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Mon entreprise avait été rachetée quelques mois plus tôt par une grosse PME de la région parisienne
La nouvelle direction souhaitait développer l'activité et le PDG s'était installé dans ma région.
Malgré notre différence d'âge, il avait 65 ans et moi 30, nous avons rapidement noué de très bonnes relations de travail et même presque amicales.
Je l'avais aidé à trouver une maison et facilité les démarches auprès des autorités locales.
Un matin de juin, il me demanda de passer dans son bureau.
«J'ai un service à vous demander. Comme vous le savez, je ne suis propriétaire que de 60% des parts de l'entreprise, le reste appartient à ma sœur qui habite à PARIS.
Elle doit venir pour le conseil d'administration de la semaine prochaine et a décidé de rester quelques jours pour visiter la région.
Je vous demande si vous le voulez bien de la prendre en charge pendant son séjour, mon épouse, en raison de son état de santé ne peut s'en occuper.
Est vous d'accord ? »
« Bien sur, je demanderai à mon épouse de s'en occuper. »
« Excellente idée, elle arrivera mardi prochain et restera jusque vendredi. Je vous donne congé pour ces quatre jours, faite lui visiter les environs, et occupez la. Pour tout vous dire, elle ne s’intéresse guère à nos affaires et je n'aime pas trop l'avoir dans mes jambes.
Vous avez carte blanche, bien entendu vous utilisez votre carte bancaire professionnelle.
Réservez lui une chambre au domaine du PUY, elle y sera mieux qu'à la maison »
Le soir même j'en parlais à mon épouse VERONIQUE qui fit un peu la tête, n'ayant pas trop envie de s'embarrasser de cette personne.
Malgré ses réticences elle accepta.
Le mardi à 18 heures, je l'attendais à l'aéroport.
Ne la connaissant pas j'avais un écriteau sur lequel j'avais écrit son nom.
Il n'y avait qu'une vingtaine de passagers sur ce vol et j'essayais de la chercher du regard.
Je ne voyais personne qui puisse correspondre quand une main me tapa sur l'épaule.
« Bonjour, je suis ISABELLE MORY »
Je me retournais et découvrit une grande femme d'environ 40 ans, vêtue d'une jupe courte, d'un chemisier largement ouvert, laissant deviner la naissance de ces seins.
Devant mon air ahuri elle éclata de rire.
« Vous avez l'air étonné, je suis bien la sœur de JACQUES. Il a 23 ans de plus que moi, et en fait c'est mon demi frère, à la mort de son épouse, il s'est remarié avec ma mère qui a 20 ans de moins que lui et je suis née 2 ans après »
« Je vais vous emmener à votre hôtel ou je vous ai réservé une suite et ensuite nous passerons prendre mon épouse et nous irons dîner dans un restaurant en bord de mer »
« Parfait, merci »
Je pris ses bagages et me dirigeais vers le parking.
Arrivés à l'hôtel je lui proposais de l'attendre à la réception le temps qu'elle monte ses bagages et se prépare pour le dîner.
« Montez avec moi, vous prendrez un verre en m'attendant et vous me parlerez un peu de la région »
La suite était au second étage et avait une vue magnifique sur la mer.
Une fois le bagagiste parti, elle alla dans la chambre et commença à défaire sa valise et ranger ses vêtements dans le dressing.
Je m'étais installé dans le salon et servi un whisky.
Je l'apercevait aller et venir dans la chambre dont la porte était restée ouverte.
« Je vais prendre une douche avant le dîner, le voyage m'a fatiguée. »
« Vous avez le temps, j'ai réservé pour 20h 30 si cela vous convient »
« C'est parfait »
Elle laissa la porte ouverte et commença à retirer ses vêtements.
En quelques instant elle fut entièrement nue et j'en profitais pour mater son corps.
Elle était bronzée intégralement, ses seins étaient petits et fermes, ses fesses hautes et sa chatte, qu'aucun poil ne cachaient , bombée.
Elle se dirigea lentement vers la salle de bain et j'entendis l'eau se mettre à couler.
Je buvais tranquillement mon verre pensant au corps magnifique que je venais de voir et mon esprit vagabondait.
Après un long moment, j'entendis la porte de la salle de bain s'ouvrir et elle fit son apparition ,vêtue d'un peignoir largement ouvert.
« Vous voulez bien me servir un verre s'il vous plaît, je vais m'habiller»
Le même manège recommença et elle prit tout son temps pour choisir ses vêtements.
Elle mit un string et un soutien gorge blanc qui mettaient en valeur son bronzage et enfila une robe courte en lin qui laissait deviner ses formes.
J'en profitais pour envoyer un message à mon épouse :
« J'arrive dans 20 minutes, tu vas être étonnée de voir la sœur de mon patron, habilles toi sexy, tu comprendras vite pourquoi »
Après avoir terminé notre verre, nous sommes partis chercher mon épouse qui nous attendais devant la maison.
Elle avait suivi mes conseils et je dois dire qu'elle s'était surpassée.
