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Dégustation moule(s) à gogo(s)....

Ecrit par Blackaraignée
Parue le 21 novembre 2018
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 1512 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14.75/20

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Arrivée en douce à 35 ans en Suisse, il y a 10 ans, du Sénégal, un «mariage blanc» (sans mauvais jeu de mots), situation régularisée. Cours Croix-Rouge, aide-soignante, profession recherchée ici, en raison de la pénurie d'autochtones. Spécialisation en gériatrie. Je suis costaude (1.85), baraquée, imposante, voire autoritaire (je sais ce que je veux) une impressionnante poitrine, une sacrée croupe, dont je sais jouer à merveille. Un physique résistant = un plus pour ce boulot. Affectée en service hospitalier, je mène mes tâches tambour battant. On me colle beaucoup de gardes de nuit. Divorcée, sans enfants, je me tape les we, les jours fériés, les nuits etc. J'ai un patient septuagénaire, gentil, un peu vicelard, qui me reluque. Son dossier me révèle un retraité aisé, veuf. Je suis en slip sous ma blouse, parfois sans soutien-gorges. Quand je m'active dans sa chambre, il me mate à fond, en me causant. Je favorise par mes postures, faussement affairée et joviale, ses inquisitions visuelles. Quand je retape son lit, vue plongeante sur mes gros seins. Je ne ferme pas les 2 derniers boutons du bas de ma blouse, vue plongeante sur mes cuisses musclées et ... un peu plus haut. Il questionne, maladroit, troublé: «Je viens d'où? Mariée? Non? Jolie fille comme vous êtes!». Je le vois venir, mon Coco, avec ses gros sabots. Je lui dis que je travaille comme une «négresse» pour un salaire de misère, lui joue la case de l'oncle Tom, version fémina. J'insiste exprès sur ce point, mais toujours gaie et...ouverte. Après minuit, ça devient calme, une sonnette de ci, de là. A 2 heures, une rouge s'allume. C'est mon Coco! J'arrive, il s'excuse humblement du dérangement. Je réponds, fausse-derche: «Pour vous, toujours là, c'est mon boulot. Et puis vous, vous êtes gentil. Pas le cas de certains autres». Il me fait le coup du vieil angoissé nocturne insomniaque qui a besoin de causer un peu. Je veux bien? Il tapote sur le bord du lit, me quémande de m'y asseoir. Il envoie les violons, la larme à l’œil, s'apitoie sur son sort. Mine de rien, il pose sa vieille main parcheminée sur mon genou, le laisse faire, les écarte un peu. Il est content. Le grand air du vieil homme seul, abandonné. Jamais de femme. Ça lui manque tant. «Mon pauvre Monsieur», je compatis, faux-cul, compatissante. Il s'enhardit, genre «à vous, je peux bien le dire, c'est le contact qui me manque, pour être vieux on n'en est pas moins homme». Ses doigts vicelards montent d'un cran. Fine mouche, je lui dis «qu'il me fait de la peine, que je l'aime bien, que si je peux faire quelque chose pour lui, ça sera de bon cœur». Bingo! Il me demande, gêné, de le laisser un peu regarder et toucher la marchandise sous la blouse. Je la joue pudique -mais pas vierge effarouchée, toutefois!- que «bon, pour lui, mais rien que pour lui, OK, si ça peut le réconforter». Je vais fermer la porte, j'ai la clef que les patients n'ont pas. Je déboutonne la blouse. Ses yeux exorbités et concupiscents deviennent ceux du loup qui bave dans le célèbre dessin animé. Il avance la main tremblotante, tâte mes seins volumineux, les malaxe, palpe mes cuisses, que j'ouvre large. Il devient fou, me supplie de lui montrer la chatte. J'enlève ma culotte. Il l'explore avec ses doigts tout farfouilleurs. Il ne sait plus où les mettre pour m'explorer. Je glisse une main sous le drap, découvre une triste petite bite qui bande un peu mou. Je lui dis que pour bien faire, il faudrait que «je le soulage». J'use du conditionnel exprès. Pas pour rien que l' ancien Président du