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DOIGTEE DANS LE METRO

Ecrit par CHANTALOUETTE
Parue le 04 juin 2011
Il y a 9 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 64401 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13.4/20

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BONJOUIR

Ce matin,je me lève,Hervé dort encore,je fais ma gym,puis je me douche,je me prépare,je mets un porte jarretelles noir et mauve,culotte et soutien gorge pigeonnant assortis,bas nylon très fins et treminés en haut par un fin liseré bleu nuit.Je meregarde dans la glace,sur mes talons,je fais belle salope sexy.

Je mets une jupe plissée mi cuisses violette,elle s'envole au moindre souffle d'air,en haut,je choisis un chemisier mauve transparent,il laisse bien apparaitre mes beaux seins qui débordent du soutien gorge,je mets un gilet blanc que je peux laisser ouvert ou fermé,pour
montrer ou cacher mes tétons déjà tendus,je dois reconnaitre qu'il est souvent ouvert,on est exhib ou on ne l'est pas...Je monte sur mes talons aiguille de 10 cm,ils ont une fine bride à la cheville qui doublonne au pied droit avec un bracelet de cheville,dernier cadeau d'un amant,je le mets parfois..

Avant de partir,je vais dire au revoir à mon mari chéri,il dort encore,pourvu qu'il ne soit pas malade;je m'approche,il est endormi profondément,ma chatte est déçue,elle n'aura pas sa caresse matinale habituelle,je pose mes lèvres sur ses fesses,je l'appellerai dans la matinée...

Je rejoins le métro,un petit air frais passe entre mes cuisses et mes fesses,je tords mon petit cul de salope,je suis presque sure que tous les mecs que je croise se retournent pour me mater les jambes.Je commence à imbiber ma culotte.Le métro arrive,le wagon est bien plein,j'adore,peut être je vais me faire toucher un petit peu les fesses,"par inadvertance".Je me faufile et trouve une place adossée à une banquette,je commençais à désespérer de me faire tripoter,quand je l'ai vu..

Il est rentré dans la rame bien remplie,set débrouillé pour venir en face de moi.Sur mes talons,je ne suis pas petite,beaucoup d'hommes sont moins grands que moi,mais lui me dépasse de deux têtes,un grand noir,la bouille ronde,le crane rasé.En général,je n'aime pas trop les cranes rasés,mais cela lui va très bien ,je trouve.IL a un cou large et puissant,il dégage une grande sérénité.Je lève la tête pour le regarder,ses yeux sont d'une douceur enjoleuse,je fonds de désir,ma culotte prend les eaux.L'arrivée de nouveaux voyageurs le rapproche encore plus de moi,il m'enveloppe de sa stature,je me sens toute petite...

Son regard est plongé dans mon décolleté,je respire profondément pour gonfler encore un peu plus mes seins dèjà surdimensionnés,je profite d'un moment d'inattention de sa part,pour ouvrir discrètement un bouton de mon chemisier,mon gilet est grand ouvert et mes beaux seins ne demandent qu'à sortir de mon soutien gorge pour se faire caresser par les larges mains de mon mateur.

Un nouveau flux d'arrivants le fait venir contre moi à me frôler,ça ne me déplait pas,il ne quitte plus mon décolleté des yeux,s'approchant de mon oreille,il me murmure:
"Vous avez de très beaux seins"
Je suis scotchée,apparemment personne n'a entendu,ma culotte s'imbibe,mon minou est trempé,je balbutie un vague remerciement en faisant mes yeux de salope et mes lèvres gourmandes:
"Merci,c'est gentil"
Il regarde sans vergogne en me faisant un sourire carnassier qui met le feu à mon bas ventre,j'ai vraiment le buisson ardent.
Après quelques instants,il revient tout près de moi et d'une voix chaude me susurre:
"Vous sentez très bon et avec ce rouge à lèvres sur votre délicieuse bouche,vous devez faire de magnifiques galons de pompier!!"
Je ne comprends pas bien ce qu'il veut dire,sinon un rapport avec mes talents de suceuse,si l'on se trouvait ailleurs je serais dèjà à ses genoux en train de lui pomper le dard,je suis en nage,ma chatte a avalé le tissu de l'entrejambe de ma culotte,elle va sentir bon ce soir!!
Je suis subjuguée par ce regard posé sur ma fabuleuse poitrine(Et oui,je suis modeste),je me sens comme l'agneau de La Fontaine,je vais me faire croquer par le loup,celui là n'a pas l'air de me vouloir du mal,bien au contraire,son doux regard m'enivre,je ne sais plus comment me tenir.

