Total : 3051
En attente : 0

Sexe
Soumis
Mature


Histoires par auteur

Hetero (870)
Entre hommes (244)
Entre femmes (74)
Transexuelle (72)
Premiere fois (257)
A plusieurs (833)
Jeune adulte (139)
Mature (120)
Soumis,soumise (283)
Inclassable (159)

Cet obscur lieu du désir
soumis au sex shop
La glissade 3
La glissade
La glissade 2






Emmanuelle Bresilienne dans les boites de nuit

Ecrit par brésilien
Parue le 21 octobre 2014
Il n'y a pas de commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3024 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

Noter ce récit erotique !


Emmanuelle Bresilienne dans les boites de nuit


Chapitre - Um

Filles, plages, Carnaval a Rio de Janeiro… Tout un art de vivre… Une vie vraiment cool du moins jusque son marriage. Elle était tout simplement superbe. Quel âge avait-elle, dix-huit ou dix-neuf ans puisqu’ils étaient tous deux en première année de fac dans les années 1990. Elle refusait toujours d’aller plus loin, et il dut se contenter de l’embrasser, de lui caresser les seins, et du contact de l’air autour de son sexe… Nous nous interdisont d’aller plus loin par respect idiot des règles de la société de l’époque. ´aimais ses pieds. Vénérer les pieds d´Emmanuelle les câliner, les embrasser, les caresser, les humer peut apporter à certaines personnes un plaisir particulier unique avoir une attirance toute particulière pour les pieds, les talons aiguilles parfois sur des ballerines, bottes ou cuissardes. C'est un fantasme très souvent pratiqué les hommes "Adoooooooorent" en règle générale les pieds des femme. Moi, un fétichiste des pieds n'arrêtais pas de les regarder, de les admirais... Emmanuelle Bresilienne arrivait à balade habillé très sexy, elle avait pris soin de prendre un long bain parfumé à la vanille, pris le temps de se maquiller, elle avait opté pour une petite robe moulante noir, avec des souliers à talons aiguilles, ses sous-vêtements étaient de couleurs rouges, un soutient gorge qui mettait en valeur ses seins généreux et son string qui donnait envie de caresser ses fesses rondes et dures.

C´était 27 septembre, à trois heures de l’après-midi, par un temps doux, gris et pluvieux, je suis entré dans un bar. Ah! je puis me vanter que j’en ai vu des intérieurs et des visages, et de sales âmes... Et ça n’est pas fini. J´ai m´installé au bar, sans m'accorder la moindre attention, mais je n'étais pas dupe. Cette femme était là pour moi. Mon instinct ne me trompait quasiment jamais.
Il faisait chaud, le temps était légèrement brumeux, mais Brume aimait particulièrement se temps là. Quand elle sentait sa robe légèrement transparente lui coller au corps, cela lui donnait envie de faire l’amour, sentir deux corps collés ensemble dans la passion.
Emmanuelle était assise au bar et sirotait un gin-tonique, elle semblait triste et désemparée, qu'avait il bien pu lui arriver, a cette superbe femme au corps sculptural? Ses yeux clairs indiquaient la méchanceté, une méchanceté froide, réfléchie et vicieuse. À la façon tranquille et cruelle dont elle me regardais, fouillait l’âme et la chair, elle me faisais presque rougir.
Elle était vraiment très belle; les yeux bleus ,une chevelure blonde lui descendait jusqu'au bas du dos, elle avait un visage fin et doux, elle ressemblait a ces jolies poupées dont tant de jeunes filles font collection! Ses jambes fines et interminable étaient d'une blancheur extrême, elle était vêtue de noir; une minijupe très courte, des escarpins a hauts talons, un chemisier noir un peu transparent laissant voir la rondeur et la tenue d'une belle poitrine. Emmanuelle ne méritait pas d'être dans cette état de tristesse et j' entrepris alors de l'aborder. Étape la plus scabreuse pour un homme aussi timide que moi! Je ne savais pas comment faire mais je voulais a tout prix faire connaissance avec cette jeune femme, en quelques minutes j'en était tombé amoureux! J'allait peut être enfin réussir a donner un sens a ma vie avec une jeune fille qui me plaisait énormément. Je ne souhaitait pas savoir pourquoi elle avait cet air triste avant que je l'aborde, et puis cela ne m'intéressait plus de le savoir car depuis que nous discutions ensemble, elle n'avait plus cette moue qui lui donnait un visage blême.


- Bonjour Emmanuelle!
- Bonjour Serge, comment vas-tu?Je suis heureuse de te revoir.
- Ca pourrait aller mieux.
- Pourquoi tut e gênerais?
- Disons que... C´est um peu personnel.
- Tu me caches quelque chose?Reprend Emmanuelle avec um petit sourire.
- Je suis mal exprimé, excuse-moi.
- Va donc droit au but. Vous allez rester là à me regarder, seulement? C’est moi que tu cherches? Je te plais?
- Bom. D´accord Emmanuelle. Tu me plais beaucoup, mais à quoi tu joues? Tu es particulièrement en beauté aujourd’hui. Superbe...
- Je ne suis pas une sainte... J’ai connu bien des hommes et je sais, par expérience, toutes les folies, toutes les saletés dont ils sont capable.


