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Le pont

Ecrit par SteeBlack972
Parue le 02 juin 2010
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 6221 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Le pont

Cela faisait une semaine que Sophie et Antoine étaient en vacances en Martinique. Aujourd’hui, en ce samedi matin, ils avaient décidé de visiter la commune de Grand-Rivière située en plein Nord Caraïbe de l’île.
Leur voiture était garée sur le bas côté de la route non loin du grand pont qui mène vers cette petite ville pendant que le jeune couple lyonnais prenait des photos du paysage.
- Tu as vu le fossé Antoine ? C’est super impressionnant ! s’exclama Sophie.
- Je comprends pourquoi les gens qui sautent à l’élastique du haut de ce pont disent que c’est trop de la balle.
En effet, ce pont situé au dessus d’un grand vide avait fait parler de lui dans les journaux, dans les années 90, à cause de la mort d’un touriste qui avait pratiqué ce sport à risque.
En retournant à la voiture, nos vacanciers s’aperçurent avec surprise que leur pneu avant droit avait été crevé.
- Je ne comprends pas, nous sommes arrivés jusqu’ici sans problème, s’interrogea Sophie.
- En faite, nous n’avons pas crevé ma puce…quelqu’un vient de le faire. Regardes, c’est une coupure au couteau, dit Antoine en montrant l’entaille à sa fiancé.
Cette dernière apeuré, regarda immédiatement les alentours mais en vain.
- Ce n’est pas grave, il y a le pneu de secours, dit Antoine en rassurant Sophie.
- Tu veux que je d’aide à le changer mon cœur ?
- Merde !? hurla Antoine.
- Qu’est ce qu’il y a ?
- La roue n’est plus là ?
- Quoi ?! dit Sophie en s’approchant du coffre.
- J’étais sûre qu’elle était là et ce, depuis que le véhicule a été loué. D’ailleurs, nous avons effectué les vérifications d’usages ensemble avec le propriétaire.
- Je vais finir par croire qu’il y a vraiment quelqu’un dans les parages Antoine, dit Sophie effrayé.
- Nous étions à l’autre bout du pont tout à l’heure et nous sommes restés là-bas suffisamment longtemps pour que qu’un connard puisse nous faire un mauvais coup, dit Antoine en balayant les environs du regard.
Soudain, un pick-up rouge sortit de nulle part, arriva à leur hauteur.
- Bonjour, vous avez des ennuies ? demanda un homme au ventre imposant.
- Je crois que l’on a crevé volontairement notre roue et volé celle de secours. Vous pouvez nous aider, s’il vous plait ? demanda Antoine.
L’inconnu gara sa voiture juste devant la leur et vint à leur rencontre. C’était un individu d’une cinquantaine d’année, de race noire, avec une barbe et des cheveux grisonnants en broussailles, vêtu d’un t-shirt blanc sentant la sueur et d’un vieux jean délavé dont la braguette était à demi boutonnée.
- Laissez-moi voire ça…Ah ! On vous a pas raté, hein ! Bon ce que je peux faire, c’est vous remorquer jusqu’à Grand Rivière, chez un bon copain garagiste qui va vous réparer ça en moins de deux.
- Ok, on y va alors, dit Antoine.
En à peine trente minutes, nous deux touristes arrivèrent à un garage perdu en pleine campagne. Archimède, qui s’était présenté auprès d’Antoine et Sophie durant le trajet descendit de voiture et alla expliquer la situation à son camarade.
- Allez, venez avec moi, dit ce dernier.
Le jeune couple lui emboîta le pas.
- Salut Roger, je te ramène ces deux métropolitains qui ont crevé sur la route, tu peux faire un truc pour eux.
Roger, était un grand black musclé de 35 ans, très foncé de peau, il avait des cheveux courts, un regard autoritaire, une voix grave, de grosses mains, et il était vêtu d’un jean salit par la crasse des véhicules et d’un t-shirt usagé.
Sortant de dessous une vieille Peugeot, un jeune homme d’à peu près 27 ans qui se prénommait Harry, s’approcha de Roger. Il était mince, ses muscles était secs et apparents, black lui aussi, avec des locks qui cascadaient jusqu’à ses épaules et vêtu d’un survêt bleu.
