme de la trentaine. Je pris place sur la dernière banquette ce qui me permettais de voir ce qui se passait devant et derrière. Les images étaient plus que subjectives puisque une très belle fille s'excitait sur une bite énorme en poussant des cris. Sur la baquette devant la mienne, un keum avait baissé son pantalon et son slip sur ses chevilles et se caressait lentement la hampe qui était de bonne dimension. Le gland bien décalotté luisait dans la clarté que procurait l'écran. La main lentement glissait de haut en bas sur ce pieu bien droit et faisait ressortir ce gland rond et tendu. Le masturbateur regardait les images sans se préoccuper des autres spectateurs. Je matais plus la main du branleur qui montait et descendait que l'écran.
Je décidais de faire pareille et lentement, discrètement je dégrafais mon jean' et faisais sauter le bouton de la ceinture. Ensuite avec précaution je descendais mon pantalon pour finalement me retrouver le bas du corps complètement nu. Je glissais mes fesses sur le bord du banc pour bien faire ressortir mes attributs et commençais à me branler doucement. C'était doublement excitant de me caresser devant d'autres qui se penchaient pour regarder et le film qui hurlait.
Très rapidement un jeune keum, près de vingt cinq ans vint s'asseoir au bout de la banquette, se déshabilla complètement et bandant se mit à se masturber très violemment en poussant des râles. Pis il se glissa vers moi et entreprit de me prendre d'autorité ma queue pour l'agiter. je posais mon bras sur le sien afin de faire ralentir la cadence et en tendant ma main je pris sa tige chaude. N'y tenant plus, je me penchais et engloutis son beau gland dans ma bouche. Que c'était bon ! Sa queue glissait entre mes lèvres et je pouvais maitriser toutes les nervures de de son sexe. Je tripotais les boules en même temps et jouais de la langue tout en aspirant légèrement. Au bout de cinq minutes je reçus plusieurs jets de sperme dans le fond de ma gorge que j'avalais avec gourmandise. Je ralentissais ma pompe et je pinçais les lèvres pour n'en perdre aucune goutte. Une fois bien vidé mon jeune s'est rhabillé puis est ressorti.
Un mec du même âge, à peu près avait vu la scène et assis à l'autre bout de la banquette se rapprocha de moi et se mit à me pomper. Trop excité par la première fellation, je bandais à en avoir mal. Je sortis de ma place et je retournais mon pompeur qui se mit à quatre pattes sur le bord de la banquette m'offrant son cul en offrande. Je mouillais mes doigts de salive en enduisit son œillet et présentais le bout de mon gland devant son trou. En forçant légèrement mon gland passa la bague anale et je pus enfoncer toute ma tige à fond dans son ventre. Le tenant par les hanches je le pilonnais et il hurlait de plaisir. Il y avait au moins cinq keums autour de nous qui s'étaient approchés et qui mataient la défonce. Au moment où j'allais juter, je me suis retiré et une bouche pris le relais et aspira tout mon sperme jusqu'à la dernière goutte. Tous les autres se sont mis à baiser dans tous les sens. Il y en avait dans les allées, sur les fauteuils, sur les banquettes : suçant, léchant, enculant en poussant de cris de bêtes en rut. Quand je suis sorti, j'étais épuisé, mais heureux !


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