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MON PREMIER APAPRTEMENT

Ecrit par ARCAY
Parue le 27 mai 2014
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3247 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Je venais de trouver un job en région parisienne et des mais m'avaient trouver un petit deux pièces, au dernier étage d'un immeuble en proche banlieue.
Pour y accéder, je devais traverser l'appartement de la propriétaire un veuve de plus de 80 ans, revêche et à cheval sur les principes.
Dès mon arrivée, elle m'avait précisé qu'elle n'acceptait ni bruit ni visites féminines.
L'appartement n'était pas terrible mais il avait l'avantage d'être bon marché et je n'avait que 20 minutes de transport pour me rendre à mon travail,.

Le premier matin, après avoir pris ma douche et mon petit déjeuner, j'ouvris les volets.
Le fenêtre donnait sur une cour intérieur et je jetais un regard.
Dans l'appartement situé en face du mien, je vis une femme qui faisait son lit, en sous vêtements.
Elle pouvait avoir une quarantaine d'année et malgré la distance j'eus l'impression qu'elle était encore assez bien faite.
Je me mis en retrait pour l'observer sans qu'elle me voie.
Le manège dura ainsi plusieurs jours, et cette apparition matinale me donnait du courage pour ma journée de travail et entretenait mes fantasmes.
Un matin, elle me repéra et je crus que ce serait fini de mon petit plaisir matinal.
Ma journée fut maussade.
Le soir en rentrant dans le hall d'entrée commun à tous les appartements de la résidence, quelqu'un entra derrière moi.
C'était ma voisine d'en face et je crus qu'elle allait ma passer un savon.
Au contraire, d'un ton agréable elle m'adressa la parole :
«- Bonsoir Monsieur, vous êtes nouveau dans l'immeuble, je ne vous ai encore jamais vu »
- Oui madame je suis arrivé il y a un peu plus d'un mois
- Et vous êtes à quel étage
- Au sixième dans l'immeuble A
- Moi je suis aussi au sixième, immeuble B, et vous travailler dans le secteur ?
- Non à PARIS vers la gare Saint Lazare
Ce n'est pas très loin en métro, vous avez de la chance, et vous vivez seul ?
Oui
Et vous ne vous ennuyez pas trop ?
Non ça va, je prépare des examens pour mon travailler
Et la cuisine vous vous en sortez ?
J'arrive à me débrouiller, une boite de conserve, un œuf.
Si vous voulez, venez dîner un soir à la maison, ça vous changera.
Merci Madame, c'est gentil de votre part.
Bon , on est mardi, venez jeudi soir si vous voulez.
D'accord je vous remercie
Je vous attend jeudi vers 20 heures, bonne soirée.
Merci bonne soirée à vous aussi.

Je regagnait mon appartement assez troublé par cette invitation.
Les deux jours suivants je pris soin de ne pas m'attarder en ouvrant mes volets.

Le jeudi soir, je repassais à mon appartement pour me préparer avant de me rendre à l'invitation, annonçais à ma propriétaire que j'étais invité à dîner chez des collègues de travail et que je rentrerai sans doute assez tard.
Je me rendis chez le fleuriste pour acheter un petit bouquet de fleurs et à 20 heures précises, sonnais à la porte de ma voisine d'en face.
Elle m'ouvrit avec un grand sourire, me fit entrer et me remercia pour les fleurs.
« Installez vous dans le salon, je termine de préparer le repas »
Le salon était meublé d'un canapé et de deux deux fauteuils anciens, entourant une table basse.
Mon hôtesse revint quelques minutes plus tard, portant un plateau sur lequel étaient posés deux verres : :
« Nous allons boire l'apéritif, je vais vous faire goûter un cocktail maison »