Elle portait une longue robe bleu clair, fendue très haut sur la cuisse et largement décolletée.
Je lui connaissait cette robe et savait qu'elle ne portait jamais de soutien gorge lorsqu'elle la mettait.
Je fis rapidement les présentations et me dirigeais vers le restaurant.
A notre arrivée, c'est le patron qui nous accueillit et nous installa à sa meilleure table à la terrasse.
Tous les convives se retournèrent sur le passage des deux femmes, les détaillant avec des yeux de convoitise.
Le repas fut de grande qualité et la conversation roula sur la région, ISABELLE nous interrogeant sur nos loisirs et la vie dans notre ville.
Le vin aidant, les deux femmes étaient devenues les meilleures amies du monde.
A la fin du repas, alors que nous nous apprêtions à partir, VERONIQUE me demanda de passer par la route du bord de mer afin de faire découvrir à ISABELLE la vue sur les îles voisines.
Je roulais lentement et nous profitions de la douceur du soir.
Arrivés au bout de la grande plage, ISABELLE me demanda de m'arrêter pour aller faire quelques pas sur le sable.
Elle continuait à parler avec ma femme et se tenaient par le bras comme deux vieilles copines.
« J'ai envie d'aller me baigner, ça te dirait, VERONIQUE »
« Si tu veux, il fait bon et la mer est chaude en ce moment, allons y »
En quelques secondes elle se mirent nues et se dirigèrent vers l'océan.
« Tu viens, chéri, l'eau est bonne »
J'hésitais à peine, retirais mes vêtement et le rejoignit, nu, dans l'eau.
VERONIQUE tournait autour de moi, faisant exprès de me frôler.
Malgré la fraîcheur de l'eau, je sentais ma queue commencer à prendre du volume.
Les deux femmes semblaient prendre beaucoup de plaisir et riaient tout en s'aspergeant.
Au bout d'une dizaine de minutes elles décidèrent de sortir de l'eau.
J'étais un peu gêné de mon érection qui n'avait fait que se développer mais je comptais sur la pénombre pour qu'elles ne le remarquent pas.
Manque de chance la lune, qui était cachée derrière un nuage apparut.
ISABELLE fut la première à remarquer que je bandais :
« Je ne pensais pas que l'eau froide avait cet effet la » dit elle en fixant mon entrejambe.
« Ce n'ai pas l'eau froide, j'y ai contribué » répondit VERONIQUE ;
« Tu as de la chance d'avoir un homme comme lui qui à l'air d'être toujours prêt et qui en plus a été bien doté par la nature »
« Je n'ai pas à me plaindre » répondit VERONIQUE en me prenant la bite, « si tu veux on peu partager »
ISABELLE ne se fit pas dire deux fois, s'approcha de moi et commença à me caresser les fesses.
Bien entendu, je me laissais faire trop heureux d'être avec deux belles femmes attentionnées.
ISABELLE se mit à genoux et commença à passer le bout de sa langue sur mon gland.
VERONIQUE était debout et m'embrassait à pleine bouche.
Je vis sa main descendre vers la tête d' ISABELLE et la pousser doucement vers ma bite qu 'elle engloutit jusqu'aux couilles.
Elle me suçait d'une façon fabuleuse, absorbant et relâchant ma queue avec de grands mouvements.
Relâchant ma bite elle se tourna vers la chatte de VERONIQUE et y pénétra la langue.
Je la sentis frémir sous la caresse.
Je regardais avec un grand plaisir ma femme se faire sucer par une autre femme.
Je me baissais doucement et fis glisser la bite entre les fesses d' ISABELLE qui écarta les jambes pour que je le pénètre profondément.
Ma queue entrait sans effort et mon ventre butta sur son cul.
. Je commençais a aller et venir en elle de plus en plus rapidement.
Elle continuait de lécher la chatte de VERONIQUE qui se trémoussait.
Me retirant de ce cul accueillant je fis basculer ma femme sur le dos et la pénétrais.
VERONIQUE en profita pour entre deux doigts dans mon cul et le branler avec vigueur.
Elle avait posé sa chatte sur la tête de VERONIQUE qui lui suçait le bouton.
Sentant que j'allais jouir, je changeais de nouveau de partenaire pour que notre invitée puisse profiter de ma semence.
Je jouis à longs jets puissants et les deux filles firent la toilette de ma bite trempée de sperme et de cyprine avec leur langue.
Après cette bonne baise, je reconduisit ISABELLE à son hôtel et rentrais à la maison après que les deux filles se soient promis de se retrouver le lendemain soir.
Inutile de préciser que le lendemain la journée de travail me paru assez pénible.
Ces trois jours que je redoutais se sont transformés en trois jours de baise effrénée.
Régulièrement, lorsque je me rends à PARIS pour mon travail je rend une petite visite à ISABELLE qui n'a rien perdu de son sens de l'accueil
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Ecrit par ARCAY
Parue le 17 juin 2014
