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Examen médical intense

Ecrit par Avril
Parue le 16 mars 2014
Il y a 10 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 21602 fois | Cette histoire erotique a une note de : 12.5/20

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« Vous pouvez garder votre tee-shirt et vos chaussettes. Allongez-vous sur le côté droit. »
Sur l’ordonnance, il y avait écrit « manométrie ano-rectale ». J’avais pris rendez-vous à l’hôpital Saint-Charles pour me soumettre à cet examen destiné à mesurer la tonicité de mes sphincters et muscles internes récemment malmenés par de petits problèmes hémorroïdaires.
Je retirai donc mes vêtements comme prescrit et m’allongeai sur ce qui ressemblait à une table d’opération. On devinait qu’elle pouvait être configurée de tout un tas de façons, en largeur, longueur inclinaison etc. Une sorte de coussin en forme de demi cylindre rehaussait mon bassin.
« Pliez la jambe gauche, s’il vous plait. »
En prenant cette position, qui dégageait mon anus, je pris conscience que ma croupe se trouvait exposée au delà des besoins de l’examen. Une simple paroi vitrée séparait la pièce d’un couloir. Du personnel médical y circulait sans cesse. La vitre sans teint à qui je faisais face m’en renvoyait le reflet, ainsi que celui du médecin qui préparait ses instruments. Ou plutôt son instrument, une sorte de grosse canule avec des renflements, reliée par des câbles à toute une machinerie. Après l’avoir glissée dans une sorte de gant de toilette, il la posa entre mes cuisses. Il s’adressa alors à moi en me regardant dans le miroir.
« Vous avez fait vos lavements comme indiqué ? - Oui. - Bien, détendez-vous et respirez lentement. L’examen est indolore, il provoque juste une gêne passagère. Je vais commencer par un toucher rectal, puis j’introduirais la sonde. Vous ne sentirez presque rien ».
Il sortit de sa poche une sorte de microlax, le décapuchonna. J’eus un mouvement d’étonnement. « Ne vous inquiétez pas, c’est un lubrifiant pour votre rectum ». Je sentis qu’il pénétrait mon anus avec un doigt vaseliné. Il le laissa en place quelques secondes, puis le retira et immédiatement glissa la petite canule à sa place. Je devinai que le médecin pressait le tube. La giclée de gel ne me procura aucune sensation, pas plus que le retrait de l’objet. En revanche le doigt qui revint explorer mes parois internes eut plus d’effet sur moi et déclencha un début d’érection. Je la contins assez facilement en respirant profondément et en ayant une pensée pour le boulot, tout en regardant dans le vide. Le massage interne que je subissais provoquait une sensation plutôt agréable, sans doute grâce au lubrifiant et au « doigté » du praticien… Mais cela ne dura pas. Je vais introduire la sonde. La pénétration fut aussi aisée que pour une simple canule de poire à lavement, alors que le diamètre en était bien plus important, d’après ce que j’avais pu apercevoir. En revanche, l’objet semblait très long. Ou alors le médecin l’enfonçait vraiment très lentement. Lorsqu’il le lâcha, le poids de sa câblerie imprima une tension palpable au niveau de mon anus.
« Je vous laisse dix minutes, le temps que votre anus s’habitue, ensuite je viendrai faire les mesures ». Sur ces mots, le médecin tourna les talons et sortit de la pièce. Je me retrouvai alors dos à la paroi vitrée, une sonde fichée entre les fesses, à la vue de tous les usagers du couloir !
Au bout d’un temps qui me parut largement excéder les 10 minutes annoncées, la porte s’ouvrit sur une jeune femme. « Bonjour, je suis l’assistante du docteur George. Il est retardé dans une autre salle et m’a demandé de procéder à votre manométrie. Ne bougez pas, détendez-vous, je vais vérifier la position de la sonde ». Après avoir revêtu une paire de gants, elle se pencha au dessus de mes fesses et ajusta l’objet qui les pénétrait. La combinaison de l’effet mécanique et de la vision dans la vitre sans teint du joli minois de l’interne et de ses seins en liberté sous la blouse (concentrée, elle ne se rendait sans doute pas compte qu’en se penchant elles les dévoilait) me donna une érection incompressible. Je sentis mon pénis se déplier contre mon ventre et compris que cela ne pouvait pas échapper à celle qui en était la cause. Avec un sourire, sans interrompre ses vérifications : « Oh ! jolie érection ! Ne vous inquiétez pas, ça arrive tout le temps. Ça va passer ».
