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MME LUCAS

Ecrit par ARCAY
Parue le 12 juillet 2014
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Cette histoire érotique a été lue 5750 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13/20

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Durant mon adolescence, j'habitais un immeuble de la banlieue de RENNES.
Je menais une vie agréable et j'avais beaucoup d'amis.
Les filles de mon age ne m'intéressaient guère et je préférai les femmes plus mures.
Ce n'était pas très facile, mais je faisais régulièrement des conquêtes dans le quartier.
Il s'agissait pour la plupart de femmes de 35 à 40 ans que leur maris délaissaient.
En janvier de cette année là un couple assez jeune vint s'installer dans l'appartement situé au dessus de celui de mes parents.
L'homme travaillait dans l'usine voisine une semaine le matin, la suivante l'après midi et il s'était marié avec une algérienne qu'il avait connu lors d'une mission à ORAN.
Tout de suite elle attira mon attention. Elle n'était pas très grande et était très brune, la peau mate.
Lorsqu'ils sortaient ensemble, elle marchait toujours un pas derrière lui et semblait lui obéir et être très soumise.
Ils ne fréquentaient personne dans l'immeuble et lorsqu'elle se descendait chercher son courrier ou aller chercher son pain à la camionnette qui faisait les livraisons dans la cour de l'immeuble elle était toujours vêtue d'une robe de chambre.
Leur attitude était bizarre et rapidement des rumeurs ont circulé.
Il se disait qu'il la considérait comme quelqu'un d'inférieur, qu'il prenait toutes les décisions du ménage et surtout qu'il était très jaloux.

J'avais très envie d'essayer de la sauter, mais je me méfiais du mari et cherchais une opportunité.
C'est un peu par hasard que j'arrivais à entrer dans leur intimité.
A cette époque je faisais des courses cyclistes et je sortais régulièrement pour m’entraîner.
Un samedi matin, alors que j'allais partir pour faire quelques kilomètres, le mari m'interpella.
« Jeune homme je vois que vous aller faire une sortie à vélo, je suis aussi amateur, est ce que je peux vous accompagner, c'est plus agréable d'être deux »
« Si vous voulez, monsieur, pas de soucis, je vous attends »
Quelques minutes plus tard il revint en tenue de sport, son vélo à la main.
Nous avons roulé pendant presque deux heures et avons parlé cyclisme pendant notre trajet.
Au retour, nous étions devenus les meilleurs amis du monde et nous nous sommes promis de refaire une sortie le samedi suivant.

La semaine suivante, notre sortie fut aussi agréable et au retour, il me proposa de me prêter des revues auxquelles il était abonné, ce que j'acceptais bien volontiers.
Je le suivis jusqu'à son appartement.
En entrant, je remarquais que sa femme était encore en robe de chambre bien qu'il fut presque midi.
« Sers nous un coca »
Sans un mot, elle alla dans la cuisine et revint avec une bouteille et deux verres.
« Tu ne l'as encore pas mis au frais, vas chercher des glaçons »
Toujours sans un mot elle alla chercher des glaçons.
«Laisses nous maintenant »
Je restais interloqué par son attitude.
Il prit les revues et me les tendit.
« Tu peux les garder un moment, tu me les rendras la semaine prochaine »
Après avoir, fini mon verre, je pris congé, non s'en s'être donné rendez vous la samedi suivant et rentrais chez mes parents
C'est ainsi que l'habitude fut prise de faire des sorties tous le samedis matin.
A la fin de notre randonnée, le rituel était le même et j'allais prendre un verre avec lui.
Sa femme nous servait et nous laissait seuls.

Un jour il me proposa d'aller assister à un meeting au vélodrome.
J'acceptais bien volontiers et il me demanda d'aller chercher les billets car la location n'était ouverte que pendant ses heures de travail.
« Tu n'auras qu'à les déposer à l'appartement »
« Pas de soucis, je m'en occupe dès lundi et vous les aurez en rentrant »
« C'est gentil de ta part, tu sonneras deux fois, elle t'ouvrira »
J'étais choqué de la manière dont il parlait de son épouse mais j'étais ravi de pouvoir me retrouver en tête à tête avec elle.

