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Damien 02 - L'initiation

Ecrit par Moi_Damien
Parue le 06 octobre 2014
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 8194 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Le lendemain quand je m'éveillai vers 6 heures, la première chose que je fis fut de porter ma main à mon anus, il était un tout petit peu enflé mais plus du tout douloureux, content, je me levai, partis déjeuner et me doucher et à 7H 45, je m'en allai chercher Denis chez lui.
Il m'attendait devant sa porte, il monta à mes côtés, je démarrai, il me dit "Alors, comment va ton cul ?
- Bien, je te remercie. Où allons-nous ?
- A la plage, à la Paloma, ils ont un cabanon".
Nous roulâmes en silence pendant quelques kilomètres, quand Denis avisant un petit bois me dit "Rentres là dedans, j'ai envie de te sauter".
Je m'exécutai et arrêtai la voiture derrière les arbres à l'abri de tout regard, Denis mit les sièges en couchette et me dit "Baisses ton froc et fous-toi à quatre pattes".
Je pris la position, j'entendis le zip de la fermeture éclair de son jeans et sans aucune préparation, il me pénétra m'arrachant un cri de douleur, puis se mit à aller et venir à toute vitesse.
Le mal s'estompait à peine laissant place à une douce langueur quand il éjacula et se retira continuant à décharger sur mes cuisses, il referma sa braguette et me mettant une claque sue les fesses me dit "Ça y est, j'ai tiré ma crampe, reloques-toi et reprenons la route".
Je sortis de l'auto pour me rajuster, à ce moment je le détestais tant qu'avec un peu de courage, j'aurai pu le tuer.
Le voyage se termina sans un mot.
Quand nous arrivâmes devant un beau cabanon, je klaxonnai et trois jeunes hommes sortirent ils ne tinrent aucun compte de moi, dirent bonjour à Denis.
Ils s'éloignèrent tous les quatre et d'où j'étais j'entendais bien une discussion animée, sans pouvoir en comprendre les mots.
Au bout d'un moment, tout se calma et ils revinrent, l'un d'eux était un grand noir très athlétique, le deuxième était un grand et beau blond presque aussi athlétique que le premier alors que le troisième était un petit brun et avait un regard faux.
Denis me dit "Voici Abdelhak Claude et Freddy et voici Damien.
- C'est donc toi qui va nous tenir compagnie ce week-end me dit Abdelhak.
- Oui, et j'espère que tout se passera bien.
- Bien moi aussi dit-il avec un grand rire. Dis-moi Denis sait-il pourquoi il est ici ?
- Oui, bien sur je le lui ai dit.
- Bien donc comme ça pas de problème.
- Aucun ne t'inquiètes pas, en plus c'est une bonne femelle qui fait tout ce qu'on lui demande.
- Eh bien, c'est parfait, je souhaite que ce que tu dis sois vrai car sinon le pauvre.
- Tu verras, plus tu le défonces, plus il en veut.
- Eh bien, ça tombe bien car on a les couilles pleines.
- J'espère qu'elles seront vides Dimanche dis-je.
- Voilà qui est parlé répondit Claude.
- Bon moi je vous laisse dit Denis, je passerai le rechercher Dimanche soir.
- On te le rendra, je ne sais pas comment mais on te le rendra.
- Je vous connais, vous n'êtes pas des sadiques, à part lui démolir le cul, je ne vois pas ce que vous pouvez lui faire d'autre et ça c'est normal.
- Eh bien, je vois qu'on s'est compris, allez salut et bon week-end.
- C'est à vous qu'il faut le souhaiter veinards, salut".
Il prit ma voiture et partit, Abdelhak me dit "Viens entrons".
Quand je passai devant Freddy, il me caressa les fesses en me disant "Tu vas avoir l'oignon en chou-fleur".
Nous nous assîmes autour de la table où Claude déposa quatre bières puis s'assit à côté de moi.
Pendant que nous buvions, il prit ma main et la glissa dans son maillot où mes doigts rencontrèrent un sexe à demi-érigé, il était énorme et je poussai un cri de surprise.
Abdelhak rigola et me dit "C'est vrai, tu es tout neuf, tu n'as as jamais connu de vraies bites à part le vermicelle de ce con de Denis.
