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Ma toute première et belle expérience de jeune ados, à deux, à trois…

Ecrit par Zozominette
Parue le 20 janvier 2018
Il y a 4 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5184 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Aujourd´hui, je vais vous conter mes premiers émois, ma toute première et belle expérience de jeune ados, à deux, à trois…


Mais avant tout, quelques mots sur ma personne et le contexte à l´époque pas si ancienne des faits.
Je m´appelle Zoé, fille unique, je vivais dans une famille heureuse et très unie. Nous habitions un petit pavillon à la lisière d´un bois, dans la très proche banlieue d´une ville moyenne d´un peu plus de 100000 habitants. Papa était informaticien à la communauté d´agglomération et maman travaillait à la maison où elle pratiquait toutes sortes de soins esthétiques et de massages dans le petit « spa » que nous avions aménagé dans une extension de ce qui était autrefois le garage. Maman avait une clientèle fidèle et régulière qui aimait également profiter du petit hammam et du jacuzzi. Moi, j´étais en classe de 4ème dans un petit collège où tout se passait très bien pour moi, j´étais très bonne élève et mon passage en 3 ème était acquis. Nous étions très proches de la nature, avec la saine hygiène de vie qui va avec. Tous les étés en août, nous partions en vacances dans un immense camping naturiste de la côte atlantique où j´adorais retrouver mes amis que je connaissais depuis ma plus tendre enfance. Nous y passions des journées entières nus sur l´immense plage, c´était soleil, océan, amitié, liberté, simplicité, rires, enfin le bonheur absolu quoi. J´avais une vie heureuse, j´étais bien dans ma tête et particulièrement à l´aise avec mon corps, peut-être même un peu trop parfois. En dehors du naturisme pratiqué en vacances et un peu à la maison en famille, on me faisait régulièrement remarquer mon absence de pudeur que l´on mettait sur le compte de mon insouciance. C´était certainement vrai jusqu´à ma puberté, mais ensuite c´était plutôt une forme consciente d´exhibitionnisme que les autres pouvaient considérer comme involontaire du fait de mon côté très « nature » et de ma joie de vivre décomplexée…


Je venais d'avoir 15 ans, nous étions au mois de juillet, c´était le début des vacances… Brune aux yeux verts, les cheveux mi long, fine et d´allure sportive (je pratiquais la natation en club depuis l´âge de 7 ans), les copines me disaient « bien faite » et me trouvaient un corps équilibré, harmonieux. Malgré mon petit mètre cinquante-cinq et ma petite poitrine (85 A), on me trouvait plutôt jolie. Aussi, j´aimais prendre soin de mon corps. Même si je n´étais pas très « maquillage », je faisais particulièrement attention à toujours être bien épilée et adorait appliquer avec soin un vernis sur les ongles de mes mains comme sur ceux de mes pieds. On me disait d´ailleurs souvent que j´avais de très jolis pieds (un peu bizarre non ?).


Bref, c´était le premier week-end des vacances et l´idée d´aller fêter l´anniversaire de la grand-tante de mon père à 500 km ne m´enchantait absolument pas. Mes parents me faisant confiance m´avaient donc autorisés à rester à la maison à condition de ne pas rester seule. Je devais donc trouver une amie prête à passer le week-end avec moi. Et c´est très naturellement que je l´ai proposé à mon amie Aurélie qui plutôt que de devoir rester à s´ennuyer chez elle ce week-end-là, accepta volontiers ma proposition.


Très vite nous avions donc organisé notre petit week-end. Mes parents devant partir tôt le samedi matin, maman m´avait préparé des lasagnes pour le dimanche midi, le samedi midi il était convenu que je me débrouillerai et le samedi soir se serait Mc Do.


Avec Aurélie qui n´était jamais venue chez moi, nous avions prévue de nous retrouver à la piscine d´été pour participer à l´animation proposée par la ville avec une nocturne en musique jusqu´à 22 heures avec un DJ etc. Ensuite nous devions passer à Mc Do et prendre les transports en communs pour rentrer ensemble à la maison.

J´avais hâte d´arriver au samedi, le jeudi j´avais demandé à maman de bien vouloir me faire une épilation du maillot, c´est son métier après tout et elle avait l´habitude de me le faire pour les vacances. J´aime bien être parfaite de ce côté, mais je garde toujours un petit duvet très bien taillé.

J´avais passé mon vendredi à lire dans le jardin, allongée sur un transat, certaine que comme à son habitude notre voisin me reluquait en taillant ses haies. Je portais un débardeur très échancré sans soutient gorge et un petit short très sexy. Je plaçais volontairement mon transat de façon à ce qu´il puisse voir ma poitrine par l´échancrure de mon petit haut, mon petit pouvoir de séduction m´amusais et cela me plaisais de le savoir excité par mon innocence bien entendue feinte…
Samedi arriva enfin… A mon réveil mes parents avaient déjà pris la route, j´avais donc pris un gros petit-déjeuner toute seule avant de me préparer, me doucher, me vernir les ongles, oh comme j´adore l´odeur du vernis, du dissolvant… Je n´avais pas faim à midi et décidais donc de sauter ce repas. En début d´après-midi je me préparais pour la piscine et après avoir essayé plusieurs maillots de bain de loisirs (je n´allais pas porter un de mes maillots de compétition) je me décidais pour le jaune qui allait très bien avec mon bronzage. Aussi, je le gardais directement sur moi pour éviter d´avoir à me changer une fois sur place, par-dessus j´avais enfilé un débardeur blanc et une petite jupette de couleur marron et des petites sandalettes de cuir marron également.

Arrivée à la piscine, Aurélie m´attendais déjà à l´entrée, heureuse de me revoir. Aurélie était une amie du collège, nous avions le même âge, étions dans la même classe et elle était, comment dire, un peu ma jumelle. Mis à part sa couleur de cheveux d´un noir de jais, nous étions identiques, même taille, même corps, nous pouvions échanger nos vêtements sans aucun problème. Nous étions très complices mais avions cependant peu l´occasion de nous voir en dehors de l´école car les week-ends elle devait souvent les passer chez son père, ses parents étant séparés.
Quelle surprise en voyant Aurélie sortir de la cabine du vestiaire, elle portait le même maillot de bain que moi mais de couleur rose fuchsia qui allait parfaitement avec son teint un peu mat…
Nous avons donc passé toute l´après-midi et la soirée alternativement allongées sur nos serviettes dans l´espace vert ou dans l´eau à danser aux rythmes de la musique techno et surtout à refouler les garçons un peu trop « lourds » à notre goût et pas très beaux non plus d´ailleurs… Il était maintenant 21:00 passé, nous en avions assez et avions surtout la faim au ventre. Nous prîmes donc la décision de nous en aller. Et hop, direction les vestiaires…

Les familles avec enfants étant toutes rentrées depuis un moment déjà, nous avions trouvé une cabine « familiale » libre que nous sommes empressées d’occuper pour nous changer. Ce n’était pas la première fois que je voyais Aurélie nue. Elle était magnifique, j’étais fascinée par sa toison noire parfaitement épilée également, par les aréoles sombres de sa jolie poitrine et ses tétons érigés en réaction à la petite brise du soir. Après m’être séchée tout en ne quittant pas des yeux ma belle amie, je m’étais désespérément mise à chercher mes sous-vêtements dans mon sac. A l’évidence je les avais oubliés sur mon lit après avoir mis mon maillot de bain. Et alors là, gros fou rire communicatif d’Aurélie, qui sachant que je ne pouvais porter mon maillot mouillé, était particulièrement amusée de me savoir devoir rentrer sans soutien-gorge et surtout sans culotte sous ma petite jupette… Bon, nous avions toujours autant faim alors comme prévu, direction Mac Do...