Sénégal, L.S. Senghor, était un agrégé de français. Il en a généreusement favorisé l'enseignement à son peuple et descendants. «Oh oui, oh oui»! Toujours sa bite dans la main, pour ne pas relâcher la pression, je lui demande de prévoir un gentil petit dédommagement pour l'heure que je lui consacre, au détriment des autres patients. Fébrile, il m'envoie chercher son portefeuille dans l'armoire, rangé sur l'étagère. Je m'exécute et reprends tout de suite «l'affaire en main». La pression... Il plie un billet de Frs-100 CH et le glisse dans la poche de ma blouse. J'en ai entrevus beaucoup d'autres. Pour le conforter dans son geste, je lui présent ma très grosse chatte bien velue sous le nez, en en écartant les larges lèvres. «Ça te plaît? Je te gâte pour ton petit cadeau»! Je sens son nez s'y insinuer et la sentir goulûment, sa langue vicieuse la lécher fébrilement. «Je vais te branler, maintenant»! Ma main s'active. Il gicle de suite une pauvre larme blanche. ILe souffle court et geint. Basta! Je l'essuie, me réajuste, retape son lit. Mon «beeper» sonne à pic! «Vous reviendrez? On le refera, hein»? Implore-t-il. «Quand tu veux, comme tu veux mon Chou», je lance en rigolant et en partant! (In peto, je songe: au «tarif syndical», mon Coco). A noter qu'il me dit toujours «vous» et moi, désormais, je le tutoie. Il sort dans 5 jours, on a le temps.
5 nuits, même manège. Il est plus vaillant, il se lève. Dernier soir. Il se met à genoux sur un coussin, moi sur le dos, en travers du lit, à la hauteur de son nez et de sa langue, croupe relevée et écartée. Moule bien offerte. Le vieux vicieux saisit mes fesses entre ses mains décharnées et lèche ma large chatte et l'anus en salivant. Sur le dos, jambes bien écartées, je le laisse encore la lécher, y introduire ses doigts fureteurs et inquisiteurs. Je mouille malgré moi, je jouis fort. Il découvre mon gros clitoris, aux dimensions d'une jolie petite bite. Fasciné, il le titille, le suce. «Quel trésor!», il dit. Je le finis par une vigoureuse branlette.
Une fois rentré chez lui, il n'a pas tardé à me téléphoner pour m'inviter, un samedi soir que je suis libre, pour le w-e. Jolie ferme aménagée un peu isolée, commune résidentielle, un très grand terrain.
J'ai pris mon «baise-en-ville». Je l'impressionne, bien plus grande que lui. J'ai mis une jupe courte, une blouse que mes seins tendent un max. Ses yeux sont sur roulements à billes. Il a fait préparer un buffet froid. Sur la table, une enveloppe à mon nom. J'y distingue 2 billets de Frs-100 CH. Il frétille, ouvre une bouteille de vin. Assis sur canapé, on trinque. Il me pose déjà la main sur la cuisse, enjoué, bavard. Je lui dis que je vais me changer, me mettre à l'aise. J' endosse un large boubou du pays, nue dessous. Je reviens, c'est sa 1ère question, comment je suis dessous. «J'ai rien, mais attends un peu». On boit. Il n'en peut plus. Il maintient sa main haut sous le boubou, cherche la chatte. «On va à la chambre!». Je m'allonge nue sur le lit, cuisses bien écartées. Il m'y rejoint, fébrile, nu aussi. Ses mains agitées et sa langue chercheuse sont multidirectionnelles, Il me pelote partout, va vite à ma large chatte, velue, généreusement fendue et offerte. Il y enfouit le nez, la hume, la bouffe, suce le clito, les mains accrochées à mes gros seins qu'il pétrit. Je mouille beaucoup, il redouble les léchouilles, comme un chien vicieux baveur. Je jouis fort, orgasmes perlés. Puis, «Mets-toi sur moi!». Je saisis la petite bite, la serre à la base pour comprimer le sang en haut, bandaison limite et l'introduis dans ma large cavité, vite engloutie. Quelques va-et-vient nerveux, je la maintiens dedans en la branlant, un spasme, Je ne l'ai pas plus sentie qu'un escargot (sans la coquille). «Tu es un chef», je le flatte. Puis, on a bien mangé, bien bu, il est euphorique, un peu saoul, Je le couche. Ouf!
