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La glissade 3

Ecrit par Tonton Gabriel
Parue le 11 février 2024
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Cette histoire érotique a été lue 924 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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La glissade 3

pendant que je fais le café, maman me fait griller des tartines qu’elle recouvre de beurre et de confitures. Nous déjeunons côte à côte, cuisse contre cuisse, elle est restée en nuisette et j’ai juste remis un caleçon. Elle ne peut s’empêcher de me tripoter de temps en temps et de mon côté je lui pelote les nichons sous sa nuisette.

Après le petit déjeuner, nous débarrassons la table, puis maman décide d’aller prendre une douche, elle trouve qu’elle sent trop la sueur et le sperme !


Je ne voudrais pas qu’elle fasse une nouvelle chute et nous commandons sur Internet un tapis antidérapant, en attendant je décide de prendre ma douche en même temps qu’elle. Heureusement il y assez de place pour deux. Je commence à la laver et elle me fait de même, je vois qu’elle s’intéresse plus à ma bite qu’à mon dos, quant à moi je m’intéresse à ses fesses.

Je découvre son petit cratère tout plissé tout rose et je le frotte doucement, je le sens pulser sous mes doigts fureteurs.

- Il t’intéresse, mon cul ?
- Ben, heu, il est beau.
- Eh bien, occupe t’en un peu, mets moi un doigt.

Je profite que mon doigt est un peu savonneux pour le glisser dans son fondement, je sens son trou se détendre au fur à mesure que je l’enfonce.

- Oui !, vas y, bouge le ! Fais le tourner !

Je fais des va et vient, je sens son anus s’assouplir et j’arrive à lui mettre un deuxième doigt.

- Ah oui, vas y comme ça, c’est bon.

Je les fais tourner puis je lui baratte le fondement de plus en plus fort. Pendant ce temps elle me branle la queue.

- Mets moi ta bite, maintenant.

En fils bien obéissant je me dépèche d’approcher mon zob et je remplace mes doigts par mon gland qui rentre sans difficulté, mais il faut que son cul se dilate encore un peu, centimètre par centimètre je lui fais rentrer ma queue tandis qu’elle gémit. Quand elle est enfin au fond de son cul, je commence à la faire coulisser doucement. C’est divin. Je n’en reviens pas, je suis en train d’enculer ma mère ! Et elle aime ça !

- Vas y plus fort, n’aie pas peur. Qu’est ce qu’elle est bonne, ta bite !

J’accélère, mon ventre commence à claquer contre ses fesses, elle se branle tandis que je la besogne à grands coups de reins.

- Ah oui, défonce moi !

Je la cogne à grands coups, elle couine, et je gueule en lui remplissant l’intestin de grandes giclées de foutre.

Je reste enfoncé le plus longtemps possible au fond de son rectum, mais je commence à débander et je finis par être chassé de son cul qui se referme lentement en laissant couler un jus coloré.

Après ce délire qui est une découverte pour moi, nous nous calmons et nous finissons de nous laver et de nous rincer, je m’essuie et pars dans ma chambre pour m’habiller.

Quand maman arrive au salon, je vois avec surprise qu’elle a mis un maillot décolleté en vé qui met en valeur la vallée qu’elle a entre les seins. Elle a aussi mis une jupe trapèze qui lui descend à mi cuisses et des bas ou un collant noir, je ne l’avais jamais vue habillée comme ça, habitué à un jean quelconque et un maillot raz du cou.

Le reste de la matinée se passe dans le calme ainsi que le repas. Après avoir débarrassé, je file dans ma chambre, j’ai quelques leçons à revoir.


On sonne, c’est mon copain Marius qui vient me rendre visite. Marius c’est mon copain de toujours, on a grandi ensemble, son père est originaire de la Guadeloupe et il en a hérité sa peau sombre.
je me souviens quand on était plus jeunes, on se regardait la bite, puis on a appris à se branler. On essayait de regarder sous les robes des filles et des maîtresses. Parfois Marius me rapportait des magazines qu’il piquait à son père et où on pouvait voir tout ce qu’on pouvait faire avec des filles, et aussi entre garçons. On a pris l’habitude quand il vient de nous branler et de nous sucer mutuellement mais on n’a jamais osé la sodomie.

Ma mère va ouvrir.

- Salut Marius, tu vas bien ?
- Bonjour madame, oui ça va.

Marius reste scotché devant elle, il la détaille de bas en haut.

- Vas t’asseoir Marius à côté de ton copain. Je vais vous chercher des cocas.

Il la regarde partir, les yeux rivés à ses fesses. Faut dire qu’elle se tortille du cul !

- Qu’est ce qu’elle a ta mère ? Je ne l’ai jamais vue comme ça, elle est habillée drôlement sexy !
- Oui, l’autre jour elle a pris un choc et depuis elle est comme ça.
- Excuse moi de te dire ça, mais elle me fait drôlement bander, je me la ferais bien !
- Peut être, faut voir.

Quand elle revient je vois ses nichons qui se balancent, je suis sûr qu’elle n’a pas mis de soutif. Elle se penche pour nous donner nos cocas en nous mettant ses seins sous le nez, ils menacent de sortir de son maillot. Puis elle va s’asseoir sur le fauteuil en face.
Marius est abasourdi, mais je vois que son pantalon commence à se déformer. Le mien aussi d’ailleurs.

Pendant que nous sirotons nos cocas, je vois qu’elle commence à nous faire des effets de cuisses, elle les croise, elle les décroise, au début de façon décente, puis de plus en plus provocante, ce qui fait que je vois d’abord qu’elle a mis des bas autofixants, puis comme elle ouvre de plus en plus ses cuisses, je vois qu’elle n’a pas mis de culotte, puis qu’elle s’est complètement épilée. Marius et moi nous n’en pouvons plus, nous nous tripotons la bite à travers nos pantalons.