Le lundi suivant, à 15 heurs, à la fin de mes cours, je me précipitais au vélodrome, pris les billets et dès 16 heures j'étais de retour.
Je montais l'escalier quatre à quatre et sonnais deux coups brefs à la porte de M LUCAS.
Presque aussitôt, sa femme ouvrit la porte et me fit entrer.
Je remarquais qu'elle était en robe de chambre malgré l'heure tardive.
Elle me fit entrer dans le salon.
Pour la première fois elle m'adressa la parole :
« Mon mari m'a demandé de vous offrir, veuillez vous asseoir » et elle s'éclipsa dans la cuisine.
J'étais bien décidé à tenter la chance et lorsqu'elle eut posé le verre sur la table, je lui saisis le poignet et l'attirais vers moi.
Après un mouvement de recul, elle se laissa faire et se retrouva dans mes bras.
Je cherchais sa bouche mais elle tourna la tête.
Mes mains se glissèrent entre les boutons de sa robe de chambre et je m'aperçus qu'elle était nue en dessous.
Elle se laissait faire et se collait à moi.
Mes gestes devinrent plus doux et je sentais ses tétons se dresser.
Elle se détacha de moi et commença à déboutonner sa robe de chambre qui tomba bientôt à ses pieds.
Son corps, bien qu'un peu lourd était superbe, son sexe entièrement épilé.
Je sentais ma queue qui se tendais dans mon pantalon et rapidement je la fis sortir.
Elle se rapprocha de nouveau et cette fois me tendit les lèvres en se collant à moi..
Je lui pris les fesses et les caressais doucement.
« Viens dans la chambre » me souffla elle.
Je la suivi jusqu'à la chambre et elle s'étendit sur le lit pendant que je retirai mon pantalon, ma chemise et mon slip.
Je m'allongeais à côté d'elle et caressais ses seins dont les tétons étaient devenus durs.
Ma main descendit jusqu'à son sexe qui était déjà humide et je titillais son clito.
Elle commença à gémir et écarta largement les cuisses pour je je puisse y entrer deux doigts.
Elle avait pris ma bite en main et la branlais en douceur.
Je pris position au dessus d'elle et elle guida ma queue impatiente vers son sexe trempé dans lequel je pénétrais jusqu'aux couilles.
« Vas doucement s'ils te plaît »
J'allais et venais en elle avec de grands et lents mouvements. A chaque fois que je m'enfonçais mes couilles venaient taper sur ses cuisses augmentant encore mon plaisir.
Peu à eu elle s'anima et vint enserrer mes reins avec mes jambes.
A chaque mouvement son bassin se soulevait en cadence.
Lorsque sa jouissance arriva, elle m'embrassa avec force, sa langue durcie fouillant ma bouche.
Je ne pouvais plus me retenir et mon foutre jaillit, inondant son vagin.
Repu, je retombais sur elle mais gardais ma queue dans sa chatte qui palpitait.
Ce n'est que de longues minutes plus tard, après avoir débandé que je me retirai d'elle et m'allongeais à ses cotes.
« Je te remercie, tu fais très bien l'amour. Mon mari est un vrai lapin il ne pense qu'à son plaisir »
« J'ai remarqué qu'il vous traitait comme sa servante »
« Oui il est très jaloux et refuse que je sorte sans lui. C'est pour ça que je suis toujours en robe de chambre et sans aucun autre vêtement. Il a fermé la porte de mon armoire et garde la clé avec lui, comme ça il est sur que je resterai à la maison. Je n'ai pas le droit d'ouvrir si on sonne à la porte »
« Comment se fait il que vous l'ayez épousé ? »
« Pendant son séjour en ALGERIE il a travaillé avec mon père et ils ont arrangé le mariage ensemble, il voulait une épouse soumise »
Ces explication me firent mieux comprendre l'attitude de son mari vis à vis des voisins.
« Oui mais moi, il me permet de venir »
« Il pense que tu es trop jeune pour t'intéresser à moi »
« Hé bien il a eu tord ! »
« Tu reviendras quand il ne sera pas la ? »
« Bien sur j'ai beaucoup aimé faire l'amour avec vous »
Elle se jeta dans mes bras, m'embrassa, puis ses lèvres quittèrent ma bouche pour descendre vers mon torse, agaçant mes tétons du bout de la langue, descendit encore vers mon ventre pour enfin prendre ma bite qui commençait à ce redresser.
Je la laissais faire contemplant ses cheveux étalés sur mes cuisses et son visage qui me suçait.
Lorsqu'elle se releva, je bandais de nouveau.
A mon tour je lui suçais les tétons et descendit pour glisser ma langue dans sa chatte encre trempée de sperme et de cyprine.
Son clito était dur et se dressait comme une petite queue d'enfant.
« J'ai envie de te sentir en moi, prends moi vite »
J'abandonnais sa chatte et la pénétrais de nouveau commençant des va et viens de plus en plus rapides qui lui arrachaient des soupir de plaisir. ;
Me retirant d'elle, je me mis sur le dos et elle vint se mettre sur moi les cuisses largement écartées pour que ma bite entre profondément en elle.
J'avais la tête un peu relevée et je voyais ma bite luisante de mouille coulisser en elle.
Ses seins se balançaient devant moi et je les trituraient.
Notre jouissance arriva en même temps et je lâchais un long jet de foutre.
Nous avons continué nos ébats pendant encore une heure avant que j'aille me laver et rentrer chez moi.

J'ai continué à faire du vélo avec son mari et à chaque occasion, je passais chez elle et nous faisions l'amour comme des fous.
Malheureusement deux plus tard, mes études terminées, je trouvais un travail à plusieurs centaines de kilomètres et je ne pouvais la voir que lorsque je rendais visite à mes parents.
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