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Mes vacances en Espagne avec ma fille

Ecrit par Mélanie
Parue le 02 février 2019
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 13438 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14.9167/20

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L’été dernier, je suis allée passé deux semaines de vacances avec Delphine, ma fille de 16 ans. Nous sommes allées aux Baléares et nous avons loué une chambre dans un très confortable hôtel naturiste pendant que mon mari était à un congrès d’urologues aux Etats-Unis pour durant la même période.

Ma fille et moi nous nous entendons très bien et nous étions heureuses de passer quelques jours ensemble.

Dans ma valise, j’avais emporté deux godes ventouses et un vibro, on ne sait jamais. Bien sûr ma fille n’était pas dans la confidence.

Nous sommes arrivées un samedi et directement nous avons profité de la piscine de l’hôtel et des chaises longues disposées autour.

La nudité était bien sûr la norme même i de temps en temps une dame gardait une culotte de maillot ou un string. Plutôt bien foutue pour mes 42 ans, je n’ai eu aucun mal à me diriger vers la piscine dans un petit string ficelle jaune avec un soutien de maillot de la même couleur.

Une fois installée, j’ai ôté soutien et string et j’ai profité du soleil. Ma fille avait un bikini classique, avec une culotte de maillot plutôt étroite. Après un quart d’heure elle a également ôté le haut.

Nous avons bronzé et sommes allés dans la piscine pour jouir de la fraîcheur toute relative de l’eau. Mais cela faisait du bien.

Le lendemain, la journée à passé de la même manière. Nous étions là pour nous reposer et c’est ce que l’on faisait. Piscine, la matinée, piscine l’après-midi.

Vers 15 heures, j’ai dit à ma fille que j’allais à la toilette. En fait j’avais envie de me masturber et dès que je suis entrée sans ma chambre, je me suis mise nue et je suis allée dans ma valise pour prendre un de mes dildos que j’ai plaqué contre le sol.

Je me suis caressée le bouton et très rapidement je me suis mise sur mon gode et je me suis empalée lentement dessus. Quand il a été entièrement dans ma chatte, j’ai savouré cette sensation merveilleuse d’être remplie. J’ai alors commencé des mouvements de va et vient en me caressant le bouton. Je le sortais de ma chatte et je m’empalais brutalement dessus. J’étais excitée incroyablement. Après une dizaine de minutes je me suis dit que je devrais redescendre mais l’envie de sexe était trop forte. Je me suis mise de façon à avoir le gland du gode contre ma rondelle et je me suis assise dessus. Le gode ventouse est entré dans mon cul sans difficulté. Je me caressais la chatte en même temps et je m’enfonçais quatre doigts en elle.

Je gémissais comme une folle et je me trémoussais sur le bel engin qui coulissait dans mon cul trempé.

Tout à mon plaisir je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir.

- Maman !!! Qu’est-ce que tu fais.

Inutile de dire n’importe quoi, j’étais prise dans une situation sans équivoque.

- Tu le vois bien ce que je fais, je me donne du plaisir. J’ai envie de sexe et ton père n’est pas là pour me satisfaire.

- C’est dégoutant ce que tu fais, je ne pensais pas que tu faisais cela.

Ma fille a quitté la chambre furieuse et je suis restée là, comme une idiote, prise dans la main dans le sac ou plutôt le gode dans la chatte.

J’ai recommencé à me donner du plaisir et quand j’ai bien joui, j’ai remis mon string et je suis redescendue à la piscine de l’hôtel. Je me suis installée sur ma chaise longue. Ma fille nageait et ne me regardait pas. Je savais qu’elle sortirait inévitablement de la piscine et j’avais bien l’intention d’avoir une explication avec elle.

Elle est sortie de l’eau, mais s’est dirigée vers l’aile qui menait aux chambres

Ses petits airs prétentieux m’ont excédée et je n’ai pas tardé à prendre la direction de la chambre. Ma fille était assise dans un fauteuil et ne faisait rien.