Une lueur de compréhension éclaira son regard. Même désarçonné par la soudaine témérité, je l’enlaçai et l’embrassai langoureusement. Nos bouches s’ouvrirent et nos langues se mêlèrent, se massèrent, se battirent presque. Je finissais par lui proposer de changer d'endroit, et lui indiquais un petit pub non loin de la ou nous étions. Je la découvrais parfois heureuse avec de la lumière qui dansait dans son regard, parfois plus sombre avec le clignement de ses yeux qui se fermaient car elle regrettait de croiser que des hommes mariés qui ne pensaient qu'à se vider les bourses. Avec la chaleur de son corps me regarder lui donnait envie de me rejoindre et de pouvoir le sentir en elle. L'amour est souvent mesquin quand l'un des aimants déborde d'égoîsme. Et elle en faisait l'expérience qui provoquait ses insuffisances. Elle me confiait que si elle continuait dans ses aventures sans lendemain, c'est qu'elle espérait rencontrer un jour un homme différent qui la considère, la respecte, lui procure du plaisir autant dans l'intimité qu'ailleurs et qu'ensemble ils décident alors de vivre une relation sérieuse.
Elle accepta sans aucune réticence, cela tournait dans ma tête, mais il fallait rester calme et serein, pourtant je ne pouvais pas m'empecher de penser au moment ou elle finirait par entrer chez moi. Je n'habitais pas très loin du pub, à quelques minutes de marche, cela faisait du bien de marcher un peu dans l'obscurité et la fraîcheur de la nuit. Il était déjà deux heures du matin et nous arrivions à l'entrée de mon immeuble, Emmanuelle était silencieuse, elle ne me paraissait ni heureuse ni malheureuse, juste un peu nerveuse, pourtant cela ne devait pas être la première fois qu'elle se trouvait dans une telle situation, par contre pour moi, malgré mes quelques conquêtes très éphémères,c'etait la première fois que je ramenais une fille de cette beauté a la maison! J'habitais au troisième étage et je la laissais passer devant, au fil de l'ascension, je regardais les jambes d´elle avec insistance et mon imagination se mettait à fonctionner à deux cent pour cent! Emmanuelle était si belle, si bien faite, je réalisais tout à coup que ce n'était pas possible, je ne méritais pas une si belle femme, mais rien n'était fait, elle pouvait rentrer chez moi et ressortir au bout de cinq minutes. Emmanuelle était toujours aussi belle et je ne pouvais pas imaginer, ne pas la revoir après une soirée comme celle-ci, nous avions pris un plaisir immense et nous avions envie de nous retrouver au plus vite pour recommencer...
Ce jour-là, je lui ai fait l'amour avec toute la force de l´atration phisique et le besoin fou de la posséder qui en résultait. Emmanuelle me fit don de son corps libre, tumultueux, dont les courbes étaient autant de chemins vers la jouissance que nous procurent des toutes petites morts, fruit de notre désir assouvi, véritables explosions nourris de violence et de douceur.

Elle doit d’abord réapprendre la vie, réapprendre à se connaître. Elle ne souhaite pas un homme qui sera à ses genoux, mais un homme qui partagerait avec elle une vraie vie. Elle a réalisé son rêve, ayant toujours su qu’elle y arriverait, ayant pour cela finalement contraint sa nature qui l’entraînait vers d’autres choix, d’autres usages de l’argent qu’elle gagnait pourtant sans effort, mais jamais assez, lui semblait-il, pour lui permettre d’en mettre de côté, s’étant longtemps bercée de l’illusion qu’elle pourrait investir sans épargner, ayant donc dépensé sans compter, pendant la plus grande partie de sa vie, en tout cas ses plus belles années, celles où elle était toujours la plus éblouissante, où qu’elle passât, et consacrant dans ce but la presque totalité de son confortable traitement de fonctionnaire de luxe en achats somptuaires dans les boutiques les plus huppées de la capitale, fascinée depuis toute petite par les photos des magazines aux pages glacées, les mannequins, baptisés plus tard top-models somptueusement parés, ayant ainsi rapidement décidé, sitôt venu l’âge de séduire. Sa maman se demandait si elle a eu raison de donner une éducation aussi libre à sa fille.

