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Fantasme futuriste

Ecrit par Le Jouisseur
Parue le 14 09 2018
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 2210 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14.6154/20

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Puisque le progrès technique nous en donnait depuis peu l’opportunité, nous avions récemment décidé de vivre complètement nos fantasmes. Notre fantasme majeur, en l’occurrence, était de procurer à Coralie l’occasion de pratiquer l’amour multiple mais sans toutefois s’abandonner à d’autres hommes que moi, puisqu’en fait nos partenaires dans cet exercice seraient tout simplement mes clones. Enfin, mes clones plus jeunes. Cette coquine de Coralie voulait s’éclater carrément en s’offrant à des copies plus jeunes de moi-même, histoire de voir comment cela aurait été si elle m’avait rencontré à 18 ans. Nous en avions maintenant 29 pour elle et 31 pour moi et nous nous connaissions depuis 2 ans.
Coralie était une pétillante jeune femme, dans la vie comme au lit, et ouverte, si j’ose dire, à tous les ébats. Cette jolie brunette m’avait tout de suite séduit par le charme de son joli sourire et aussi, avouons-le par sa plastique, qui matérialisait mon idéal féminin, car j’apprécie les femmes aux formes épanouies. 1 m 66, des cuisses charnues, une poitrine aguichante, 90 C, avec des seins en poire aux pointes légèrement et délicieusement retroussées qui étaient une invite à la sucette, et pour ne rien gâcher, une très belle paire de fesses bien galbées. Coralie savait très bien mettre son corps en valeur en portant des jupes plus ou moins mini qui laissaient plus que deviner ses belles cuisses et des petits hauts qu’elle s’amusait parfois à porter sans soutien-gorge, car la tenue de sa poitrine n’en avait guère besoin. Cette aguicheuse se plaisait à me procurer une excitation quasi-permanente qui trouvait sa conclusion dans un lit ou je la possédais vigoureusement plusieurs fois. Compte tenu des dispositions de la coquine, j’avais bien sûr, passez-moi l’expression, défloré tous ces orifices et même un bon nombre de fois ceux d’entre eux qui n’avaient aucun rapport avec une volonté de procréer !
C’est ainsi que, devant sa tentation de se faire pénétrer simultanément par plusieurs voies, j’avais suggéré l’idée (géniale !) de louer deux de mes clones dans un établissement ad hoc. Elle avait accepté cette perspective avec beaucoup d’excitation et ce soir-là, nous avions fait l’amour comme jamais, Coralie finissant par avaler mon sperme deux fois dans la soirée, ce à quoi elle ne consentait que rarement car mes éjaculations étaient plutôt abondantes, en particulier après une telle excitation. Me souvenant de mes performances de jeunesse, je me mis à organiser en hâte notre petite sauterie ! Je passerai ici sur les détails techniques qui seraient hors-sujet pour dire simplement que j’avais pu obtenir deux de mes clones, de 18 et 19 ans, que j’avais briefé et qui seraient parfaitement préparés pour le jour J, c’est-à-dire en pleine forme et avec les couilles bien remplies.
Le jour dit, nous nous rendîmes à l’établissement en question ; pour rentabiliser pleinement la petite fête, nous nous étions imposés une période d’abstinence d’une grosse semaine … difficile à respecter en pensant à tout ce qui pourrait se passer lors de cette petite orgie.
Enfin, nous entrâmes. Junior 1 et junior 2 nous attendaient, chacun étant confortablement installé dans un fauteuil, vêtus d’un simple boxer et visiblement déjà prêts à passer à l’action. Lorsque j’avais rencontré les deux juniors, j’avais brossé un tableau flatteur de ma sensuelle compagne, mais j’avais dû rester en-deçà de la réalité car ils dévoraient Coralie du regard avec gourmandise. Sans doute, le fait que je leur avais dit qu’ils pourraient lui faire tout ce qu’ils voudraient y était également pour quelque chose. Toujours est-il que Coralie n’étaient pas insensible à leur (mon !) charme juvénile et à la bosse qui déformait leur slip. Tout en se baissant pour leur taper la bise, elle dit :
- Quand je les vois et que je te connais, je me dis que je vais passer du bon temps !
