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Henri, le modèle préféré des peintres,Jacques et Isabelle

Ecrit par mlkjhg39
Parue le 23 mars 2015
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Cette histoire érotique a été lue 3175 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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HENRI

Le modèle préféré des peintres.


Je m'appelle Jacques, artiste peintre, et une cliente m'a passé une commande assez spéciale, elle veut que je lui fasse une toile de nu masculin pour rendre jaloux son mari.
Mais ses exigences vont être difficiles à trouver, elle veut que le modèle soit bien membré et que je le peigne en érection.

J'ai déjà eu des commandes bizarres, mais là c'est le pompon, comment je vais pouvoir dégoter un tel oiseau rare pour me servir de modèle?
J'ai entendu parler d'un nouveau sur le circuit qui fera peut-être l'affaire, un certain Henri.
En quelques coups de téléphone, j'arrive à le contacter et rendez-vous est pris pour vendredi prochain.

Le jour est venu, on sonne à ma porte, c'est Henri mon modèle. Je le fais entrer et l'amène à mon atelier ou j'ai poussé le chauffage en prévision de la séance de pose.
Après quelques mots de présentation nous entrons dans le vif du sujet.
Il me demande.
- Comment fait-on?
- Déshabillez-vous dans la pièce à côté, j’ai posé un peignoir sur la chaise.

Il revient dans l'atelier drapé dans le peignoir, Il mesure dans les 1m80, les cheveux noirs, de beaux yeux bleus, bien foutu pour un homme de 35 ans.
- Je me mets où ?
- Mettez vous sur le podium, je vais commencer par une série de photos, je vais prendre quelques clichés en tournant simplement autour de vous. Vous pouvez enlever le peignoir.
Je suis derrière lui et mitraille, il a des cuisses musclées et de très belles fesses, des épaules larges.

Je tourne autour de lui le prenant sous toutes les coutures.
- Ne souriez pas à l’objectif. Je vous prends de face, mais tournez la tête pour qu'elle reste de profil.
- Vous avez une musculature parfaite, tout à fait digne d’une statue grecque sauf pour ce qui est de vos attributs.
Vous n'avez jamais remarqué que le sexe masculin des statues grecques est toujours représenté de petite taille? C'est loin d'être votre cas. Vous êtes drôlement bien doté de ce coté là mais c'est bien pour cela que je vous ai choisi.

Pour être honnête avec vous et ce n’était pas précisé sur l’annonce pour ne pas faire fuir les candidats, je dois à la demande de ma cliente peindre une verge en érection. Je ne suis pas encore parvenu à trouver un homme qui corresponde à mon attente et qui accepte le challenge.
Je ne suis pas suffisamment connu pour laisser passer ce genre de proposition.
Voilà pourquoi j’ai besoin de vous. Si vous parvenez à surmonter votre réticence, que je comprends bien, à être en érection devant moi, ce travail est pour vous.
Il va falloir être patient et garder la pose assez longtemps sans bouger. Vous commencerez le matin à huit heures, jusqu'à vingt heures. Il faudra déjeuner assez rapidement, mais je vous offre les repas. Quant à votre salaire, ce sera celui qui se pratique habituellement pour ce travail avec en plus une prime offerte par la cliente. Qu’en dites-vous ?
- C’est entendu. J’accepte.
- À la bonne heure. Comme je vous l’ai dit, nous n’avons pas de temps à perdre, aussi je propose que nous commencions immédiatement.

Le travail commence. D’abord, le silence et la concentration.
Ainsi, petit à petit, l’ouvrage avance dans la chaleur de l'atelier. Je suis satisfait de mon travail commençant par une esquisse au fusain. Je suis fier de mon tableau.
A midi, nous déjeunons ensemble rapidement. Il est très cool et ne se rhabille même pas pour manger, restant nu du matin au soir.
- Vous avez une femme ?
Petit à petit nous apprenons à mieux nous connaitre, je découvre qu'il a une vie sexuelle assez débridée, ayant même tourné dans des films pornos.
- Bien, il est temps de s'y remettre!