- Delphine chérie, je suis désolée si ce que tu as vu t’a choquée, ce n’était pas mon intention.
- Tu es ma mère et te voir jouir sans retenue m’a complètement surprise et choquée. Oui, je suis vraiment choquée par ce que j’ai vu.
- Ma chérie, je te le redis, je ne voulais pas du tout te choquer mais je ne vais pas m’excuser d’être une femme. Et comme toutes les femmes normalement constituées, j’ai des besoins sexuels. Moi, j’ai des gros besoins sexuels. Ton cher papa, n’est pas là pour les assouvir. J’ai dû le faire seule.
- Oui mais il fallait faire çà un autre moment.
- Un autre moment ? De qui te moques-tu. On est ici en vacances, toutes les deux. Je n’allais quand même pas faire cela le soir quand tu dors. J’ai profité que tu étais en train de bronzer pour venir me soulager.
T’es choquée, j’en suis désolée. Mais demain après-midi je reviendrai le faire pendant que tu bronzes, que cela te plaise ou pas. Je n’ai pas de compte à te rendre quant à ma sexualité.
D’ailleurs, ma chère fille, puisque l’occasion se présente, il le semble que toi aussi tu aimes te branler le clito.
- Quoi ??!! Arrête, tu dis n’importe quoi.
- N’importe quoi ? Tu crois que je ne t’ai pas entendue, hier soir dans le lit. Tu croyais que j’étais endormie et tu te caressais la chatte. Je l’ai bien entendu à ta respiration et puis le lit tremblait un peu quand tu as joui.

Ma fille ne savait où se mettre.

- En outre, toi qui joue les vierges effarouchées d’avoir vu ta mère se branler. Que fais-tu le mercredi après-midi, quand je suis en cours ?

Delphine pâlit un peu.
- Le mercredi après-midi ?
- Tu as très bien entendu. Le mercredi après-midi.
- Je ne fais rien, je suis à la maison, je fais mes devoirs et j’étudie.
- Vraiment ?
- Beh oui.
- Tu étudies, oui, ma l’anatomie comparée avec ta copine Louise.

Delphine devient rouge comme une tomate.

-Et oui ma fille, toi qui joue les prudes, toi si choquée d’avoir vu ta mère se masturber, il me semble que tu es toi même très chaude.
Il y a trois mois, mon horaire a changé et je suis rentrée à la maison beaucoup plus tôt puisque je n’avais plus cours l’après-midi. Dès que je suis entrée, j’ai entendu du bruit à l’étage, et je suis discrètement montée voir ce qui se passait.
Il m’a fallu 5 secondes pour col prendre ce qui se passait. Vos gémissement et soupirs de plaisir en disaient long sur ce que vous faisiez. En outre tu avais laissé la porte de ta chambre légèrement entrouverte. J’ai pu vous voir. Louise et toi, étiez en train de faire un 69. Et sur le lit il y avait un gode-ceinture et un double dong.
Ce sont tes sex-toys ou ceux de Louise ?
- Ceux de Louise
- Et le porte-jarretelles que tu avais avec des bas noirs, à toi ou à Louise ?
- A Louise.

Je n’ai rien dit et je suis allée faire un tour. La semaine suivante je suis rentrée et vous étiez de nouveau au lit. Tu lui disais :

- Bouffe-moi la chatte, Louise, n’arrête pas, c’est trop bon. Je te le ferai après.
- Je suis sortie une fois encore et je suis allée faire un tour en ville, en attendant de pouvoir rentrer et te retrouver avec tes airs de sainte nitouche alors que je savais que ta chatte était trempée de cyprine et dilatée de plaisir.
Dis-moi, toi qui joue si bien les oies blanches, suis-je montée dans ta chambre pour te demander ce que tu faisais ? Pour te dire que ce que vous faisiez c’était dégoûtant ?

Delphine me regarde sans rien dire.

- Non, ma chère, je vous ai laissée vous aimer, découvrir votre corps et vous donner du plaisir. Certes j’ai été un peu surprise mais vous surprendre dans un moment d’intimité ne m’a pas du tout choquée. J’ai seulement été surprise de constater que le temps passe et que tu es maintenant une femme qui a des besoins sexuels que tu assouvis comme tu le veux. Et c’est tout à fait normal, ma fille, c’est la nature, c’est la vie. Je suis fière de toi et je t’aime de ton mon cœur. Ton papa aussi, évidemment.
Et tous les mercredis je retarde mon retour pour que vous puissiez profiter l’une de l’autre et jouir à votre aise.
Alors, je trouve un peu fort de café ta réaction outrée et outragée alors que tu fais l’amour avec une fille. Demain, et après et tous les jours du séjour, je monterai, l’après-midi, pour me masturber, me goder, la chatte et le cul. Te voilà prévenue. Quand je monterai, tu sauras ce que je viens faire. Que cela te plaise ou pas. Je n’ai pas de compte à te rendre quant à ma sexualité. Je fais ce que je veux, quand je veux, comme je veux.