Elle lâcha la sonde et s’assit près de son pupitre. « Je vais gonfler plus ou moins les deux ballonnets qui équipent la sonde Cela va nous donner des indications sur le comportement de vos muscles dans une phase passive. Ensuite, je vous ferai travailler : vous contracterez ou pousserez suivant mes indications. Nous verrons alors la tonicité active. Ça ne sera pas très long. Normalement, dans 5 minutes, je vous libère ». Sans attendre, la jeune doctoresse commença ses tests. « Je gonfle le premier ballonnet… maintenant le second… Ça va ? – Oui ». Enfin, c’est ce que je dis. Cet engin dans les fesses qui enflait, désenflait, enflait à nouveau mais plus profondément, distendait l’anus, me fit un effet sexuel évident. Mon érection, loin de se calmer, s’amplifia et je sentis mon tee shirt, s’humidifier sous mes aisselles. Le gonflement alternatif des deux ballonnets équivalait à un va et vient. J’eus l’impression de subir une sodomie lente et parfaitement indolore. Ce fût de courte durée. La jeune femme me ramena à la réalité lorsqu’elle me demanda de participer. « Je vais gonfler le ballon qui se trouve dans votre rectum. Vous allez pousser en même temps, jusqu’à ce que j’arrête. Je commence, allez-y ». Sensation de tension inédite, comme une grosse envie d’aller aux toilettes mais avec un rectum vide. « Bien. Arrêtez de pousser. Je dois savoir dans combien de temps la sensation de tension que vous avez cessera. Concentrez-vous et prévenez-moi dès que c’est le cas ». Cela dura environ une minute. « C’est fini ! -Très bien. Vos muscles internes sont en parfaite santé, mais un peu trop toniques, sans doute à cause des hémorroïdes. Je vais faire le dernier test sur votre sphincter anal. Je vais gonfler le ballon qui se trouve juste à l’intérieur en laissant l’autre comme il est. Ça va vous donner très envie d’évacuer la sonde. Je vous demande de contracter, comme si vous vouliez retenir un gaz, vous voyez ? - Oui, je vois. - Ça va devenir douloureux. Quand vous aurez l’impression de plus pouvoir tenir, levez le bras. D’accord ? - D’accord. Je commence. » Alors là, plus d’érection du tout. Je levai le bras bien vite, même anormalement vite, pensai-je ! La doctoresse dégonfla la sonde immédiatement et se leva pour venir se poster derrière moi. « Vous avez tenu jusqu’à 0,5 bars, c’est beaucoup ! - Ah bon ? - Oui, votre anus est capable de serrer très fort. Et aussi de se détendre, on le mesure bien. Je n’ai pas lu la lettre de votre spécialiste, mais s’il vous a prescrit l’examen pour vérifier une compatibilité avec le sexe anal en temps que receveur, c’est concluant. »
« Non, non, c’était juste… - Ne me dites rien, je vois que votre érection à repris à l’instant. Je vais rappeler le docteur George. Il va terminer le test avec un autre collègue masculin. Moi je ne peux plus rien faire pour vous, je n’ai pas les outils ! Je vais juste vous préparer. Vous verrez, ensuite ce sera très agréable. » Je la vis composer un sms sur son téléphone portable. « Allongez-vous à plat ventre ». Je m’exécutai. La table changea alors de configuration, et je me retrouvai couché comme sur un cheval d’arçon très court, dans une position proche de la levrette. « Je vais retirer la sonde et vous introduire un plug anal que je vais gonfler un peu pour vous étirer. Quand elle retira l’objet, je sentis une grande quantité de gel s’échapper de mes fesses et couler sur une de mes cuisses. Sans un mot elle essuya le tout avec une compresse. Je vais vous lubrifier à nouveau… Je tournai la tête vers la vitre sans teint, et la vit sortir de sa poche le même tube que le docteur George. « Ne vous inquiétez pas… - Oui je sais c’est du lubrifiant. Vous ne pouvez pas occulter la fenêtre du couloir ? - Non, c’est impossible, Mais je ne crois pas que cela vous gêne vraiment, c’est votre sexe qui me le dit ! » Sur le champ, elle injecta le contenu du tube, et glissa entre mes fesses sans aucune difficulté et sans douleur un plug noir muni d’un tuyau et d’une poire, qu’elle actionna aussitôt. « Dites moi quand ça commence à tirer. » Au bout de trois pressions, je le lui dit. « Bon, je vais encore donner deux coups et je vous laisse. » Ce qu’elle fit.
Au bout de quelques minutes, je perçu l’entrée dans la salle de deux personnes. Je décidai de ne pas rencontrer leur regard, de laisser faire. Je fus tout d’abord surpris d’entendre une sorte de coulissement et de voir que la pièce s’obscurcissait. Comme quoi la vitre du couloir pouvait bien être occultée !