Les deux hommes dévisagèrent nos deux lyonnais. Surtout Sophie.
- Ok, je peux changer votre roue, dit Roger en regardant leur Twingo blanche.
- Ah super, dit Antoine.
- Merci beaucoup et… combien ça coûte, dit Sophie.
- Ben…ton jolie petit cul de blanche, dit Roger, un sourire au coin des lèvres.
Au même moment Archimède et Harry se mirent à rire de manière inquiétante. Ces derniers s’avancèrent vers le jeune couple qui reculait au fur et à mesure.
- Vous êtes tarés ou quoi ? dit Antoine.
- De toute façon, vous ne pouvez aller nulle part. Vous êtes loin de la ville et encore plus de la d’où vous venez. Alors, laisses-nous goûter à ta petite copine ou on va devoir le faire par la force, expliqua Roger.
Antoine et Sophie avaient des phantasmes mais ne pensaient pas les réaliser de cette manière là. Mais étrangement, Antoine eu une réaction inattendu qui étonna Sophie.
- Attendez les gars. Je vous propose un marché mais laissez moi en parler à ma copine.
Les trois compères se regardèrent.
- Ok, comme tu veux, dit Roger.
- Ecoute ma puce, tu sais que parfois on a envie de ce faire des plans à plusieurs ?
- Je sais mais….
- Ecoutes, s’ils voulaient nous faire du mal, je pense qu’ils auraient fait depuis bien longtemps. Regardes, il s’agit de trois blacks et ils ont l’air d’être bien montés…Allez !...Et si tu veux, je les laisserais vider leurs couilles dans ma bouche, quand dis tu ?
Après une minute d’hésitation, Sophie accepta.
- Ok les mecs, j’accepte mais à condition que vous crachez votre foutre dans ma bouche.
-Aaah ! En faite, il n’y aura pas une salope mais deux. Ok mec, on accepte. Tu ne vas pas être déçu.
Ils les emmenèrent à l’arrière du garage, qu’Harry avait prit soin de fermer pour que personne ne les dérange et allongèrent Sophie sur un vieux matelas se trouvant au sol pendant qu’Antoine était assis sur un tabouret en bois.
- Allez fait nous voire ce qu’il y a sous cette mini jupe, dit Roger en écartant les cuisses de la jeune femme dévoilant ainsi un culotte blanche bien remplie.
- Mmmmmm ! Putain, sa chatte doit être bien épaisse, s’exclama Harry.
Roger caressa l’intimité de Sophie à travers le tissus jusqu’à ce que son sous vêtement sois bien humide. Pendant ce temps, Archimède et Harry, suçaient, léchaient, mordillaient et plotaient les seins de la jeune femme. D’ailleurs, le désir et le plaisir envahissaient Sophie qui gémissaient déjà.
Puis, Roger écarta la culotte et fourra sa grosse langue dans le vagin de la demoiselle. Il lui dévorait littéralement la moule.
Les doigts d’Archimède essayèrent de se frayer un chemin à travers les coups de langue de Roger qui occupait déjà l’intimité de Sophie afin de les tremper dans la mouille de sa chatte chaude et humide, bien lubrifié par la salive de son camarade mélangé au nectar intime de la lyonnaise. Il les ramena ensuite à son nez pour en humer l’odeur puis à sa bouche pour les lécher.
Harry qui s’était entièrement déshabillé occupait la bouche de la jeune fille avec ses 21 cm de queue, qu’elle suçait avec envie.
- Archimède, sors ta queue et défonces moi cette chienne, ordonna Roger.
Celui-ci étant déjà bien raide, il ôta uniquement son pantalon et présenta un énorme gland rose devant la fente de Sophie dont il caressait les lèvres avec son gros champignon durcit par le sang, avant de la pénétrer sous peu.
- Attends, avant de l’enfoncer, laisse le « blanc bec » venir te sucer, dit Roger en faisant signe à Antoine de s’approcher.
Ce dernier ne se faisant pas prier s’exécuta. Il entreprit d’avaler le chibre d’Archimède, mais le jeune homme ne pouvait qu’emboucher le gland, légèrement crasseux et sentant un peu la pisse. Malgré ces 24 cm de chair, large de 6 cm, le jeune français bouffait littéralement ce pieu, salivant abondamment et dévoilant ainsi sa gourmandise pour les grosses queues noires.