- Je te promets que tu ne seras pas déçue. Voilà deux membres bien juteux qui t’attendent et sans plus tarder, je te propose de faire valoir toi-aussi tes arguments.
Joignant le geste à la parole, je la guidai par la taille et, me positionnant derrière elle, je m’assis sur un troisième siège opportunément placé en face des 2 juniors. Ainsi installé, je me mis à déboutonner sa jupette qui tomba bientôt à ses pieds avec un bruit mou. Elle leva docilement un pied après l’autre pour que je puisse récupérer le petit vêtement désormais superflu pour le lancer plus loin. J’en profitai pour caresser ses jolies cuisses que j’aimais tant, et lançai :
- Alors est-elle aussi appétissante que je vous l’avais promis ?
- Ça oui, s’exclama junior 1
- Où l’as-tu donc dégotée ? dit junior 2
Coralie fit mine de s’offusquer.
- En voilà un langage ! Je vois que la copie est aussi mal élevée que l’original !
Encouragé, je me levai pour m’attaquer au chemisier, défaisant un bouton après l’autre, du haut vers le bas, en faisant apparaître un peu plus sa poitrine volumineuse à chaque bouton défait. Enfin, le dernier bouton sauta et je débarrassai également Coralie de son chemisier. La belle était maintenant en petite culotte devant ses deux étalons (et devant le troisième, car j’étais également avec une belle érection). C’en fut trop pour junior 1 qui introduisant la main dans son slip se mit à se branler doucement.
- Je sens que tu vas devoir bientôt apaiser les tensions que tu as provoquées, dis-je.
En profitant de la situation, je me mis à caresser le bout des deux tétons érigés, qu’elle avait très sensibles. Lascivement, Coralie se laissait faire. Caressant ses cuisses, qu’elle avait légèrement écartées, je remontais la main et passai avec légèreté un doigt sur son entrejambe par-dessus la culotte. Coralie gémit sans retenue en écartant un peu plus les jambes. L’abstinence avait du bon. Je continuai donc cette douce caresse quelques instants.
Me rasseyant, je me dis que le moment était venu de débarrasser Coralie de son dernier vêtement. Après une dernière caresse sur ses jolies cuisses, je commençai à descendre tout doucement la petite culotte en m’imaginant toutes les cochonneries qu’on allait lui faire faire ; mais je ne savais pas que je restai très en dessous de la réalité. Je descendis donc le petit vêtement le long de ses cuisses, découvrant le petit minou de ma chérie, joliment rasé en ticket de métro. C’en fut trop pour junior 2 qui commença également à se masturber tandis que junior 1 avait carrément sorti son sexe hors du slip pour se branler de plus belle. La culotte tomba à ses pieds et la belle se retrouva toute nue. Déposant un baiser sur son joli cul, je l’attirais vers moi en la faisant assoir sur mes cuisses. Se retrouvant ainsi les jambes écartées, je pouvais maintenant la caresser à l’envi, tandis que mon sexe bandé se pressait sur ses fesses.
Ce fut le début. Déposant de légères caresses sur sa taille, l’intérieur de ses cuisses et ses tétons maintenant délicieusement retroussés, je portai Coralie peu à peu à incandescence. Sous la douceur calculée de mes caresses, elle gémissait doucement en passant sa petite langue sur ses lèvres. N’y tenant plus, Junior 1 se leva alors pour présenter son sexe devant le visage de Coralie.
- Suce-moi ! dit-il
Coralie s’exécuta sans résistance et engloutit le membre de Junior. Tel que j’étais placé, j’avais mon visage non loin du sien et je pouvais voir le sexe de junior entrer et sortir de la bouche de ma compagne. Très excité et connaissant la réticence qu’avait parfois Coralie pour ingérer mon abondante semence, je me demandai quelle serait sa réaction si junior en éjaculait dans sa bouche une quantité encore supérieure ! A cette pensée, je me mis à malaxer furieusement les tétons de la suceuse et glissai une main entre ses jambes pour l’exciter encore davantage. Simultanément à ses léchouilles, Coralie caressait doucement les couilles de Junior qui se tendait peu à peu et je compris que le moment tant attendu allait arriver.