- Aimes-tu t’exhiber en public? Montrer ta culotte à la terrasse d’un café, juste pour le plaisir de te faire mater, par exemple. Aimes-tu t’habiller sexy, mini-jupes en cuir, bottines, petits hauts dévoilant ta poitrine? Est-ce que tu es déjà sortie nue sous ta robe ou ta jupe?
- Oui, je te réponds franchement, j’aime, même si cela peut te choquer et te sembler vulgaire. J’ai un corps désirable et je sais que les regards aiment le voir, alors j’ai aimé me montrer, exciter le regard des inconnu(e)s, mettre en valeur mes formes, me vêtir de façons parfois provocantes. En fait, j’ai découvert ces pratiques grâce à un homme qui aimait me montrer.
- Tu peux me raconter quelque experience?
- Oui... Outre jour, je dégustai mon café, tout en sentant les regards appuyés sur moi et, comme je suis assez aguicheuse… je croisai et décroisai mes jambes, ma robe étant relativement courte. J’avoue que je commençais à être légèrement excitée, mais il fallait que je parte car la nuit n’allait pas tarder à tomber. Je me levai pour payer et me dirigeai vers la sortie en balançant mes fesse.
- Tu es une épouse douce et belle, jouer avec le feu et risquer de tout foutre en l’air pour un fantasme…

Fine et élancée, ses grands yeux bleus, son visage fin et harmonieux, ses cheveux blonds bouclés et ses jambes superbes, son élégance lui valent l’envie de ses amies et le regard de leurs hommes. Ce qui m’excite terriblement.

La journée du mariage a été splendide, la réception avait été organisée dans un splendide château, loué par les soins de moi, son mari. Quand je suis apparue dans l’immense salle de banquet, Emmanuelle au bras de moi, un silence stupéfait s’est établi dans l’assemblée et ses cousins envieuses... Elle était heureux... Une soirée en amoureux que moi son mari a voulu immortaliser.
Cette caisse, elle l’avait vue grossir, au point de constituer une petite fortune à côté de la sienne, et voilà qu’elle avait fini par lui imposer tout un travail de comptabilité et de correspondance, les amis satisfaits recommandant leurs amis en quête d’un plaisir rapide e superficiel, qu’elle ne repoussait jamais sans s’être instruit sur la valeur de l’homme et de l’idée soumise à son jugement. C´était une femme complete. Immadiatement, J´avais la prendre comme ma femme. Cela faisait environ deux ans, que j´ai l’obligeait à participer à mes activités illicites. J’étais chargée entre autre, de livrer la drogue aux dealers et de récupérer l’argent. Mais la transaction s’était mal passée. Les clients s’étaient enfuient, avec la marchandise d’une valeur de cent mille dollars. Fou de rage. J´ avais déchargé ma colère sur ele. Emmanuelle était connue de toutes mes relations. Mon bureau avait visiblement plusieurs fonctions. Il était rempli de cartons, et d'un tas d'objets d'origines diverses. Mon épouse Emmanuelle en profitait pour s'asseoir, après avoir débarrassé un fauteuil d'une pile de vêtements poussiéreux.


- Oh! Mon dieu mon chéri! Est-ce que ç ava? Tu n´es pas nerveux?

- Je... Je ná rien de grave, répondis-je d´une voix enroulée.

- Oh, mon Dieu!

- Tu vas faire tous mês désirs. S'il vous plait, aidez-moi.

- Oui... Je suis ta femme. Qu'est-ce qui vous est arrivée?
Me demanda-t-elle horrifiée.

- Mon ex petit ami, répondis.

- Je. J'ai besoin de votre aide. Elle me regarda sans comprendre.

- Vous voulez quej´appele la police?

- Nooon, lui dis. Cela ne servira à rien, il enverra d'autres personnes. J'ai besoin d'une diversion, pour pouvoir m'échapper.

Je faisais de si bonnes affaires avec des gens respectables et influents, qu'il ne se méfiait plus de rien. Je devais se rendre dans un bar que lui avait indiqué un client.
Cette fois, la commande était assez importante. Il en avait planqué un peu partout sur lui, même dans ses chaussettes. Il entra. C'est un bar assez chic et très discret. C'était le début de la soirée, l'endroit était calme. J´ai m'installé au bar. J´ai commandé une bière. Avant d'être servis, un homme lui posa la main sur m'épaule. Police, veuillez nous suivre s'il vous plait, sans opposer la moindre résistance, rajouta-t-il. Ils étaient en réalité une bonne dizaine, tous en civils, à guetter ses moindres gestes depuis que j´ étais entré. Dehors, il y en avait encore d'autres qui portaient l'uniforme.
J´avais senti la douleur des menottes contre ses poignets. Ils l'avaient un peu bousculé. Après avoir trouvé 10 grammes de cocaine sur moi.
- Quoi ? T'as que ça ? Tu n'en as pas d'autres ?
Ils étaient là mais ils ne les trouvèrent pas. J´ avais réussi à m'en débarrasser, moi-même ne savait plus comment. Fouille à nouveau. Bousculades. On le fit entrer dans un véhicule portant couleurs et armoiries des gardiens de l'ordre public.
Moi, un individu, dés le moment où j´ai tombé entre leurs mains fait l'expérience de la violence légitime. Je n'y ai plus aucun respect, bien au contraire il faut m'humilier pour lui montrer qu'il n'est rien, que j´ai voulu jouer au plus malin et j´ai perdu. Ce sont les méthodes courantes de la police. Personne ne pourrait les changer sinon les flics ne seraient plus des flics. Les criminels méritent qu'on les bousculent un peu.
je me tais, je n'a rien à dire.
Emmanuelle est allé me voir en prison. Grâce à l'argent qu'elle s'était mis de côté je pouvais m'offrir un très bon avocat. Le meilleur du Rio de Janeiro. me dit-elle, pour ces affaires-là. Accusation, trafiquant de drogues.
Elle avait usé de ses charmes pour me séduire dans le but de s'échapper, mais face au danger elle n'avait pas hésité une seconde à protéger ma vie au détriment de la sienne. L'espace d'un instant, je fus subjuguée par la beauté de ses magnifiques yeux bleus. Ils étaient si intenses qu'un violent frisson me parcourut tout le corps. J' avais ecouté d´Emmanuelle de son désir d'être avec deux hommes. J'avais envie de la voir sentir quatre mains qui prendre possession de son corps, de les caresser et les sucer ensemble et de se lâcher sous leur emprise. Je n'avais pas particulièrement de scénario en tête. Je voulais juste savourer cette impression de virilité redoublée, de mélange de force et d'attentions, de puissance et de sensualité. J'ai fait si souvent des trios et plus dans lesquels une ou plusieurs complices et moi nous consacrons longuement au plaisir d'un homme; je désirais ressentir sur moi ces sensations de laisser aller passif en inversant la situation. Je dois bien l’admettre, j’aime être leur soumis. En effet, le contexte de mon couple est en train de changer. Ces dernières semaines, Emmanuelle a été très douce avec moi, m’autorisant à la pénétrer une à deux fois par mois, en me demandant tous les soirs de m’asseoir à ses pieds devant la télé pour lui caresser tendrement les pieds, et me masturbant régulièrement. Elle est plus douce avec moi, me caressant souvent a tête, comme on fait avec un chien fidèle.

