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La mère de mon cop'

Ecrit par Marc
Parue le 10 décembre 2017
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 2653 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Aujourd'hui j'ai 32 ans et à l'époque j'avais 17 ans. Mon camarade Eric a eu un accident et je suis allé le voir à la clinique. Il était immobilisé et m'a demandé de passer chez sa mère pour lui remettre une lettre qu'il avait écrit. Je connaissais sa mère depuis peu mais pour faire plaisir à mon ami je me suis rendu à la maison de ses parents.
Je fus accueilli par cette mère que je regardais d'une autre manière et je la trouvais jolie. Sur le pas de la porte je lui tendis la missive que m'avais donnée son fils. Elle la prit et m'invita à entrer. Je n'avais pas beaucoup de temps mais acceptais. Elle me conduisit dans le salon et me fit asseoir sur le canapé. Elle me quitta, alla chercher le café et les tasses avec soucoupes et s'installa à côté de moi.
J'étais un garçon timide mais je ne pouvais éviter de regarder le décolté plongeant de ma voisine qui offrait des rondeurs appétissantes.
Elle s'en aperçut et au fil de la conversation je pouvais voir ses cuisses se dévoiler peu à peu, sa jupe remontant. J'étais troublé et ne pouvais m'empêcher de rougir mais mon regard ne pouvait se détacher de ce spectacle qui m'excitait. Toujours nonchalamment, elle posa sa main sur le haut de ma cuisse. J'étais figé et mon jean' déformé trahissait mon excitation. Sa main bougea et finit par se poser sur la bosse. Ni elle, ni moi ne prononcions un seul mot. Elle caressa la bosse longuement et se mit à baisser le zip de ma braguette. Je la laissais faire et je dus faire un énorme effort pour ne pas jouir. La main était douce et précise. Je me laissais glisser sur le bord du canapé et elle finit par baisser mon slip faisant jaillir mon sexe de sa prison. Elle s'extasia saisit ma verge tendue et commença à me branler lentement. Je voyais la main monter et descendre, décalottant et recalottant mon gland rond et lisse. Enfin, elle se pencha et commença à donner des petits coups de langue sur le méat avant de gober mon gland en aspirant légèrement. j'étais aux anges, ses longs cachaient le spectacle de sa bouche me suçant. tout en suçant, elle baissa mon jean' et sa chevelure caressait mes cuisses nues. Sa bouche était douce et avait l'air de se régaler comme si elle léchait un chocolat glacé. D'une main elle maitrisait ma tige s'absentant de temps à autre pour gober mes boules l'une après l'autre et les faire rouler sous sa langue. Ma bite dans sa bouche elle se déshabilla, enlevant chemisier, jupe et soutien-gorge et enfin éliminant sa petite culotte. Je découvrais son corps lourd mais charmant. Ses fesses rondes bougeaient avec le mouvement, j'étais super excité !
Elle se releva et je découvris sa chatte légèrement poilue et bien dessinée. Elle s'allongea sur la canapé, reprenant ma queue avec sa bouche et m'offrait sa chatte largement ouverte et suintante de cyprine que je m'empressais de lécher. Je découvrais et j'ai été surpris pour son bon goût. Tous les deux nous ondulions du bassin lâchant des gémissements de plaisir. Son jus coulait entre ses lèvres et mon visage était inondé. Trop excité je laissais ma bite exploser et elle avala tout mon jus avec avidité. Quelques secondes après je l'entendis hurler et se raidir coinçant ma tête entre ses cuisses.
Je continuais à lécher ses lèvres empoissées mais elle me repoussa car elle était au bout de sa jouissance. Néanmoins nous sommes restés dans cette position un long moment, elle avait gardé mon sexe dans sa bouche et donnait quelques aspirations succinctes comme pour ne rien perdre. Enfin, elle se leva, nue devant moi me regardant avec tendresse. À cet l'instant là, je venais de comprendre que j'avais fait l'amour à la mère de on copain. Elle me demanda si j'avais aimé et à ma réponse elle m'invita à revenir quand l'occasion se représenterait. Cette occasion ne se renouvela pas.


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