- Et encore dit Claude, ce n'est pas moi qui ai la plus grosse quand tu vas voir le gourdin d'Abdelhak".
Pendant ce temps sous l'effet de mes caresses, le phallus était complètement sorti du short et son gland vermillon pointait vers moi.
"Maintenant que tu l'as réveillé, tu pourrais le sucer dit Claude.
- Non répondit Abdelhak, ce n'est pas ce que nous avions convenus, je devais le prendre en premier toute la mâtinée.
- C'est vrai, excuse-moi, mais je t'avoue j'avais oublié.
- Pas grave, allez toi me dit Abdelhak, allons dans la chambre.
- Avec plaisir répondis-je".
Nous entrâmes dans la pièce, Abdelhak ferma à clef et s'asseyant sur le lit me dit "déshabilles-toi, que je te vois, fais-moi un strip en me montrant toujours ton cul".
J'obéis, et quand une fois nu, je me retournai, Abdelhak avait le souffle court et son énorme bite était à moitié sortie de son slip.
Voyant mon regard, il me dit en ôtant son slip "Voilà une vraie bite, c'est quand même autre chose que l'espèce de vermicelle de ton con de Denis, qu'un jour d'ailleurs il faudra que j'encule pour lui montrer ce que c'est, mais ça c'est autre chose, entre nous c'est vrai que tu as un cul de rêve, mais comme tu es sympa et que je sais que tu es forcé de faire ce que tu fais par ce salaud, je vais te dire laisses tomber, tu ne pourras pas prendre mon zob, il est trop gros, même certaines femmes ne peuvent, je n'ai pas envie de te déchirer le cul, alors comme je suis excité, suces-moi et va t'en en, oublie l'autre connard.
- Non Abdelhak, il n'y a pas que ça, j'ai envie que tu me baises et si tu me laisses faire, je suis sur de prendre ta bite toute entière dans mon cul, je suis déjà en feu rien que de l'avoir vue, je la veux en moi, je veux qu'elle me défonce et qu'elle crache tout son lait en moi.
- Bon d'accord, je t'aurai prévenu, maintenant après tous ce que tu viens de dire, je n'aurai plus de pitié, ou tu te la rentres ou je te la mets quitte à te déchirer le cul jusqu'à temps que je t'enfile.
- Je te demande seulement de me laisser faire, mets-toi sur le dos, je m'en charge.
- Quand même, prends dans l'armoire le tube bleu, c'est du lubrifiant intime, et viens ici que je t'ouvre avec mes doigts et que je te badigeonne la raie.
- D'accord, mais crois-moi, ce n'est pas pour Denis que je le fais, mais pour moi, par contre si un jour tu l'encules, préviens moi, j'aimerais être là.
- Ça tu peux y compter, surtout si tu me donnes de plaisir, je le ferai quand il viendra Dimanche soir, ça lui donnera une bonne leçon et maintenant viens car j'ai envie de te baiser".
Je m'approchai du lit, Abdelhak força ma rosette d'un doigt ce qui me fit frémir, après l'avoir fait coulisser dans mon étroit tunnel, un autre doigt rejoignit le premier, puis un troisième, au bout de quelques instants de ce traitement, je gémissais, Abdelhak avait mis quatre doigts dans mon fondement et les faisait aller et venir lentement, mon sphincter était complètement ouvert, j'avais le cul en feu, il me fallait une bite, non sa bite, je la voulais, je savais qu'elle seule saurait éteindre le brasier qui couvait en moi, à mes ondulations de bassin, Abdelhak comprit que j'étais prêt pour les choses sérieuses, il m'enduis le trou de lubrifiant ainsi que le bout de son pénis, puis s'allongea sur le dos et ferma les yeux.
Je montai sur lui et m'assis à califourchon sur son ventre, puis je descendis jusqu'à ce que son gland énorme entre en contact avec mes fesses, passant une main entre nos deux corps, je positionnai le monstrueux vit contre mon œillet, bien que je fus très ouvert, son bout durci buta contre ma corolle, me redressant j'entrepris de peser dessus, millimètre par millimètre, la tête de ce formidable priape pénétrait en moi, m'arrachant à chaque fois des petits cris de douleur, au bout d'un temps qui me parut une éternité, le gland fut entré, j'avais les larmes aux yeux tant j'avais mal, je m'immobilisai puis prenant mon courage à deux mains, je descendis entièrement sur la verge turgescente, quand je sentis les poils follets du pubis d'Abdelhak contre mes fesses, je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais l'impression que mes fesses allaient de séparer tant cette magnifique queue m'écartelait, j'étais rempli par cette chose chaude qui palpitait au fond de mes entrailles.