Emmanuelle en maîtresse accomplice dans de artifices d´exhibitions don’t elle avait le secret de pris les choses en main, si l´on peut dire. Elle s´était confiée a son mari, mais, ses sentiments étaient confus. Il faudra du temps pour en faire un homo éroticus, un véritable amateur du beau sexe, mais s’il a l’érection spontanée, tous les espoirs sont permis. Moi, je ne pense qu’à réaliser le scénario qu’elle a imagine...
Emmanuelle Brésiliènne, plus évoluée que moi, L’érotisme vicieux est partout présent dans ce premier recueil mais ce n’est pas lui seulement qui a séduit les surrealists… C´était nécessaire en limiter ainsi ses caresses, et lui fit remarquer à mots couverts, car on était alors très pudiques. Il comprit vite et à la prochaine occasion, il se décida à aller plus loin. Ce fut un soir au cinéma, dans une salle comble, alors que nous avons au troisième ou deuxième rang. Par la suite, nous nous se souviendrons toujours de cette séance, non pas du film, que nous n’avons pas beaucoup regardé, mais de mon éjaculation sublime en plein spectacle.
Emmanuelle Brésilienne. Elle est issue d’une famille bourgeoise. Elle a été élevée dans des instituts très sélects et son éducation, si elle fut de haut niveau dans les études, laissa plus à désirer du côté de l’éducation sexuelle. Elle a bien eu, comme toutes les filles de son collège, quelques expériences, mais toujours dans le secret, il ne fallait pas choquer ces gens de la « haute ». Plus tard, lors de mon retour au Rio de Janeiro – Brésil. Je me suis rattrapée en arrachant la laisse que j’avais eue au cou de nombreuses année... Puis j’ai connu mon épouse, et ma vie a repris le train-train habituel. Tous deux avec une profession de haut niveau, nous menons une vie aisée à laquelle manquait un peu de piment. Bien sûr, je m’entends très bien avec mon épouse, mais parfois une envie irrépressible de perversité me prend, envie que j’ai vite fait de calmer. En effet, j’ai du mal à me contenter de rapports classiques dans le sexe et parfois des fantasmes inavouables me submergent. Nous formons un couple très uni et très amoureux. Bien que moi sois très loin de pouvoir réellement la satisfaire sexuellement, ma femme Emmanuelle s’en est accommodée du fait de mes autres qualités. Et que je la connais par cœur: ses goûts, ses attentes, ses désirs ; mais aussi son corps, son sexe, son odeur… Comme nous étions intimes et que nous nous racontions des tas de choses, nous avions déjà échangé sur nos goûts sexuels réciproques. Ce jeu qui constitue déjà pour elle une forme de tromperie à l’égard de son mari l’amène à revoir sa position et elle finit par accepter de libérer son instinct et de passer à des expériences plus concrètes. La vie a tracé un chemin pour nous. Une route, sans indications, menant tout droit vers la dépravation. Jamais, avec la sévère éducation que mon épouse avait reçue, j'aurais imaginé s'abandonner à la perversité d'hommes inconnus. Les aventures ont commencées tout bêtement, petit à petit. Petit à petit, jelle découvrait le pouvoir de la séduction car jusqu'à présent, elle ne pensait même pas à exercer cet avantage sur d'autres hommes que son mari. Très vite, commence alors son initiation aux plaisirs. Mais peu à peu, Emmanuelle changea. Je ne sais pas pourquoi exactement. Elle tend la main vers un journal et le feuillète, ne s’arrêtant que sur les grands titres. Elle lit son horoscope et sourit. On lui prévoit une aventure exceptionnelle dans les prochains jours. Elle dans sa voiture. Un petit titre en particulier retient ses yeux, « Aller au bout de vos fantasmes ». Elle referme le journal, le réouvre et lit à nouveau l’annonce. Une idée folle lui traverse l’esprit, mais elle y renonce, pas assez certaine qu’elle souhaite vraiment cela. Elle repose le journal sur le tableau de bord. Elle laisse échapper un long soupir et ouvre les yeux, dérangée par un bruit insolite. Coincée dans les embouteillages, elle se délectait de la douceur de l'air, offrant aux prémices d´été son corps tiède et son esprit rêveur. Encore un feu rouge. En vérifiant sa coiffure dans le rétroviseur, elle se trouva jolie à l'aube de ses 30 ans. Mince et élancée, les yeux d'un bleu profond, les cheveux blonds, légèrement ondulés encadrant un visage menu et tonique. Il est très beau franchement, une gueule d´ange un visage de mannequin, dans la petite trentaine.
Aujourd'hui, elle se sentait bien dans sa tête, prête à revivre une aventure amoureuse. Décidément la vie était belle. S'étirant, elle laissa vagabonder son regard d'une voiture à l'autre... C'est alors qu'elle l'aperçut ou plutôt, qu'elle les aperçut. Des mains. Des mains posées négligemment sur un volant de voiture. Des mains fines et élégantes aux jointures délicates. Elle tressaillit. Son regard glissa sur un poignet serti d'une gourmette en acier, puis remonta jusqu'aux avant-bras musclés et légèrement bronzés qui dépassaient d'une chemise de lin blanc retroussée. Alors qu'une décharge électrisait brusquement son corps, une délicieuse volupté l'envahit. Le feu passa au vert, la voiture démarra. A qui appartenaient ces mains de rêve? Mue par un désir soudain, Emmanuelle prit la voiture en chasse. Elle désirait ardemment découvrir le visage de cet homme. Quel âge avait-il? Quelle allure? Grisée par cette envie incongrue, elle se mit à rire, accéléra et entama une course poursuite. Elle se sentait tout à coup légère, libre, prête à suivre un inconnu dont les mains, d'une beauté à couper le souffle, l'avaient chavirée. La berline vert sombre filait en direction du lest de la ville. La circulation était dense et la jeune femme manqua de la perdre à plusieurs reprises. Le conducteur semblait connaître les lieux parfaitement. Emmanuelle stoppa brusquement à un feu. Au loin, la voiture de son bel inconnu disparaissait dans le flot de la circulation. Elle allait perdre sa trace... Elle aussi ressentait des sensations inédites. Arrivent chez nous ele m´a raconté tout...
La Différence n’existait pas. Ni la Naissance, ni la Mort, ni le Temps, d’ailleurs... La vie coulait comme une rivière impassible et éternelle. Aucune tourmente sur le fil de l’eau. Et entre soi pas de conflits, pas de rivalités, tout appartenait à tous. Après qu'elle ait raccroché sur un mot tendre chargé de promesses érotiques, nous avons repris notre discussion. Il faisait chaud ce soir-là, mais la température était supportable.