Le tableau avance bien et arrive le moment tant redouté.
- Il faudrait maintenant que vous soyez en érection au moins quelques minutes, j'en profiterai pour prendre des photos et me mettre en tête les proportions.
Il me rétorque.
- Il me faudrait quelques stimuli, ce n'est pas si facile.

J'avais prévu le coup et en avais parlé à ma femme il y a quelques jours, comme nous sommes un couple assez libéré, elle m'a proposé de venir pour l'aguicher.

Elle attend mon coup de fil, je l'appelle et 10 minutes après, elle entre dans la pièce.
Ils se disent bonjour mais quand les yeux de ma femme regardent le corps de cet homme un peu plus bas, je vois à son expression la stupéfaction en découvrant son impressionnant engin.
J'explique à Henri que ma femme va s'effleurer doucement pour l'exciter.
Isabelle commence à se caresser langoureusement en se déshabillant.

Sans même toucher à sa verge, nous la voyons qui enfle, sa bite gonfle et décolle un peu de ses bourses, elle faisait dans les 17 cm au repos mais nous sommes en train de la voir grandir centimètre par centimètre.

J'ai repris mon appareil photo et mitraille à tout va, penché pour faire des gros plans.
Elle continue à se redresser, je fais le blasé mais ce spectacle est merveilleux, son gland sort alors de son prépuce, il est bien rond, très gros....

Je le regarde furtivement, il me sourit face à la situation, il a une vue plongeante sur les seins de ma femme dans l'échancrure de son soutien-gorge.
Elle continue à grandir passant les 20cm puis les 22cm, jusqu'ou va-t-elle aller?
Elle se redresse à mesure qu'elle grandit, arrive à l'horizontale et continue son ascension.
Son énorme sexe grossit encore, il est maintenant à la verticale et lui effleure le ventre.
Il doit bien faire maintenant dans les 24/25cm.

Sa grosse queue bande à mort devant mes yeux ébahis mais elle est devenue si épaisse, elle est d'une grosseur monstrueuse. Sous le choc d'une telle vision, j'en oublie de prendre des photos, quel Étalon! Il nous regarde tour à tour et avoue.
- Je suis un être humain, et je réagis lorsque je vois une jolie femme aussi bien roulée.
Je me remets de mes émotions et retourne derrière ma toile pour profiter de son érection avant qu'il ne commence à débander. Sa verge est dure depuis un moment et ne faiblit pas. Peu d’hommes sont capables de cela.

Il doit la désirer très fort. Je lui lance.
- Je vous remercie du compliment et je suis encore stupéfié de vous avoir vue atteindre une telle érection sans même toucher votre engin, je me dépêche de saisir sur la toile ce magnifique phallus avant qu'il ne baisse la tête.

Les minutes passent et je me rends compte que la verge de mon modèle est toujours aussi dure érigée vers le plafond.
- Prenez votre temps, m'assure t'il. Votre femme est si belle, c'est un plaisir de bander pour elle.
La journée tire à sa faim et sa queue est toujours fièrement dressée. Je lui annonce.
- Bon, ça suffira pour aujourd'hui, vous pouvez vous rhabiller, je vous attends demain pour huit heures.
Il se rhabille et me dit à demain.
Il nous a tellement excité que je profite qu'Isabelle est pratiquement nue pour une rapide partie de jambes en l'air.

Le lendemain, nous reprenons de bonne heure.
Isabelle est devant lui en petite tenue. C'est une très belle femme aux longs cheveux blonds et au regard rieur
Il reprend la pose et comme hier, nous revoyons l'incroyables spectacle de se sexe se transformant en obélisque de chair.

Je reprends mon travail. Henri prend conscience de la perversité de sa situation. Son excitation n’en est qu’exacerbée. Il s’offre en spectacle, ne laissant rien secret de son corps à notre couple qui admire ses seules richesses, sa plastique et sa sensualité, ma femme se dévoile en retour dévorant des yeux la marchandise.

