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Expériences de vacances – Alice et Jules 7 – Ma femme et ses 5 invités

Ecrit par doug
Parue le 14 08 2012
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Juste avant de se coucher, Alice m'avait donné ses directives. Celles que je devais transmettre à Mathis pour faciliter son travail de recherches.
Elle n'avait que trois exigences pour le recrutement des hommes qu'elle baiserait, car c'était bien de ça qu'il s'agissait. C'était elle qui allait se les faire. Ils ne seraient que des instruments pour explorer son propre plaisir. La première était qu'ils devaient tous être bien membrés. Elle ne voulait pas de sexe de moins de 20 centimètres. La seconde, un peu spéciale, portait sur leur éjaculat. Pour elle, il était hors de question que ses invités ne l'honorent qu'avec quelques modestes gouttes, car elle venait de découvrir qu'elle aimait de plus en plus le goût du sperme. Pourtant, elle avait fixé une troisième exigence qui ne cadrait pas vraiment avec la seconde car elle annulait en partie sa portée. Elle voulait que tous les hommes portent des préservatifs. Sage précaution pensais-je sans trop comprendre le montage.
Je fis donc part de mes recommandations à Mathis dès le matin. Il m'avoua qu'il avait commencé à prospecter dès son retour du restaurant et qu'il avait déjà deux volontaires, dont le serveur du restaurant. Il m'expliqua qu'avec le peu de temps qu'il avait, il n'était pas facile de trouver des hommes disponibles. En plus, avec les contraintes qu'Alice lui imposait, ça allait sérieusement compliquer sa tâche d'ici ce soir. Je le rassurais.
« Tu fais comme tu peux. Et puis, si tes contacts ne sont pas là au début, ce n'est pas grave. Ils arriveront en cours de route, ce sera mieux que rien. Alice veut vraiment que ça dure une bonne partie de la nuit. »
Mathis revint sur un détail.
« La propriétaire sera absente demain soir. Elle sera chez des amis et couchera chez eux. »
« Parfait. On sera tranquille. Et pour les voitures ont fait comment ? » Demandais-je un peu préoccupé.
« Ils se gareront chez moi. J'ai un terrain assez grand. Personne ne verra rien comme ça. »
Tout se mettait en place sur le plan matériel. Mathis me posa toutefois une question qui, je le voyais bien, lui posait un problème.
« Et moi, dans tout ça ? Je fais quoi ? Je participe ou pas ? »
Le concernant, Alice m'avait tout simplement demandé de lui dire qu'il vienne, dès le début. Elle lui expliquerait sur place. Je lui en fit part.
« Elle veut que tu sois présent avec moi à 20 h 00, dans la chambre. Elle compte te remercier à sa façon. »
Il sembla soulagé.
« OK, alors à ce soir. J'y vais car j'ai du travail ! » Me dit-il.
Il repartit accomplir son travail de recruteur.
Après être remonté dans notre chambre, nous sommes descendus avec Alice pour passer du bon temps près de la piscine. Cette fois, nous ne verrions pas Mathis en train de se branler derrière la fenêtre de son grenier, car il était trop occupé à préparer la soirée d'Alice.
Après un bref déjeuner, nous avons fait la sieste pour être en forme, car la nuit qui s'annonçait risquait d'être longue et épuisante, surtout pour ma femme. Nous sommes ensuite sortis acheter des vêtements pour moi et aussi manger un peu pour revenir dans la chambre. Alice voulait préparer certaines choses avant.
La chambre était vraiment grande. Mis à part le lit, il y avait un bureau de type napoléon III avec sa chaise dans un coin, un fauteuil voltaire d'époque ainsi qu'un petit tabouret circulaire assez bas.
Sur la demande d'Alice, nous avons légèrement changé la disposition de la pièce. Le bureau a été rapproché du lit ainsi que le tabouret. Le fauteuil a été placé dans un coin. Alice a pris ensuite une douche. J'ai fait de même.
Comme prévu, Mathis arriva à l'heure pile, en tenue assez mode et classe. Ça tranchait avec ma tenue qui était stricte, une chemise blanche à manches longues et un pantalon noir. Je ressemblais à un employé d'hôtel. Alice avait souhaité que je porte ces vêtements achetés l'après midi. J'aurais bien préféré autre chose, mais elle avait insisté en disant que ça lui ferait plaisir. J'ai donc acquiescé.
J'ai demandais à Mathis de se déshabiller et d'aller dans le coin rejoindre Alice, pendant que je m'occupais de l'accueil.
La lumière était réduite à quatre grosses bougies posées sur des présentoirs muraux dans les angles de la pièce. La clarté était donc assez ténue, mais suffisante pour découvrir les formes des corps et leur mouvements.
Cinq minutes après, à travers les fenêtres qui donnaient sur la mezzanine et le couloir, j'ai vu un premier homme arriver. Alice ne pouvait pas l'apercevoir car elle se tenait exprès en retrait avec Mathis dans un coin de la chambre. Je reconnus immédiatement le serveur du restaurant, celui qui avait apporté son sperme dans une saucière, sur demande d'Alice la veille. Il apportait une bouteille de champagne avec son seau à glace et deux coupes. Charmante attention. Il frappa à la porte. Je lui ouvris. Il étaient bien habillé. Après une brève présentation, il s'appelait Erwan, il revint sur le comportement d'Alice au restaurant.