Après être resté sans bouger un bon moment, je commençai à monter et descendre lentement sur cette hampe érigée, ce qui m'arrachait à chaque mouvement des cris de douleur, j'avais l'impression que ça me déchirait le cul, puis peu à peu, la brûlure s'estompa, je sentis mon anneau se détendre complètement et une chaleur partant de mon bas-ventre remonter vers mon visage par vagues, je commençai à râler, le plaisir prenait possession de mon corps et je me mis à onduler de plus en plus vite sur la biroute qui me forait les reins.
C'est à ce moment qu'Abdelhak posa ses mains sur moi et d'un coup de reins se retourna, je me retrouvai sous lui, je nouai mes jambes dans son dos et lui embrassai le visage.
Prenant appui sur les coudes, il se mit à me besogner à une vitesse folle en de larges coups de boutoir, qui chaque fois que le sexe s'enfonçait au plus profond de moi, me faisait ronronner de bonheur.
Sa pine entrait en moi jusqu'à la garde pour ressortir presque entièrement la seconde suivante, je me sentis partir, j'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière et tout à mon plaisir, je ne vivais plus que pour et par cette bite qui me limait si bien.
Abdelhak me chevauchait avec une régularité de métronome, la tête lovée dans le creux de mon épaule, j'avais atteint le point de non-retour, ce phallus me rendait fou et je me mis à délirer.
"Aaaaaaaahh aaaaaaaahhh oooooooooooooohhhhh ouuiii ahhhhhhhhhhhhhhhhh
noonnn ooooooooooohhh aaahh c'eessstttt ahhh boonnn ahhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaahhhhh oouuuiiii aaaaaaaaaaaahhhhhhh plluuussss ahhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaahhhh foorrrtttt aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooohhhhh ooouuuuiiiii aaaaaaaaaaaaaahhhh ahhhhhhhhhhhhhh
enncccoooorrrrreeeeee aaaaaaaaaahhhhh plluuussss viittteeee ohhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh ooooouuuuuuiiiiiii aaaaahhhhh aaahhhhhhhhhh
oooooouuuuuuuiiiiiiii aaaaahhhhh tuu mee tuueeessss aaaaahhhhhhhhh
taahhh quueeeuuuueeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
ttaaahhhh qquuueeeeuuuuueeeeee mmeee aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh
ttuuueeeesssss aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh aaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
oooooooohhhh cc'eeessssttttt bbooonnnn aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh
ooooouuuuuuiiiiiii taapppeeeesssss ooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
oooouuuuuiiiiii ttaaappppeeeeessssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
tttaaaapppppeeeeeesssssss aaaaaahhhhhh ppllluuuusssss aahhhhhhhhhh
fffoooorrrrrtttttt aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh çççaaaahhhhhhhhhh ohhhhh
fffaaaaiiiiitttttt ahhh mmmaaaalllll aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh
mmmaaaaiiiiissssss aaaaahhhhh jj'aaaiiiimmmmmeeeeee ooooohhhhhhhhh
ççaaahhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh aaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
jee joouuuiiiisssss aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh oouuuiiii jjeee ohhhhh
jjooouuuuiiiiissssss ohhhh aaaaaaaaaaaahhhhhhhhh aaaaaahhhhhhhhhhh
jjjeeee jjjoooouuuuuiiiiiisssssss oooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhh
oooooouuuuuuuiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooouuuuuuuuiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh
oooooooooooooooooohhhhhh mmooonnnn ccuuullll aaaaaaahhhhhhhhhhhhhh
mmmoooonnnnn cccuuuulllll aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh vviiieeeennnnnssssss ahhhhh
oooooooooooooooohhhhhh oouuuiiii oooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhh
vvviiiieeeeennnnnnsssssss ahhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh
vvvviiiiieeeeeennnnnnnssssssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Un orgasme foudroyant me balaya, mon corps s'arqua, je hurlai mon plaisir et je retombai lourdement sur la couche, Abdelhak me possédait toujours à une vitesse folle, m'assenant des coups de boutoirs violents, j'avais atteint la plénitude rectale, de ma bouche ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh" continu, je n'étais plus que jouissance je ne fus pas long à atteindre de nouveau le septième ciel, je recommençai à délirer "aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh ahhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
oooouuuuuiiiiii aaaaahhhhh ppppllllluuuuuusssssss ahhhhhhhhhhhhhhh
ffffooooorrrrrrttttttt aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh mmmoooonnnnn ahhhhh
cccuuuulllll aaaaaahhhhhh eeessssttttt eeennnn fffeeeeuuuuu ohhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhh ggiiiccccllllleeeeee oooooohhhhhhhhhhh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
ggggiiiiiccccccllllllleeeeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh viieeennnnsssss oooooooooohhhhhhhhhhhh
oooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
dééfffoooonnnnncccccceeeeeee –mmmmmmmmoooooooooiiiiiiiiii ahhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh lee cuulll aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
ooooohhhhhhhhhhhhhhhhhh oooooouuuuuuuiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
cccaaaassssssssssseeeeeee-mmmmmmmmoooooooooiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhh
llleeee tttrrrrooooouuuuuu aaaaaaaaaaaaahhhhhh ohhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooouuuuiiiii llliiiimmmmmeeeeee-mmmmmmmooooooooiiiiiiiii ahhhhhhhh
ahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
bbbaaaaiiiiisssssseeeeeeessssssss ohhhhh mmmooooiiiii ahhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
cccoooommmmmmmmmmmeeeeeee aaaaahhhhhh uuunnnneeeee oooooohhhhhhhhh
gggrrrrooooossssssssssssseeeeeeee aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
sssaaaallllloooooopppppppeeeeeeee qqquuuueeeee aaaaaahhhhhhhhhhhhh
jjjeeee sssuuuuiiiiissssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh
ooooohhh jjjeeee sssuuuuiiiiissssss ooooooooooooooooooooohhhhhhhhh
tttaaaahhhhh pppuuuuttttteeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
eeennnnfffffoooooonnnnnnncccccccceeeeeeeee-tttooooiiiii ahhhhhhhhh
ppplllluuuuussssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
dddéééémmmmmoooooollllllliiiiiiiissssssss-mmmooooiiiii ahhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
lllaaaa rrraaaaiiiiieeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh
jjjeeee jjjoooouuuuuiiiiiisssssss aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
ahhhh jjjjeeeee jjjjooooouuuuuuiiiiiiissssssss ahhhhhhhhhhhhhhhhhh
jjjjjeeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
jjjjjoooooouuuuuuuiiiiiiiisssssssss ooooouuuuuuiiiiiii ahhhhhhhhhh
jjjjjjeeeeeee jjjjjjooooooouuuuuuuuiiiiiiiiissssssssss ahhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhh viieeennnnsssss ahhhhh
ahhhhhhhh vviiieeeennnnnssssss ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
vvviiiieeeeennnnnnsssssss aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
vvvviiiiieeeeeennnnnnnssssssss ahhh oooooooooooooooooooohhhhhhhhhh
ahhh vvvvviiiiiieeeeeeennnnnnnnsssssssss ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon ventre, Abdelhak éjacula en feulant, sa formidable giclée de foutre inonda mes parois surchauffées, cela me déclencha un spasme foudroyant, mon corps s'arqua sous mon amant et je tendis mes fesses vers lui pour accentuer la pénétration, un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, mes jambes battirent l'air et je retombai lourdement sur le lit, cuisses écartées, yeux clos, l'anus comblé, savourant le merveilleux moment que je venais de vivre.
Quand je rouvris les yeux, Abdelhak étendu près de moi me caressait le ventre, je lui souris et il me demanda "Es-tu toujours comme ça ?
- Que veux-tu dire ?
- Tu n'es pas le premier mec que je baise, mais jamais je n'avais entendu un pédé jouir comme toi, on dirait qu'on est en train de faire l'amour avec une femme, tu es aussi le premier mec que je ne vois pas bander quand il se fait enculer.