Elle posa le plateau sur la table et lorsqu'elle se pencha, je vis la naissance de ses seins dans l'échancrure de son chemisier.
Elle prit place en face de moi et sa jupe se releva assez haut dévoilant des cuisses blanches gainées de bas noirs.
« Trinquons à notre soirée
A votre santé Madame,
Allons ne me dites pas Madame, je m'appelle IRENE et vous ?
JULIEN
Hé bien JULIEN, à ta santé »
Je pris mon verre et bus une gorgée.
Le cocktail était très fort mais avait un goût agréable.
Elle me posa beaucoup de questions sur mon travail, mes loisirs et ma vie à PARIS .
Au cours de la conversation, j'appris qu'elle était mariée et que son mari était chauffeur routier et qu'il ne rentrait que le vendredi soir.
Je n'étais pas habitué à l'alcool et le cocktail me tournait la tête.
Elle m'en proposa un second que je n'osais pas refuser et j'étais un peu ivre lorsque nous sommes passés à table.
Le repas était excellent et l'alcool aidant j'étais très euphorique.
Vers le milieu du dîner, elle fit tomber sa fourchette et se baissa pour la ramasser.
«Elle à du glisser de ton côté, tu veux bien la ramasser »
Je me penchais sous la table.
Elle avait écarté assez largement les jambes et je vis qu'elle ne portait pas de culotte.
Je restais interdit devant la vue de cette chatte aux poils courts qui masquaient à peine sa fente.
Je ramassais la fourchette et lui tendit.
Quand elle la pris, sa main s'attarda un peu sur la mienne.
Je ne savais pas quelle attitude prendre, ne sachant pas si elle voulait simplement m'exciter ou si je devais aller plus loin.
Le repas s'achevait et elle me dit :
« Va t'asseoir au salon, je vais préparer un GET 27 ça nous fera digérer »
Elle regagna la cuisine pour préparer les digestifs et revint, portant deux verres bien remplis dans lesquels tintaient des glaçons.
Au lieu de s'asseoir dans le fauteuil, elle vint s'asseoir à côté de moi, sa cuisse frôlant la mienne
Je pris vite conscience qu'elle ne me repousserait pas.
Ma main vint se poser sur son genou et je me tournai vers elle.
Elle s'approcha encore plus, me pris la main et la remonta sur sa cuisse.
Ma queue commença à durcir
Je me penchais vers elle et l'embrassais dans le cou.
Ma main s'enhardit remontant sous la jupe pour atteindre son sexe.
Mes doigts commencèrent à caresser sa fente déjà humide qui frémissait.
Elle m'écarta les cuisses et s'attaqua fébrilement à ma braguette, glissant ensuite la main sous mon slip pour saisir mon sexe déjà raide qui jaillit de mon pantalon.
Elle se pencha sur moi et l'avala goulûment.
Je ne restais pas inactif, remontant sa jupe jusqu'à la taille pour admirer sa croupe tendue.
J'écartais ses fesses et posais mon doigt humide sur sa rondelle qui s'ouvrit sous la pression.
Elle gémit de plaisir en sentant cette caresse profonde.
« Viens dans la chambre on sera mieux » me dit elle d'une voix rauque et elle me pris par la main pour m'entraîner sur la couche familiale.
Se plantant devant moi elle m'arracha la chemise et fit glisser pantalon et slip sur le sol.
Ses mains parcouraient mon corps nu, offert à ses yeux emplis d'envie.
Elle me poussa sur le lit et défit fébrilement les boutons de son chemisier et fit tomber sa jupe au sol
Elle était entièrement nue ses seins un peu lourds gonflés de désir.
S'approchant du lit elle s'abattit sur moi, pris ma bite à pleines mains et la guidant vers sa fente.
Je pénétrais sa chatte trempée avec facilité et elle commença à aller et venir.
Je sentais son sexe se contracter sur le mien et sa respiration s'accélérer.
Elle me chevaucha un moment, je triturais ses seins lourds et gonflés de désir.
Je la fis basculer sans que ma bite ne sorte de son vagin et la défonçais à grands coups de reins.
Elle se mit à crier :
« Défonce moi comme une salope, enfonce ta queue jusqu'au fond, je veux sentir tes couilles sur mes cuisses »
Pour faire durer le plaisir je ressortais de la chatte trempée et la mis à quatre pattes pour la prendre en levrette.
Ma queue allait de nouveau envahir sa grotte quand elle dit :
« Mets la dans mon cul défonce moi la rondelle.
J'écartais ses fesses et après avoir lubrifié son anus avec de la salive je fis glisser ma bite le long de sa raie jusqu'à l'entrée de son petit trou que je pénétrais à petits coups.
« Vas y encules moi, rentre la jusqu'aux couilles »
D'un coup sec je l'enculais et me mis à aller et venir dans son cul écartelé.
En même temps je lui claquais les fesses à grands coups.
« Oui continue, mets la à fond » dit elle. D'une main elle se branlait la chatte.
« Jouis dans mon cul de salope, vas plus vite »
J'accélérais le mouvement et elle se mit à jouir en criant des obscénités.
Excité par ses cris je déchargeais tout mon foutre dans le cul béant
Épuise par l'effort je ressortais et m’affalais sur le lit.
Elle se pencha sur moi pour nettoyer ma queue avec sa langue.
« Il y a longtemps que je n'ai pas joui comme ça. Quand mon mari rentre il me baise en vitesse, trois ou quatre allez retours et il lâche la purée. Un autre petit coup le dimanche matin et c'est tout »

Tout en me racontant ses malheurs, elle jouait avec ma queue qui recommençait à durcir.
Elle se mit à la pomper vigoureusement et rapidement je bandais de nouveau.
« J'adore ta bite bien vigoureuse, tu rebandes vite, baise moi encore »
Nous sommes repartis pour une partie de jambes en l'air encore plus torride que le première, et je finis par m'endormir épuisé.
Je ne me réveillais que le lendemain matin et elle me fit une petite pipe express avant que je ne parte au travail.

Depuis je vais la sauter tous les lundis et jeudis.



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