Tout le dimanche, il m'a gâtée, aux petits soins. Je réalise qu'il me mange dans la main, fait tout ce que je veux, se soumet à moi. Ma chatte le fascine. Plus que de baiser, il y consacre à une vénération sans bornes.
Pendant quelques mois, je suis beaucoup venue chez lui. J'ai ainsi largement alimenté mon «ordinaire» de ses généreuses enveloppes. Je ne le lâche plus. Perfusions liquides, ça ne le change pas de l'hôpital...
Une fois, un peu gêné, il m'a demandé si j'accepterais de m'occuper 1 heure ou 2 de son plus vieil ami, son confident, à qui il a tant parlé de moi. «Pour toi, oui. Mais où? Ici, je vous laisserai seuls les 2». Au «tarif syndical», bien sur. Voilà que Papi fait dans le proxo hôtelier!
Au jour et heure, son ami sonne. Même âge, même profil. Moi, nue sous boubou. Présentations, puis un «Bon, je vous laisse», faussement dégagé. On boit un verre sur le canapé. Il me déshabille du regard. J'ai relevé exprès assez haut le boubou, bien échancré sur mes gros seins, en m'asseyant, me tiens jambes écartées, provoc. Il attaque. Main sur genou, cuisse. J'écarte encore Vas-y mon Coco. Il pelote ma poitrine, fourrage vers la chatte. «Viens dans la chambre!». A poil. Lui, il bande dur. Je ne sens que des mains compulsives et une langue chercheuse. Pendant les furieuses explorations, je le branle.
Je soupçonne mon Papi d'être revenu en douce pour mater. J'ai entendu un petit bruit. L'autre me baise vigoureusement et envoie la soudure. Basta! En partant, il dépose discrètement l'enveloppe sur la table. Frs-200 CH! Il me remercie avec effusions. Mon Papi feint un retour «officiel» 1 heure après. «Ça a été? Oh que oui». Je songe: Je n' te raconte pas, t'as tout maté, t'en pas perdu une miette, vieux voyeur!
Le temps passant, je lui propose un «deal». M'engager à plein temps comme gouvernante, aide-soignante, même secrétaire s'il veut, salaire officiellement déclaré Marché conclu! Démission de l'hôpital, résiliation de mon bail, je m'installe! Il me fait un joli salaire. Il marche bien gentiment à ma botte. Je le commande fermement. Mains de fer, gant de velours. Je porte la culotte. Il m'obéit en tout, lui suis devenue indispensable. Je fais virer la femme de ménage, lui fais embaucher une jeune compatriote pour ces tâches. Il la reluque sournoisement. «C'est pas du lard pour ta couenne!», je lui dis souvent en rigolant. Pris en faute, honteux. Je m'occupe de tout, fermement, sérieusement, avec grande et bonne autorité.
Tous les soirs, au lit, «séance limace», culte de la chatte mouillée, béante offerte, vénérée, adorée. Il en est accro. J'en joue bien, j'en jouis bien, perlé -râles gutturaux- il est fier. J'en rajoute. «Tu me rends folle!»
Un soir, je lui dis qu'il serait plus simple de se marier. 25 ans et quelques de différence d'âge, ça passe encore envers les soupçonneux officiers d'Etat-Civil, après entretien. Il n'osait pas me le demander!
Vite fait, bien fait, sur le gaz, via Mairie! Pour ce jour là, il m'a gâté encore plus. Un belle robe, grand restaurant de luxe, il ne regarde pas à la dépense, très fier. Je lui dis que je lui ferai une belle surprise au lit, pour la «nuit de noces». Il glousse d'aise.
Cette nuit là, je lui ai taillé une première pipe mémorable, le grand jeu! Il a dégusté encore plus goulûment, de son côté, mon omelette-maison bien baveuse...heureusement sans champignons. Mes épaisses lèvres ont englouti son petit escargot, si peu vaillant mais tout crachoteux.