- C'est vrai, c'est pour cela que tout à l'heure, je t'ai dit que je voulais que tu me baises, je suis fait comme un homme mais en fait je réagis comme une femme pendant l'amour, quel dommage qu'à la place de ma bite, je n'ai pas une chatte.
- Oui, mais ne t'inquiètes pas, ton cul est fantastique, pour ce qui est d'une chatte, les opérations ça existe tu sais.
- Je le sais, il faudra que je réfléchisse, car ça ne me sers à rien de garder ce sexe qui ne me sert qu'à pisser.
- Enfin, je peux te dire que c'est génial de niquer avec toi.
- Ta bite y est aussi pour quelque chose, se faire ramoner par un engin pareil, ce n'est pas rien, mais que ça été dur de la faire rentrer, ça en valait la peine, car quel pied j'ai pris après m'être habitué à ton calibre".
Pendant cette discussion, le phallus s'était redressé, je posai ma tête sur le ventre d'Abdelhak et commençai à lui donner des petits coups de langue sur le gland.
Aussitôt, le pénis grossit pour reprendre ses dimensions phénoménales, mon amant posa sa main sur ma nuque et me força à engloutir son superbe sexe, j'eus du mal à le pendre en bouche mais j'y arrivai et me mis à le sucer lentement titillant le frein du bout de ma langue, mon homme glissa un de ses doigts dans ma grotte béante.
Cet attouchement m'électrisa et je me mis à pomper l'objet de ma dévotion avec plus d'ardeur tandis qu'une douce chaleur m'envahissait les reins. Abdelhak ne résista pas longtemps au traitement que je lui affligeai, plaquant ma tête contre son pubis, il explosa en râlant, il m'envoya sa puissante liqueur au fond de la gorge et je l'avalai avec délice.
Après que j'eus bien nettoyé son pénis de ma langue, Abdelhak me dit "Tu suces comme une déesse, ta bouche est presque aussi bonne que ton cul, je crois qu'on va passer un bon moment ensemble, enfin j'espère car tu en as peut-être assez.
- Mais pas du tout, j'ai encore très envie que tu me ramones le cul avec ta superbe queue, je veux que tu m'en mettes plein le trou.
- Dans ce cas tu vas être servi, mets à genoux, les fesses tendues et fais reposer ta tête sur le lit".
Je me mis en position et Abdelhak s'agenouilla derrière moi, guidant son membre face à mon tunnel béant, il me pénétra d'un violent coup de reins qui me fit gémir, et me prenant aux hanches me fit coulisser sur son énorme pine dressée.
Au bout de quelques instants, je sentis le plaisir reprendre possession de mon être, et fermant les yeux, je me laissai aller, tout à mon bonheur de sentir la merveilleuse bite d'ébène me fouiller les entrailles. Le phallus sortait entièrement de moi très lentement et replongeait vivement au fond de mon cul en feu, je commençai à gémir sous les coups de boutoir répétés.
Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu'il y demeure éternellement, tant ça me faisait du bien.
Electrisé par le plaisir que me donnait cette hampe de chair qui me pilonnait l'anus, je me mis à exciter mon amant "ohh c'est bon ahhh ouuiii tahh queue est bonne, vas-y plus aahh fort, défonce-moi la chatte ohh ouuiii".