- Je sens le jus monter ! dit-il d’ailleurs
- Vas y ! dis-je ; Coralie va tout avaler
Et sans lui laisser le temps de répondre, je me pressai contre Coralie pour la dissuader de se reculer. Avec un grand cri de satisfaction, il jouit enfin. Je regardai Coralie, un peu crispée et la bouche close, recevoir la jouissance de junior et, ne voyant rien, je ne pouvais qu’imaginer les jets de sperme se succédant sur sa langue et remplissant peu à peu sa petite bouche. A cette pensée, je faillis jouir moi-même mais fort heureusement, je réussis à me contenir. Après une vingtaine de secondes son orgasme prit fin et je vis alors les mouvements de déglutition de Coralie qui avalait finalement la totalité de l’éjaculation.
- Eh bien, mon petit cochon, tu avais de sacrées réserves ! tu t’es retenu pendant un mois au moins !
- Même pas, dis-je ; mais c’est une idée pour la prochaine fois ! Alors quel goût avais-je plus jeune ?
- Un peu plus doux, … pas mauvais en fin de compte ! dit-elle en prenant un air lascif. Mais je ne ferai pas çà tous les jours.
A ces aveux, mon érection qui était énorme me devint insupportable
- Tous les jours, peut-être pas, mais tu dois encore satisfaire junior 2.
Le large fauteuil dans lequel nous étions installés comportait un petit inventaire d’objets divers et j’avais rapidement repéré un tube qui semblait rempli d’un produit lubrifiant, muni d’un embout permettant une injection directe. J’étais dans une telle forme que je décidai de sodomiser Coralie pendant qu’elle finirait Junior 2 avec sa bouche. Je lui fis ressortir les fesses et sans plus de manières, j’insérais directement l’embout du tube dans son cul et appuyant sur le tube, j’y injectai une large dose de lubrifiant, en attendant autre chose.
Ceci fait, je pénétrai alors très facilement l’anus de Coralie et commençais un va-et-vient jouissif dans son fondement. Délicieusement lubrifié, c’était très agréable et je sentais à son abandon que Coralie l’appréciait aussi. Junior 2 enfourna alors son sexe dans la bouche de Coralie et lui empoignant la tête se mit littéralement à pénétrer sa bouche tandis que je me mis à élargir furieusement son anus aussi lubrifié qu’un vagin. Passablement excitée par les caresses que je lui avais prodiguées jusqu’alors, la coquine prenait maintenant du plaisir à être ainsi utilisée par devant et par derrière. En l’empoignant de plus en plus sauvagement, je ne tardai pas à sentir les contractions de son anus qui annonçaient son orgasme, ce qui provoqua le mien. Après le lubrifiant, je lui injectai alors une douche de foutre dans le trou du cul qui dut lui réchauffer délicieusement le fondement. Simultanément, Junior 2 jouit dans sa bouche, une éjaculation abondante dont une partie s’échappa sous l’effet de notre agitation pour tomber sur ses seins. Après cette jouissance simultanée, nous écroulâmes sur les confortables fauteuils à notre disposition.
Quand Coralie s’affaissa sur le sien, quatre boucles de caoutchouc souple en sortirent pour enserrer ses pieds et ses mains, la mettant à notre merci, cuisses et bras écartés. Je notai avec amusement que la machine afficha alors le poids de Coralie, cinquante-huit kilos et trois cents grammes, soit un peu plus que sa coquetterie le prétendait. Je l’annonçai à haute voix sans me douter de la pertinence ultérieure de cette information.
- Elle a menti sur son poids, dis-je. Pour sa punition, je vous la livre ainsi ; Caressez-la, chatouillez-la, … masturbez-la !
Aussitôt, ce fut un concerto à quatre mains vicieuses se promenant sur le corps de Coralie qui se tortilla aussitôt de rire ou de plaisir. Aucune partie de sa personne ne fut oubliée : chatouilles autour de la taille, sous les aisselles, caresses sur les cuisses puis sur la chatte, chatouilles sous les pieds. La pauvre impuissante se débattait en riant ou en gémissant ; je bandais dur de la voir soumise et je n’étais pas le seul car mes homologues avaient retrouvé une belle érection.
