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La glissade 2






Expériences inattendues en vacances 3

Ecrit par doug
Parue le 10 08 2012
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Cette histoire érotique a été lue 8695 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.3125/20

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La situation devenait compliquée. Il était désormais certain que notre voyeur se présenterait chaque jour derrière sa fenêtre et qu'en voyant ma femme, il n'hésiterait pas à se masturber. Notre deuxième expérience le confirmait et démontrait dans le même temps notre incapacité à rester neutre dans ce cas. Nous en discutâmes longuement, sans prendre de disposition. Après tout ça, notre nuit fut agitée, mais la fatigue l'emportant, nous restâmes sagement au lit à dormir après avoir vu un bon film.
Le lendemain, nous sommes descendus prendre notre petit déjeuner vers 10 h 00 près de la piscine, sous les pins parasols. Il faisait déjà chaud. Nous discutions avec la propriétaire de la maison d'hôte, une belle femme de 45 ans, pendant qu'elle nous servait, lorsque la sonnette d'entrée de la propriété retentit.
« Excusez-moi » Dit-elle poliment.
Elle nous quitta et se rendit vers la porte en métal forgé.
Pendant son déplacement, notre conversation tournait autour de notre activité de la journée. Curieux, je jetais négligemment un coup d'oeil vers la porte d'entrée.
Lorsque je vis un homme entrer, ma surprise fut tellement visible que ma femme se retourna elle aussi vers la porte. Et là, nous vîmes notre voyeur faire la bise à la propriétaire.
Cette brusque apparition nous fit un choc et sur le coup, nous sommes restés, ma femme et moi, à nous regarder sans dire un mot.
La propriétaire précéda le visiteur et le conduit vers un petit appentis où se trouvaient des outils de jardin. Au passage, puisqu'il passait assez près de nous, il nous dit bonjour poliment, mais sans plus. Malgré notre trouble, nous lui avons répondu en essayant d'afficher un minimum d'assurance.
Arrivée devant l'appentis, elle lui expliqua ce qu'il devait faire comme travaux dans le jardin et ailleurs, après quoi, elle le quitta pour entrer dans sa maison et, dans la seconde qui suivit, elle sortit avec son cabas pour aller faire des courses.
Nous étions désormais seuls dans le jardin avec notre voyeur. Drôle de situation. Tant qu'il était derrière sa fenêtre, ça relevait davantage du virtuel. Mais là, tout prenait une autre dimension, plus crue, charnelle. Nous étions rattrapés par la réalité. Que faire maintenant ? Continuer à aller à la piscine comme si de rien n'était ? Sortir de suite et revenir ce soir uniquement quand il serait parti ?
Pendant que nous menions notre réflexion à voix basse, l'homme se saisit d'un sécateur, puis il commença à tailler la haie, à quelques mètres de nous.
Il correspondait à ce que nous avions vu à travers la fenêtre du grenier. Il était même mieux de près. Athlétique, brun avec les cheveux courts, assez grand et bel homme, il portait un Marcel blanc comme la veille, un short de type cycliste et des sandales. Ses vêtements moulaient son corps et mettaient en valeur sa musculature.
Ma femme l'observa. Je dirais même qu'elle l'observa dans le détail, ne négligeant aucun détail de son anatomie. Mais malgré sa finesse habituelle, elle ne put éviter le regard de notre homme qui se baissa et la regarda en se relevant. Feinte classique, mais qui marche toujours. Elle était prise sur le fait. Pourtant, elle joua parfaitement la comédie, l'ignora et s'adressa à moi comme si de rien n'était. Je remarquais cependant son trouble. Pas d'angoisse, rien de négatif, mais plutôt une forme de curiosité mêlée d'excitation. Je lui proposais alors de monter dans notre chambre pour ne pas rester au contact de notre voyeur qui était en fait employé à des tâches ouvrières par la propriétaire des lieux.
Nous sommes passés à côté de lui sans rien dire et nous avons rejoins notre chambre située sur une mezzanine à l'étage. Cette chambre était très spacieuse avec deux belles fenêtres qui donnaient sur la mezzanine et un petit patio arboré. Dès que nous sommes rentrés à l'intérieur, ma femme m'a dit.
« J'ai remarqué qu'il était en train de bander. »
« Je le comprend. Après le spectacle d'hier, un mâle normalement constitué aurait la même réaction en te croisant. »
Ça l'excita. C'était flagrant. Ce besoin d'être désiré et de faire tourner en bourrique les hommes était nouveau, mais toujours plus fort. Je m'approchais d'elle et posais ma main sur son sexe. Elle me laissa faire. Je l'ai alors amenée vers le lit. Nous nous sommes déshabillés pour faire l'amour et j'ai sorti les sex-toy au cas ou elle voudrait s'en servir.
Après quelques caresses de part et d'autre, alors que nous étions allongés, ma femme a commencé à me sucer. Ensuite, après l'avoir bien caressée pour l'exciter, je l'ai pénétré en levrette sur le lit.
Mais bizarrement, j'ai senti un courant d'air et j'ai tourné la tête vers la porte. Elle était fermée, mais par contre, une des deux fenêtres était entrouverte et l'ouvrier nous observait.
Une légère angoisse m'envahit. Cet homme passait à la vitesse supérieur. Normal, nous avions tout fait pour qu'il prenne part à nos ébats et qu'il en devienne même le moteur. Il ne bougeait pas et se tenait debout.
Je me suis penché vers ma femme pour la prévenir, redoutant sa réaction. Nous n'étions plus du tout dans les mêmes conditions que les fois précédentes.