« C'est une sacrée femme que vous avez là ! Vous avez de la chance !» Dit-il.
Je répondis brièvement pour rester attentif à ma mission d'accueil, car j'entendais du bruit dans le couloir. Il enchaîna.
« Le coup de la branlette avec les pieds sous la table, sur votre ami Mathis, c'était déjà balaise, mais la commande de sauce blanche, il fallait oser ! »
Il en était encore tout émoustillé, ça ce voyait et on pouvait le comprendre. Il était vrai que pendant notre dernier dîner, Alice avait branlé Mathis sous la table avec ses pieds. Erwan l'avait constaté de lui-même en nettoyant les miettes sur la table, lorsque la nappe avait bougé, dévoilant la queue de Mathis coincée entre les pieds et une mule d'Alice. Quant à la sauce blanche, qu'Alice avait demandée au serveur, ce dernier ne pouvait pas avoir de doutes sur la commande de sa cliente. Elle avait joué sur les mots, mais avec des termes suffisamment explicites. Il était donc revenu avec sa saucière dans laquelle il avait éjaculé et l'avait posée près de l'assiette d'Alice. Devant nous trois, elle avait trempé son index dedans et goûté le foutre du serveur. C'était à ce moment là que Mathis lui avait déchargé sur les pieds. Enfin, après avoir réglé la facture, juste avant que le serveur ne referme la porte du restaurant, elle lui avait clairement fait comprendre que s'il contactait Mathis, elle pourrait certainement faire quelque chose pour lui. Dans ces conditions, un homme normal serait certainement intéressé par une telle proposition. Erwan avait donc pris le numéro de téléphone de Mathis et se retrouvait avec nous ce soir. Pour couper court au dialogue, je l'invitais à prendre une douche. Il entra dans la salle de bains se déshabilla et se glissa sous le jet d'eau tiède.
Deux autres hommes se présentèrent à la porte. Je les fis entrer et leur expliquais les conditions d'usage concernant l'hygiène. Ils se déshabillèrent tous les deux, attendant qu'Erwan sorte de la douche. Quelqu'un frappa à nouveau. J'ouvris et découvris deux autres hommes, vraiment costauds. Des armoires à glace, dont un noir. Tout ce petit monde se prépara. Je les accompagnais ensuite tous les cinq dans un coin à l'opposé de celui où se trouvait Alice et Mathis. Ils ne devaient pas bouger tant qu'elle ne le déciderait pas.
Dans son coin sombre, assise sur le fauteuil voltaire sous une bougie murale, elle les observait et les détaillait de la tête au pied. Mathis était debout, juste à côté de son siège. Elle lui caressait doucement le dessous des testicules avec le bout de ses doigts.
Elle était nue, portait un petit chapeau à voilette qui masquait en partie son visage et s'arrêtait au dessus de sa bouche. Ses lèvres étaient ornées d'un superbe rouge à lèvres carmin. Elle portait des gants en cuir noir fins et ses mules noires, celles que j'avais nettoyé sommairement et qui contenait encore un peu du sperme séché de la veille, déposé par Mathis, et moi-même au retour du restaurant.
Mathis avait bien travaillé. Il était 20 h 30 et 5 hommes bien membrés s'apprêtaient à subir les assauts d'Alice. Un brouhaha, constitué de conversations passées à voix basses commençait à créer un bruit de fond désagréable. Alice m'appela.
« Chéri ? »
Je fermais la porte de la chambre et m'approchais d'elle en silence. Elle avait insisté pour que moi et Mathis soyons totalement muets.
« Apporte moi une coupe de champagne s'il te plaît, et rappelle à ces messieurs les consignes ! »
Je saisis la bouteille qui se trouvait dans le seau posé sur le bureau et faisait sauter le bouchon. Lentement, je fis couler du champagne dans une coupe que je lui rapportais aussitôt. Elle lâcha les testicules de Mathis et attrapa délicatement le verre par le pied.
Je me retournais et m'avançais un peu vers le groupe d'hommes pour m'adresser à eux. C'était vraiment impressionnant, tout ce tas de muscles et de bites raides pointées vers ma femme. Au premier rang deux d'entre eux se masturbaient déjà, espérant sans doute passer les premiers.
Malgré mon apparente assurance, je n'en menais pas très large. De son côté, Alice, à ce que j'avais pu voir, n'était nullement impressionnée et elle attendait avec impatience que ça commence pour réaliser ce fantasme.
« Messieurs ! Ma femme vous demande de rester silencieux en toutes circonstances. Aucune parole ne devra être échangée. Aucun mot grossier non plus, sauf si elle vous le demande. Aucun geste de brutalité ne sera toléré sous peine d'expulsion immédiate. Vous devrez faire exactement ce qu'elle vous demande. À l'issue, vous pouvez rentrer chez vous ou rester à regarder.... et si vous le souhaitez, ou plutôt, le pouvez, vous pouvez vous remettre dans le groupe pour recommencer. »
Je me retirais et me plaçais de l'autre côté du voltaire, légèrement en retrait, comme Mathis.