Je suis redescendue à la piscine et j’ai nagé pour me calmer car les simagrées de ma fille m’avaient singulièrement énervée. Je bouillais d’une froide colère.

Une heure après, Delphine est revenue s’asseoir sur sa chaise longue. Je lisais et j’ai continué ma lecture sans lui adresser le moindre regard. Elle n’a rien dit et s’est remise à se faire dorer au soleil.
Vers 19 heures, je suis remontée dans la chambre pour me doucher avant de m’habiller pour le repas du soir. J’étais sous la douche quand Delphine est rentrée dans la chambre.

Delphine était vraiment mal à l’aise, gênée et elle ne savait où se mettre. Elle me regardait subrepticement et détournait le regard quand elle voyait que je tournais la tête.
Son malaise me peinait mais j’étais décidée a ne rien faire pour détendre l’atmosphère. Je n’avais pas apprécié du tout, mais alors pas du tout, sa remarque sur le fait que je la dégoûtais.

La soirée a été très morose. Je suis allée dans le saloon de l’hôtel et j’ai passé la soirée à lire en prenant un verre. Delphine a traîné comme une âme en peine, autour de la piscine et puis elle est montée dans la chambre.

Quand je suis montée à mon tour, elle dormait, ou faisait semblant. J’ai mis pas mal de temps avant de m’endormir.

Le lendemain matin, j’étais toujours très énervée par sa remarque de la veille mais j’ai essayé d’être cool.
Après pas mal d’hésitation, Delphine m’a demandé si je lui en voulais et j’ai répondu que je n’avais vraiment pas apprécié les mots utilisés d’autant qu’elle était mal placée pour me donner des leçons vu ses moments intimes avec Louise.
Mais je voulais profiter pleinement des vacances et je n’ai pas insisté.

J’ai dit à Delphine qu’elle n’avait quelle n’avait qu’à faire ce qu’elle voulait, soit la piscine soit aller au bord de la mer. Moi je me contenterais de la piscine. Bronzage et repos, c’était pour cela que j’étais venue en vacances. Delphine est restée avec moi, bronzant en lisant. Nous n’avons guère échanger de paroles.

Après le repas de 13 heures, retour au bord de la piscine. A 15 h 30 je me lève et je dis à Delphine :

- Je monte dans la chambre, et tu sais pourquoi j’y vais. A tout à l’heure.

Une fois dans la chambre, je me suis donnée du bon temps, avec les doigts, avec mon vibro et je me suis longtemps pénétré la chatte puis le cul en montant et descendant sur mon gode ventouse. J’ai joui plusieurs fois et cela a fait du bien. Je me sentais bien détendue. Mes seins pointaient et il était visible que je venais de jouir, l’état de ma chatte ne laissait aucun doute à ce sujet, mes grandes lèvres étaient bien écartées et mon clitoris pointait fièrement la tête. Mais je m’en fichais d’autant que j’avais déjà remarqué la même chose chez d’autres femmes.

Delphine m’a vue arrivé et son regard est passé de mes seins à ma chatte luisante.
J’ai pris un kleenex et je me suis discrètement essuyée la moule trempée de cyprine.
Delphine m’a regardé sans rien dire.

Je lui ai proposée, après une demi heure d’aller manger une crème glacée et nous avons été nous installer au bar de l’hôtel qui donnait sur la piscine. Nous pouvions ainsi voir les touristes de l’hôtel.

A un moment donné je dis :

- Delphine, nous sommes dans un hôtel naturiste, tu n’enlèves pas ta culote de maillot ? Tu es gênée ?
- Non, maman mais c’est parce que j’ai une touffe bien noire et il n’y a personne, ni homme ni femme qui aient des poils, même les garçons et les filles de mon âge ont tous le sexe lisse.

Quand nous avons terminé notre glace, je l’ai emmenée au centre d’esthétique de l’hôtel. La gérante de l’institut nous a reçues et elle a demandé ce qu’elle pouvait faire pour nous.

- Ma fille aimerait une épilation maillot intégrale. C’est possible.
- Evidemment, madame, nous pratiquons les épilations intégrales pour les dames et pour les hommes. En fait tous les soins pratiqués dans un institut de beauté sont possibles : manucurie, pédicurie, onglerie, massage, soins visage…
- Quand pouvez-vous recevoir ma fille ?
- Demain à 14 heures cela vous convient-il ?
- Parfait. Demain 14 heures pour une épilation intime intégrale. Ce sera la première fois donc il y aura un peu de travail, je suppose.