Autant j’avais l’habitude de vivre nue en vacances, autant me retrouver dans une rue pleine de monde, en petite jupe sans culotte était une expérience nouvelle et particulièrement excitante. Mes tétons était devenu très dures et pointaient fortement sous mon débardeur à tel point qu’Aurélie m’avait demandé comment je faisais pour avoir froid avec la chaleur qui régnait au centre-ville ce soir-là (lol)... Nous étions toutes les deux de très bonne humeur en arrivant à Mac Do, Aurélie étant toujours autant amusée par ma situation et moi toujours aussi excitée. Je découvrais des sensations nouvelles entre mes cuisses, et j’avais une forte envie de me toucher... Il n’y avait pas grand monde ce soir, nous nous étions installées un peu à l´écart, l’une en face de l’autre et dévorions nos Big Mac quand je remarquais plus loin un monsieur d’une quarantaine d’années qui m’observait ou plutôt me matait avec insistance. Aussi, je m’étais vite rendu compte que depuis sa place, il avait une vue imprenable sur mon entre jambes... La situation était particulièrement excitante pour moi, je prenais alors un malin plaisir à m’exhiber en écartant largement mes cuisses et en me caressant furtivement comme si de rien n’était, tout en poursuivant ma discussion avec Aurélie qui n’avait rien remarquée... Je m’étais surprise en ayant un petit orgasme, un petit frisson qu’avait cette fois remarquée mon amie et qui me proposait alors de repartir si j’avais trop froid avec cette climatisation un peu trop poussée du lieu (lol)... Arrivées à la maison, j’avais proposé à Aurélie de la lui faire visiter pour qu’elle se sente chez elle et sache s’y retrouver. Elle avait beaucoup aimé « l’antre » de maman qu´elle avait trouvé très chouette, joliment décoré et très « zen » et elle était particulièrement intéressée par la table de massage. Je me souviens très bien de notre dialogue à cet instant : Aurélie : j’adorerais être massée un jour... Moi : et ben pas de problème, je peux m’en occuper si tu veux ? Là maintenant ? Oui pourquoi pas ? Tu sais faire ? Oui je suis une pro haha... Alors ok avec plaisir. Moi : bon, mais alors avec l’ambiance qui va avec hein ? Elle : ok je te laisse faire... Bien, alors on baisse la lumière, on allume les bougies parfumées, on met la musique douce et hop c’est parti. Yessss… Ben allonge toi sur la table ! Sur le ventre ou sur le dos ? Sur le ventre pour commencer. Ok... Mais Aurélie, pas avec tes vêtements voyons, déshabille-toi... (rires). Euhhh complètement ? Non pas obligée, tu peux garder tes sous-vêtements... Après avoir appliqué et réchauffé l’huile dans mes mains, je commençais alors un délicat massage sur le dos d’Aurélie qui semblait ravie. Elle ne semblait pas surprise quand je lui dégrafais son soutien-gorge pour faciliter le massage. Sa peau était particulièrement douce et agréable à toucher, j’étais un peu perturbée par les sensations qui parcouraient mon corps à cet instant. Il me semblait devenir humide entre mes jambes et il m’était très agréable de la masser, c´était très étrange... Après m´être longuement occupée de son dos, je m´attaquais à ses jambes, l ´arrière de son genoux… Aurélie m´avait à plusieurs reprises dit que c´était bon, qu´elle adorait. J´utilisais beaucoup d´huile pour la masser, mes mains glissaient ainsi délicieusement sur sa peau… Enfin, je lui demandais de se mettre sur le dos.
Aurélie s´était retournée sans ragrafer son soutien-gorge, elle était là, allongée devant moi, simplement vêtu de sa petite culote bien blanche sur sa peau bronzée, elle était simplement belle. Il y avait là une grande et douce intimité, les bougies, la musique, la chaleur, un instant de grâce… J´entrepris alors une chose que j´adorais que maman me fasse, un délicat massage des pieds, en passant délicatement entre chaque orteil. Cela me faisait toujours un incroyable effet et j´espérais qu´il en était de même pour mon amie. Aurélie avait fermé les yeux et profitait pleinement de mon doux massage. Doucement, je remontais ensuite vers ses mollets, ses genoux puis ses cuisses. La respiration de mon amie était plus rapide, plus forte aussi. Je m´appliquait alternativement sur l´une et l´autre de ses cuisses, à bien remonter depuis le genou, une main de chaque côté pour bien prendre l´intérieur comme l´extérieur avec toujours cette huile délicieusement parfumée. Aurélie avait très légèrement écarté ses jambes pour faciliter le passage de mes mains, aussi je découvrais que mes gestes ne la laissaient pas indifférente, sa culote était visiblement trempée… Je n´hésitais pas alors à donner plus d´ampleur à mon massage, en remontant mes mains jusqu´à toucher la culote d´Aurélie qui effectivement était bien mouillée, ses tétons était également au garde à vous comme les miens sous mon débardeur… J´étais complètement émoustillée et j´avais une envie folle d´un contact plus physique encore avec elle. Je fis alors un bisou sur le front d´Aurélie en lui glissant à l´oreille : c´est fini ma belle, je suis un peu fatiguée là… Elle, en ouvrant les yeux : déjà ? Tu aurais pu continuer pendant des heures encore, c´était parfait, génial, je t´aime, tu es une vraie pro… Bon et si on allait se coucher ?
Arrivées dans ma chambre, je demandais à mon amie : tu dors comme ça ? Si cela ne te dérange pas, il fait chaud et j´aime dormir juste en culote. Ok alors moi je dors comme cela, et je retirais mon débardeur et ma petite jupe pour me retrouver complètement nue… Comme tu es belle me disait alors Aurélie.
Allongées côte à côte sur mon lit, Aurélie me confiait alors : tu sais, ton massage, il m´a fait un de ces effets… Ah oui ? Comment ça ? Ben en fait tu m´as, comment dire, excitée… Je veux dire sexuellement… Je sentais ma chatte devenir toute trempée à un moment. Ah bon ? Ben, tu veux que je te dise ? Eh bien moi pareil rien qu´en te touchant…
A cet instant Aurélie s´était rapprochée encore un peu plus de moi pour m´embrasser sur la bouche, j´ouvris alors légèrement mes lèvres pour laisser passer sa langue. Nous échangions alors un délicieux baiser, nos langues entremêlées se cherchaient, pendant que nos mains partaient explorer de nos corps.
J´osais enfin caresser les seins d´Aurélie, les embrasser, sucer ses tétons et elle n´hésitait à me rendre la pareille. C´était bon, tellement bon… Nous n´avions pas mis la lumière, mais de nos yeux maintenant habitués à l´obscurité nous arrivions à nous voir, grâce aussi à cette demie lune dont la lumière traversait légèrement les volets fermés de ma chambre. Aurélie me regardait droit dans les yeux, quand je sentis soudain sa main glisser lentement de mes seins, vers mon ventre jusqu´à mon pubis. J´écartais alors largement mes cuisses l´invitant ainsi à explorer mon intimité de ses doigts. Mon amie me semblait être une experte, ses caresses étaient parfaites, elles étaient de plus en plus précises et cherchaient à me donner du plaisir. Aurélie trouva très vite mon petit bouton qui était maintenant très dure et particulièrement sensible. J´avais chaud, nous transpirions toutes les deux, le contact de nos corps, tétons contre tétons, l´odeur de l´huile de massage etc…, jamais je n´avais connue de telles sensations. J´étais incroyablement excitée, je voulais le sexe d´Aurélie, je voulais m´occuper de son petit triangle noir… Je repoussais alors un peu violemment mon amie pour quasiment lui arracher sa petite culote… J´admirais à nouveau ce triangle sombre qui m´attirait tellement… J´avais une folle envie d´y goûter, et d´une main sur ma nuque, Aurélie m´encourageait alors à y aller. J´entrepris dès lors d´embrasser et de lécher lentement l´intérieur de ses cuisses largement ouvertes pour remonter ensuite vers son intimité. De ses doigts Aurélie écartait maintenant ses chairs pour me présenter son clitoris qui n´attendait que ma bouche et ma langue. C´était une première pour moi, mais je trouvais instinctivement le bon rythme, encouragée par les gémissement d´Aurélie. Tout en léchant mon amie, je glissais un doigt dans son vagin chaud et humide et entamais un délicat va et viens que j´accélérais de plus en plus. Aurélie me supplia alors d´arrêter : arrête, arrête c´est trop bon je vais jouir, nous avons le temps, je veux en profiter encore un moment.
Nous échangeâmes alors de doux baisers et discutions maintenant ouvertement de notre sexualité, cela devait cependant rester notre secret. Nous découvrions alors que nous étions toutes deux plutôt portée sur la chose,
que nous nous masturbions très régulièrement et que nous partagions ma petite tendance exhibitionniste. Aussi, Aurélie me confia qu´elle avait déjà eu une petite expérience en camp pré-ados avec une autre fille mais qui n´était pas aussi belle que moi (merci pour le compliment) et nous étions d´accord que c´était tellement plus agréable à deux…
Aurélie s´était remise à me malaxer les seins, à pincer mes tétons, à me les sucer puis à chercher ma langue au fond de ma bouche, c´était délicieux… Soudain elle s´était retournée et nous nous étions retrouvées tête bêche, son sexe livré à ma bouche le mien à la sienne. Nous nous léchions mutuellement le clitoris quand je sentis un de ses doigts me pénétrer. J´aurais peut-être aimé en sentir un deuxième mais étant encore vierge, le passage était trop étroit. Pénètre-moi aussi me demanda t ´elle, ce que je fis avec plaisir. Nos vas et viens étaient de plus en plus rapides, nous étions à nouveau trempées de nos sécrétions et de sueur. Nous poussions chacun de petits cris de plaisir et haletions fort, nos corps parfois pris de petits spasmes. J´adorais le goût d´Aurélie, son jus était tellement bon… Je n´avais plus aucun tabou, j´étais folle d´excitation, j´entrepris alors de caresser la jolie petite rosette de mon amie… son anus devait être très sensible car elle hurlait presque ses Oh ouiiiiii continue c´est trop bon… Me rendant la pareille, je découvrais alors chez moi une nouvelle zone particulièrement érogène surtout quand Aurélie y glissa un doigt. Je demandais alors à Aurélie de me faire jouir, elle s´était alors mise à sucer plus fort encore mon clito, à l´aspirer, à me lécher ma chatte, à accélérer encore le vas et vient de son doigt dans mon sexe en feu. De mon côté je calquais mon rythme au sien, ma figure trempée de sa délicieuse mouille, je profitais un maximum de toutes ces sensations nouvelles, et j´en tremblais. Oh Ouiiiii Zoé vas-y je, je, je jouiiiiiiiiiis, je jouiiiiiis… J´explosait pratiquement en même temps que mon amie, je n´avais jamais connu un orgasme d´une telle intensité… Nos deux corps étaient secoués par toute une série de spasmes, c´était juste magique. Doucement, nous retrouvâmes nos esprits, nous nous embrassâmes délicatement, nos corps moites enlacés. Nous étions d´accord que c´était un merveilleux moment que nous venions de partager, que c´était bon de n´avoir aucun tabou, que nous ne faisions rien de mal et surtout que nous étions sous nos airs de jeunes filles sages, de vrais petites cochonnes… Aussi, il était convenu, qu´il ne s´agissait pas d´une relation amoureuse, enfin pas encore, mais que nous étions devenues les meilleures sex friends du monde… Nous nous étions ensuite endormies sans nous en rendre vraiment compte…

Il était pratiquement 11 heure quand nous nous étions enfin réveillées. Je découvrais alors une nouvelle Aurélie, complètement décomplexé et toujours aussi belle. Elle semblait en pleine forme : allez debout Zoé, il faut un peu aérer cette chambre, ça sent fort la chatte ici !!! Et voilà, c´était parti pour un fou rire, une petite bataille de coussins et un langoureux baiser. Le téléphone se mit alors à sonner, c´était maman qui me demandais si tout aller bien, comment s´était passée la soirée avec mon amie etc… Je la rassurais en lui disant que c´était génial, que nous étions très sages (lol) et qu´elle ne devait pas s´inquiéter. Penses-tu que ton amie peut encore rester avec toi jusqu´à lundi soir ? Je n´ai pas de rendez-vous demain et papa ne reprend le travail que mardi. Nous aimerions encore profiter d´être ici pour aller visiter quelques caves et ne reprendre la route que demain après-midi… Attends, je vais lui demander. Aurélie semblait se réjouir de cette perspective et appela immédiatement sa mère depuis son portable pour le lui demander. Alors ? Elle dit quoi ? Ben c´est… c´est…. Okkkkkkkkkkkkk !!!
Allo maman ? C´est bon, la maman d´Aurélie est d´accord ! Super à demain soir alors, soyez sages les filles, bisous !!! Bisous Maman.
Wouaouwww Yesssssssssssss, c´est trop cool !!! Bon on fait quoi maintenant ? Ben on va peut-être se doucher non ? Bonne idée, nous en avons un peu besoin, je colle de partout…
Ok, on va la prendre au spa ? Il y a une grande douche… Hum… Nous étions toutes deux d´humeur coquine ce matin, la douche fut des plus agréable, se savonner mutuellement, se laver l´une l´autre, se frotter le dos, échanger des baisers… La journée débutait fort bien…
On fait quoi aujourd´hui demandais-je à Aurélie ? Je ne sais pas et toi Zoé ? T´as bien une idée ? Ben moi j´aurais bien envie de passer une journée très coquine avec toi, rester nue au soleil, enfin profiter d´être seule avec toi… Eh bien cela me convient tout à fait…
Il était déjà un peu tard pour prendre un petit déjeuner et nous décidâmes d´attaquer directement les lasagnes de maman car nous avions une faim de loup après cette nuit un peu « agitée ».
Tu as aimé cette nuit Zoé ? Non je n´ai pas aimé, j´ai adoré, j´ai découvert des sensations incroyables, c´était formidable et toi ? Moi aussi j´ai adoré, je crois que nous sommes faites pour s´entendre… Oui j´en suis certaine.
Tu aimes les lasagnes de maman ? Hum elles sont délicieuses j´adore…

On fait quoi maintenant que nous avons le ventre plein ? Je te propose d’aller « buller » dans le jardin, nous avons un matelas gonflable double super confortable sur lequel nous serions super bien pour bronzer, se faire de gros câlins et surtout rendre complètement dingue le pauvre Robert. C’est qui Robert ? C’est le voisin, il vient me mâter derrière ses haies dès qu’il m’entend dans le jardin. On reste à poils quand même ? Bien sûr... Il ne dira rien à tes parents ? Non il aurait trop peur de ne plus avoir l’occasion de se rincer l’œil haha. Il est plombier en retraite, c’est lui qui a fait toute l’installation sanitaire du spa. Je le rendais complètement fou pendant les travaux l’été dernier. J’allais régulièrement le voir pour lui proposer à boire ou lui demander s’il avait besoin de quelque chose quand maman sortait faire une course et je faisais exprès de porter un maillot de bain trop petit, une jupe trop courte etc Il se mettait même à bégayer parfois en me voyant... Bon ben allons faire bander Robert haha...

Nous nous installions alors confortablement sur le grand matelas que nous avions judicieusement placé en direction du jardin de Robert. Nous étions certaines que nos rires avaient éveillé la curiosité de notre « victime »... Nous étions vraiment bien là, c’était tellement agréable ce soleil sur nos corps nus, nos caresses et nos baisers langoureux. S´enduire mutuellement de crème solaire avait également été un moment délicieux. Un petit bruit me disait que Robert était sans aucun doute en train de nous observer depuis le petit trou qu’il avait discrètement percé dans son abri de jardin et je l’imaginais se masturbant doucement. J’avais envie de faire plaisir à Robert, j’écartais alors largement mes cuisses et pris la main d’Aurélie pour la placer sur mon sexe. Aurélie comprenant immédiatement le message, écarta également ses cuisses, jambes repliées en tailleur, les pieds quasiment sous ses fesses pour s’ouvrir un maximum. Nous nous masturbions mutuellement, nos sexes humides luisant magnifiquement sous le soleil... C’était si bon... ma langue cherchait alors celle d’Aurélie qui l’accueillit avec fougue, nos doigts s’activant toujours impudiquement sur nos mini chattes... Fais-moi jouir Zoé me demandais mon invitée que l’idée de se savoir ainsi observée excitait beaucoup. Nous nous encouragions alors par des gémissements expressifs motivés par le spectacle que nous étions en train de donner, oh ouiii encore vas-y plus fort ouiiii... Pris de spasmes, nous atteignirent simultanément un bel orgasme. J’entendis alors un râle venant du petit cabanon, notre spectateur venait sûrement d’éjaculer...