La nuit qui a suivi a été très agitée, transpirant et dégageaient une odeur si exotique que ma femme en ressentit un trouble merveilleux. Peuplée d’images troubles et perturbantes. Des visions où je perdais mon épouse, de départs, d’enlèvements violents. Tout cela dans un brouillard trouble et confus. Je me suis réveillé, je ne sais combien de fois, haletant et bouleversé. Ma femme près de moi dormait paisiblement, calme traîtresse. Seuls deux rêves pourtant ont émergés de ce sommeil perturbé.
Après en avoir fait le tour et comme il était encore tôt, j’avais garé ma voiture pas loin du jardin. Nous allons promener dans ce jardin, très agréable. La robe la moule outrageusement. Le dos, décolleté en V, est nu jusqu’à la taille, et le bas arrive juste sous ses fesses dégageant la totalité de ses cuisses et permettant de faire apparaître son slip à chaque mouvement inopiné. Mais c’est le devant qui va provoquer une émotion, que moi, son mari, aurais du mal à dissimuler. Ses seins débordent largement des ridicules morceaux de tissu destinés à les cacher, et ce tissu est si fin que ses mamelons déjà durcis semblent vouloir le percer. Avec un mont de Vénus très bombé et une toison pubienne épaisse, la tension de la robe qui colle à sa peau fait apparaître au milieu de la protubérance de son sexe la dépression de son intimité avec une sensualité ravageuse. Emmanuelle est une jolie femme blonde de 1,75 m, profil à la fois mince et voluptueux qui dégage une classe naturelle et fait gamberger l’esprit de beaucoup de ses amis masculins. Sa poitrine 95C n’y est sans doute pas pour rien. Je savais évidemment que ma femme était une grande séductrice et que le regard des hommes ne lui était pas indifférent, comme c’est le cas de la plupart de femmes bien dans leur corps. Très vite, je me suis mis à lui poser quelques questions sur mês fantasmes… Avec le temps, je parvins à lui faire accepter l’idée de fantasmer autour de l’idée de la voir faire l’amour avec un ou plusieurs hommes. Il fait trop chaud. Le vent rabat dans sa figure ses cheveux mi-longs collés par le sueur. Elle a cet air sauvage que j’adore. Elle m’émerveille comme au premier jour. Um jour elle ne put s’empêcher de me demander :