Dolorès nous a fait entré dans une cabine et a demandé à ma fille d’enlever sa culotte de maillot. Ma fille avait une belle toison noire aux poils longs.

- Pas de problème, on va commencer par raccourcir les poils puis on épilera le tout. J’ai vu bien plus poilu que ceci. Ne te tracasse pas tout ira bien. A demain
- A demain.

Delphine m’a regardée toujours mal à l’aise et m’a dit :

- Merci, maman, de m’autoriser à m’épiler. Et excuse-moi encore pour hier. Je ne voulais pas te blesser. Tu es ma petite maman que j’aime.
- Moi aussi je t’aime ma fille, et je te redis combien je suis fière de toi.
Ta remarque m’a blessée, m’a fait mal mais c’est la vie. La vie est pleine de blessures. N’en parlons plus.

Le lendemain, j’ai conduit ma fille chez l’esthéticienne et je suis allée l’attendre au bord de la piscine.
A 15 heures 5, Delphine est revenue. Elle avait sa culotte de maillot.

- Ta remis ta culotte ?
- Oui, l’esthéticienne m’a enduit le sexe d’huile pour apaiser la peau après l’épilation. Elle a passé et repassé sa main sur mon sexe et je suis excitée. Mon clito est tout dur et je mouille.
- La belle affaire. Tout le monde s’en fiche. Regard la femme qui arrive. Elle aussi elle a le sexe de celle qui vient de faire l’amour. Regarde l’homme assis là-bas, il bande. Qui s’en préoccupe.

Elle a enlevé sa culotte de maillot et j’ai vu sa chatte toute lisse et belle, effectivement avec les lèvres gonflées, un peu dilatée et avec son clito bien dressé.

- Te voilà toute propre, maintenant, Louise va apprécier.

Delphine a rougi mais n’a rien dit.

L’après-midi, vers deux heures, je suis montée dans la chambre pour me branler. Delphine a eu un sourire en me voyant me lever.

Quand je suis revenue, elle a regardé ma chatte et m’a dit qu’elle était heureuse d’être en vacances ave moi. On a téléphoné à mon mari, son papa et on a papoté un petit moment. Il nous enviait mais son congrès était intéressant et les vacances seraient pour après.

Le soir, nous sommes allées faire un peu de shopping et nous avons mangé une crème glacée.

Quand nous sommes remontées dans la chambre, nous sommes passées devant une chambre où un couple avait des ébats sexuels. On entendait quelques gémissements et petits cris.

- J’aimerais faire la même chose, ai-je dit à ma fille. Ton père me manque.

Nous avons repris une douche et nous nous sommes mises sur le lit avec un livre.

Un quart d’heure plus tard, on a commencé à entendre des soupirs et gémissements dans de la chambre contiguë à la nôtre. Le couple qui l’occupait faisait l’amour. C’était des Français.

Nous avons écouté cette femme qui soupirait et gémissait de plus en plus fort.

- Oui, mon chéri, je la sens bien ta belle queue. Vas-y, ramone moi bien, c’est trop bon.

Le mari y allait en cadence, et le sommier grinçait à chacun des coups de queue. C’était follement excitant.

J’ai collé mon oreille contre le mur et Delphine m’a imitée.

- Que c’est bon mon amour. Viens dans mon cul, j’ai envie que tu le défonces.

Le mari a enculé sa femme qui gémissait de plus en plus et de plus en plus fort.
Elle se laissait aller, et son plaisir était excitant.
Je me caressais la chatte en l’écoutant. Delphine m’a regardée et a fait de même, chacune se caressait le bouton en écoutant la voisine prendre son pied.

Le mari a accéléré la cadence. Elle gémissait de plus en plus fort.

- Oui, vas-y, c’est trop bon, j’aime me faire remplir le cul. Ne t’arrête pas, bourre-moi bien le cul.

Le sommier grinçait de plus en plus vite. Elle a poussé un cri puissant et son mari a giclé en elle en râlant bruyamment.

Ils ont repris leur souffle et on les a entendus murmurer doucement.

Une demi heure après, ils remettaient le couvert. Ce fut tout aussi intense.