La vie «conjugale» s'écoule ainsi. Longues lèches de chatte et de mon trou du cul le soir au lit, rebelote le matin. Insatiable! Un matin, il me demande, quand je vais uriner, de ne pas m'essuyer et de revenir au lit pour qu'il lèche bien les quelques gouttes d'urine restante. Dans la foulée, il quémande que je lui en serve un petit verre tous les jours, pour «me boire». Je le découvre urophile. OK. Il n'est pas coprophage...
Son vieux pote vient désormais 1 fois par semaine pour la séance baise, la routine. J'ai découvert d'où mon Papi mate. Un trou dans une anfractuosité, du mur de la chambre, dans l'axe du lit. Vieille fripouille...
En épouse avisée, je gère tout. Des comptes bancaires très approvisionnées, des titres, des terres, des propriétés, le tout sans autre héritier que moi. Je lui alloue son argent de poche. Il se fout du reste.
Il m' achète une nouvelle voiture, des vêtements, un PC, un nouveau Smartphone, je retrouve Internet, qui me manquait tant, auquel il ne comprend rien. «Ta femme ne doit pas te faire honte». Standing oblige...
Je reçois, des fois, 2 ou 3 copines compatriotes -un peu jalouses de ma «réussite»- on boit, on s'amuse. Il aime bien, il frétille, fait le beau, les mate par en dessous. Je leur dis de s'habiller court, ou pantalons hyper moulants, de bien dégager les seins, assises sexy, ça l'excite, lui fait plaisir, le maintient sous pression. On rigole en douce. Il n'a pas assez d'yeux pour les mater. Je comprends pourquoi il s'assied en face de nous, sur un tabouret nettement plus bas que le divan. Il zieute les chattes sous les strings. Celle en pantalon cuir hyper moulant se tient genoux relevées vers le haut, jambes écartées. Le cuir souple lui rentre dans la fente en la soulignant bien. Sur qu'il bandouille. Je l'appelle désormais «Mon vieux gamin». Il aime.
Une idée me vient. Je vide la femme de ménage, embauche une autre compatriote qui a bien besoin de tunes. Seule, 1 gosse. Moi, je ne prête jamais. Je les connais trop. Je l'affranchis. «Tu l'allumes, tu le laisses te tripoter, une branlette vite faite, tu lui tires 200 balles. Je veux le le compte-rendu.». «Merci, ma sœur».
Jour J, je prétexte une démarche administrative à faire. «Jour du ménage, je te laisse seul, mais tu seras sage, hein?». Autant lui donner le feu vert. Elle arrive, se met en blouse, juste un slip dessous, je pars.
J'ai su. Il a commencé par lui causer, faire le beau, la mater. Elle l'a bien allumé. Sol cuisine à 4 pattes, escabeau, etc. Il a fait le coup de la pause-canapé. Quand il a attaqué les explorations prévues et fébriles, annonce du supplément «branlette» du tarif heure/ménage. OK! Il lui a peloté et embrassé les énormes seins, tiré la culotte, bouffé la chatte comme un fou. Une très énergique branlette et basta! A voté! Je m'arrange, depuis, pour favoriser la chose son jour de venue. Du moment que le ménage est fait. Comme je contrôle le budget et les dépenses du Papi, elle ne peut l'arnaquer de plus. J'ai l’œil.
Il aime lire un hebdo gratuit. J'y jette un œil. Il dit: «Avant, il y avait dedans des dizaines d'annonces privées «Amitiés-Mariages» et «Coquins-Coquines». Avant de te connaître, j'y cherchais l'âme sœur. Ton satané Internet les a tuées. Il n'y reste que 2 ou 3 putes, ou des vieux esseulés comme j'étais, qui ne comprennent rien à ces ordinateurs à la con!». Je ris. Idée! Un vivier s'offre à moi. Un créneau 3° âge inexploité, délaissé.
Je passe en douce une annonce «papier» dans ce canard: «Africaine d'autorité, bien dotée par la Nature, massages et soins divers pour messieurs seniors. Pas pressée. Sous chiffre etc...».
Résultats au dessus de mes espérances! Comme je gère aussi le courrier, il n'y voit que du feu. Mais gag! Mon vieux vicelard de Papi lui même a répondu en douce à... mon annonce! Incorrigible! Pour m'en tirer, je. fais lui téléphoner une copine, qui articule des chiffres exorbitants! Marche AR rapidos, mon vieil époux!