- Bande de pervers ! dit-elle entre deux accès de rire
Je me concentrais alors sur la plante de ses pieds pendant que mes deux « autres » lui excitaient les tétons et le sexe. Coralie, violée par toutes ces mains, s’abandonnait et devenait de plus en plus lascive. Comprenant que, si j’arrêtais de lui chatouiller les pieds, elle arriverait irrémédiablement à la jouissance je retirai mes mains et dis :
- Achevez-la !
Leurs caresses se concentrèrent sur le sexe et la pointe des tétons déjà bien érigés. La belle se mit à gémir en fermant les yeux, concentrée sur son plaisir. Comme prévu, la caresse sur le bout de ses seins lui faisait beaucoup d’effet. Les mains de junior 1 se concentrèrent dessus avec un mouvement tournant, tandis que la main de junior 2 s’activait avec régularité dans sa fente.
- Oui …. Soupira t’elle
Coralie était très bandante les cuisses ainsi écartées et ses gros lolos pointés vers le ciel. Quand je la sentis proche de l’orgasme, je recommençai mes chatouilles sous les pieds mais plus doucement qu’avant pour faire durer ce moment. Puis j’arrêtai. Puis je recommençai. Quand je sentis que l’inévitable allait arriver, j’arrêtai tout en disant :
- Allez, ma petite cochonne, jouit !
Après un raidissement soudain de tout son être, violée par toutes ces mains, elle explosa de plaisir. En criant, elle se contractait spasmodiquement pendant que junior 1 en profitait pour lui pincer carrément les tétons et que junior 2 la branlait intensément.
Après cette jouissance, le fauteuil libéra automatiquement Coralie que nous laissâmes récupérer quelques minutes.
Mais, ma coquine préférée ne tarda pas à retrouver de la vigueur. Parmi les divers objets posés sur la tablette du fauteuil, elle découvrit une espèce de petit godemichet. L’examinant un court instant, elle le porta immédiatement à sa bouche pour nous provoquer et se mit à simuler une fellation sensuelle en promenant sa langue avec avidité autour du gland synthétique. S’interrompant soudain, elle s’étonna :
- Mais il y a une sorte de petit interrupteur ; voyons ce qui se passe si je le mets en marche.
Aussitôt dit, aussitôt fait. L’appareil fit alors entendre un imperceptible bourdonnement.
- Pas terrible ce vibromasseur, dit-elle un peu déçue ; c’est à peine si je le sens vibrer.
Et elle continua sa fellation artificielle. De manière très suggestive, elle engloutissait ce pénis factice d’une quinzaine de cm, le ressortait en bavant dessus, et ce petit manège commençait à nous exciter sérieusement.
- C’est curieux, j’ai une impression de chaleur dans la bouche et sur les lèvres depuis que je l’ai mis en route. Et même…
Sans aller au bout de sa phrase, elle reprit de plus belle son petit manège.
Mon attention fut alors attirée par un petit carton annoté posé sur la tablette. Intrigué, je m’en saisis et commençai à lire. « Mode d’emploi de l’excitateur – cet appareil permet de stimuler et ranimer le désir de la partie du corps sur laquelle il est appliqué – attention : ne pas appliquer plus de 30 secondes – en cas d’urgence, reportez-vous en page suivante » ; je portai instinctivement mon regard sur Coralie : cela faisait bien une bonne pleine qu’elle avait commencé à utiliser l’objet. Ignorante de la fonction réelle de l’appareil, elle dit :
- Hmm ! tout cela me donne envie de passer à des vrais sexes. J’ai même envie de …
Elle reprit ses succions de manière de plus en plus lubrique ; fasciné et imaginant les conséquences qui pouvaient en découler … je me gardai bien de l’interrompre ou de l’informer ! En espérant ne pas me tromper sur ce qui ne manquerait pas d’advenir…

A suivre …



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