Robert ? Robert où es-tu ? Ta mère nous attend chez elle pour le goûter et nous sommes en retard, il faut aussi récupérer Julien... C’était Béatrice la voisine qui cherchait son mari... Tu vois Aurélie, nous aurons fait un heureux cet après-midi, il était bien là... Oui c’est sûr et toi Zoé tu as fait une heureuse, tes doigts sont magiques... C´est qui Julien ? C´est leur petit fils. Ah ok, dis-moi, on peut passer chez moi tout à l’heure ? Je dois aller prendre du change. Ben on n’a pas dit qu’on resterait à poils ? Et je peux te prêter des choses si tu veux ? Non en fait c’est juste une excuse, je veux récupérer quelque chose. Ah bon quoi ? Hum c’est une surprise...

Nous étions restées encore un petit moment sur notre matelas à profiter du soleil, nous endormant un peu en se tenant gentiment par la main. Il devait être 17:00 quand je proposais à Aurélie de passer chez elle pour récupérer sa mystérieuse surprise. Nous nous rendîmes dans ma chambre pour nous habiller, quand d´un simple regard complice nous décidâmes dans un éclat de rire de nous abstenir de sous-vêtements. Nous portions donc toutes les deux que de simples mini-jupes, un débardeur court laissant nos nombrils à l´air et des nus pieds. Tu vas voir c´est hyper excitant de se promener comme cela, surtout quand un petit courant d´air passe sous nos jupes ha ha disais-je à Aurélie… Et avoir les seins libres en marchant est plutôt agréable aussi, tu verras le regard des mecs en voyant que ça bouge sous nos débardeurs… Ok on y va ? J´ai hâte de découvrir…

Aurélie découvrait alors de nouvelles sensations comme moi même la veille et nous nous en amusions. J’adorais les mouvements de nos petits seins à chacun de nos pas, et on ne pouvait ignorer les tétons d’Aurélie dressés malgré la chaleur, son plaisir était évident. Le trajet était très joyeux, nous étions deux petites filles sages et insouciantes mais parfaitement conscientes de l’effet que nous produisions chez l’homme assis en face de nous... Les yeux exorbités, il fixait nos jambes nues et du fait de nos positions « involontairement » impudiques sur la banquette, nous le laissions volontiers voir nos petits minous...

Aurélie habitait le quartier nord de la ville à l’opposé du mien, mais nous n’avions qu’un seul changement de bus à faire pour y arriver. Elle y vivait avec sa mère, absente à notre arrivée, dans une charmante petite résidence. Installe toi Zoé, je reviens tout de suite. Mon amie me laissa seule un court instant pour revenir avec un petit sac à dos. Alors ? Il y a quoi de si mystérieux là-dedans ? Tu aimerais bien savoir hein ? Tu verras plus tard, je suis certaine que tu vas adorer... Au fait, t´as pas soif ? Tu prends un Coca avec moi ? Ce n’est pas de refus. Après avoir vidé nos verres, nous avions hâte de retourner chez moi pour laisser libre court à notre imagination lubrique. Aurélie emporta encore deux bananes dans son sac et nous partîmes pour reprendre le bus du retour. Dans le bus Aurélie me proposa une banane que j’acceptais volontiers. Nous étions mortes de rire en voyant le regard outré de la dame un peu coincée assise sur le banc voisin quand elle nous avait vu simuler une fellation avec nos fruits. Alors pour l’achever nous n’avons pas hésité à nous embrasser goulûment à pleines bouches, tout en nous pelotant les seins. Nous étions là volontairement provocantes, de vraies petites pestes et la pauvre dame toute prête de s’évanouir. C’était à la fois drôle et tellement excitant...

Arrivés à destination, il fallait encore traverser le petit parc près de la maison pour arriver chez moi. J’avais à cet instant un besoin pressant et surtout la folle envie de soulager ma vessie ici et maintenant après ce grand verre de Coca et les secousses du bus, l´idée enchantait également Aurélie. Nous nous sommes donc agenouillées l’une en face de l’autre sur le gazon et nous nous sommes regardées pisser. Voir ce jet sortir bruyamment sous pression du joli petit triangle noir de mon amie avait qu’elle chose d’émoustillant, j’avais à nouveau très envie d’elle et il me semblait faire le même effet à Aurélie...
Nous arrivâmes à la maison en même temps que mes chers voisins. Je saluais alors chaleureusement Beatrice et son petit-fils Julien qui les accompagnait. Julien devait avoir un an de moins que moi, je jouais beaucoup avec lui quand plus jeune il passait une partie des vacances chez ses grands-parents. Il était devenu un beau et grand garçon avec de très jolis yeux verts. Robert, occupé à décharger la voiture, nous observait d´un œil vicieux. Il n’était certainement pas encore remis du spectacle que nous lui avions offert dans l´après-midi…

Il n´était pas loin de 19:00 maintenant et nous décidemment de profiter de la maison et surtout de notre liberté.
Tu as faim ma belle ? Un peu et toi ? Il y a des pizzas au congélo si cela te tente ? Oui c´est parfait, mais on peut attendre 20 heures, on a le temps… Aurélie se rapprocha alors de moi, glissa sa langue dans ma bouche pour un délicieux baiser. Tu sais, ton massage Zoé, il était tellement bon hier soir, j´en profiterais bien encore une fois… Non ma belle, ce soir c´est à toi de me masser, mais j´ai aussi une autre idée pour après le repas… Je glissais alors mes mains sous le débardeur d´Aurélie pour le lui retirer, elle fit de même avec le mien comme avec ma petite jupe. C´est vrai qu´on avait dit week-end à poils… Je proposais alors à Aurélie d´aller prendre une petite douche commune après notre passage dans les transports en commun et notre pipi dans le square. La douche fut très agréable, nous nous sommes savonnées mutuellement tout en nous embrassant délicieusement. Aurélie me complimentant sur la beauté de mes seins, la parfaite épilation de ma petite toison et mes pieds aux ongles si joliment vernis, je lui redisais également qu´elle était parfaite avec ses seins aux jolis aréoles sombres, ses tétons si délicieux à sucer et ses poils noir soyeux et brillant. L´ambiance était certes chaude, nous étions cependant d´accord que nous n´allions pas nous faire jouir maintenant, qu´il était préférable de garder notre envie pour plus tard, Aurélie me promettant toujours une belle surprise…

On va peut-être rentrer le matelas resté dehors avant de manger ? Il est plus facile à nettoyer que les draps de mon lit après ce que j´ai prévu d´y faire avec toi… Oh, tu me réserverais aussi une surprise Zoé ? Oui, enfin non pas vraiment, j´anticipe seulement pour notre petit confort ma belle.
Après avoir installé le grand matelas gonflable au spa près du jacuzzi, nous étions donc allés à la cuisine pour
réchauffer les pizzas. Alors tu préfères quoi pour ce soir, une soirée ambiance zen comme hier ou plutôt festive, musique à fond etc demandais-je à Aurélie ? Allez, j´ai beaucoup aimé la soirée zen qui était parfaite hier pour nous découvrir, mais maintenant que nous nous connaissons mieux et savons ce que nous voulons, je dirais pour ce soir on fait la fête ok ! Yes, pour la fête !!! Tu veux boire quoi ? Il y a de la bière ? Et en plus tu veux te soûler ? Sacré Aurélie va… ok, on se prend une bière toutes les deux… Et en apéro une petite Vodka Orange ? OK je veux bien goûter…

J’avais peut-être un peu trop chargé nos verres en Vodka mais c´était plutôt bon, j’espérais seulement que ma mère ne se rendrais pas compte de la baisse de niveau dans la bouteille... La pizza était maintenant cuite et nos verres vidés, et c’est complètement euphorique que je proposais à Aurélie d’emporter nos assiettes et la bière au spa. Après avoir mis la musique techno à fond et mis en route le jacuzzi, nous nous y installâmes pour dévorer la pizza et déguster nos bières. L’ambiance était particulièrement joyeuse, nous étions prises d’incontrôlables fous rires. Pas habituées à boire de l’alcool, nous devions être un peu ivres malgré la relative faible quantité ingurgitée. Cela nous a complètement désinhibée, et nous devenions de plus en plus crues dans nos commentaires. Wouaouw c’est hyper agréable toutes ces bulles qui passent entre mes cuisses pour me chatouiller la moule et regarde j’ai les nichons qui bougent tout seuls me confiait Aurélie. Attend un peu que je vienne m’en occuper de ta moule lui disais-je. Je me rapprochais alors de mon amie, m’asseyant sur elle, tétons contre tétons, ma langue cherchant la sienne pour échanger nos salives. Nos mains devinrent rapidement baladeuses, nous nous malaxions sauvagement les seins, nous pinçant et nous mordillons nos tétons excités. Aurélie mit soudainement ses mains sous mes fesses pour me relever et ainsi porter mon sexe à la hauteur de sa bouche. J’écartais alors de mes doigts mes grandes lèvres pour lui présenter mon clitoris enflé par le désir qu’elle se mit à lécher goulûment. J’adore mon dessert, tu as vraiment bon goût me disait-elle en riant avant de replonger sa langue dans mon intimité. Aurélie s’avait s’y prendre pour me donner du plaisir, mais je me retenais de jouir... Je lui proposais alors de sortir de l’eau pour aller sur le matelas. Viens, on sera mieux ici toutes les deux, excités comme on est, on risquerait encore de se noyer disais-je à Aurélie, qui certainement plus ivre que moi encore, me répondit dans un nouvel éclat de rire : oh oui allons nous bouffer la chatte ma belle… Un représentant avait dernièrement offert à ma mère plusieurs flacons d’un gel particulièrement lubrifiant qu’elle n’utilisait pas, car elle ne le trouvait pas adapté à son activité et n’aimait pas sa texture. Je suis donc allé en chercher un, c’était ma surprise... Viens tu vas voir ça va être génial disais-je à Aurélie, on va pouvoir se masser mutuellement, glisser l’une sur l’autre etc... Attend Zoé je vais chercher mon sac à dos, j’ai aussi ma surprise tu te souviens ? Aurélie revint rapidement et nous nous sommes donc intégralement enduites du gel avant de nous jeter sauvagement l’une sur l’autre. C’était formidable, nos mains glissant délicieusement sur toutes les parties de nos corps, passants de nos seins à nos sexes, entre nos fesses, venant titiller notre anus, y introduisant parfois légèrement un doigt... Nous profitions certainement toutes les deux d´avoir l´excuse d´être alcoolisée pour laisser libre cours à nos envies… Nous laissions nos corps glisser l’un sur l’autre, nous embrassant quand nos positions le permettaient, nous léchant... J’ai envie de goûter ton jus disais-je à Aurélie qui écarta immédiatement ses cuisses pour m’offrir son sexe vers lequel je plongeais ma tête. De ma langue j’explorais alors tous les plis de ses chairs rose et humides, pénétrant tantôt son vagin de ma langue, aspirant tantôt son clitoris. Les gémissements de plaisir d’Aurélie étaient particulièrement motivant. J’avais moi-même la chatte en feu, je me déplaçais alors pour me positionner en ciseau avec mon amie. Nous étions maintenant sexe contre sexe, nous nous frottions énergiquement l’une à l’autre, merveilleusement lubrifiées. Notre position nous permettait de nous sucer mutuellement les orteils pour d´incroyables sensations sous nos râles de plaisir.

Nous reprenions un peu notre souffle quand je vis le sac à dos d’Aurélie... Au fait ma chérie t’avais pas une surprise pour moi ? Ha ha ouiiiii... je vais te montrer... Elle ouvrit alors son sac pour en sortir un petit coffret dans lequel se trouvait un vibromasseur, un second plus petit et quelque chose qui ressemblait à un petit œuf et aussi un petit boîtier. Mais d’où tu sors ça Aurélie ? En fait je l’ai chipé à la copine de mon père... J’étais en week-end chez eux, quand le colis est arrivé pendant qu’ils étaient parti faire des courses. Comme il était destiné à cette conne, je l’ai embarqué pour la faire chier, c’est seulement à la maison chez ma mère que j’ai vu ce que c’était, alors je l’ai gardé pour moi... Et elle n’a rien dit la copine de ton père ? Ben non, le livreur ne m’a rien fait signer, elle doit penser que le colis a été perdu... Nous éclatâmes alors de rire.