- Tu n’as pas remarqué, mon chéri, comme ton amis me draguait ce soir?
- Si, bien sûr, il faudrait être aveugle pour ne pas voir que tu lui plais. D’ailleurs, il me semble qu’il te plaît bien aussi.
- Et tu ne dis rien ? Tu n’es pas jaloux?
- Non, ce petit jeu m’excite même.
- Vraiment ! Alors je peux continuer?
- Oui, mais vas-y doucement, ça ne reste qu’un jeu.
- Je veux bien, répondis-je, mais attention alors, je ne sais pas si au cours de l’action je pourrais m’arrêter selon tes désirs. Je veux bien jouer, mais méfie-toi que ce ne soit pas à tes dépens!
- Je te laisse libre d’arrêter quand tu voudras, je ne déciderai pas à ta place, promis!
- Tu feras tout ce que je te demande, ce soir!
- Oui…
- Tu es prête à te dépasser devant ton mari pour mon plaisir et ensuite le sien?
- Oui…


Comment ? Comment se libérer de cette vie monotone, sans plaisir? Devra-t-elle subir tout cela le reste de sa vie? Pourra-t-elle un jour parvenir à lui faire comprendre qu’elle veut vivre autre chose?


Le printemps, plutôt disparate côté température, s’en va lentement, abandonnant sa place à l’été. Un été prometteur, de chaleur et de beau temps, selon les météorologues. Elle ne veut plus se laisser enfoncer dans cette routine qui l’a enfermée depuis trop longtemps, la gardant prisonnière d’elle-même. Elle a maintenant besoin de liberté, d’être bien dans sa peau, de penser à elle. Une femme encore jolie, mais aussi une femme intelligente, capable de se prendre en main et de réussir tout aussi bien que n’importe qui. Elle se pose des dizaines de questions sur son futur, ce qu’elle aimerait ou n’aimerait pas.
Avant de sortir chez nous… Ainsi vêtue, donnant libre court aux pulsions de son corps, elle fait quelques pas en jetant un œil satisfait dans le grand miroir. Ses cheveux sont soyeux et longs, teints d’un blond clair avec quelques mèches gris, qui tend à sortir. Elle se maquille légèrement et, une fois terminé, elle est prête pour son aventure extra-conjugale. Debout, devant son miroir, elle aime se regarder dans cette tenue. Elle se tourne, regarde ses fesses encore belles et à peine dissimulées par un petit string noir, pour s’agencer avec le reste. Ses mains glissent sur sa peau, la pinçant parfois légèrement. Elle aime caresser ses fesses, elle les sent douces et rondes, encore dures pour son âge. D’ailleurs, des amies lui ont déjà passé la remarque, qu’elle avait un très joli fessier. Elle aime croire cette réalité sans doute vraie quelque part. De ses ongles pas très longs, elle trace quelques stries sur sa peau, dessinant des marques rougeâtres sous la pression. Cette sensation l’excite. C’est d’ailleurs en visionnant des films xxx, qu’elle a appris tous ces petits trucs qui lui donnent cette nouvelle forme de plaisir. Elle a mis quelques temps avant de se décider à les mettre en pratique. Elle trouvait cela quelque peu ridicule, sans doute le fruit imaginatif du cinéma et du sensationnalisme du petit écran. Maintenant, elle ne saurait s’en passer. Personne ne l’a jamais vu ainsi, mais combien elle aimerait cela. Elle en rêve, en fantasme, découvrant et développant ainsi en elle ce côté exhibitionniste.
Ses cheveux bolnds frolent ses épaules presque nues, souslèvés par une légère brise. Entrer dans le jeu de son mari... C´était as manière d´attendre uma certaine forme de liberte. J´ai la laissé seule pour l´assistir discretement s´aventure. Les deux Arabes arrivèrent à leur tour et s’assirent à sa droite et à sa gauche. Ils commencèrent à lui draguer, en demandant d’où j’étais, ce que je faisais, lui disant qu’ils la trouvaient très jolie, qu’ils aimaient les filles blondes comme moi… Mais, elle ne sait plus si elle pourra aller jusqu’au bout de cette aventure. Ils ne perdaient pas une miette de la vue de ses cuisses grâce à sa robe très courte qui lui permettait d’en voir une grande partie. Elle faisait comme si elle ne l’avait pas vu et l’idée lui vint de croiser et décroiser ses jambes plus souvent. L´appetit sexuel d´Emmanuelle grandissait avec ses gestes.


- Tout va bien? Ton mari te regarde bizarrement…
- Il est um cocu voyeur, c´est ça...