J’étais excitée comme une dingue. J’avais envie de me ruer sur mon gode ventouse mais je ne l’ai pas fait, ma fille étant présente.

Je suis allée dans la salle de bain et je me suis fait jouir. J’ai étouffé mes soupirs dans un essuie de bain que je collais contre ma bouche.

De retour dans la chambre, ce fut au tour de ma fille d’aller dans la salle de bain. Je savais pourquoi. Elle a été moins discrète et je l’ai entendue jouir.

Quand elle est revenue, j’ai fait semblant de rien, profondément plongée dans ma lecture.
Nous nous sommes endormies.

Le lendemain, après un petit déjeuner, nous sommes allées sur la plage. Nues comme des vers, on a profité du soleil et de la mer. Ma fille était heureuse d’être nue et lisse. J’avais oublié sa réflexion blessante et elle était redevenue complice et tendre avec moi.

Après le repas de midi, nous sommes allées sur nos chaises longues autour de la piscine. Le repos au soleil était grandement détendant.

Vers 14 h 30 je me suis levée et j’ai dit à Delphine :

- Je monte.

Comme les autre jours, je me suis mise nue et j’ai commencé à me caresser en repensant à ma voisine qui s’était fait enculer la veille. J’étais excitée et j’avais envie de faire l’amour avec un homme ou une femme, peu importe.

Je me suis donné du plaisir sur mon gode ventouse, dans la chatte, puis, je me suis assise sur le gode pour le faire disparaître entièrement dans mon cul. J’ai commencé mes mouvements de haut en bas en gémissant. J’avais la tête penchée vers l’arrière, les yeux fermés et je gémissais de plaisir.
J’ai toujours amé être enculée, c’est un réel plaisir pour moi. Je mouille énormément du cul et le gode coulissait bien en moi.

Tout à mon plaisir je pensais à des choses excitantes.
Un moment donné j’ouvre les yeux. Surprise, ma fille est dans la chambre et me regarde.

- Ma chérie, que fais-tu ici, tu sais pourtant bien ce que je viens faire.
- Oui, maman, je le sais. Mais…
- Mais quoi ? Tu viens encore me faire des reproches ?
- Non, maman, je meure d’envie de me caresser. Etre à la piscine et savoir ce que tu fais, cela m’excite terriblement. J’ai envie, mois aussi, de me caresser devant toi.

J’étais totalement sans voix, surprise de la franchise de ma fille. Je me suis levée, je suis allée vers Delphine et je l’ai prise dans mes bras. Je l’ai serrée contre moi en lui disant qu’elle était ma fille adorée, que son père et moi nous étions très fiers d’elle, de sa beauté, de sa scolarité brillante, de sa gentillesse, de son sérieux.

J’ai ouvert la valise et elle a vu les sex-toys que j’avais emmenés avec moi.
Il y avait un autre gode ventouse.

- Tiens, tu vas pouvoir faire comme moi.

Il y avait un double dong et un gode ceinture.
Delphine a pris en main chacun de mes sex-toys, sans rien dire. Elle m’a regardée n’a rien dit.

- Oui, ma chérie, j’aime faire l’amour avec une femme. J’ai pris ces sex-toys au cas où l’occasion se présenterait. C’est pour cela que je n’ai rien dit quand je t’ai entendue au lit avec Louise. Tu faisais ce que je fais aussi et tu as bien raison de te donner du plaisir.

Delphine a pris le gode ventouse et l’a fixé au sol, elle a enlevé son string et elle a commencé à se caressé la chatte. J’ai fait de même. Je me suis empalé la chatte sur le gode et j’ai commencé mes va-et-vient. Elle a mis le gland contre son sexe et elle s’est laissée descendre dessus. Il est rentré en elle jusqu’au bout. Elle a fait comme moi, des mouvements de va-et-vient sur l’engin bien fixé au sol. Elle a commencé à gémir et à mouiller. Le gode est rapidement devenu luisant de cyprine. Ses gémissements se sont accentués, les miens aussi. Elle a joui dans un grand cri, le gode complètent enfoui en elle. Je suis venue à mon tour.
Ce fuit un incroyable moment de complicité entre ma fille et moi. Quelque chose de nouveau s’était créé en quelques minutes.