Et alors ? Tu les as déjà essayés ? Demandais-je curieuse à Aurélie… Ben oui tu penses bien… Nouvel éclat de rire… Aurélie prit alors le plus grand des vibros pour le faire glisser sur mon sexe. Wouaouw c´est bon, ça vibre fort, c´est génial ce truc lui disais-je. A l´intérieur c´est encore meilleur me répondit mon amie. Tu arrives à te le rentrer ? C´est pas trop gros ? Je croyais que tu étais vierge ? Oui je suis vierge parce j´ai jamais été pénétrée par un garçon, mais comme je fais de l´équitation depuis longtemps, il paraît que l´hymen peut se déchirer sans que l´on s´en rende compte. C´est ce qui a dû m´arriver parce que je le rentre sans problème et avec plaisir. Tu veux voir ?
Aurélie s´allongea sur le dos, puis rapprochant ses chevilles de ses fesses, écarta les cuisses… Après avoir repris un peu de gel lubrifiant au bout de ses doigts pour s´en enduire l´entrée de son vagin, elle se pénétra doucement avec le vibromasseur en marche. Oh que c´est bon me disait-elle… Voir cet engin rose fuchsia entrer et ressortir luisant de son anatomie était très excitant, j´avais très envie de m´occuper de ma copine… Viens laisse-moi faire proposais-je à Aurélie. Je lui pris le vibro des mains et entrepris avec, de doux vas et viens dans son vagin humide. Aurélie attrapa l´autre vibro plus petit qu´elle mit en route pour le positionner sur mon clitoris. Les vibrations du petit me semblaient plus intenses, et me faisais un de ces effets, ma petite chatte dégoulinait carrément de ma mouille. Hyper excitée, j´accélérait les vas et viens dans mon amie qui gémissait de plus en plus. Nous changions alors de position pour nous retrouver à nouveau têtes bêches. Tout en me caressant l´anus, Aurélie continuait à m´exciter avec son petit jouet qu´elle positionnait alternativement à l´entrée de mon trou et sur mon clito véritablement en érection. De mon côté je poursuivais les vas et viens tout en léchant et aspirant le délicieux clitoris qui m´était offert. Subitement prise de spasmes et tremblante Aurélie jouissait intensément
sous ma langue. Elle me supplia d´arrêter mes mouvements, c´était trop fort, trop bon… Je me retournais alors pour m´approcher d´elle et l´embrasser en la serrant fort dans mes bras… Wouaouw Zoé, c´était incroyablement bon, j´ai eu trois ou quatre orgasmes d´affilés, je crois que le vibromasseur est après toi mon meilleur ami…
Je veux essayer moi aussi, pénètre-moi glissais-je à l´oreille d´Aurélie. Tu veux vraiment ? T´as pas peur ? Non
viens, je suis vraiment trop chaude là, j´ai le minou en feu… Le cœur battant fort, je m´allongeais alors sur le dos, m´ouvrant largement face à Aurélie. Je vais y aller doucement, dis-moi si je te fais mal ok ? Aurélie prit alors la délicate attention d´enduire généreusement le sex toy de lubrifiant comme l´entrée de mon vagin. Elle se pencha alors vers moi, et m´offrant sa langue, c´est sous un doux baiser qu´elle fit doucement pénétrer en moi le vibro. Je n´avais quasiment ressenti aucune douleur à la déchirure de mon hymen, bien au contraire, la pénétration me fut immédiatement agréable. Vas-y fait moi jouir comme toi, c´est bon… Petit à petit Aurélie accéléra ses vas et viens dans ma chatte sous mes gémissements d´intense plaisir. Je sentais la jouissance monter en moi, l´imminente explosion de bonheur. Aurélie changea de position pour venir me sucer le clito tout en poursuivant et accélérant ses mouvements dans mon sexe. Je sentis soudain les vibrations du petit vibro à l´entrée de mon anus qu´Aurélie tentait également d´y faire pénétrer… c´est à cet instant que je fus prise d´un inimaginable orgasme, une explosion de plaisirs successifs, je n´arrêtais pas de trembler, j´étais tellement heureuse… Eh ben dis donc me disait alors Aurélie tout en me serrant fort dans ses bras et en m´embrassant, il est magique hein mon jouet. Nous étions toutes deux épuisées par notre jouissance, ivres de musique et d´alcool, mais tellement heureuses. Je disais alors à Aurélie en riant : je pense que je vais avoir du mal à marcher demain… Nous baissâmes alors le son devenu trop envahissant de la musique et la lumière pour retrouver un peu de douceur, nous nous endormîmes enlacées dans une chaleur moite sur le matelas poisseux de lubrifiant, de sueur et de nos autres sécrétions. Nous nous réveillâmes vers 1:00 du matin, il faisait un peu frais maintenant dans le spa. Je proposais
alors à Aurélie de prendre une rapide petite douche pour éliminer de nos corps les restes de lubrifiant, de transpiration, l´odeur de sexe qui collait à notre peau et les petites traces de sang qui avait séché entre mes cuisses, puis d´aller terminer gentiment la nuit dans mon lit, nous y serions bien mieux. La douche fut très sage, nous nous lavions mutuellement comme nous en avions pris l´habitude, tout en discutant de l´expérience vécue, du plaisir que nous avions eu ensemble. Nous étions ensuite montées dans ma chambre où je confiais encore à Aurélie que j´avais été heureuse d´avoir été dépucelée par elle, et après avoir échangé quelques doux baisers, nous étions endormies, nos corps nus tendrement enlacés.

Nous nous réveillâmes le lundi matin en pleine forme et une fois de plus la faim au ventre. Nous sommes alors descendues dans la cuisine pour prendre un copieux petit déjeuner, toujours en tenue d´Eve… Le soleil illuminait
la cuisine, Aurélie était radieuse sous cette lumière et nous étions très câlines toutes les deux. Nous échangions de tendres bisous, nous tenant la main, nous caressant des pieds sous la table… Dommage que tes parents reviennent ce soir me disait Aurélie. Oui mais c´est ce soir et nous avons toute la matinée et l´après-midi entière pour nous. Alors profitons-en…
Après avoir un peu rangé la cuisine et la maison, Aurélie me disait qu´il fallait peut-être faire le ménage au spa qui devait en avoir grand besoin… La veille elle avait déjà précieusement rangé ses « jouets » dans le petit coffret qu´elle avait ensuite glissé dans son sac à dos, mais il y restait le matelas poisseux, les assiettes et canettes de bières, les projections d´eau du jacuzzi etc...
Nous discutions encore de choses et d´autres quand nous entendîmes la sonnette de la porte d´entrée. J´enfilais alors rapidement un t-shirt long avant d´aller ouvrir. C´était Julien, le petit fils des voisins… Salut Zoé, tu fais quelque chose ce matin ? Je m´ennuie, Mami est chez le coiffeur pour la matinée et papi est parti tôt à la pêche, alors je me suis dit que ça faisait longtemps qu´on ne s´était pas vu. Ben viens entre, mes parents ne sont pas là je suis avec une copine qui a dormi ici, tu l´as déjà vu hier. Aurélie avait également eu le temps d´enfiler un T-shirt long, elle arriva essoufflée vers nous pour se présenter à Julien. En fait tu tombes bien, nous avons un matelas à sortir du spa et à nettoyer au jet pour ensuite le faire sécher au soleil. Tu veux bien nous aider ? Oui bien sûr, pas de problème. Julien était vraiment mignon avec ses beaux yeux verts, il portait un T-shirt, un short léger et des basquettes sans chaussettes. Je vais juste mettre un mot pour ma grand-mère pour qu´elle sache que je suis avec vous, je reviens tout de suite. Dès la porte refermée derrière Julien, Aurélie me dit alors d´une voix de robot monocorde : Zoé, votre mission du jour, faire éjaculer Julien. Zoé, votre mission du jour, faire éjaculer Julien. T´es sérieuse ? Aurélie, toujours de sa voix de robot : Je suis toujours sérieuse, Zoé, votre mission du jour, faire éjaculer Julien… Zoé, votre mission du jour, faire éjaculer Julien. Ok ma belle, mission acceptée… Nous étions encore entrain de nous esclaffer quand Julien revint tout sourire, se demandant bien ce qui nous rendait si joyeuses…
Au spa, Julien nous montra qu´il n´avait pas besoin de nous pour sortir le matelas, qui n’était certes pas lourd, juste un peu encombrant. Mais vous avez fait quoi là-dessus, il est un peu collant non ? Ah mon pauvre Julien si tu savais… On a un peu fait la fête ici hier soir. Aurélie était morte de rire et n´arrêtait pas de me dire discrètement d´une voix monocorde : vous avez une mission, vous avez une mission… Julien s´activait maintenant dehors avec le jet sur le matelas, et nous en profitions à l´intérieur pour débarrasser et nettoyer les traces de notre petite orgie. A deux, nous avions vite terminé et pouvions rejoindre Julien qui finissait juste le lavage du matelas. Nous lui donnions alors un coup de main pour placer le matelas au soleil afin qu´il puisse rapidement sécher. Avant de nous retrouver dans les fauteuils du salon de jardin où je proposais à boire à mes invités.
Aurélie me rejoignit dans la cuisine sous prétexte de porter les verres, mais surtout pour me dire : j´ai bien envie de le faire bander comme Robert et n´oublie pas ta mission… Très complices, nous riions à nouveau de bon cœur en rejoignant notre prochaine victime. Nous discutions alors de notre scolarité, de nos projets, de nos prochaines vacances etc… Je demandais alors à Julien s’il avait une petite copine, il me répondit que non, qu´il était un peu timide etc… Aurélie prit alors une pose lascive, son T-shirt découvrant largement ses cuisses bronzées. Montant innocemment un pied sur le bord de son fauteuil, elle offrait maintenant une très belle vue de son anatomie à Julien qui se mit à rougir et à transpirer. De mon côté je jouais avec un de mes tétons pour le faire s´ériger, ce qui semblait également perturber ce pauvre Julien. Le tissu fin de son short n´était plus en mesure de cacher son érection, et il bandait fort le coquin… Quand j´ai vu Aurélie se positionner en tailleur sur le fauteuil et s´ouvrir largement au point de rendre visible la chair rose de ses petites lèvres comme si elle avait oublié qu´elle ne portait pas de culotte, j´ai cru que Julien allait s´évanouir. Il ne savait plus où regarder, je trouvais cela tellement amusant que je pris la même position qu´elle… Julien transpirait de plus en plus, il me semblait entendre les battements de son cœur, il n´arrêtait pas de déglutir… Il fallait absolument faire redescendre la pression. Je proposais alors : Et si on allait se rafraichir un peu, j´ai hyper chaud moi… Je me précipitais donc vers le tuyau d´arrosage que j´ouvrais pour une superbe bataille d´eau avec mes amis. Julien trouva un sceau qu´il remplit d´eau de pluie au récupérateur que nous avions installés d´un côté de la maison. Nous étions un instant retourné en enfance… Nous étions tous les trois trempés, nos t-shirts collaient à nos peaux… Le mien et celui d´Aurélie devenus quasiment transparent, Julien avait désormais la confirmation que nous étions toutes deux complètement nues sous ce faible morceau de tissus. Je retirais alors le mien, immédiatement suivie dans mon geste par Aurélie. Julien à nouveau devenu pivoine nous dit alors, vous me gênez les filles. Je lui demandais : ben quoi t´as jamais vu une nana à poils ? Si, enfin pas vraiment en vrai, et pas si près de moi. T´as donc jamais touché une fille ? Ben non… Oh il va falloir qu´on fasse ton éducation intervint Aurélie. Mais met toi donc à l´aise, fait comme nous, retire donc ces fringues mouillées. Julien retira son t-shirt mais hésita pour le reste. Et ton short ? Ben c´est un peu gênant… Tu sais, c´est pas grave si tu bandes cela nous fait plaisir de te faire cet effet là. Nous nous rapprochâmes de lui, je lui pris les mains pour les poser sur mes seins, pendant qu´Aurélie lui retirait son short et son caleçon. Regarde-moi la belle bête Zoé, Julien eu à ce moment un petit mouvement de recul quand mon amie lui toucha son pénis en érection. Comment trouves-tu mes nichons ? Tu peux y aller plus fort si tu veux c´est agréable. Tu as la peau douce et vous êtes belles toutes les deux… Nous étions toujours là debout au milieu du jardin, je proposais alors de nous diriger vers le matelas qui avait eu le temps de bien sécher avec cette chaleur. Tu veux apprendre à faire plaisir à une fille ? Ben oui, ça m´intéresse de savoir pour plus tard… On va te montrer alors…
Aurélie se rapprocha de moi pour m´embrasser, nos langues se mélangeant en dehors de nos bouches sous le regard intéressé de Julien. Nous nous caressâmes mutuellement les seins montrant à notre apprenti comment si prendre, comment faire dresser les tétons sous sa langue etc… Il ne nous échappait pas que Julien se caressait furtivement le sexe toujours au garde à vous. J´avais bien envie de toucher un vrai pénis, j´approchais donc doucement ma main et entrepris de caresser délicatement cette tige particulièrement dure et plutôt épaisse que longue. Aurélie m´interrompit en me demandant maintenant de m´allonger sur le dos et dit à Julien : on va te montrer le fameux bouton magique, c´est surtout de lui dont il faut s´occuper quand on veut donner du plaisir à une fille. Je remontais alors mes jambes tout en ouvrant mes cuisses et de mes doigts écartais mes grandes lèvres. De son index, Aurélie tourna autour de mon clitoris, et pour rendre la leçon un peu plus compréhensible, j´émis quelques gémissements de satisfaction. Mais pour nous, poursuivit Aurélie, c´est encore meilleur quand on nous le fait avec la langue, regarde ! Aurélie entreprit alors de me lécher d´une langue agile, et pour confirmer les affirmations de mon amie, je gémissais un peu plus fort. Et c´est par ici qu´il faut rentrer ton pénis, ou tes doigts… Et ce trou-là, ben c´est le même que le tiens… Vous les garçons quand vous êtes excités vous bander, et ben nous les filles on deviens toute mouillée là. Aurélie prit alors la main de Julien et en caressa mon minou pour la démonstration. Elle s´allongea ensuite également sur le dos, ouvrit largement les jambes comme elle sait si bien le faire et tira Julien vers elle pour lui prendre la tête de ses deux mains et la positionner entre ses cuisses. Allez montre-moi si tu es doué. Julien sortit alors une langue timide et entreprit de s´occuper du bouton de ma copine qui l´encourageait de ses gémissements. Il a l´air de savoir faire demandais-je alors à Aurélie qui poussant la tête de Julien vers moi lui dit : montre à Zoé que tu apprends vite… Julien plongea alors sa tête entre mes jambes et s´appliquât à me faire plaisir. Et c´est vrai, qu´il était plutôt bon élève…
Aurélie nous interrompit à nouveau en demandant à Julien : Et comment font les garçons pour se donner du plaisir ? Que devons-nous leur faire ? Julien s´était alors remis debout devant nous et entrepris de se masturber, en nous disant : ben on fait comme ça !.. On peut essayer ? Demandais-je alors. Et, sans attendre sa réponse
nous nous mîmes à genoux devant lui, je pris rapidement son sexe entre le pousse et l´index pour commencer des va et viens. A ma grande surprise, Julien me prit alors la main pour me montrer que je devais tirer plus fort, que je ne devais pas hésiter à le décalotter complètement, à aller plus vite. Aurélie demanda à essayer à son tour. Je lui laissais donc la place, elle était beaucoup moins hésitante que moi et Julien semblait apprécier. C´est alors qu´elle lui dit : tu as vraiment une belle bitte, on aurait envie d´y goûter. Elle ouvrit alors la bouche pour y faire pénétrer le gland de Julien qu´elle se mit à sucer de plus en plus profondément et vigoureusement. Elle s´arrêta alors un instant pour me dire que c´était bon, très doux, qu’elle appréciait ce qu´elle faisait pour la première fois et que je devrais essayer. J´en avais effectivement très envie, alors j´avançais ma tête pour prendre la place et gouter moi aussi un garçon pour la première fois. C´était agréablement doux et chaud, Julien transpirait, il était tout rouge et nous disais que c´était trop bon qu´il sentait que ça allait venir. J´avais un peu peur de ma réaction s´il éjaculait dans ma bouche, du goût du sperme etc… J´arrêtais donc de le pomper et entrepris à nouveau de le masturber comme il me l´avait montré, Aurélie de son côté s´était mise à lui caresser les testicules, encouragée par le « oh oui c´est bon ça vient là ». Aurélie et moi-même avons toute deux étés surprise par l´intense et subite éjaculation de Julien. En quatre ou cinq jets, nous nous sommes retrouvé le visage, les cheveux et les seins maculés de son sperme épais et odorant. Nous en avions un peu partout, Julien s´en excusait en nous disant qu´il n´avait pu se retenir… Curieuse j´en goûtais un peu du bout d´un doigt, ce n´étais pas vraiment bon, pas vraiment mauvais non plus. Aurélie du bout de sa langue était également venue gouter la petite goute de jus de garçon tombée sur un de mes tétons. Elle semblait en revanche beaucoup apprécier et en reprit vigoureusement sur mon autre sein.