Profitant de mon désarroi,il vient tout contre moi et passe sa main sous ma jupe,elle remonte doucement à la lisière de mes bas et caresse l'intérieur de mes cuisses,je fonds de plaisir,jamais on ne m'a prodigué une telle bonté dans un transport en commun,mes seins se
gonflent,j'ai les yeux mi clos,il passe sa main au dessus de mes bas,je vais défaillir,je tremble,mes jambes se dérobent,je fléchis mes cuisses,il prend ça pour une invitation à aller plus haut,et il ne se gène pas,je sens un doigt s'infiltrer sous ma culotte et prendre possession de mon petit minou en feu,il effectue quelques va et vient dans la fournaise,puis ressort pour agacer mon clitounet tendu comme une arbalète,il agite à toute vitesse son majeur sur mon bouton d'amour,je ne tiens plus,je me mords les poings pour ne pas crier,son doigt revient dans ma fente poisseuse,il touille un peu le bouillon infernal de mon vagin,je vais jouir,là dans le mètro,devant tout le monde,et vu les bruits émis lors de mes orgasmes,on va tirer le signal d'alarme,je vais finir au poste et l'on parlera de moi demain dans le journal...

je suis sur le point d'éclater,quand il décide de tout stopper,il retire son doigt,le porte à ses narines et a un grand sourire flatteur destiné à une belle salope qui se laisse doigter par le premier venu..

Mon désir redescend un peu,il était temps,mais je suis encore bien chaude,il me demande:
"On va chez moi,c'est à côté?"
En temps normal,je l'aurais suivi en courant,mais aujourd'hui,je dois ouvrir le bureau,je suis la seule à habiter en ville et j'ai cette responsabilité quand mon boss est absent,je n'aurais jamais du dire oui,je lui fait comprendre que ce n'est pas possible,à mon grand regret.Il sort une carte de visite de sa poche et ajoute:
"Appelle moi quand tu peux,je suis chez moi toute la journée"

Je prends sa carte,il sort du métro,me laissant seule la chatte en feu,j'ai tellement envie que j'essaie d'apprendre son numéro de téléphone par coeur au cas ou je perdrais sa carte.Un ou deux voisins me matent de travers,ils ont assisté à la scène,et voudraient bien profiter des restes,j'aimerais bien moi aussi,mais ma conscience professionnelle prend le dessus,je quitte le métro deux stations plus
loin.

Je prends l'escalator,je range sa carte dans une poche fermée avec une fermeture éclair,je m'en voudrais toute ma vie si je venais à la perdre,je la noterai sur mon calepin du bureau en arrivant.J'ai la chatte qui me démange,elle mange ma culotte,il y a deux mecs en dessous de moi qui matent mon cul,je m'en fous,je ne peux plus tenir,mon clito me fait trop souffrir,je passe ma main sous ma jupe et soulage ma fente en éruption en tirant sur le tissu couvrant mon minou,j'aurais préféré quitter ma culotte,je n'ai pas osé,ils se sont bien régalés en me voyant me soulager..

J'ouvre le bureau,mes collègues arrivent,je fonce aux toilettes,je quitte ma culotte,et essuie ma fente trempée,le désir ne me quitte pas pour autant.

Profitant de la pose café,j'appelle mon chéri,il va bien,je suis rassurée,je lui raconte mon aventure de ce matin,ça l'excite plutôt:
"Branle toi,mets toi un gode ou tes boules en attendant"
"Je me vois mal me branler au bureau,au moment de l'orgasme,l'immeuble serait évacué"
Je lui soumet l'énigme de galons de pompier,il capte tout de suite:
"Les pompiers ont sur leur épaule leur grade,ces galons sont des chevrons rouges comme laisserait des traces de rouge à lèvres d'une suceuse sur une belle queue,tu piges?"
"D'accord,si je le revois,il va être haut gradé,crois moi!!"
"je te fais confiance ma salope chérie,je t'aime"
Je lui indique l'adresse de Mouss,c'est le surnmo inscrit au stylo sur la carte,je lui donne l'adresse,c'est un beau quartier,pas trop loin de ma boite:
"Tu crois que je peux y aller?"
"Tu as envie vraiment?"
"Tu as une autre question stupide?"
"Alors suis ton instinct,tu veux que j'y alle avec toi?"
"Non c'est bon"

Ma décision est prise,à 16h 30,je ferme le bureau et je rejoins mon beau mâle black,je vais lui en donner du galon à sa queue,il va voir une vraie salope la chatte en feu.

J'appelle le numéro,je suis fébrile,une voix répond:
"Alors,à quelle heure on se voit,ma belle?J'ai aimé l'odeur de ta chatte,et j'ai envie de te sucer de partout,je bande déjà"
Je me rends compte que je ne lui ai pas touché la bite,pour évaluer le morceau,je m'inquiète:
"Elle mesure combien ta queue,mon beau mâle?"
"Surprise!!mais tu ne seras pas déçue,prépare ton petit cul de salope et tachatte,au fait,surtout ne te lave pas,tu sens si bon la femme chaude,j'adore,à tout à l'heure,belle cochonne!!"

La journée fut interminable,mais enfin 16h00 arriva,mes collègues sont parties bien plus tôt,quand le chat n'est pas là les souris dansent.

Je réajuste mes bas,ma culotte que j'ai remise à peine un peu calmée,il doit y avoir de ces odeurs là dessous,Mouss va se régaler.

Je ferme le bureau et en avant.

A SUIVRE

CARESSES BAISERS CHANTAL LA BAISEUSE




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