Le soir, après une ballade en ville, nous avons regagné la chambre. Alors que nous lisions, nos voisins de chambre sont rentrés et se sont mis au lit. Ils ont fait l’amour. Je ne savais pas qui ils étaient mais j’avais envie de le savoir. Le lendemain, j’attendrais qu’ils sortent pour sortir à mon tour et voir qui ils étaient. Ils devaient être d’âge moyen, la quarantaine comme moi.
Cette fois encore ce fut une chaude séance de sexe. Ce fut même une très chaude séance puisque la dame a sodomisé son mari avec un gode ceinture.

L’homme gémissait comme un fou et n’arrêtait pas de dire « Continue, continue, ne t’arrête pas, j’aime trop ça ».

J’étais excitée à mort, je mouillais comme une folle, m’imaginant faire la même chose à mon mari.

Ma fille n’en revenait pas de ce qu’elle entendait, et du plaisir que le voisin de chambre avait sous le coups de gode de son épouse.

J’ai sorti mon gode ventouse de la table de nuit, je l’ai fixé sur le sol et j’ai commencé à monter et descendre sur lui furieusement. La cyprine coulait le long de mes cuisses. Ma fille a pris l’autre gode ventouse et a fait de même. Elle aussi était particulièrement excitée. Elle se triturait les mamelons de ses gros seins, les pinçait, en tiraient les bouts. Je la regardais, elle me regardait.

J’ai sorti le gode de ma chatte et je l’ai positionné contre ma rondelle. Je me suis laissée aller dessus. Il a très rapidement disparu au fond de mon cul. J’ai mis mes mains vers l’arrière et j’ai placé mes jambes de façon à pouvoir monter et descendre facilement. Ma chatte ouverte était offerte au regard de ma fille qu avait les yeux rivés sur le gode enfoui dans mon trou de balle.

J’ai commencé mes mouvements de va-et-vient. Le gode coulissait dans mon cul, trempé par ma mouille anale.
Je gémissais. J’ai pris le vibro que j’avais mis à porté de main et je me le suis enfoncé dans la chatte. Je me suis fait vibrer la chatte dans une double pénétration excitante à crever. Ma fille n’en revenait pas. J’étais comme en transe, dans une sorte d’état second. Je me fichais comme de l’an quarante du spectacle de pute déchaînée que je donnais à ma fille. C’était trop bon d’entendre le couple dan la chambre voisine s’envoyer en l’air, C’était trop excitant de savoir que l’homme se faisait enculer par sa femme.

Ma fille s’est levée et a pris le tube de lubrifiant. Elle s’en est mis sur la rondelle et sur le gode ventouse. Elle s’est positionnée dessus de façon à ce que le gland du gode soit en contact avec sa petite rondelle. Elle a fait entrer le bout de gode dans son cul et a commencé des petits mouvements.

- Pour qu’il rentre facilement, pousse comme si tu devais aller à la toilette, ai-je dit. Tu vas ouvrir tes sphincters et le gode va entrer sans problème.

Ma fille a fait ce que je lui disait et en moins de deux elle a fait disparaître le gode dans son cul.

- Attends un peu, laisse ton cul se faire à l’engin. Laisse-le s’ouvrir et ensuite seulement commence des va-et-vient.

Delphine a commencé à se trémousser sur le gode ventouse bien fixé au sol et elle.
Elle a accéléré les mouvement, et a giclé de la chatte tellement elle était excitée.

Je sortais le gode et je m’asseyais dessus d’un coup sec. C’était trop bon. Delphine a fait comme moi, elle sortait le gode pour mieux s’asseoir dessus d’un cop sec. Elle soupirait et gémissait.
J’ai joui en contenant mes cris pour ne pas alerter les voisins. Ma fille a continué à s’enculer et je l’ai regardée. Je lui ai donnée un essuie pour qu’elle jouisse dedans.
Nous nous sommes couchées sur le lit, exténuées par notre jouissance et nous avons repris lentement nos esprits.

- Alors, ma fille, c’était bon ? C’était ta première enculade ?
- Oui maman, c’était la première et cela a été une formidable découverte. Ce ne sera pas la dernière fois.
- Tu vas pouvoir le faire avec Louise. Je vais te payer un gode-ventouse, et un gode ceinture. Tu vas pouvoir t’amuser avec ton amie.
- Oh oui, maman, ce serait super bien que tu m’offres ces jouets.

Nous nous sommes douchées et on a passé une bonne nuit de repos.

Les jours suivants, nous avons poursuivi nos vacances en nous reposant, en bronzant, soit au bord de la piscine soit sur la plage. Et bien sûr, dans l’après-midi nous montions dans la chambre et ensemble, l’une devant l’autre, on se donnait du bon temps sur nos gode ventouse.