- Purée, tu suces et tu lèches comme une « chienasse ». Allez tiens, suces la mienne maintenant, dit Roger en sortant une belle verge d’ébène d’au moins 23,5 cm et surmonté d’un gland de belle taille.
Antoine, ne se faisant pas supplier, engloutit sans tarder la bite qui lubrifiait déjà sous l’effet et les bruits de succions, accompagné de bave dégoulinante.
Pendant ce temps, Sophie criait comme une pute sous les vas et vient violents d’Archimède qui céda ensuite la place à Harry. La bouche de nouveau occupée par une plus grosse queue et le vagin défoncé par une autre de taille moyenne, elle paraissait comblée.
Antoine retourna de nouveau s’asseoir à sa place puis Roger entreprit de prendre la demoiselle en sandwiche, Harry monopolisait son anus, Archimède la bouche et lui-même le vagin.
La scène qui s’offrait au lyonnais était celle de trois blacks maculés de sueur sous l’effet des efforts qu’ils déployaient à ravager la jeune métropolitaine. Elle criait, hurlait de plus en plus fort jusqu’au moment où Archimède se retira le premier et dans un râlement fulgurant déversa une grande quantité de sperme dans la bouche d’Antoine qui attendais déjà le sperme de ces blacks agenouillé au sol en se masturbant frénétiquement la verge.
Le jeune homme avala toute cette semence en prenant soin de bien nettoyer la queue d’Archimède.
- Aaaaahhh ! Je vais jouir…Allez, ouvres ta bouche salope. Oooh ouuuiiiiiiiii ! gémit Harry à son tour, la bite au fond de la gorge d’Antoine.
Sophie était à présent à quatre pattes sur le canapé se faisant toujours prendre par Roger qui limait cette fois-ci son anus comme un enragé. A tel point que les muscles très prononcés du corps athlétique du black, se crispaient. Aussi, sous ses assauts, la jeune fille criait si fort qu’on risquait de l’entendre à l’extérieur.
Puis le plaisir commença à monter, le souffle de la brute s’accéléra et dans un long gémissement rauque, Roger expulsa 5 à 6 jets de sauce blanche dans le cul de Sophie. Il se retira lentement en demandant à la jeune femme de rester dans cette position.
- Allez mec, viens boire mon foutre…Et toi p’tite cochonne, pousses mon jus, pour que ton copain puisse tout avaler.
La bouche ouverte et la langue tirée, Antoine ingurgita le long filet de sperme qui dégoulinait du trou anal de sa copine et termina en nettoyant la grosse queue de Roger.
La pièce sentait la sueur, le sexe et le sperme.
- Ok mec, chose promise chose due. On t’arrange la bagnole et tu pourras partir avec ta copine, dit Roger en se rhabillant.
Une fois la voiture réparée, Antoine et Sophie ont pu repartir vers le Sud de l’île. Durant le trajet, un long silence alourdissait l’atmosphère, jusqu’à une question que posa Sophie.
- Dis Antoine, que nous auraient-ils fait, si nous avions refusé leur marché ?
- Je ne sais pas ma puce ? L’essentiel, c’est que l’on n’est pu prendre notre pied.

Roger déposa un outil sur une vieille table et s’assit sur son vieux fauteuil à l’entrée du garage.
- Putain, j’ai encore envie de me vider les couilles. Ces deux là étaient vraiment pas mal. Surtout le « blanc bec » qui suçait mieux qu’une « meuf ».
- Tu l’as dit mec, dit Harry en essuyant un boulon.
- La prochaine fois Archimède, fait en sorte que la crevaison soit plus naturelle, dit Roger.
- Ok, dis ce dernier tout penaud.
- C’est la première fois que l’on ai eu à faire les choses sans se salir les mains. Espérons que les prochains seront aussi coopératifs. Ce serait bête de les jeter par-dessus notre pont, après en avoir fini avec eux, dit Harry en sortant un énorme couteau de dessous une table.
- Disons que ceux là…ont eu de la chance, dit Roger en regardant le pont au loin caché par les branches des bambous.

SteeBlack972




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