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Expériences inattendues en vacances 2

Ecrit par doug
Parue le 07 08 2012
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 11526 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.6297/20

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Le lendemain, nous avions choisi d’aller à la plage pour assimiler l’expérience de la veille, et ainsi, nous donner le temps de réfléchir sur nos propres comportements, sans concession. Cette analyse était nécessaire. Il fallait faire le point, essayer de comprendre pourquoi nous avions agi de la sorte. Même si le hasard, en la personne du voisin indiscret, avait bousculé les choses, nous ne pouvions nous exonérer de notre part de responsabilité. Nous en avions conclu que cette nouvelle étape, volontairement acceptée par nous deux, avait été une bonne chose, et qu’il n’y avait rien à regretter. Au contraire. Elle pouvait nous servir de support pour enrichir notre sexualité.
Cependant, une question se posait avec acuité, car les jours suivants nous allions retourner dans le jardin de notre hôtesse. Une probable nouvelle confrontation avec notre homme était possible. En raison de notre comportement, volontairement exhibitionniste, il était en effet fortement susceptible de recommencer et alors, que devrions nous faire ? Nous décidâmes de rester neutre, de l’ignorer et de faire comme s’il ne s’était rien passé.
Deux jours après, nous étions donc de retour sur nos transats, autour de la piscine, seuls, dans les mêmes conditions qu'auparavant. Je lisais mon roman policier et ma femme se faisait bronzer seins nus avec ses lunettes de soleil.
Au bout d’une heure, je remarquais un mouvement derrière la fenêtre du grenier de la maison d’à côté. Le phénomène allait-il se reproduire ? Tout en lisant, j’observais les carreaux sales, sans rien dire à ma femme. Comme la fois dernière, notre homme s’installa pour pouvoir nous observer, légèrement en retrait pour être discret, sauf que cette fois, je l’avais vu avant.
Je laissais volontairement passer une dizaine de minutes, silencieux, mais le souvenir de ce que nous avions fait devant lui remonta avec force et, pour ma part, la machine à fantasmes s’emballa. Je décidais donc de prévenir discrètement ma femme de la présence de notre intrus. Je ne voulais pas qu'elle me reproche de le lui avoir caché.
« Il est là. Exactement comme l’autre jour. Il attend. »
Conformément à notre décision de la veille, ma femme ne bougea pas et me répondit.
« Je sais. Je l’ai vu arriver. »
Cette petite phrase, apparemment anodine, était en fait lourde de sens, car si elle l’avait vu venir, c’est parce qu’elle avait guetté la fenêtre et que depuis 10 minutes, elle n’avait pas jugé bon de m’en avertir. Pour moi, il était clair qu’elle se faisait mater et qu’elle y trouvait son compte. D'ailleurs, j'avais remarqué que la pose qu'elle avait prise sur son transat était un peu bizarre et franchement suggestive. Je compris après coup qu'elle s'exhibait discrètement pour son propre plaisir. Je rebondis sur ce point, pour la placer face à elle–même.
« Il te reluque depuis 10 minutes. Si ça se trouve, il est en train de se branler en fantasmant sur toi et ce que tu as fait l’autre jour, et ça ne te gêne pas ? »
J'avais choisi mes mots exprès pour la provoquer. Avec ce que j'avais dit, soit elle s'offusquait et ça n'irait pas plus loin, soit elle laissait faire et alors, tout était possible.
Je vis tout de suite que j’avais fait mouche. Dans un geste retenu, mais amené par son excitation, elle se caressa le ventre, arrêta sa main au niveau de son pubis et répondit.
« Il ne se branle pas, mais ça va peut-être venir. »
En un mot, elle ne voyait pas d'inconvénients à ce qu'il recommence devant elle. Je devais en avoir le cœur net. Je pris un ton faussement surpris.
« Ça te plairait qu'il recommence ? »
Elle marqua un léger temps d'hésitation, souffla et dit :
« J'y pense. Ça m’excite. »
J'enfonçais le clou.
« Donc, ça te plaît qu’il te regarde ? Tu l'imagines en train de fantasmer sur ta bouche qui suce un sexe bien dure qui pourrait être le sien ?
Je posais ma main sur son sexe, commençais à la caresser à travers le tissu du maillot et insistais.
« Je suis sûr qu'il est déjà en train de bander en te voyant. »
Elle appuya sur ma main, enfonçant mes doigts au plus profond de ses cuisses.
« Ça te fait envie ? » Lui demandais-je.
« Oui ! » Répondit-elle en murmurant.
« Tu veux qu'on fasse comme l’autre fois ?
Elle était tellement excitée que je crois qu’elle aurait répondu oui sans faire attention à mes questions.
« J’en ai très envie. »
Je n'ai pas hésité une seule seconde et je lui ai retiré son slip de bain. Elle a ouvert largement les cuisses face à la fenêtre et je l'ai caressée.
Derrière sa vitre, l’homme avait commencé à se masturber. Le mouvement de son bras l’attestait. Cette fois ci, constatant que le jeu avait de suite repris en parfaite harmonie avec nous, il ne perdit pas de temps et se dévoila. Il était brun, avait des traits fins et portait un maillot de type Marcel blanc moulant qui mettait ses pectoraux fermes en évidence. Il semblait vraiment sportif. Ses bras étaient musclés sans excès et son ventre plat. Il était vraiment très bien foutu pour son âge que j'estimais aux environs de 40 ans, soit un peu plus que la première fois que nous le vîmes.