- Alors, les garçons, c’est moi qui vous fais cet effet ? On dirait que vous êtes génés dans vos pantalons.
- Ben, arrêtez de bouger vos jambes, madame.
- Ah bon.

Et elle fait ce que Marius lui demande, sauf que maintenant elle n’a plus les jambes croisées mais légèrement écartées, ce qui n’arrange rien.

- Mettez vous donc à l’aise, enlevez vos frusques.
- Euh, ici ?
- Vous croyez que je sais pas ce que vous faites dans la chambre ? Je le sais que vous vous tirez la nouille, alors qu’est ce que vous attendez ? Mettez vous à poil !

Maintenant on voit nettement le haut de ses cuisses blanches et sa chatte luisante de mouille. On ne perd pas de temps et on se déloque, nos bites se dressent contre nos ventres.

- Branlez vous un peu, tous les deux, que je vous voie.

Je saisis la queue de Marius, je la décalotte et je commence à l’astiquer tandis qu’il me rend la pareille. Maman a les nichons qui pointent à travers son maillot et elle se les caresse en nous regardant.

- Vous êtes beaux, les garçons, et vous avez des jolies bites, ça me fait envie.

Elle se lève et vient s’agenouiller devant nous, elle nous prend la bite dans chaque main et elle commence à nous branler doucement. Elle se penche et commence à nous lécher l’un après l’autre, puis elle prend la bite de Marius en bouche, elle le suce un peu avant de changer et de me pomper à mon tour. Ca me fait penser qu’elle suce un esquimau, chocolat pour Marius et vanille pour moi !

Elle nous pompe chacun notre tour, elle essaie même de prendre nos deux queues mais sa bouche est trop petite, par moment elle frotte nos bites l’une contre l’autre tout en nous léchant. Pendant ce temps nous lui avons sorti les nichons de son maillot et nous la tripotons.

Enfin elle se relève, elle enlève rapidement ses vêtements,

- Lève toi, et viens avec moi, Marius.

Elle le prend par la bite et elle l’emmène dans la chambre, je les suis en admirant leurs culs. Elle s’allonge aussitôt sur le lit et elle attire Marius entre ses cuisses, elle lui prend la bite et se la frotte sur sa chatte, enfin elle la guide entre les lèvres.

- Vas y pousse, rentre la bien au fond.

En deux ou trois mouvements des reins, il la pénètre jusqu’au fond puis il reste un moment sans bouger, couché sur elle puis elle le prend par les fesses pour le faire bouger.

- Mmmm !, j’aime bien ta bite, elle me remplit bien, vas y, baise moi bien, comme ça, oui, plus fort !

Il commence ses va et vient, je regarde sa grosse bite noire coulisser dans la chatte rose toute étirée de ma mère et je me branle en cadence. Ma mère commence à gémir pendant que Marius la pistonne, le lit danse et craque en rythme avec le couple, je regarde de près entre les cuisses, je vois les couilles de Marius taper sur le cul de ma mère, il la baise de plus en plus fort et de plus en plus vite, elle crie la bouche ouverte en le cramponnant entre ses jambes nouées.

Marius halète et grogne en se bloquant au fond de son vagin, sa bite est animée de spasmes tandis qu’il la remplit de son sperme.

Il reste ensuite sans bouger mais je le pousse pour qu’il me laisse la place, je n’y tiens plus, il se met sur le côté et je viens aussitôt entre les cuisses de ma mère et j’enfonce ma queue dans sa moule béante. Ca glisse tout seul dans son vagin inondé de sperme et de mouille, je la défonce dans des bruits de clapotis et de sommier torturé.

Je suis maintenant pris de frénésie, ce n’est plus ma mère mais une femelle que je déglingue à grand coup de bite, je cogne au fond de son vagin, elle émet une plainte continue, ses nichons sont secoués dans tous les sens.

Marius nous regarde, les yeux exorbités, il n’a pas débandé et se branle comme un malade.

J’atteins vite le point de non retour et j’injecte mon foutre au fond de son vagin en plusieurs giclées.
Quand enfin je me retire de son vagin béant, un flot de sperme coule le long de ses fesses.

Maman est à moitié dans les vapes et Marius en profite pour remettre ça, il l’embroche de nouveau sans qu’elle réagisse vraiment. Il me vient une idée.

- Retourne la, Marius, mets la sur toi.

Je l’aide et j’écarte bien les cuisses de maman tandis qu’il renfonce sa bite, alors je viens entre leurs cuisses, je prends ma bite et je viens la glisser le long de celle de Marius dans le vagin dégoulinant.

- Ah non ! Salauds ! Deux bites dans ma chatte ! Vous allez me faire mourir !

Elle couine tandis qu’on la baise, bien coincée entre nous deux, nous avons synchronisé nos va et vient pour bien rester dans sa chatte.

- Ah ! Salauds ! Vous me faites trop jouir ! Finissez vite !

Nous continuons de la besogner un moment puis finalement je décharge en retirant ma bite tout mon foutre sur la bite et les couilles de Marius. Il dure un peu plus longtemps mais finit par lui injecter une nouvelle dose qui regicle en partie à l’extérieur de sa chatte.

Après tous ces excès j’ai les couilles vides et je m’écroule sur le lit, maman se retrouve allongée entre nous deux et elle paraît complètement épuisée. Il n’y a que Marius qui semble encore d’attaque et qui voudrait sodomiser ma mère mais nous lui interdisons.

Enfin la fête est finie, mon père rentre demain de son chantier.






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