- Savez-vous, Henri que je trouve votre anatomie merveilleuse, et me regardant me demande. Tu ne vois pas d’inconvénient à ce que je soulage un peu ce modèle qui semble manquer d'une aide féminine?
- Vous verrez Henri, assure t'elle en s’adressant à lui, vous passerez de bons moments avec moi. Appelez-moi Isabelle.

Ce faisant, elle s'approche de lui et glisse perversement un doigt entre ses bourses, puis palpe les testicules comme des fruits mûrs qu’on envisage de déguster en bouche.
Je m'exclame outrée par les libertés qu'elle prend avec Henri.
- Laisse-le ! Tu es encore plus perverse que je n’avais imaginé. Tu crois sans doute que le monde est rempli de personnes qui accèdent à tous tes caprices ?
Je reprends mon travail avec acharnement, agacé par ses manières.

Elle glisse la main dans son entrejambe et lui demande.
- Je te plais, je te fais bander?
Sa main gauche a saisit son énorme chibre.
- Je suis sûr que c'est moi qui te fais bander comme un taureau!
Il plonge son regard sur sa poitrine et il lui chuchote:
- Toutes les belles femmes me font cet effet, mais elles ne savent pas à quoi ça les engagent. Vous sentez avec votre main l'effet que vous me faites.
Elle pose délicatement ses lèvres charnues et attirantes sur les siennes. Et comme il se laisse faire, elle lui roule un super patin.

Je la vois lui caresser les pecs, lui peloter les fesses et il a l’air d'aimer. Elle stoppe son baiser quand il lui retire son soutif, découvrant ses seins nus, tendus par le plaisir. Il les masse doucement et l’embrasse dans le cou.
- Tu es superbement baraqué. Tu as des pectoraux magnifiques. Et de fantastiques abdominaux.
Elle caresse le tout d’une main délicate me demandant de prendre des photos.
- Waooow… Et quelle putain de bite tu as! Elle fait combien?
- 24 centimètres de long et 6,3 de large.
- J’en n’ai jamais vu d’aussi belle!

Isabelle est sans complexe. Mais je suis d'accord avec elle, je ne peux qu'observer la beauté de ce sexe. Il est énorme. Des veines grosses comme mon auriculaire courent le long de sa hampe. Complètement décalotté, son gland congestionné ressemble à une grosse prune. Ses couilles, deux beaux fruits hirsutes, tapotent entre ses cuisses.
Il saisit son énorme tuyau d'une main et commence à jouer avec son prépuce, calottant et décalottant son gland. Il ne parle pas continuant à lui sourire, il semble dire :
« Tu es vraiment bandante, regarde ce que je vais te mettre, tu vas la prendre jusqu'au bout ». Puis, jugeant que ce petit intermède a assez duré, il la force à s'agenouiller et approche sa tête de son chibre.

Et de fait, elle se met immédiatement à l’œuvre en prenant l’immense sexe dans sa main droite et en commençant par promener ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe et les testicules. Mais il a une toute autre idée en tête. Il veut pénétrer immédiatement à l’intérieur de la bouche et le lui dit sans ménagement, la baiser par la bouche.
- Ouvre ta bouche !
Elle obéit et écarte ses lèvres. Il la pénètre sans ménagement allant le plus loin qu’il peut à l’intérieur. Elle le repousse. Il se retire une seconde et repart immédiatement à l’assaut faisant pénétrer son engin jusqu’au fond de la gorge.