Pourtant, deux yeux les observent. Deux yeux qui transmettent à un corps en ébullition des images provocantes. Elle sent la chaleur qui l’envahit peu à peu, elle la sent monter en elle et atteindre son entre-jambes. Elle sait qu’elle est mouillée de plaisir, mais refuse de toucher tout de suite, préférant repousser ce moment qu’elle dégustera le temps venu. Attentive au moindre mouvement, elle les observe accentuant le désir. Ils fixaient ses cuisses, ses seins, dont les pointes étaient visibles sous la robe (elle ne portait pas de soutif) puis ils commencèrent à lui caresser les cheveux, puis ses joues, son cou… Voyant qu´elle ne protestait pas, bien au contraire, j’appréciais la situation et commençais à sentir une erection. Elle croisait et décroisait ses jambes. Ils lui parlaient, la faisaient rire; elle se laissait aller et une main se posa sur son genou. Elle-même’avait posé ses mains sur eux, à mi-cuisses en riant… La main de l’un, du genou remonta sur sa cuisse pendant que l’autre cherchait, en rigolant, à voir ses seins en écartant un peu le haut. Les deux hommes virent ses seins et les pointes dressées… La jugeant à point, ils lui proposèrent de venir boire le thé chez eux ; ils habitaient à deux pas du jardin. Emmanuelle hésitait un peu, puis elle acceptait, pour mon plus grand plaisir…
Ils sortirent vers la sortie du jardin, passant devant ma voiture ; ils me dirent de la laisser là, ils habitaient à côté. Effectivement, deux rues après, ils étaient devant un vieil immeuble pas très haut et plutôt délabré… Ils poussèrent la porte et elle se retrouvait devant un escalier; l’un des deux lui prit par la hanche et la fait monter pendant que l’autre suivait; elle sentait son regard brûlant sur ses fesses, et ele s´est mis à grimper langoureusement en accentuant son balancement, à droite, à gauche… Emmanuelle grimpait un escalier étroit et ancien, à peine éclairé par des lampes nues à la lumière jaune. Mais elle aurait aussi bien pu l‘escalader dans l’obscurité la plus totale, le bras qui la guidait avait une précision. Il poussa la porte. Elle savait très bien ce que cela signifiait pour elle. Dedans, Autre main se posa sur sa cuisse gauche, puis une autre sur la droite; elle se laissait aller sous les caresses puis ils l’embrassèrent dans le cou, la chatouillant, puis remontèrent sur ses joues, cherchant les lèvres, et les trouvant… Une langue s’insinua, cherchant la sienne; elle rendit le baiser aux deux hommes et elle gémit lorsqu’une main enveloppa la chatte. Ses cuisses s’écartèrent d’elles-mêmes. L’autre homme passa sous sa robe, caressant ses seins, puis soulevant le fin vêtement et lui téta les mamelons, passant d’une pointe à l’autre… Elle était aux anges…


- Tu vas me rende folle!

Ses mains partirent en exploration et se refermèrent sur d’énormes bosses… Très vite, ils se libérèrent, lui montrant leurs belles queues qu´elle prit dans ses mains, les branlant pendant qu’ils lui débarrassaient de sa robe. Emmanuelle se retrouvait nue et commençait à sucer lorsqu’on tapa à la porte. L’un des deux se leva, nu, son corps est beau et musclé juste assez pour n’être pas laid. Elle voit très bien la démarcation du bronzage qui fait ressortir ses fesses rondes et blanches. Elle sent monter en elle une chaleur sensuelle. Voir ce corps d’homme dans toute sa nudité, si près d’elle, l’excite. avec sa superbe érection et alla ouvrir: c’était le troisième de tout à l’heure qui revenait avec un sac de victuailles. Il entra dans la pièce, cherchant à la voir. Son premier réflexe fut de mettre ses mains sur ses seins nus, mais comme sa chatte trempé, Emmanuelle n’en fit rien et elle se laissait contempler completement nue. L’homme sortait ses emplettes du sac en bavant, les yeux exorbités.


- Mustapha ! Hé, Mustapha, t’es où?

Les deux autres avaient repris leurs attouchements et elle voyait nettement la bite hyper-tendue du troisième:

- Suce!

Elle reprit une queue dans la bouche, pompant puis sortant sa langue pour lécher le gland, puis passait à l’autre sous le regard halluciné du trapu… Mon épouse alternait les deux bites, puis elle sentit la bouche et les grosses lèvres du plus vieux et sa langue chaude et humide qui passa sur sa fente…


- Ah, que c’était bon!
- Tu veux la sentir au fond?
- Ouiiii…
- Tu veux sentir mon foutre chaud au fond de ta chatte?
- Ouiii… Vas-y!
- Tu le garderas au fond de toi le plus longtemps possible?
- Ouiii, tout ce que tu veux… Baise-moi… Fort… Fort, ouiiii!