Elle tourna la tête et regarda notre voyeur entreprenant. Elle ne dit rien, se leva du lit, saisit le sex-toy en silicone, me prit la main et m'amena vers la fenêtre. Là, elle ouvrit les deux battants et posa calmement le sex-toy sur le rebord de la fenêtre. Ensuite, elle se pencha vers l'homme et mit ses deux mains sur le rebord pour se tenir. Elle se tourna vers moi et dit.
« Baise-moi ! Baise-moi fort ! »
Après quoi, elle regarda l'inconnu et lâcha sur un ton autoritaire :
« branle-toi ! ».
Pendant que je la pénétrais, l'homme baissa son short cycliste, saisit sa queue raide et se masturba en nous regardant. Le rebord de la fenêtre était bas et il arrivait au niveau du bassin. Le sexe de l'homme était donc pointé vers ma femme, à seulement une cinquantaine de centimètres.
Pendant que je la pénétrais avec force, ses seins ballottaient au rythme des mouvements. Sa bouche était ouverte et elle gémissait, ses yeux plongés dans ceux de notre visiteur. C'était tellement excitant que je ne pouvais pas durer longtemps comme ça.
Je vais jouir, elle le sent et me repousse. Elle se redresse et attrape le sex-toy posé sur le rebord de la fenêtre. Nous sommes debout, juste devant lui, à moins d'un mètre. Elle saisit mon sexe et le masturbe aussi vite qu'elle le peut. Pour elle, pas d'alternative, mon heure a sonné. Elle va me faire jouir devant lui pour l'exciter et montrer sa perversité.
Le résultat fut fulgurant. J’émis une succession de petits cris étouffés. Elle approcha mon gland du sex-toy et me fit éjaculer dessus, prenant bien soin d’étaler un maximum de sperme sur le gland. Mon éjaculation étant toujours abondante, de nombreuses coulées s’étirèrent du sex-toy et tombèrent au sol. Certaines restaient, pendantes en filaments, en dessous. Quand elle s’aperçut que j’avais intégralement joui, le regard toujours orienté vers notre voyeur, elle se mit à genoux devant lui, ouvrit la bouche, sortit sa langue et commença à lécher le gland en silicone couvert de mon foutre. Elle ne le quitta pas des yeux et lécha le sexe artificiel jusqu’à ce qu’elle décide de se l’enfoncer entièrement jusqu’à la gorge, penchant légèrement la tête en arrière pour offrir une perspective impressionnante. Mon sperme coulait au coin de ses lèvres et elle s'en délectait.
De l'autre côté de la fenêtre, notre homme ne résista pas à cette vision. Il émit un gémissement, une plainte profonde qui partait du tréfonds de ses entrailles. Sa main s'activa sur son sexe dur comme la pierre, puis il jouit à son tour, le gland, pointé vers le visage de ma femme.
J'étais persuadé qu'elle allait se déplacer pour éviter de se faire décharger dessus, car habituellement, lorsqu'elle regarde des films porno quand nous faisons l'amour, elle évite de regarder ce genre de scène. Depuis quelques temps cependant, elle semblait changer d'attitude sur ce point et s'y faire, voire elle faisait semblant de na pas regarder pour que je ne la prenne pas pour une vicieuse.
Ce que je vis me stupéfia.
Elle ne bougea pas, demeura imperturbable. Elle continua à sucer le sex-toy sans aucune appréhension, fixant alternativement l'homme puis son gland turgescent. Elle savait pourtant ce qui allait se passer. Le sperme de l'inconnu fusa puissamment. Une première giclée éclaboussa sa main et sa bouche et ripa sur sa joue. Une seconde lui zébra le visage, mais malgré tout, cela semblait au contraire l'exciter davantage. Je vis des gouttes de foutre couler sur son front et lui tombaient dans les yeux. Les giclées suivantes, moins puissantes s'abattirent sur ses seins et coulèrent sur son ventre, jusqu'à son sexe. Elle n'était plus elle-même ou plutôt, ce n'était plus la femme que je connaissais. Elle n'avait plus aucune retenue et me semblait maintenant capable de n'importe quoi.
L'homme resta la queue pleine de foutre à la main, à la regarder, médusé par son audace.
Elle se leva, s'approcha de lui, passa son index sur ses seins pour ramasser un peu de son foutre et le suça à quelques centimètres de lui. Ensuite, sans dire un mot, elle se recula et ferma la fenêtre.
elle se retourna vers moi, prit ma main et l'amena entre ses cuisses. Sa chatte était trempée, dégoulinante de mouille et du sperme de notre inconnu. Je l'ai caressé en observant son visage et son corps maculé du sperme.
Elle m'embrassa comme jamais et jouit presque immédiatement. Sa jouissance fut longue, puissante et en plusieurs fois. Elle me parut interminable par rapport à d'habitude. Épuisée, elle poussa ma main de son sexe, m'embrassa une nouvelle fois et se rendit dans la salle de bain. Je l'accompagnais et l'observais prendre sa douche. Elle était magnifique. L'eau qui tombait sur son visage et son corps faisait ruisseler le sperme à ses pieds. Elle interrompit cette vision en s'adressant à moi, me voyant totalement subjugué par tout ceci.
« Chéri ? »
« Oui ? »
« Avant que la propriétaire ne rentre, il faut nettoyer le rebord de la fenêtre et les traces au sol. Tu vois ce que je veux dire ? »
Sans dire de quoi il s'agissait, elle me demandait de nettoyer les traces de spermes que nous avions laissé tomber un peu partout. J'avais oublié ce genre de détail technique. Pas elle. Preuve de sa parfaite maîtrise des événements. Je ne discutais pas, prenais une éponge et essuyais les traces de spermes de notre homme ainsi que les miennes. Je revins dans la salle de bain et passais l'éponge sous l'eau. Elle me regarda et me sourit en me disant :
« C'était trop bon ! »


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