J'ai lâché mes pinceaux et me branle en les regardant.
Il le maintient un moment, comme s’il veut qu’elle s’habitue à la présence du monstre, et le ressort une autre seconde et recommence comme cela cinq ou six fois, puis l’attrape par les cheveux pour qu’elle ne puisse pas fuir et se met à la tirer avec fureur. Je vois les yeux d'Isabelle se remplirent de larmes. Elle a mal à la gorge, devient toute rouge et semble prête à s'évanouir.
Il ressort complètement de sa bouche pour lui permettre de respirer. Elle tousse très fort et ne peut se retenir de cracher, son pieu frétille de désir de retourner à l’assaut de la bouche. Il repart à l’intérieur avec la même fureur qu’auparavant.

Elle le regarde avec ses yeux larmoyants, son nez qui coule et sa bouche qui crache sur le sexe qui vient de ressortir, lui envoyant un pauvre sourire de chienne battue, et rouvre sa bouche pour qu’il recommence. La scène dure une éternité, jusqu’au moment ou je le vois se raidir et pousser un énorme gémissement de plaisir. Il est entrain de jouir.

Il éjacule une première fois à l’intérieur de la bouche d'Isabelle qui avale difficilement tout le sperme qu’elle vient de recevoir. Il déverse en des giclées interminables le reste de son foutre sur le visage, le cou et la poitrine de la femme soumise, elle est littéralement couverte de sa semence.
Je ne peux me retenir et éjacule à mon tour, jaloux et envieux, je fais petit garçon à coté de lui et ne peux pas concurrencer une éjaculation pareille.

Il l'écarte de son bélier toujours en érection. Cet homme a un os à la place du sexe! Il ne débande même pas! Son merveilleux manche est dressé vers le plafond, tel un sabre menaçant. Je bave littéralement en le regardant. Il est tellement beau ! Tellement vigoureux!

Je viens de prendre conscience que jusqu’à maintenant, il ne s’est pas du tout occupé d’elle.
Il s'assoit sur un fauteuil à côté de moi, me regarde dans les yeux et demande à Isabelle de bien vouloir l'enjamber en lui tournant le dos, elle s'exécute.
Sa chatte est juste au dessus du gland qui lui effleure le bas de ses lèvres à travers sa culotte, elle veut s'empaler, mais il la retient par la taille lui murmurant de ne pas être si pressée.
Il la laisse descendre un tout petit peu, son gland a un peu de difficulté à s'insinuer en elle, poussant le tissu. Il la retient et se retire, ses mains lui caressent le dos.

Il la reprend à la taille et commence à l'empaler sur son pieu pointant vers le ciel. Le gland s'enfonce un petit peu plus profondément que tout à l'heure poussant le tissu arachnéen, elle écarte les jambes au maximum. Il appuie brièvement d'un coup sec sur les hanches déchirant le mince rempart de tissu sous la pression de son pal qui gagne six centimètres à l'intérieur de son fourreau en feu.

Il commence alors un lent va et vient sans chercher une pénétration plus profonde. Des ondes de chaleur traversent le ventre d'Isabelle. Il continue un petit moment ses allées et retours puis jugeant le passage assez élargi, il pousse d'un seul coup son énorme engin de quatre ou cinq centimètres plus profondément puis stoppe tout mouvement.
Elle grogne de plaisir, je regarde entre ses jambes et je m'aperçois que seulement la moitié de la grosse bite est à l'intérieur de sa chatte, ça me rends fou d'excitation et rebande à nouveau. Elle commence alors à tortiller des fesses, de droite à gauche, puis de haut en bas, à chaque mouvement, je la vois obligée de forcer, le sexe monstrueux entre doucement dans son vagin.

Son plaisir est intense, son ventre en feu, sa respiration courte et saccadée.
Elle sent les mains d'Henri s’emparer de ses hanches et essayer fébrilement de les tirer vers le bas pour faire pénétrer encore plus profondément son sexe dans son vagin.
Elle résiste un long moment pour accroître son désir, puis brusquement, fait descendre son bassin et s’empale d’un seul coup sur son sabre.
Elle sent le manche entrer en force dans son vagin qui, de ce fait, moule parfaitement son membre, frotter vigoureusement la paroi et aller loin, très loin à l’intérieur tellement il est long.