C´est à cet instant que nous entendîmes Béatrice revenue du coiffeur appeler Julien depuis une fenêtre pour le repas. Elle ne pouvait heureusement pas nous voir depuis sa maison et nous n´avions pas été très bruyant. Julien enfila alors rapidement ses vêtements presque secs, nous fit gentiment la bise en bégayant un « désolé, je dois y aller… ». Il semblait encore perturbé par ce qui venait de lui arriver et qu´il n’avait certainement pas imaginé en sonnant à notre porte un peu plus tôt dans la matinée. Aurélie reprit d´un coup sa voie de robot pour annoncer : Bravo Zoé, mission accomplie avec succès, Bravo Zoé, mission accomplie avec succès… Et nous éclatâmes de rire… J´espère qu´il ne va rien raconter… Et même s´il racontait dis-je à Aurélie, personne ne le croirait jamais… Mais dis donc ma belle tu avais l´air d´apprécier la bitte et son jus hein ? Peut-être mais rassure toi, je te préfère, tu as bien meilleurs goût ma Zoé adorée… Toi aussi tu es trop bonne lui répondis-je. Bon il va peut-être falloir nous laver un peu, on doit sentir l´homme… Oui peut-être… On va se doucher ? Hum avec plaisir…
Sous la douche, nous discutions alors de notre nouvelle expérience, quand Aurélie me dit : En fait c´est pas juste… Tu as fait jouir Julien et moi je n´ai pas eu droit à mon orgasme du matin… Ben moi non plus… Nos langues se mêlèrent alors, et nos mains se caressèrent agréablement, glissants sur nos corps savonnés. D´humeur joueuse je disais à mon amie, bon la dernière qui jouit doit offrir un cadeau à l´autre, Ok ? OK.
Nous nous assîmes alors en tailleur l´une en face de l´autre, toujours sous l´agréable douche « pluie » de la grande douche du spa. Nos sexes largement ouverts, nous nous regardions nous masturber vigoureusement, triturant nos clitoris, faisant pénétrer nos doigts dans nos vagins d´une main et jouant avec un de nos tétons de l´autre. Excitée par la vue que m´offrait Aurélie avec ses doigts s´activant dans son merveilleux petit minou noir, j´atteignit rapidement et la première un bel orgasme très vite suivie par mon amie dont la jouissance déclencha un jet d´urine qui m´atteignit. Nous éclatâmes à nouveau de rire, avant de nous resavonner tout en échangeant de doux baisers.

Il était désormais 13:00, nous n´avions pas vraiment faim et décidâmes de nous contenter de chips et d´autres salés accompagné de coca. Nous étions bien, heureuse de notre si agréable week-end de jouissance et de nos multiples découvertes plus agréables les unes que les autres. Nous étions toutes deux d´accord que jamais nous n´avions atteints de tels orgasmes et que nous allions nous souvenir encore longtemps de ces deux incroyables et folles journées. Je n´étais plus vierge, d´autres expériences dont j´étais curieuse pouvais désormais sans craintes s´offrir à moi, une perspective qui me réjouissait déjà. Nos petits minous devenus un peu trop sensibles de part nos multiples sollicitations, nous convenions de leur concéder un peu de repos (lol) et de poursuivre plus sagement la journée en nous rendant en ville pour faire un peu de shopping. Je raccompagnerais ensuite Aurélie chez elle avant de retrouver mes parents à la maison.
Nous étions donc remontées dans ma chambre pour nous habiller et j´admirais encore une fois le magnifique corps de mon amie, toujours aussi fascinée par son petit triangle sur lequel elle remontait maintenant sa jolie petite culotte… Avant de sortir, Aurélie ouvrit son petit sac à dos et le coffret qu´il contenait pour m´offrir
le petit vibromasseur en me demandant de bien penser à elle quand je m´en servirais, ce que je lui promis. C´était son cadeau pour avoir perdu notre petit challenge sous la douche… Mais au fait, c´est quoi cette espèce de petit œuf et le petit boitier lui demandais-je encore… Ah ah, me répondit-elle, c´est aussi un truc génial que je te ferais découvrir la prochaine fois. C´est un œuf vibrant que tu introduis dans ta chatte et que tu mets en marche avec le petit boitier qui est une télécommande. Elle te permet aussi de régler la puissance et le style de vibrations quand il est en toi. Wouaouw ça doit être super ? Oh que oui tu n´imagines pas…

Notre après-midi shopping fût très plaisante, nous avions, juste pour le fun et pour échanger quelques baiser dans les cabines, essayées des tonnes de vêtements que nous n´avions pas l´intention d´acheter. Nous étions aussi allées en vieille ville prendre un soda sur une terrasse etc… En raccompagnant Aurélie, nous nous promîmes de recommencer ce genre de moments, de nous refaire jouir mutuellement dès que l´occasion se présenterais, et peut-être même d´y faire participer plus activement Julien qu´il faudrait encore « décoincer » un peu…
Plus tard je retrouvais mes parents qui me racontaient alors avec enthousiasme leur week-end et à qui je confirmais que le mien avait été hyper cool, qu´on s´étaient éclatées avec Aurélie. Ah s´ils savaient de qu´elle manière…
Je me m´étais couchée tôt ce soir-là, fatiguée, heureuse et satisfaite. Je m´endormais enfin, une main dans ma culotte, imaginant les effets du petit œuf de ma belle amie…

Le mardi je me levais tard, je savais que la journée serait des plus ennuyeuse. A midi je mangeais avec maman dont la journée était chargée de rendez-vous, surtout pour des épilations de jambes et maillots en cette saison de vacances. Je passais donc l´après-midi devant la télé ou à lire dans le jardin, l´esprit encore occupé par les images du week-end passée avec Aurélie. Je me languissais de sa présence, de ses baisers, de son odeur, de la douceur de sa peau, de sa beauté, de son humour et de son sexe, bref, elle me manquait terriblement. Je pensais très fort à elle quand mon téléphone sonnât. C´était justement ma belle amie qui venait prendre de mes nouvelles et m´annoncer que son père avait déplacé ses congés et qu´il passerait la chercher en fin d´après midi pour partir tôt le lendemain matin dans le sud pour 15 jours. A son retour elle n´aurait qu´un seul jour de répit avant de devoir repartir avec sa mère en Bretagne, également pour 15 jours. Nous constatâmes que nous serions déjà en août et que je serais à mon tour en vacances pour 3 semaines. Autant dire que nous ne nous reverrions pas avant la rentrée, bonjour la déprime, nous étions toutes deux dégoûtées. Aurélie me confiât que je lui manquais aussi mais qu´on se rattraperai, qu´elle avait déjà des plans pour passer des week-ends ensemble chez elle etc… Nous étions tristes, mais savions que nos retrouvailles seraient torrides. En attendant, Aurélie eu l´idée qu´on pourrait de temps à autres se voir via les applications vidéo de nos téléphones, que se serait plus sympa que de jouer toutes seules dans nos chambres, on dirait l´une à l´autre ce qu´elle devrait faire, on se lancerai de petits défis etc… L´idée de pouvoir ainsi revoir les magnifiques petits seins et le petit minou d´Aurélie, même si je ne pourrais la toucher, m´enchantât et me remit du baume au cœur. Aurélie devant encore préparer sa valise, je lui rappelais de ne pas oublier son jouet favori et des piles neuves… Nous échangeâmes encore un « je t´aime » et raccrochâmes en riant malgré nos cœurs gros…

J´entendis alors la voiture de papa qui arrivait… Après avoir bu une bière fraiche sur la terrasse, il me demanda de lui donner un coup de main pour porter des chaises et une table chez les Lerois, des voisins qui habitent trois maisons plus loin. Ben pourquoi papa ? Ben c´est leur tour cette année ! Tour de quoi ? Ben Zoé ? Comme tous les ans on se fait notre petite « fête des voisins » et cette année c´est chez eux… Ah mince j´avais complètement oublié. Après avoir déposé la table et les chaises, je rejoignis maman qui s´activait dans la cuisine pour préparer une salade pour accompagner les grillades et une salade de fruits pour le dessert. Je lui proposais mon aide, qu´elle accepta, elle aurait ainsi un peu plus de temps pour se préparer. Je pris ensuite une douche rapide avant d´enfiler un petit short et un petit chemisier. Il faisait toujours très chaud, quand nous arrivâmes chez les Lerois.
Nous fûmes chaleureusement accueillis par ceux déjà présent et qui ne manquèrent pas de nous faire remarquer que pour une fois nous n´étions pas les derniers, sous le rire gras de Robert notre fameux voisin direct.
Une longue soirée bien bof s´annonçait…