Mon mec continuai à me posséder avec une régularité de métronome, les bruits de succion que faisait son pénis en moi, lubrifié par les bonnes giclées de foutre précédentes, me portaient au paroxysme de la jouissance, je râlai tout en me cambrant pour m'offrir encore plus à ce pal qui me forait, j'avais totalement perdu le sens des réalités, seul pour moi comptait cette queue qui me bourrait comme jamais on me l'avait fait, je me sentis partir et je me mis à hurler le plaisir que cette verge dure me donnait "aaaaaaaaaaaahhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhh
ouuiii ooooooooooohhhhh noonnn ahhhhh c'eessstttt boonnn ahhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaahhhhh oouuuiiii ahhhhhhh enncccoooorrrrreeeeee ahhhhh
aaaaaaaaaaahhhhhhh plluuussss foorrrtttt ooooooooohhhhhhhhhhhhhhhh
ooouuuuiiiii ahhhhhhhhhh plluuussss ahhhhhhhhhhh viittteeee ohhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh oooouuuuuiiiiii aaaahhhhhhhhhhhhhh
taapppeeee aaaaahhhhhhhh ttaaappppeeeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ppllluuuusssss ahhhhhhhhh ffooorrrrttttt aaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
ççaaahhhh ffaaaiiiittttt mmaaallll aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh
mmaaaiiiisssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
jj'aaaiiiimmmmmeeeeee ççaaahhhh ooooohhhhhh oooouuuuuiiiiii ohhhhh
ahhhhhhhhh mmooonnnn ccuuullll aaaaaaaaaahhhhh mmmoooonnnnn ahhhhh
cccuuuulllll ahhhhhhhhhhhhhhhh oooooouuuuuuuiiiiiiii ohhhhhhhhhhhh
mmmmooooonnnnnn ccccuuuuullllll ahhhhh aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
ttuuu mmeee aaaaaaahhhhhhh ttuuueeeesssss aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
ttaaahhhh bbiiitttteeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaahhh ooooooooohhhhhhhhhh
oooouuuuuiiiiii aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ddéééffffooooonnnnnnccccccceeeeeeee-mmoooiiii aaaaahhhhhhhhhhhhhhh
llaaahhhh rraaaiiiieeeee aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ahhhhh bbaaaiiiissssseeeeeesssssss-mmoooiiii aaaaaaaaahhhhhhhhhhhh
ccooommmmmmmmmeeeeee uunnneeee oooooooooooooooooooooooohhhhhhhhhhh
ahhh ggrrroooossssssssssseeeeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhh
ssaaalllloooooppppppeeeeeee qquuueeee jjeee ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ssuuuiiiisssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooouuuuuuuuiiiiiiiii jjeee ssuuuiiiisssss aaaaaaaaaahhhhhhhhhh
ttaaahhhh ppuuutttteeeee aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ccaaassssssssseeeeee-mmmmmmmooooooooiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh
lleee ccuuullll ahhhhhhhhhhhhhhh oooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh
lliiimmmmeeeee oooooohhh oooouuuuuiiiiii llliiiimmmmmeeeeee ohhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh jjeee vveeeuuuuxxxxx ahhhhhh
ttaaahhhh jjuuutttteeeee ddaaannnnsssss aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh
mmooonnnn ttrrroooouuuuu aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhh
ooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh
oooooooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
oooooooohhhhhhhh ooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii ohhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhh jjeee jjooouuuuiiiiissssss ahhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh oooooouuuuuuuiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhh
jjjeeee jjjoooouuuuuiiiiiisssssss aaaaaaahhaahhhh jjjjeeeee ohhhhh
jjjjooooouuuuuuiiiiiiissssssss aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
ooooouuuuuuiiiiiii viieeennnnsssss aaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
vviiieeeennnnnssssss aaaaaahhhhhh vvviiiieeeeennnnnnsssssss ahhhhh
aaahhhhhhhhhh vvvviiiiieeeeeennnnnnnssssssss aaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
vvvvviiiiiieeeeeeennnnnnnnsssssssss aaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii ohhhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaahhh aaaaaaaaaaaaaaaaahhhh aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh
ggggiiiiiccccccllllllleeeeeeee ooooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhh
ooooouuuuuuiiiiiii aaaaaaaaaaaaaahhhhhhh aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaahh aaaaaaaaaaaaaaaaaahhh aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh
aaaaaaaaahh aaaaaaaaahhh aaaaaaaaahhhh aaaaaaaahhhhh ahhhhhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
ooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii ahhhhhhhhhhhhhhhh
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh".
Quand Abdelhak déchargea en moi en feulant, m'inondant se sa semence abondante, un intense orgasme déferla sur moi, j'hurlai de jouissance et tombai dans une semi-inconscience, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir sexuel.
Nous fîmes l'amour pendant 1h 30, temps pendant lequel je subis quatre enculades et quand Abdelhak m'abandonna, j'étais rempli de liqueur séminale de la tête aux pieds, j'étais épuisé mais j'avais l'anus comblé et je sombrai dans un profond sommeil réparateur.


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