Elle a son tison incandescent en elle mais la brulure ne fait pas mal. Au contraire, elle lui procure une forte sensation de plaisir. Elle se met à faire monter et descendre son bassin à son rythme, en jouant avec le plaisir de l'homme. Mais Henri est très résistant et les minutes s'ajoutent aux minutes.

Quand elle sent qu’il est sur le point de jouir à nouveau, elle ralentit le rythme jusqu’à ce qu’il se calme et reprend le mouvement, montant et descendant le long de cette tige d'acier, tirant de lui des gémissements de plus en plus forts.
Je m'approche d'eux et présente mon vit à Isabelle, elle me branle comme elle peut tressautant de partout.
Henri est en dessous d'elle la relevant et l'empalant, il pousse à chacune des pénétrations un han! De bûcheron, accompagné d’un gémissement de plaisir.
Chacun de nous est plongé dans son plaisir en attendant le déferlement d’une jouissance paroxysmique que nous sentons proche.
Je n'y tiens plus et une formidable jouissance vide mes bourses sur le ventre de ma femme.

Au moment où le plaisir a atteint un tel degré d’intensité qu'elle ne peut retenir son orgasme qui déboule, tel un torrent en furie.
Elle hurle son bonheur, en lui ordonnant d’intensifier ses coups de boutoir, poussant un énorme râle et perdant presque connaissance. Sa respiration devient rapide et saccadée et le rythme de son cœur atteint un maximum insupportable.
Elle est la deuxième à jouir, à produire des litres de cyprine et s’écroule fourbue sur Henri qui doit employer toutes ses forces pour la maintenir assez haut pour continuer à faire aller et venir son sexe dans un vagin inondé.

Henri éjacule une quantité incroyable de sperme brulant, épais et visqueux à l’intérieur de sa grotte d'amour. Le foutre ressort et coule en dehors, expulsé par les allers-retours de son sexe dans la gaine féminine allant rejoindre tout le jus qui est sorti de sa chatte pour s’étaler sur le pubis d'Henri et sur le fauteuil.

Il la soulève toujours emmanchée sur son rostre, se retire d'elle et la repose en douceur dans le fauteuil puis se retourne vers moi implorant mon assentiment pour la suite.
Sa verge est toujours érigée, il vient pourtant de jouir deux fois de suite !

Il est visiblement harassé mais heureux, il l’enlace à nouveau et lui donne un baiser plein de tendresse sur la bouche.
Son monstrueux sexe toujours en pleine érection s'appuie sur elle, il est vraiment impressionnant. Le désir d'Isabelle de se voir envahir à nouveau par cet énorme rouleau la rend folle.
Il lui parle à l'oreille.
- Tu sais, j'ai envie de toi, ma queue rêve de rentrer dans ton petit cul.

Elle cède à sa demande.
- J’aime qu’on me parle comme ça. Montre-moi ce que tu sais faire, Henri.
Il la retourne et son énorme sexe effleure le bas du dos, il s'est positionné entre les deux globes de ses fesses. Je vois la cyprine commencer à suinter de sa chatte.
Il fait doucement plusieurs va et vient sur sa peau nue, cela l'excite au plus haut point.
Elle se frotte au sexe en érection dans son dos, essaie de l'attraper d'une main mais il se recule. La frustration la gagne.
- Fais-moi monter au septième ciel! S'écrie Isabelle.

Il s'agenouille et commence par lui lécher la rondelle, elle adore ça. Il écarte les deux globes doucement et fait glisser sa langue le long de la raie. Ses poils blonds sont soyeux et cette partie du corps de ma femme est sensible.