Une des deux personnes vint se placer derrière moi, l’autre devant. Ce dernier prit la parole. Nous allons tester vos capacités de receveur. Pour cela nous allons vous prendre, mon collègue et moi, à tour de rôle. J’ai un sexe long mais plutôt mince, c’est donc moi qui commencerai. Si nous vous faisons mal, levez un bras, mais restez silencieux. Il s’approcha encore de moi, sa blouse frôlant mon front. Levez la tête et ouvrez la bouche, je vous prie. J’obéis et compris ce que je devais faire. Je pris dans ma bouche le pénis qui se présentait à moi au repos. Je le sentis gonfler, m’envahir au point de provoquer un haut le cœur et un réflexe de recul. Le sexe sortit de ma bouche. Calmez-vous, et reprenez-moi. Sucez lentement jusqu’à ce que ma queue soit bien raide. Si vous avez des haut le cœur, ce n’est pas grave. Au pire vous aurez une remontée de glaires. C’est le meilleur lubrifiant qui soit. Allez-y. Je repris le pénis dans ma bouche et le suçai tant bien que mal, gérant péniblement mes reflux gastrique chaque fois qu’il franchissait la barre de la glotte. Pendant ce temps, l’homme qui se trouvait derrière moi me déséquipa et caressa mes fesses et mes couilles. C’était plutôt agréable. Pour ce qui fut de la fellation, quelques aller retours suffirent pour obtenir « une queue bien raide ». Mon premier donneur recula, et les positions s’échangèrent. Je découvris un deuxième pénis devant mes yeux, court et très épais. Mon deuxième donneur bandait déjà. Quand le docteur vous aura pénétré et que vous vous sentirez bien, vous me sucerez. Pas avant. Je sentis les cuisses du médecin entre les miennes. Son sexe fut dirigé contre mon anus. D’une main, il imprima alors à sa queue de tout petits mouvements de bas en haut, dont l’effet fut de la faire entrer entre mes fesses sans douleur. Lorsque son gland eut franchi mon sphincter, il arrêta son mouvement. « Bien. Je vais m’introduire vraiment. Je vous demande de pousser maintenant et chaque fois que je reviendrai. » Je poussai. Lui aussi et son sexe me remplit. Il me prenait avec de lents va et vient. Je commençai à me sentir bien. Le sexe du deuxième donneur trouva tout seul le chemin de ma bouche. Je pouvais le prendre entièrement sans haut le cœur. J’aimai cette sensation d’être pris à la fois par devant et par derrière. Celui qui me sodomisait amplifia ses mouvements, jusqu’à sortir quasi entièrement son sexe de mes fesses à chaque va et vient. Lorsqu’il put le faire sans rencontrer la moindre résistance, il demanda à son collègue de prendre sa place. Le changement fut très rapide. J’appréciai davantage encore ce sexe court, qui me pénétrait, se retirait, se promenait entre mes fesses avant de s’y engouffrer à nouveau par surprise. Les mains posées sur le haut de mes fesses se firent plus présentes dans mes sensations. Comme si on sortait du domaine du médical pour rentrer dans celui de la sensualité. Je pris alors conscience des mouvements de mon bassin, qui se soulevait pour aller à la rencontre du sexe qui me pénétrait délicatement. Mon premier donneur, qui n’avait pas repris sa place devant moi, prit la parole. « Le test est quasiment fini. Souhaitez-vous que nous vous soulagions ? » Je préférai la promesse d’un sexe lourd toute la journée. « Non, merci. -Comme vous voulez ». Les mains quittèrent mes fesses, d’autres les remplacèrent. Le sexe qui me pénétra alors me parût différent des deux autres. Je compris vite qu’il était recouvert d’un préservatif à nervures. C’était celui du docteur George. Quelques aller retours amples suffirent à la faire jouir, ce qu’il fit en pressant son bassin contre mes fesses et en tenant fermement mes hanches, au point de me gêner. Mais cela ne dura pas. L’autre sexe me pénétra jusqu’à la garde, avec une lenteur incroyable. « Poussez fort s’il vous plaît ». J’obéis et expulsai le pénis de mes fesses. Il y revint d’un coup de rein. Le donneur colla ses bourses aux miennes. La pression de ses mains sur mes fesses se fit plus forte. Je compris qu’il jouissait. Il ne se retira pas tout de suite. « Votre test est réussi. Vous êtes compatible. Si vous le souhaitez, nous pouvons organiser une confirmation. Il suffit pour cela d’appeler le secrétariat en précisant que vous souhaitez un rendez-vous receveur ». Mon donneur se retira alors, toujours très délicatement, essuya le gel qui s’était échappé de mon anus lors de la manœuvre précédente. « Merci, c’était très agréable. Vous pouvez vous rhabiller ». Les deux hommes quittèrent la pièce après avoir ouvert le rideau du couloir.



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