Un soir j’ai dis à ma fille que je descenais au sauna. Il y avait une grande pièce avec un grand jacuzzi et deux cabines de sauna.

Quand je suis arrivée, il y avait un homme dans le jacuzzi avec sa femme. Ils s’embrassaient copieusement. La femme avait les sains qui pointaient et je me doutais que les mains de l’homme s’occupaient de son intimité, sous l’eau.

L’homme est sorti du jacuzzi et et j’ai pu voir son sexe dressé fièrement. Il m’a regardé gêné, mais je lui ai fait un grand sourire avec mon pouce levé. Sa femme m’a vue et m’a souri.
Nous avons commencé à papoter. Ils étaient Belges et venaient dans cet hôtel chaque année. Elle me regardait beaucoup et je me suis dit qu’elle était prête pour une aventure. Je suis sortie de l’eau et je suis allée dans un des saunas. Je me suis couchée sur mon drap de bain et j’ai bien écarté les jambes, même s’il n’y avait personne. J’ai commencé à passer ma main sur ma fente, très simplement, sans rien chercher de spécial.

Quelques minutes après, la femme est entrée. J’ai continué à passer ma main sur ma chatte et à triturer mon clito, sans me préoccuper de sa présence. Elle est venue à côté de moi et m’a regardée dans les yeux.

- Mon mari est à un congrès d’urologues, aux Etats-Unis et je suis en vacances avec ma fille.
- Cela doit être dur de n’avoir personne dans son lit.
- Oui, mais j’ai mes godes.

Elle a mis sa main sur ma jambe et a commencé à la caresser. Je n’ai rien dit, je n’ai pas bougé d’un centimètre< Sa main a commencé à remonter progressivement vers le haut de ma cuisse. Mes yeux étaient fermés et je me triturais le bouton.

Elle est arrivée à la jonction du tronc et elle m’a caressé délicatement. Peu à peu sa main a glissé vers l’entrejambe. J’ai ouvert les yeux et je l’ai regardée dans les yeux.
J’ai écarté les jambes au maximum et je lui ai souri.

Sa main a glissé vers ma fente et elle l’a touchée. Elle a passé sa main sur l’entrejambe et peu à peu un doigt a glissé dans ma fente pour aller jusqu’au clito qu’elle a pris entre son pouce et son index et qu’elle a pressé délicatement entre ses doigts.

J’ai commencé à mouiller. Je l’ai attirée vers moi et on s’est embrassée langoureusement.
Elle a glissé vers mes seins qu’elle a sucés. Elle pinçait mes mamelons entre ses lèvres et elle les aspirait doucement. Ils étaient durs et tendus. Ma chatte mouillait de plus en plus.
Elle a continué sa descente, léchant mon ventre et introduisant sa langue dans mon nombril. Elle est descendue vers mon sexe et sa langue est passée sur toute sa longueur. J’ai poussé un petit gémissement et elle a remonté sa langue vers mon clito qu’elle a léchouiller. C’était terriblement bon et j’étais excitée comme une grosse salope. J’avais envie de sexe, je pensais à la belle queue dressée de son mati et je l’imaginais au fond de mon cul.
Elle m’a fait une merveilleuse minette et j’ai joui dans un grand cri. Quand je me suis calmée, je me suis redressée et j’ai vu ma fille qui était entrée dans le sauna et qui nous regardait, sa main sur sa chatte, en train de se tripoter l’abricot.

Excitée à mort par cette situation, je me suis mise en levrette, dos à ma fille et ma compagne du moment, Eva, a embrassé mes fesses et a passé sa langue entre mes fesses pour lécher ma rondelle en feu. Elle m’a fait une superbe feuille de rose. Je me tortillais sans retenue en gémissant de plaisir. Je pensais à ma fille qui voyait sa mère se faire lécher sans pudeur.
Eva a mis son majeur dans ma chatte et son index dans mon cul et elle a commencé à me limer lentement puis de plus en plus fort. Je mouillais comme une dingue et je me trémoussais d’avant en arrière, comme si deux queues me remplissaient les trous.