Mon «concept» à domicile est clair. J'arrive, me change, nue sous blouse hôpital. Fantasme des vieux pour l'infirmière. Je masse vaguement, ils tripotent vite, au lit, je leur mets «tout» à disposition, nénés, chatte, ceux qui bandent encore baisent, avec capote. En principe, ça les fait débander. Finition à la main. 100 balles + supplément pipe, 100 balles. Ce business me permet vite de constituer un petit «trésor de guerre» personnel. De plus, mes ponctions «contributions au fonctionnement» du budget du ménage» m'assurent un heureux train de vie. Fine mouche, je me suis bien gardée de dépouiller mon riche et vieil époux. Je ne suis pas à courte vue. A quoi bon, puisqu'au bout du parcours, le «jackpot» tombera par l'héritage.
Et ça marche! Je «tourne» rapidement sur une clientèle régulière d'une dizaine de papis qui ne font pas d'histoires, c'est tranquille, discret, très lucratif. J'ai expliqué à mon Papi que je fais du bénévolat dans une œuvre sociale, pour m'occuper. Ça explique mes absences l'après-midi.
Mais la grosse et belle baise me manque, la bite fort gabarit et vigoureuse. J'en ai besoin. A une réunion de compatriotes mixtes, le neveu de l'une d'elles m'a draguée ouvertement. Jeune, grand, beau, costaud, marrant. Invitation rapide dans son studio. On va droit au but. Il me prend comme un sauvage, me dévore la chatte, puissant, insatiable, monté comme un taureau, il ne débande pas, découille à répétition, me défonce, me fait jouir comme une bête. Je suce comme une malade son énorme membre me rend folle.
Par commodité, j'ai annoncé à mon Papi que j'avais un neveu du pays récemment installé ici et qu'il viendrait parfois dormir à la maison, sur le canapé, surtout le we. Il l'a très bien accueilli. Le samedi soir, un petit comprimé en plus dans sa bière l'expédie dormir de bonne heure. Là, mon fougueux étalon me baise partout, dans la cuisine en levrette, dans le jardin, partout!
Anecdote piquante. Un samedi, je les ai laissés seuls les 2, pour une sortie imprévue. Assis sur le canapé, bière, discussion. Mon Papi vicieux a vite évoqué la réputation des gros membres africains. De fil en aiguille, il a dit qu'il n'en avait jamais vus. Mon «neveu» rigolait, provoc. «Tu veux en voir une belle, Papi?».
Baisse du pantalon de survêtement, sans slip dessous. «Ho la la!», il a fait. Avançant la main, admiratif: «Je peux?». Mon «neveu» a vite bandé fort, surtout que Papi l'examinait de près, la touchait, la soupesait. Il s'est enhardi à la branler. Elle a giclé fort, en une dose massive de jus. «Merci, merci», il a dit. «Quand tu veux» a répondu le «neveu», amusé que l'époux branle la bite qui envoie sa femme au plafond, sans le savoir. Il m'a raconté. J'ai souvent fait exprès de les laisser ensemble seuls depuis, laissant à mon Papi le plaisir de branler un grand black.
Voilà, mon histoire est complète! Morale, immorale? Amorale? Je m'en fous!
Mon Papi est mort d'un infarctus, il y a 2 ans. On me croira ou non, je l'ai sincèrement regretté. Je l'aimais bien comme il était. J'ai hérité du patrimoine, vendu pour de bons placements. Veuve très aisée vivant de mes rentes. J''ai gardé la maison. Je convoque mon «neveu» si besoin. Je cherche à prendre sous ma coupe un bon vieux soumis, qui me servira en tout bien fidèlement. Je serai dure, bien dominante et autoritaire.
J'ai réussi ma vie en misant tout sur mon cul et le reste, venant de la misère. Pas le choix. La paille au cul et le feu dedans. Marche ou crève! Nécessité fait loi.
Par respect du lecteur de ce site, j'ai demandé à un de mes vieux «clients», devenu un ami-confident, correcteur retraité, de soigner la syntaxe et le style de ce récit. Je l'ai payé généreusement en nature.
Chassez le naturel...


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