Emmanuelle , dans des mouvements accentués de son bassin, elle se donne un plaisir délicieux. Pendant de longs moments, elle sent la queue en elle, poussant de plus en plus loin son membre. Elle voit la sueur apparaître sur son corps, ses pectoraux durcir sous les efforts et le balancement de ses fesses qui poussent son membre en elle.avait eu un formidable orgasme, puis l’autre voulut la baiser et se positionna avec sa grosse queu ; il la promena sur sa chatte puis l’enfonça. Il la baisa un moment puis changea avec l’autre.


- Ouiiiii! Je vais jouir! Crache-moi tout, bien au fond! Je sens que je vais venir… Hummmm comme tu me fais du bien… Elle est monstrueuse, grosse, dure… Ahhhhh… Hummmm…

. Lorsqu’elle ressent l’éjaculation de lui, qu’elle entend son cri, son gémissement de libérer ce plaisir en elle, elle atteint à son tour l’extase finale dans un cri qui ressemble à un hurlement. Pendant plusieurs secondes, elle jouit de cette libération fantasmatique, portant son corps au maximum de son plaisir. Épuisée, elle se laisse retomber sur son lit, jambes tremblantes, essoufflée et ruisselante de sueur. Il lui faut un bon moment pour se rétablir

- Regarde comme elle a reçu mon foutre…

Le temps s’écoule trop rapidement à son goût. Satisfait dans son corp, Emmanuelle replace sa robe, les jambes encore tremblantes d´avoir atteint ce plaisir, elle se dirigr vers la sortie. Minutes plus tard…. Elle sourit devant son dévergondage. Une profonde relaxation envahie son corps déjà comblé par le besoin de l’aventure sexuelle. Elle en est rendue à regarder avec insistance les hommes qui la croisent et faire comme eux, ne penser que sexe en les examinant.

- Tu as aimé ? demand-je.
- Ouffff ! Ils m’a faisaient voir des étoiles.

Nous éclatons de rire, incapable de se retenir.


Ils l’entraînèrent dans la chambre ; sur le lit, les caresses redoublèrent. Le troisième était entré lui aussi dans la chambre et regardait avidement. L’un la malaxait la chatte, puis il passa sous le string et m’enfonça un doigt; elle gémit de plus belle… Puis l’autre lui fit descendre le string et l’écarta en grand les cuisses, offrant la superbe vision de sa chatte au plus vieux qui n’en pouvait plus… L’un des deux lui passa sa langue entre les lèvres et l’aspira le clitoris; ele se cabrait en poussant un cri de souris et elle avalait la bite de l’autre. Ils arrivent au deuxième étage. Dans le couloir, une porte s’ouvrit et un personnage apparut, très particulier, Arabe lui aussi, assez court, trapu, de grosses lèvres un peu comme Yasser Arafat, un regard exorbité, l’air particulièrement vicieux. Ils parlèrent un moment tous les trois, en arabe; Emmanuelle n´avait rien compris, mais à la manière dont il la déshabillait du regard, elle pense qu’ils parlaient d´elle et elle sourit de toutes ses dents…
Le personnage descendit pendant que les deux autres la firent entrer dans un appartement. Emmanuelle avait très chaud, excitée comme une puce… Ils la firent asseoir dans un profond canapé qui l’engloutit! Ses genoux étaient remontés presque sous son menton! Ils étaient ravis… Ils préparèrent du thé, puis la servirent…

Ce fut vraiment un après-midi de folie. J’étais il y a plusieur annés une épouse fidèle et modèle, une compagne attentive aux plaisirs exclusifs de son homme, une assistante de direction exemplaire même dans sa vie privée, une femme droite dans ses minirobes et dans ses soutiens-gorge, une féministe avouée, voire parfois militante. Elle a fait de moi son jouet, toujours disposée à satisfaire ses caprices érotiques.
Quand nous avons fait l’amour hier soir devant le miroir, je t’ai confié certains de mes désirs assez secrets et de mes envies de pratiques érotiques qui peuvent être choquantes, mais qui sont communes à beaucoup d’hommes. Je l’ai fait, stimulé par notre passion, mais aussi très librement, très consciemment, sachant très bien où cela nous conduirait. Et si je te les ai confiés, c’est surtout parce que je savais que tu pouvais et voulais entendre ces paroles. Quant à nos jeux libertins, ils progressent dans un climat de confiance réciproque qui nous offre des sensations toujours plus variées. Après avoir savouré les multiples plaisirs du triolisme, du mélangisme et de l’échangisme, notre imagination, celle de ma femme Emmanuelle en particulier nous amène à expérimenter des situations nouvelles.

À suivre...

Ivan Ribeiro Lagos




Cette histoire est la propriété de son auteur : ne la copiez pas pour l'afficher sur un site autre qu'histoire-erotique.net

Ajoutez un commentaire pour cette histoire erotique:


Pseudo (*):


       Votre commentaire sur cette histoire(*):




Les champs marqués d'une étoile (*) sont indispensables.



Envie de voir vos écrits publiés?


Histoire-erotique.net vous donne la possibilité de les faire partager !

Pour cela, rien de plus simple : rendez-vous sur le formulaire pour envoyer votre histoire érotique!

A vos plumes !


Envie de laisser un commentaire sur le site? Une idée d'amélioration?

Faites le sur notre livre d'or !