Julien, toujours en vacances chez ses grands-parents était également présent. Il me fit la bise en rougissant un peu et en me complimentant maladroitement sur ma tenue. Il sentait bon, il sortait visiblement de sa douche et s´était fait tout beau… Il me raconta, qu´il avait passé l´après-midi chez son grand et unique cousin Thomas car il s´ennuyait un peu chez Robert et qu´il était content de rentrer chez lui vendredi… Robert me mâtait toujours, il tentait certainement de deviner si je portais un soutient gorge sous mon chemisier. Pas de chance Robert, j´ai oublié que tu serais là et j´en ai donc mis un, et je porte même une culotte sous mon short… Après l´apéritif dont certains avaient déjà pas mal abusé, nous passâmes enfin à table. L´ambiance était comme toujours très festives et le rosé semblait particulièrement bon et rafraichissant… J´étais assise à côté de Julien qui me touchait dès qu´il en avait l´occasion, ses cuisses colées aux miennes. Nous étions les seuls de notre âge, les autres enfants étaient beaucoup plus jeunes et les conversations et blagues des adultes nous amusaient peu. Après le dessert et sachant que cette soirée maintenant fortement alcoolisée allait s´éterniser, je demandais à mes parents si avec Julien nous pouvions rentrer à la maison pour écouter de la musique ou regarder la télé parce qu’ici on se faisaient « chier ». Julien semblait heureux de mon initiative, et surtout que mes parents acceptent sans peut-être même avoir vraiment entendu la question…
Arrivés à la maison nous nous installâmes devant la télé, Julien se collant à moi comme si j´étais devenue sa petite amie. Je lui expliquais alors qu´il était hors de questions que nous sortions ensemble, qu´il avait un an de moins que moi et que ce qu´il s´était passé l´autre jour, s´étais uniquement pour le plaisir, pour se faire du bien.
Avec un regard un peu triste il me dit alors, ok j´ai compris, mais on peut se faire du bien alors ? Je m´approchais alors de lui pour l´embrasser. Il ouvrit la bouche pour laisser passer ma langue que la sienne venait maladroitement chercher. D´une main il s´étais mis à me caresser la cuisse en remontant jusqu´à mon entre jambes. Il entreprit alors de me malaxer les seins, je sentis dès lors mes tétons durcir et ma culote s´humidifier. Je proposais alors à Julien de monter dans ma chambre pour écouter de la musique. Je le prenais alors par la main pour l´entrainer à l´étage où j´allumais la musique à fond en fermant la porte à clé par sécurité.
Très excité Julien tenta de déboutonner mon chemisier sans y arriver. Je me déshabillais alors moi-même, lui laissant cependant le soin de m´enlever mon soutien-gorge pendant que je lui retirais son t´shirt. Le cœur de Julien battait fort dans sa poitrine quand je retirais mon short et ma culotte. J´entrepris alors sans grande délicatesse de lui retirer également son short sous lequel il portait un joli caleçon qui mettait en valeur une belle érection. J´y glissais alors mes deux mains pour le lui retirer et découvrit un beau sexe glabre. Wouaouw Julien, tu t´es fait tout beau là… Euh oui c´est Thomas mon cousin qui m´a dit que c´était bien de tout raser et que les filles aimaient bien aussi… Ben il a raison ton cousin, j´aime beaucoup… Tout en m´allongeant sur le lit, j´attirais Julien vers moi et entrepris de le masturber doucement. Il se mit alors à m´embrasser (toujours aussi mal), à me peloter les seins, me sucer les tétons qui cependant ne restait pas indifférents à son traitement. Je lui pris ensuite la main pour la poser sur ma petite chatte et lui montrait comment jouer avec mon clito pour pousser ensuite deux de ses doigts dans mon vagin. Ses caresses était agréable mais il manquait d´initiatives et n´était pas aussi doué qu´Aurélie qui savait parfaitement s´y prendre pour me faire jouir. Je repoussais alors Julien sur son dos et entrepris de le masturber plus activement que la première fois, en accélérant mes mouvements et en tirant bien fort. J´avais une nouvelle fois envie de gouter à son gland, j´ouvris dès lors la bouche pour sucer d´abord délicatement puis plus vigoureusement la bitte de mon ami sous ses gémisse-ments de plaisir. Très vite, Julien me supplia d´arrêter en me disant que c´était trop bon qu´il allait jouir et qu´il ne souhaitait pas en « mettre partout ». Il se leva subitement pour se diriger vers son short dans lequel il alla chercher quelque chose. Il revint en me disant, regarde ce que Thomas m´a donné cet après-midi, tout en déchirant la petite pochette du préservatif qu´il tenait dans ses mains. Je le regardais alors enfiler cette capote de couleur rose et parfumée à la fraise que j´avais hâte de goûter. Je me remis alors à branler Julien puis rapidement à le sucer profondément pendant que de ses doigts il fouillait ma fente déjà bien humide. Le goût n´étais pas terrible, je préférais nettement la douceur de sa peau nue quand ma langue tournait autour de son gland. J´avais moi aussi très envie de me faire lécher maintenant. Je me positionnais alors au bord du lit, les cuisses largement ouvertes et pris la tête de Julien pour l´orienter vers mon clito. Julien s´exécutât agréablement, en tout cas il fit des efforts pour me faire du bien. Je me souvenais alors de la sensation du vibro masseur dans mon vagin et avais une folle envie de me faire pénétrer. Sachant Julien toujours équipé du préservatif, je l´attirais sur moi pour reprendre en main son sexe tendu que je dirigeais vers l´entrée de mon vagin. La pénétration fût agréable, mais après trois ou quatre va et viens et ne pouvant se retenir, Julien éjaculat sans m´avoir laissé le temps de jouir. Il se retira heureux de son dépucelage et me regarda d´un air surpris me faire jouir de mes propres doigts. J´atteignit rapidement un petit orgasme, déçu de la performance de mon ami, et regrettant l´absence d´Aurélie. Fatiguée, je demandais à Julien de rentrer chez lui et de me laisser dormir. Avant de partir il me remercia pour cette agréable soirée sans oublier de m´inviter à son anniversaire qu´il prévoyait de fêter samedi. Je m´endormis rapidement, insatisfaite et en plein doute… Ne serais-je pas véritablement lesbienne ?

En me levant le mercredi matin, j'eu la surprise de trouver papa dans la cuisine avec à la main un verre d'eau dans lequel était entrain de se dissoudre un cachet d'aspirine effervescent. Ben tu bosses pas aujourd'hui ? Euh si, mais pas ce matin, j'ai un de ces mal de crane... Ah oui c'est vrai le rosé d'hier soir... Ne parle pas si fort ma chérie s'il te plait... Maman est levée ? Oui elle est au Spa avec son rendez-vous de 10:00. Ok je vais me doucher alors... Je trainais ensuite dans la maison, sans trop savoir que faire en attendant le repas de midi. Plus tard, mes parents n'ayant pas faim, ou étant plutôt incapables d'avaler quoi que ce soit aujourd'hui, maman me proposa de me faire quelques pâtes avant d'aller faire une petite sieste pour pouvoir tenir les rendez-vous de l'après-midi. Et oui, dur dur les lendemains de fêtes...
Toutes mes amies étant déjà parties en vacances ou indisponibles, et, n'ayant surtout pas envie de me coltiner Julien, l'après midi me fût toute aussi ennuyeuse. C'est alors que maman, sortie de son « antre » pour chercher une boisson fraîche dans le frigo de la cuisine, eu la géniale idée de me proposer d'inviter éventuellement ma cousine Célia à venir passer quelques jours à la maison. Célia étais ma cousine préférée, elle avait certes deux ans de moins que moi, mais était très mature pour son âge. Elle était aussi un peu mon double, toujours en pleine forme, très rigolote, et comme moi, très naturelle. Elle était la fille Sophie, la sœur de maman et me ressemblait même physiquement. Cela faisait un petit moment que je ne l'avais pas vue, je me jetais alors vite sur le téléphone pour appeler ma tante. Célia était également ravie par l'idée et ma tante proposa de la déposer en toute fin d'après-midi et de revenir la chercher dimanche comme il était de toute façon prévu qu'ils viennent manger à la maison ce jour là.
Il était près de 17 heures 30 quand j'entendis la voiture de Sophie et je m'empressais alors d'aller les accueillir sur le pas de la porte. Célia faisait maintenant la même taille que moi, elle avait grandi depuis la dernière fois et se tenait bien droite, certainement pour me montrer que désormais elle avait la même taille de poitrine que moi... Elle portait une jolie robe qui me semblait peut-être un peu trop serrée. Maman vint alors nous rejoindre et constata également des changements chez sa nièce. Sophie confirma en disant : Et oui, elle grandi ma fille hein, et de partout... Il faut d'ailleurs absolument qu'on aille faire un peu de shopping, plus rien ne lui va. Bon je n'entre pas, j'ai encore des courses à faire, soyez sages les filles, bisous, à dimanche.
J'étais contente de retrouver ma cousine qui, toujours cool, me faisait toujours autant rire.
Célia s'installa dans ma chambre, car nous avions l'habitude de dormir ensemble depuis notre plus jeune âge où l'on se racontait sous la couette des histoires pour se faire peur. Nous sommes ensuite parti faire un petit tour dans le square où nous sommes tombés nez à nez avec Julien. « Salut Julien je te présente ma cousine Célia, elle reste chez moi jusqu'à dimanche. Je suis vraiment désolée mais je ne pourrais donc pas venir à ton anniversaire samedi (j'avais enfin une bonne excuse pour ne pas y aller)... ». « Ah mais il n'y a aucun problème, tu peux venir aussi Célia, j'en serais très heureux... mes parents ne sont pas là, ils me laissent la maison pour le week-end alors plus on est de fous... » Célia me suppliant des yeux, je répondis un peu à contre cœur « Bon ben ok c'est d'accord on viendra toutes les deux ». Julien repartit un peu pressé car attendu chez Robert pour le repas du soir. Célia était presque hystérique... « Wouaouw c'est cool, on va pourvoir faire la fête samedi, je sais déjà ce que je vais mettre et toi Zoé ?.. » « Non, j'y ai pas encore pensé, on a encore le temps... ». Maman devait maintenant nous attendre pour le diner, nous retournions alors à la maison pour manger avec mes parents. Après le diner nous avons regardé une émission musicale à la télé avant d'aller nous coucher et nous raconter les dernières nouvelles. Célia me racontait qu'elle avait depuis peu un petit copain très mignon, qu'ils s'embrassaient même avec la langue et qu'il avait les mains un peu baladeuse quand ils étaient seuls... Je lui racontais que j'avais embrassé une fille sans plus entrer dans les détails. Célia trouvait cela trop cool et me disait qu'elle essayerais bien aussi un jour, juste pour voir comment c'étais. La soirée était joyeuses nous riions de nos histoires comme quand nous étions petites et nous endormions gentiment.