Alice me dit alors :
« Approche Chéri ! Baisse ta braguette et sors ta queue ! »
Un peu surpris, je descendis ma fermeture éclair et sortis mon sexe du pantalon. Il était déjà raide.
Alice regarda les cinq hommes tapies dans l'ombre.
Elle passa sa main sous mes testicules, les caressa un peu et s'empara de mon sexe. Elle le masturba ensuite en regardant ses futures victimes. Mon gland gonflé apparaissait et disparaissait dans sa main gantée. Je commençais à faire aller et venir mon bassin vers l'avant. J'étais sur le point de jouir tellement j'étais excité par la situation. Alice amena alors la coupe de champagne sous mon gland, puis elle me branla très vite. Je ne pu résister à ce traitement de choc. Alice pointa mon gland vers l'intérieur de la coupe. Mon sperme fusa en longues giclées. Il y avait bien de quoi remplir le fond du verre. Je déversais la totalité de mon foutre qui se répandit en volutes dans le champagne. Alice essorait ma queue au maximum pour que j'expulse tout ce que je pouvais. Lorsque je fus trop sensible, elle essuya la dernière goutte qui pendait sous mon gland sur le rebord du verre. Elle lâcha ensuite ma queue ramollie.
« Tu peux y aller ! » Me dit-elle sans me regarder.
J'étais le premier. L'apéritif d'Alice en quelques sortes et je venais de découvrir que ma fonction essentielle pour ce soir était d'exciter ceux qui la regardaient. Je me repositionnais près du fauteuil voltaire et remontais ma braguette.
Alice fit tourner le verre dans sa main. Une goutte de sperme coulait sur le bord du verre. Elle ouvrit la bouche et la récupéra en léchant la coupe. Avec la lumière de la bougie en arrière plan, le sperme apparaissait, flottant entre deux eaux dans le liquide doré. Alice porta la coupe à ses lèvres et en but lentement le contenu, comme on déguste un bon vin.
Elle remarqua que les hommes se masturbaient presque tous. Par précaution, ne souhaitant pas qu'ils jouissent trop vite, car son plaisir s'en trouverait amoindri, elle me demanda de faire le nécessaire pour qu'ils se se retiennent. Je me fit son porte parole. C'était une tendance forte qui se dessinait chez Alice, elle se servait de moi de plus en plus, comme si j'étais son instrument. Mathis, lui, prenait une place différente. En quelques jours, alors que nous ne le connaissions pas, elle l'avait totalement intégré à nos jeux érotiques et elle se servait de lui pour tester ses fantasmes. Au départ, elle s'était tout simplement appuyée sur son voyeurisme. Les deux premières fois, en s'exhibant devant lui. Au début, ça avait été purement fortuit, mais elle avait quand même exploité la situation. La fois d'après, elle s'était déjà servi de moi en me branlant au dessus de sa bouche jusqu'à ce que Mathis, qui nous observait dans son grenier, jouisse en la regardant. La troisième fois, elle m'avait fait éjaculer sur son sex-toy en silicone. Elle s'était ensuite mise à genoux devant lui et elle avait sucé son sex-toy jusqu'à ce qu'il lui jouisse sur le visage et les seins. Mathis était désormais bien mieux traité que moi. Hier soir, elle l'avait branlé avec ses pieds et ses mules. Pour ma part, j'ai du me contenter de jouir vite fait dans une de ses mules, à l'issue d'une branlette rapide avec sa main. Depuis, je remarque que c'est moi qui nettoie les traces de foutre, les miennes et celles de Mathis. Je m'étonnais tout de même de trouver ça excitant. Cette place, toujours plus humiliante, m'excitait au contraire chaque jour davantage. Preuve qu'Alice avait bien cerné mon profil sexuel et qu'elle comptait s'en servir. Ce soir, par sa volonté et devant tout le monde, ma place devenait clairement celle de son serviteur, son boy juste bon à accomplir ses moindres volontés, rien de plus. D'ailleurs, elle avait tenu à ce que je reste habillé en permanence. Ma dernière « utilisation » confirmait mon nouveau statut. Alice m'avait fait décharger sans aucune attention, uniquement pour montrer au hommes présents que seul mon foutre l'intéressait et ceci, pour son seul plaisir.
Pendant l'après midi, j'avais pourtant chercher à savoir ce qu'elle comptait faire, jusqu'où elle irait et quelle place j'occuperais. Elle ne m'avait rien dit sur ce qu'elle comptait faire. « Tu verras bien m'avait-elle dit ! »
Maintenant que j'étais devenu son esclave sexuel, je devais me contenter de la voir se faire baiser par d'autres hommes et se délecter de leur sperme, juste devant moi, sans espoir de participer. Avec un peu de chance, si elle n'était pas trop fatiguée après sa partouze, elle m'autoriserait peut-être à jouir dans sa chaussure.
Je demeurais donc silencieux, attendant qu'Alice lance les hostilités, ce qu'elle fit dans les secondes qui suivirent.


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