Il descend vers la chatte, remonte vers l’anus, caresse ses fesses rebondies. Sa salive rend l’opération de plus en plus simple et la rondelle palpite sous les coups de langue. Il approche au fur et à mesure de l’entrée du cul. Y glisse sa langue légèrement râpeuse.
Elle sursaute de plaisir. Il commence alors à le pénétrer en raidissant sa langue.
C'est un véritable expert car il arrive à sortir 10 centimètres de langue à chaque fois qu’il broute un cul ou une chatte.
Elle gémit de plus en plus, ne s’attendant pas à se faire pénétrer aussi loin par cet organe. J'ai l’impression de voir une petite bite qui l’encule, mais une petite bite qui sait fouiller aux bons endroits pour prendre son pied.

Henri joue avec ses sens, revenant des caresses à la pénétration linguale et vice-versa. Quand il sent qu'elle est prête il présente alors sa grosse queue et pénètre doucement en elle lui arrachant un petit cri de douleur.
Passés les cinq premiers centimètres, Henri sent que cela glisse mieux. Jamais un engin pareil ne l’a pénétré, il est large, il est long et très dur et ça lui fait mal!
Puis, la bite rentre à la moitié de sa taille. Puis aux trois quarts. Isabelle a déjà plus de 16 centimètres dans le cul et ça n’est pas fini!
Lorsqu’enfin la grosse matraque est entièrement rentrée, elle respire. Il se penche sur elle, presque tête contre tête.

- Est-ce que tu es prêt pour l’assaut final, Isabelle? Lui souffle Henri.
- Putain, oui! T’es pas monté comme un âne, t’es monté comme un taureau!
Uniquement en faisant jouer son bassin, il commence à ramoner son arrière-train. Elle n’en peut plus, il accélère le rythme, faisant claquer ses grosses burnes contre ses fesses, elle grimace sous les coups de boutoir.

Ca me fait un tel effet que j'ai de nouveau la trique.
Elle est en train de prendre un pied immense. L’assaut est intense. La sueur coule sur leurs deux corps.
Il se redresse légèrement et s’enfonce encore plus en elle. Sa bite est de plus en plus dur, il va de plus en plus vite et elle gémit de plus en plus fort.
Je sens bien que le final est en cours. Henri s’agite comme un fou et soudain dans un cri de bête, lâche une troisième fois sa semence.
Un liquide chaud et abondant se répand au plus profond des entrailles de ma femme, il me semble qu'il ne s'arrête pas d'éjaculer, lui aussi grogne de plaisir, en enserrant fortement les seins d'Isabelle qui s'est couchée sur lui.
Je communie avec eux et lâche moi aussi ma semence sur les deux corps emmêlés.
Ils se regardent et s’embrassent tendrement.

Elle se désaccouple de son étalon et se baisse pour nettoyer sa queue à coups de langue. Elle a à peine débandée et en moins d'une minute sous sa langue et dans sa bouche elle retrouve sa dureté ferrugineuse, quel mâle!

Il la relève la tenant fermement aux hanches, la soulève et poussant son avantage la laisse retomber sur sa verge l'empalant sur son énorme sexe d'un seul coup jusqu'au fond de sa chatte, elle crie de plaisir.
Chaque fois que le sexe de l'homme entre un peu plus profondément un petit cri s'échappe de sa bouche.
Puis tout a coup elle sent ses burnes frapper la fourchette vulvo-anale et comprend qu'elle a englouti entièrement la monstrueuse colonne de chair.
Maintenant que son sexe a pénétré entièrement son vagin, il accélère de plus en plus le mouvement, un tout petit peu plus brutalement, mais ce n'est pas pour lui déplaire.
- Oh oui! Encore plus profond dans ma chatte! Je suis bouillante! Oh oui! Oh oui! Oh ouiiiiiii!
Son corps est luisant de sueur. Il la défonce comme un fou, faisant entrer et sortir à un rythme incroyable sa queue dans sa chatte. Son énorme bite s’active de plus en plus.
- Alors, elle te plaît ma grosse queue?
- Oui, Henri! Elle est superbe! Prends-moi plus loin! Enfonce-toi en moi! Continue! J’en peux plus, tu es un sacré baiseur.