Par contre, ce qui me surprit, c'est qu'il prenait une réelle assurance, car il se rehaussa en montant sur ce qui devait sans doute être une caisse posée au pied de sa fenêtre. Et là, le spectacle fut total. Nous vîmes sa main s’activer sur un sexe long et assez large.
Lorsque ma femme vit cette queue bander pour elle, elle appuya fortement sur ma main, et l'accompagna pour que j'accélère.
Mais cette fois, avant de descendre dans le jardin, j’avais envisagé que les faits puissent se reproduire et prévu d’agrémenter notre petite partie si ma femme se prêtait au jeu. Je ne lui avais bien sûr rien dit. Je découvrais mon jeu et lui annonçais :
« J'ai amené les jouets. » Lui dis-je en me penchant vers son oreille.
Ce que nous appelons jouets, ce sont ses deux sex-toy, un classique assez fin et un réaliste en silicone d'une taille identique à un vrai sexe d'homme, même forme, même couleur.
Cette phrase l'excita. Je continuais à la caresser, laissant les fantasmes s'emballer dans sa tête. Pas question de la brusquer. Après quelques secondes, je lui demandais :
« Ça te plairait d'en prendre un ? »
Elle me répondit aussitôt.
« Oui ! Donne ! »
« Lequel ? »
« Pas le petit. L'autre ! »
Je plongeais ma main dans le sac à dos posé près de mon transat et j’en sorti le sex-toy réaliste, long d’une vingtaine de centimètres. Je l'approchais de son visage. Elle le vit, le saisit, regarda l'homme à l'étage et commença à lécher le gland rose en silicone.
De mon côté, je baissais rapidement mon slip de bain et présentait, comme l’autre fois, mon sexe à hauteur de son visage. Je touchais sa joue avec mon gland et commençait à me masturber.
Elle n'y prêta pas attention, trop concentrée sur elle-même et l'homme qui la mattait. Elle retira ma main posée sur sa vulve et se caressa elle-même le clitoris, prenant bien soin de tout montrer à notre invité surprise, pendant qu’elle faisait coulisser le sex-toy entre ses lèvres affamées. Après une introduction lente en bouche, elle se l'enfonça jusqu'à la gorge et le fit aller et venir jusqu'aux couilles artificielles, mais cependant très bien imitées.
Ma femme avait les yeux rivés sur la queue de l'inconnu qui lui, de son côté, était au ange grâce à ce peep-show improvisé rien que pour lui, avec en guest star un homme, le mari, qui jouait les seconds rôles. Ce que je n'ai pas analysé au début, c'est que ça renforçait sa position au sein du trio. En deux fois, il évoluait du statut de toléré à celui de co-partenaire, voire de pièce maîtresse, car tout semblait organisé pour lui.
Sans porter attention à mon gland qui vibrait d'envie près de ses lèvres, elle sorti le sex-toy de sa bouche et l'amena entre ses cuisses. Là, doucement, elle se l'enfonça profondément. Puis elle entama des mouvements de va et vient tout en se caressant le clitoris avec son autre main.
Elle se tortillait sur son transat, faisait le maximum pour exciter notre pauvre homme solitaire dans son grenier. Elle et moi n’en pouvions plus. Pour ma part, j'étais au bord de l'explosion.
Elle comprit que j’allais jouir, alors elle changea de scénario pour ne pas revivre celui de l'avant-veille. Elle arrêta provisoirement de se caresser, saisit mon sexe et le masturba très vite au dessus de sa bouche qu'elle ouvrit. Son regard était fixé sur l'inconnu. Elle était littéralement hypnotisée par son sexe bandé. Prémisse d'une fin annoncée, mon bassin se mit à bouger. Je gémis. Elle sortit sa langue et accéléra. Mon sperme fusa dans la seconde qui suivit.
Et alors là, elle fit ce qu'elle n'acceptait pas d'ordinaire, et ceci, sans aucune retenue. Elle me fit éjaculer sur sa bouche en prenant soin de lécher mon gland. Elle faisait tout pour que ce soit le plus visible possible pour notre spectateur. C’était une façon assez claire de dire à notre quasi partenaire de l'ombre : « regarde, ce foutre pourrait être le tien et je meurs d’envie que tu me décharges dans la bouche car j'adore ça. »
Cette dernière scène savamment orchestrée par ma femme eu raison de lui. Derrière sa vitre, le bassin de l’homme trembla à son tour. Sa main accéléra son mouvement et il expédia plusieurs giclées sur les carreaux. Ma femme ne le quittait pas des yeux. Elle n’arrêta de lécher mon sperme qui dégoulinait de ma queue encore raide que lorsque l’inconnu se retira dans la pénombre. Là, comme la dernière fois, la main pleine de foutre, elle lâcha mon sexe, se caressa et jouit presque aussitôt.
Une nouvelle barrière venait de tomber, bien plus importante que la précédente, car elle me le confirmera le soir même, mis à part le sex-toy qu'elle n'avait pas du tout prévu, ma femme avait, avant de se rendre dans le jardin, déjà envisagé de recommencer et ceci, de son plein gré. Elle avait même prémédité un scénario sans m'en avertir pour exciter notre voyeur. Je compris ainsi pourquoi elle avait choisi une pose suggestive sur son transat.
Les anciens interdits de ma femme s’envolaient les uns après les autres. Elle brûlait rapidement les étapes pour devenir une exhibitionniste qui assume parfaitement son statut et en redemande. Mais dans le même temps, j'avais aussi un peu peur de ne pas maîtriser complètement les soudaines envies qui naissaient en elle. Il nous restait quelques jours de vacances sur place. Beaucoup de choses pouvaient encore se passer.


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