Le jeudi, après une grâce matinée, nous prîmes un copieux petit déjeuner sur la terrasse ensoleillée tout en faisant des plans pour les prochains jours. Nous n'avions à priori qu'un seul impératif, trouver un cadeau pour l'anniversaire de Julien. Mais cela, nous pourrions le faire samedi matin en accompagnant maman en ville, elle devait y faire des courses pour le repas dominical avec les parents de Célia. Le samedi après midi nous serions certainement occupées à nous préparer pour notre soirée, le programme de cette journée était donc rapidement bouclé. Pour le vendredi je proposait à ma cousine une journée complète à la piscine d'été où nous pourrions pic-niquer à midi dans les espaces verts autour des bassins. L'idée enchantait Célia, mais elle n'avait pas emporté de maillot de bain. Je lui proposais donc de lui prêter l'un des miens, elle ferait des essais plus tard. Il ne nous restait donc plus qu'à nous trouver une occupation pour l'après-midi. Nous décidâmes alors de rester à la maison pour profiter du jardin et éventuellement du jacuzzi s'il n'était pas réservé pour des clientes à maman. Comme nous avions un peu soufferts de la chaleur la nuit passée nous décidâmes aussi de camper dans le jardin ce soir. Nous installerions la tente qui se monte toute seule en 2 secondes et dans laquelle on pourrai mettre mon grand matelas gonflable. Maman arriva alors pour nous demander de bien vouloir nous occuper du repas de midi car elle avait pris du retard avec une cliente. Après le repas nous nous attaquâmes à l'installation de la tente pour la nuit, ce qui est fait est fait comme dirais notre grand-père. Je proposais alors à Célia d'essayer un de mes maillots de bain pour la piscine. Elle se décida pour le noir, une couleur qu'elle n'avait pas l'habitude de porter. J'aimais beaucoup sa coupe échancrée, maman me disait toujours qu'il était plus destiné à la plage qu'à la piscine mais à la plage je ne porte jamais de maillot alors... Celia enfila donc ce maillot, qui lui allait parfaitement bien. Il mettait très bien en valeur ses fesses bien fermes et sa jeune poitrine. « Oh le beau cul que tu as » lui disais-je et elle me répondit « oui peut-être mais il y a un problème regarde ». Il y avait effectivement comme petit un problème, une épilation du maillot s'imposait... Je lui proposait alors d'en parler à ma mère qui pourrait peut-être s'en charger. Célia était d'accord, maman voulait cependant avoir l'accord de tante Sophie. Elle téléphona alors immédiatement à sa sœur pour lui expliquer le problème, Sophie n'y voyait aucun inconvénient, sa fille étant devenue une vrai jeune fille comme elle disait. Maman dit alors, « on va pouvoir s'en occuper tout de suite, madame Pannoti vient d'annuler son rendez-vous, je suis donc disponible ». « Ok mais Zoé tu restes avec moi hein ? » me demanda Célia. « D'accord, je te tiendrai la main mon bébé... ». Célia n'étant absolument pas pudique, elle retira sans hésitation le bas du maillot avant de s'installer sur la table pendant que maman préparait la cire chaude. Je découvrais alors que nous étions quand même un peu différentes, ses petites lèvres sortait légèrement de ses grandes lèvres, ce qui ne semblait pas surprendre maman qui en avait vu d'autres. Il paraît d'ailleurs que c'est très courant chez de nombreuses filles. L'épilation semblait très bien se passer, Célia me disait que tout allait bien, que cela ne faisait absolument pas mal. Il faut dire aussi que maman est très délicate et professionnelle. Je proposais alors à maman en riant de faire un peu le ménage dans cette brousse et d'égaliser un peu tout ça. Maman était de mon avis et termina l'épilation par une taille à la tondeuse du petit minou de mon adorable cousine. Elle lui donna enfin un miroir pour qu'elle puisse admirer le travail en disant « voilà ma belle, c'est terminé, tu es toute propre, toute belle » . Célia semblait hyper satisfaite du travail de maman et la remercia chaleureusement. Si vous voulez, vous pouvez utiliser le jacuzzi, il n'est pas réservé cet après-midi. Je disais alors à Célia « pas besoin de remettre le maillot, on y va à poils ». Ne m'étant jamais cachée de ma cousine je me déshabillais devant elle avant de mettre les bulles en route et de pénétrer dans l'eau suivie de ma cousine qui avait entre temps également retirée le haut du maillot. Les seins de Célia me semblait plus ferme que les miens, ils allaient sans aucun doute encore prendre du volume. Ils étaient très beau, avec des aréoles bien dessinées et de jolis petits tétons rose. Célia me confia que cela lui faisait un drôle d'effet d'être si bien épilée, qu'elle se sentait encore plus nue qu'avant. Elle ajouta en riant que les bulles qui passait entre ses cuisses et faisait bouger ses seins dans l'eau lui faisait également un agréable effet. J'étais un peu surprise quand elle m'a dit « c'est bizarre, j'ai maintenant l'impression de toucher une autre fille quand je me caresse la chatte là », « Ah bon parce que tu te touches toi ? » « Ben oui comme toutes les nanas, pas toi ? » Je lui répondis « Ben si... comme toutes les nanas » et nous éclatâmes toutes deux de rires quand je lui ordonnais de mettre ses mains sur sa tête... Nous profitions ensuite pendant un long moment encore de ces merveilleuses bulles. A un moment j'observais ma cousine, les yeux fermés, les joues roses, la tête en arrière reposant sur le bord du jacuzzi. Je ne voyais pas ses mains sous l'eau, mais j'imaginais bien à quoi elles pouvaient être occupées... Je repensais alors à ma belle Aurélie, en laissant mes doigts s'aventurer dans mon intimité jusqu'à obtenir discrètement un agréable petit orgasme. Après nous être séchées et rhabillées de maillots de bains, nous avons terminé notre installation pour la nuit dans la tente et sommes ensuite restés à ne rien faire dans les transats du jardin sous les derniers rayons de soleil. Me sentant observée mais ne sachant pas si c'étais par notre voisin Robert ou par Julien, je prenais à nouveau un malin plaisir à me positionner de manière indécente et suggestives. Tantôt assise en tailleur, les cuisses très ouvertes, les adducteurs hyper tendus pour jouer avec mes orteils ou encore en laissant tomber mes jambes de chaque côté du transat, rendant ainsi visible le dessein de ma fente sous le fin tissus de mon maillot de bain etc...

Après le barbecue du soir nous sommes restés tard sur la terrasse à papoter avec mes parents et à rire des histoires de Célia en très grande forme. Papa devant partir au travail plus tôt que d'habitude le lendemain matin, il décida à un moment d'aller se coucher, suivi de maman et nous fîmes de même. Il faisait toujours une chaleur caniculaire ce soir là et nous décidâmes de rester avec nos maillot que nous n'avions pas quittés pour nous coucher. Enfin, gênés dans le dos par les noeuds fermant nos hauts, nous les retirions d'un commun accord. Nous n'étions donc plus que vêtus de nos bas de maillots et discutions de choses et d'autres quand Célia me demanda. « C'est vrai que tu te touches parfois toi aussi? » « Oui, même souvent, il n'y a pas de mal à se faire du bien, c'est normal » « Oui sauf que moi j'ai très souvent envie, surtout le soir au lit avant de m'endormir » « Mais tu es une sacrée coquine Célia, et là tu as envie maintenant ? » « Ben oui, avec l 'épilation, le jacuzzi etc... » « Ben fais toi donc plaisir, on est jeune, profitons de la vie, c'est pas notre devise ? » « Ben si ». Je m'approchais ensuite de ma cousine pour lui faire un tendre bisous sur la joue. Je la vis alors glisser une main dans sa culotte, ses doigts cherchant à se donner du plaisir. Célia me regarda, regarda vers mon sexe, m'invitant visiblement à l'imiter. Aimant être libre de mes mouvement pour ces moment là, je retirais ma culotte immédiatement imitée par Célia. Nous nous masturbions d'abord doucement, puis de plus en plus vigoureusement, nous observant, accordant nos rythmes jusqu'à atteindre chacune un bel orgasme. « Hum c'était bon, c'est sympa de le faire à deux, je veux dire de voir comment tu fais » me disait alors Célia en reprenant son souffle, « mais je suis crevée là, on dort ? ». On se fit alors un bisous, avant de nous endormir satisfaite.
Le lendemain nous nous réveillâmes encore plus complices que d'habitudes, j'adorais décidément ma cousine. Maman ayant un premier rendez-vous à 11h00, elle souhaitait nous déposer à la piscine un peu avant. Pendant que nous préparions nos affaires, elle s'était chargé de notre pic-nique, il ne nous restait plus qu 'à nous installer dans la voiture.
La journée à la piscine fut des plus agréable, Célia était heureuse de se faire draguer par des petits mecs. Elle était fière de ses nouveaux attributs et de l'effet qu 'elle produisait maintenant sur les garçons. Elle tournait ostensiblement du cul quand elle se déplaçait et je m'en amusait. Elle était vraiment jolie et sa bonne humeur était communicative. Sa compagnie était vraiment plaisante, mais malgré tout, Aurélie me manquait.
C'est papa qui était venu nous récupérer après son travail. La soirée s'étais ensuite déroulé comme la précédente, mes parents appréciant également la présence de Célia et voulant aussi en profiter. Pour notre deuxième nuit sous la tente, nous nous étions immédiatement et naturellement mise nue pour nous donner du plaisir, avant de rapidement nous endormir fatiguées par notre jouissance et par notre journée de natation.
Comme prévu nous étions allées en ville avec maman samedi matin. Nous avons fait quelques boutiques avant de trouver pour Julien un t'shit que nous trouvions très fun, ainsi qu' une tasse humoristique. L'après-midi nous avions fait une petite sieste dans le jardin avant de commencer à nous préparer pour l'anniversaire. Nous étions allés nous doucher ensemble sous la grande douche du spa, Célia voulait ensuite se vernir les ongles des mains et des pieds comme moi et désirais un léger maquillage. Elle avait déjà choisi de porter un petit haut cour pour montrer son nombril, une petite jupe et de jolies sandalettes. Moi je me décidais pour un haut au dos nu, une mini jupe et également des sandalettes. « Alors comment me trouves-tu ? Ça va comme cela ? » Demandais-je à ma cousine. « Ben en fait c'est dommage, on voit ton soustif avec ton dos nu et c'est pas joli. Tu devrais l'enlever. Et on voit aussi la marque de ta culotte sous ta jupe, c'est pas terrible non plus » me disait-elle. Je retirai alors mon soutien gorge et remplaçais ma culotte par un string plus discret. C'est maman qui m'en avait acheté pour les porter sous un pantalon au tissu léger très agréable mais sous lequel on devinait toujours mes sous-vêtements. « J'aimerais bien en porter un une fois pour voir » me disait alors Célia. J'ouvris donc mon armoire pour lui en proposer un qu'elle se dépêcha d'enfiler. « Ben c'est un peu drôle cette ficelle dans le cul, mais j'aime bien (lol). Bon tu es prêtes, je veux pas être en retard et ton père nous attend déjà... » Ajouta t-elle toute excitée par la soirée qui nous attendait.