Il sourit à son tour et rétorque:
- Merci. Mais je dois avouer que l’élasticité et la longueur de ton vagin y sont pour beaucoup. Avec toi, je me sens inspiré comme jamais je l’ai été. Tu es ma muse. Quand tu me regardais nu hier, je te désirais à mourir et tu m'a fais attendre une éternité avant que je puisse assouvir mon désir.

Henri l’embrasse à pleine bouche. Puis après ce baiser fougueux, il met ses mains sous les cuisses de ma femme et la soulève du sol, elle est suspendue à lui, ses deux jambes entourent sont bassin et ses pieds se croisent au dessus de ses fesses de son amant.

Il commence alors une série de va et vient extrêmement rapides, ses bourses rebondissent avec force sur ses fesses. Il la prend de plus en plus sauvagement. Le plaisir monte à l'intérieur de son ventre, il accélère encore le mouvement, je sens la vague du plaisir la submerger.
L'atelier résonne de l'écho de ses cris, son vagin se contracte enserrant fortement le sexe monstrueux, son orgasme est tel, que je crois qu'elle va s'évanouir. Elle couine complètement investie par le pieu qui la besogne pendant une dizaine de minutes.

J'entends gémir Henri, son souffle s’accélère.
Moins de trente seconde après, Isabelle reçoit une énorme giclée dans la chatte, puis une deuxième giclée très abondante avant qu'Henri retire son pieu. Sa chatte déborde d'une quantité incroyable de sperme. Elle est cramponnée à lui et jouit comme je ne l'ai jamais vu jouir de sa vie.
Durant son orgasme, Henri continue à éjaculer pendant un temps qui me parait interminable, sa queue est coincée entre les deux corps. Isabelle reçoit d'abondantes giclées sur le ventre, les seins, l'ensemble du visage. Cela n'en finit plus.

Son œil droit ne voit plus, aveuglé par sa semence. Tout son corps est ruisselant de sperme et il en arrive encore et encore. Enfin, les jets se sont faits moins drus et la source se tarit. Je vois enfin sa bite débander doucement.
Il la repose au sol, elle tient à peine sur ses jambes. Je n'y tiens plus et m'agenouille devant lui et commence à sucer la grosse queue du mâle si viril, encore couverte de sperme.

J'ai du mal à en engloutir la moitié, même comme ça, la longueur a diminuée mais pas le diamètre, elle est toujours très grosse. Il a vraiment une bite de cheval, ce mec!

Henri se laisse faire, la main derrière ma tête. Je caresse ses pectoraux et ses abdominaux en sueur et suce à genoux l'immense queue la bouche grande ouverte, j'aspire ce colosse.
Je le pompe tout en me masturbant. Il lui faut un peu plus de temps pour parvenir à rebander mais il remet encore une fois le couvert.

Isabelle s'exclame ravie du spectacle en prenant ma bite en main.
- Ah, les acteurs porno, de sacrés partenaires toujours près pour tourner la scène suivante!
Il maintient ma tête, la bouche empalée sur la colonne de chair.
Je ne tiens pas longtemps sous la masturbation d'Isabelle et crache encore quelques gouttes mais mes bourses sont vides.

Je dois toutefois utiliser tout mon art et persévérer presque 20 minutes pour qu'il lâche une ultime jouissance, son gland n'est pas profondément enfoncé et je peux avaler ses giclées au fur et à mesure de leurs arrivées. J'en ai compté encore quatre puis il y en a eu encore deux moins puissantes.

Henri est complètement vidé, il nous a ravis au-delà de nos espérances.
On reprendra demain pour finir le tableau…. Ou pour reprendre nos ébats torrides….

Je sais qu'une amie peintre, Pierrette, est en train de préparer une exposition dont une partie a pour thème uniquement le nu, aussi bien féminin que masculin.

Elle est à la recherche de modèles sortant de l'ordinaire, je vais lui recommander Henri.
Elle ne pourra pas être déçue avec un tel étalon!



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