Papa nous déposa chez Julien en nous précisant bien qu'il reviendrait nous chercher pour 11 heures précise. Julien devait guetter notre arrivée car il ouvrit la porte dès notre décente de voiture. Il nous accueillit avec un grand sourire et nous fit à toute deux la bise. Nous lui souhaitions alors un très joyeux anniversaire en lui offrant le cadeau que nous lui avions choisi dans la matinée. Dans le sous sol où se déroulait la fête il y avait déjà une douzaine de filles et garçons affalés dans les canapés ou debout autour du buffet où l'on pouvait trouver une multitudes de sodas, jus de fruits et quelques bières. On y trouvait également des chips et toutes sortes de salés au gouts variés. Sur une table était disposés des cartons dans lesquels se trouvait plusieurs variétés de pizzas dont on pouvais se servir librement. Dans un coin, un garçon jouait le DJ de service et balançait la musique dont le volume nous obligeait à parler très fort pour pouvoir un temps soit peu s'entendre. Près de lui, un autre était occupé à régler les lumières, il y avait même un laser et une petite machine à fumée. Julien nous présenta ses amis, puis nous demanda de nous amuser avant de repartir accueillir d'autres invités. Je restais donc là avec Célia qui commentait alors la tenue des filles et le physique des garçons dont un en particulier semblait beaucoup lui plaire et au vu des regards qu'il lui lançait cela semblait réciproque. Célia était toute excitée et n'arrêtait pas de me lancer des oh t'as vu comme il est beau, tu crois que je peux aller lui parler etc... C'est alors que vit Julien se diriger vers moi, accompagné d'un grand garçon aux cheveux blond qu'il me présenta comme étant son cousin Thomas. Il devait mesurer plus d'un mètre quatre vingt et je devais lever les yeux pour le regarder avec mon mètre cinquante cinq. On devinait sous son t'shirt une musculature bien développée et ses biceps semblait vouloir faire craquer ses manches à chacune de ses contractions. Il s'approcha de moi, se baissa pour me faire la bise en touchant délicatement mon dos nu de sa main pour m'attirer vers lui. Alors c'est toi la fameuse Zoé ? Julien m' a beaucoup parlé de toi tu sais... Ah bon ? En bien j'espère ? Oh oui bien sûre, en très bien même... En me retournant je vis Célia en pleine discussion avec le garçon qu'elle avait repéré plus tôt et elle semblait charmée, ce qui me fit sourire. Thomas me proposa un verre et me parla un peu de lui. Il avait dix huit ans, venait d'obtenir son bac et serait étudiant en fac de droit à la rentrée. Il pratiquait différents sport et la musculation en particulier ce qu'on ne pouvait ignorer... Il était vraiment beau garçon, très sexy et savait parler aux filles. Il me complimentait sur mon physique, me disant que je n'avait pas à complexer par rapport à ma petite taille, qu'il me trouvait canon et bien foutue (lol)... Les autres invités semblait beaucoup s'amuser, je les trouvais pas très matures mais il est vrai qu'ils étaient tous plus jeune que moi. Du coin de l'oeil, je surveillait Célia qui semblait particulièrement joyeuse... La fumée de la machine avait maintenant envahit l'espace et on y voyait pratiquement plus rien. Thomas me pris alors la main pour me guider vers un canapé un peu à l'écart derrière le DJ et ses grosses enceintes et ou la musique était un peu moins forte. Julien dansait maintenant comme un diable avec ses copains et me donnais vraiment l'impression d'être un grand gamin. Nous nous installâmes donc dans ce canapé un peu profond et complètement défoncé. J'étais sous le charme de Thomas qui maintenant me draguait sérieusement, ce qui ne me déplaisait pas. Il était évident que Julien lui avait parlé de nos petites séances car il me demandait si son cousin était doué au lit (oups)... Je lui répondait alors qu 'il avait certainement encore beaucoup à apprendre mais que ne je pouvais pas vraiment juger, n 'ayant pas trop d'expérience et donc matière à comparer... La discussion commençait à sérieusement m'émoustiller quand Thomas approcha soudainement sa tête pour m'embrasser dans le cou puis sur ma bouche. Il força mes lèvres pour y faire pénétrer profondément sa langue à la recherche de la mienne. C'étais un baiser profond qui n'avait rien de doux mais auquel je répondais sans retenue. Thomas glissa une main sous mon petit haut à la rencontre de ma peau nue et de mes seins qu'il malaxa avec un savoir faire certain. Il faisait rouler mes tétons érigés entre ses doigts, me les pinçant douloureusement mais j'aimais cela. Tout en me mordillant les lèvres et les aspirants, je sentis soudain sa main se poser sur mes genoux et remonter doucement à l'intérieur de ma cuisse. J'écartais alors un peu les jambes, l 'invitant ainsi à remonter plus haut, bien plus haut. Thomas me caressait maintenant le sexe à travers le tissus de mon petit string déjà bien humide, un doigt cherchant à passer dessous. J'écartais alors plus largement les cuisses quand je sentis un doigt expert passer sous mon léger sous vêtement et venir fouiller ma chatte. J'étais très excitée, j'avais très envie de lui et de jouir. Thomas semblait également très chaud, et me glissait à l'oreille « c'est vrai que tu es une vrai chaudasse »... Au lieu de me choquer, ses paroles avait plutôt l'air me m’exciter encore plus, Thomas étais du genre très sûr de lui et incroyablement virile. Il retira alors sa main d'entre mes cuisses et me dit : suis moi. Il me prit alors la main et me traina avec lui vers une chambre à l'étage. Il referma la porte à clef derrière lui et s'approcha de moi. Mon cœur battait fort, j'avais à la foi un peu peur et en même temps j'étais très excitée par ce qui allait certainement arriver. Il me retira presque brutalement mon petit haut et ma petite jupe, m'attrapa les fesses et glissa un doigt sous la ficelle de mon string pour me l'arracher. Il me poussa alors vers le lit pour m'y assoir, me prit par les chevilles pour me basculer sur le dos, m 'écarta les cuisses et vint directement enfouir sa langue dans ma fente mouillée. D'une langue agile, il jouait maintenant avec mon clitoris, tournant autour, le léchant, le suçant, l 'aspirant. A plusieurs reprises sa langue venait pénétrer mon vagin, m'arrachant des petit cris de plaisir.
Sa bouche partait maintenant explorer le reste de mon corps, passant de mes poils pubiens, à mon nombril, puis vers mes seins. Thomas me mordait fortement mes tétons dressés. Il me faisait mal, mais j'aimais cette violence, cette brutalité... Sa force était telle qu'il pouvait me manipuler comme une poupée, j'étais comme une marionnette... Il se mit alors debout et retira son t'shirt, son jean et enfin son caleçon. Il me tira alors par les bras pour me mettre assise sur le bord du lit, son sexe en érection à la hauteur de mes yeux. Thomas était parfaitement imberbe, pas un poil, il était magnifique. Mais la plus grande des surprise fût son pénis, je n'avais jamais vu un engin de cette taille, aussi long et épais. Mon cœur se mit à battre encore plus fort, je ne saurais dire si c'étais de panique ou d'envie. Je commençais d'abord par le toucher puis à le masturber en alternant le rythme et en tirant plus fort vers le bas pour le décalotter un maximum à chacun de mes vas et viens. Thomas mis alors une main derrière ma tête, me demanda de le sucer et sans hésitations j'ouvris ma bouche au maximum pour accueillir cette énorme bitte. Elle était délicieuse, je faisais tourner ma langue autour de son gland, je l 'aspirais goulument quand Thomas me tenant pas les cheveux se mit à m'imposer son rythme, m 'obligeant à avaler son membre plus profondément et de plus en plus rapidement. Il me repoussa alors en arrière et entreprit une nouvelle fois de me lécher, et à mon tour je pris sa tête entre mes mains pour le presser contre mon intimité. Deux de ses doigt explorait maintenant mon vagin, fouillant le moindre recoin pour mon plus grand plaisir. Thomas sortait régulièrement ses doigts de mon trou pour les lécher et me les faire lécher. Il se releva alors pour récupérer dans son jean un préservatif dont il ouvrit brusquement la petite pochette avec les dents avant de l’enfiler sur son monstrueux pénis dur. Il me prit alors les pieds, me retira mes petites sandales et se mit à me lécher et sucer mes orteils, c'étais délicieux. Il me prit ensuite par la taille pour me tirer vers lui, m'écarta largement les cuisses, positionna son sexe à l'entrée de ma chatte et me pénétra violemment d'un coup de rein. Il m'arracha un cris de douleur, son gros sexe me remplissait littéralement. Il démarra alors des vas et viens en alternant la vitesse et l'ampleur de la pénétration. C'étais génial de se sentir ainsi remplie et je l'encourageait maintenant de mes gémissement et mes oh oui vas-y , encore, plus fort. Il me disait alors : Tu es vraiment bonne, comme tu es étroite, putain ce que c'est bon, j'aime être à l'étroit, tu aimes te faire défoncer on dirait ma petite salope... Des mots très crus qui m'excitait terriblement... Il me retourna alors et me demanda de me mettre à quatre pattes au bord du lit. Il se positionna derrière moi, me lécha par derrière en oubliant pas mon anus pour y déposer de la salive. Mon cœur battait fort et j'arrêtait presque de respirer quand je sentit son gland pousser et hésiter à l'entrée de mon petit trou. Mais il me pris soudainement par les hanches et pénétra à nouveau mon vagin en titillant mon anus avec son pouce. La sensation dans cette position était hyper agréable. Thomas se mit à aller et venir en moi de plus en plus fort, le bas de son ventre claquais bruyamment sur mes fesses, son sexe venant cogner le fond de ma chatte dégoulinante de mouille. Je criais maintenant de plaisir, je n'allais pas tarder à jouir. Thomas poussa entièrement son pouce dans mon cul et redoubla d'intensité ses vas et viens dans mon sexe en feux, tout en me mettant de petites claques sur mes fesses de sa main libre. Je fus alors prise de spasmes et de tremblements avant un intense et très long orgasme, je veux dire une successions d'orgasmes. Thomas se dégagea subitement, retira rapidement son préservatif et se mit à se masturber violemment devant ma figure, il me prit alors par les cheveux et me dit : suce moi encore, on va pas tâcher les draps hein. Je compris ce qu'il voulait et me mit à le pomper sauvagement. J'eus un petit haut le cœur en sentant la puissance de son éjaculation au fond de ma gorge suivit de quatre ou cinq autres jets d'un sperme épais que j'avalais entièrement cette fois. Thomas vint ensuite m’embrasser en cherchant de sa langue un peu de son jus dans ma bouche. Je venais de jouir aussi fort qu'avec Aurélie, j'étais comblée.

Nous entendîmes alors Julien qui cherchait à rassembler tout le monde pour le voir souffler les bougies de son gâteau d'anniversaire. Thomas se releva, se rhabilla et me regarda reprendre mon souffle en me disant : tu es vraiment canon, j'aime tes seins et ton petit minou est vraiment très accueillant. Je vais bientôt avoir mon propre studio en ville, tu viendras me voir de temps en temps ? Tu pourras venir avec ta copine Aurélie si tu veux. Je lui répondit que ce serait avec grand plaisir...
Thomas se baissa alors pour ramasser mon string, s'approcha de moi et passa le petit bout de tissu entre mes cuisses. Il le respira alors profondément, le mit dans sa poche en me disant « souvenir » et quitta la pièce en me faisant un clin d'oeil.
Je découvrais ce soir que j'aimais autant les filles que les garçons s'ils étaient capable de me faire jouir. J'aimais une certaine brutalité, elle me stimulait, m'excitait fortement... Je savais maintenant qui j'étais. Une jeune fille bien dans sa tête, une jouisseuse heureuse de vivre et curieuse de nouvelles découvertes sexuelles...
Je remis mon petit haut et ma jupe et parti rejoindre les autres dans le sous sol où je cherchais désespérément ma cousine et le garçon qui lui plaisait tant. Ne les trouvant pas, je partis me servir un coca, j'avais très soif et aussi besoin de faire passer le goût de Thomas au fond de ma gorge...
Je dansais maintenant au milieu des autres invités, sous le regard de Thomas qui discutait dans un coin avec un jeune que je n'avais pas encore remarqué. La musique s'arrêta d'un coup et le gâteau fut annoncé. Je vis alors Célia qui revenait de je ne sais où, le visage écarlate, mais certainement pas d'avoir trop dansé... Après avoir chanté le traditionnel « joyeux anniversaire » et mangé une part du gâteau, je m’aperçut que je n'avais pas vu le temps passer et papa devait certainement déjà nous attendre devant la porte. Nous nous dépêchâmes alors de saluer tout le monde. Thomas m'attira encore rapidement dans un coin sombre pour me rouler une pelle, ses mains serrant mes fesses nues. Il termina son baiser en passant un doigt le long de ma fente depuis l'anus jusqu'au clito, ce qui déclencha en moi un énorme frisson. Décidément il savait y faire...
Papa nous attendait effectivement déjà devant la porte, mais ne semblait pas fâché de notre petit retard. Le trajet jusqu'à la maison fût plutôt silencieux, Célia et moi-même étions toutes deux perdues dans nos pensées, nous aurions certainement pas mal de choses à nous raconter plus tard sous la tente...
Arrivées chez nous, nous sommes entrées pour passer aux toilettes et nous brosser les dents avant de nous retrouver sous la tente. Célia était pressée de me raconter sa soirée trop géniale. Il lui était arrivé un truc incroyable me disait-elle. Le garçon, Lucas, était un sacré coquin, il embrassait super bien. Il l'avait également emmenée dans une chambre à l'étage où dans le noir il avait passé sa main sous son soutien gorge pour lui peloter les seins et jouer avec ses tétons qui étaient devenus tout dur. Il avait ensuite passé sa main sous sa jupe jusque sous le string pour la doigter comme elle disait. Elle m'expliquait que son cœur battait très fort à ce moment là, qu'elle avait eu un peu peur mais qu'elle était en même temps hyper excitée et toute mouillée, et que c'était vachement agréable... Lucas aurait ensuite sorti son engin pour qu'elle le suce mais il sentait fort alors un peu dégouté elle n 'avais pas voulu et s'était contentée de le branler et aurait eu son sperme sur sa main.
Je ne reconnaissais plus ma cousine, avait-elle bu de l'alcool ? « Et toi ? » me demanda t'elle « tu étais passée où avec Thomas ? Allez raconte!!! » « Moi ? J'ai la chatte en compote, je suis hyper crevée, on en parle demain si tu veux bien... »


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