Après avoir joui, je me suis couchée sur le dos et Eva est venue s’asseoir sur ma bouche. J’ai passé ma langue dans sa fente et je lui ai bouffé la chatte avec fougue. Eva faisait des mouvements de va-et-vient et ma langue passait sur toute la longueur de son sexe jusqu’à son gros bouton turgescent. Elle m’a donné son cul à lécher, ce que j’ai fait avec un immense plaisir. J’aime lécher les culs et le sien était bon. Elle a joui contre ma bouche et un jet de cyprine est venu gicler contre mon visage.

Ma fille a joui dans un grand cri et Eva s’edst retournée.

- Ma fille, ai-je simplement dit.

Nous avons fait 69 et chacune a mis son index dans le cul de l’autre. On n’’a pas tardé à jouir une seconde fois.

Après une bonne douche, nous nous sommes quittées et nous avons regagné nos chambres.

- Désolée, ma chérie mais l’occasion fait le larron. J’en avais trop envie. Tu sais maintenant que je suis une femme qui aime le sexe et qui en a besoin.
- Tu crois que papa fait aussi l’amour, pendant la durée de son congrès ?
- S’il en a eu l’occasion, j’en suis certaine. Je lui ai dit de profiter des occasions qui se présenteraient. Il a droit, lui aussi à se vider les couilles car 15 jours sans sexe, c’est infernal.
Mais ne te tracasse pas, Delphine chérie, cela n’a rien à voir avec les sentiments, encore moins avec l’amour. C’est simplement le pur plaisir sexuel. Ton père et moi on s’aime follement et s’il couche, ce qui n’est pas certain, il ne fait pas l’amour, ce sont des choses différentes.

Ma fille m’a dit que le spectacle l’avait follement excitée et dès le retour dans la chambre elle m’a demandé un de mes godes-ventouse et elle l’a posé sur le bord de baignoire et elle s’est empalée dessus. Je l’ai laissée s’amuser à son aise. Cela a duré une bonne demi-heure. Elle est revenue rouge comme une tomate et en sueur. Nous avons pris une longue douche ensemble et nous avons passé une bonne nuit réparatrice.

Le lendemain, après le petit déjeuner, je suis allée à l’institut de beauté de l’hôtel pour prendre un rendez-vous pour un massage relaxant. Comme il y avait une possibilité de le faire immédiatement, j’ai accepté tout en prenant malgré tout un second rendez-vous.

Lorena, la patronne, m’a introduite dans une cabine, au bout de l’institut et m’a demandé de patienter quelques instants, on allait venir me faire ce soin.

Trois minutes plus tard, une jeune et jolie esthéticienne est arrivée et m’a dit :

- Bonjour, madame, je suis Soledad, c’est moi qui vais vous masser à moins que vous ne préfériez une autre esthéticienne.
- Non, il n’y a pas de raison, je ne suis pas encore venue donc pour moi, n’importe qui me convient bien.

Soledad m’a demandé de me mettre nue, cela n’a pas été long, un soutien et un string à enlever et elle m’a fait mettre sur le ventre.

Elle a pris une bouteille d’huile et en a mis un peu sur mon dos qu’elle a commencé à masser avec douceur. Ses mains étaient douces et glissaient sur mon dos pour remonter à ma nuque qu’elle massait aussi. C’était extrêmement détendant.

Elle m’a demandé si j’avais l’habitude de me faire masser et je lui ai dit que là où je vis, je vais régulièrement me faire masser dans un institut.

Elle a huilé mes fesses et mes jambes et le massage s’est poursuivi ; elle s’attardait longuement et délicatement sur mon fessier qui appréciait grandement ces deux mains agréables.
J’ai un peu écarté mes jambes et Soledad a compris le message, elle a passé sa main entre mes fesses. Elle a massé une fesse, puis l’autre, et ses doigts passaient sur ma rondelle sur laquelle elle s’attardait plus que de raison, pour mon plus grand plaisir. J’ai écarté les jambes le plus possible et elle a titillé ma pastille avec son index plein d’huile, elle appuyait dessus et elle entrait un peu mais elle ressortait immédiatement son doigt. Elle a fait cela plusieurs fois et cela m’a rendu folle d’excitation. J’avais envie qu’elle me doigte le cul mais je n’osais pas le lui demander, ne sachant pas ce que je pouvais faire ou pas. Elle a continué ce merveilleux massage allant de mes pieds à ma nuque et redescendant en passant par mes fesses sur lesquelles elle s’attardait.

- Soledad, vous massez merveilleusement bien, c’est vraiment délicieux. J’adore.
- Merci, madame, je fais de mon mieux mais c’est vrai que j’aime masser. C’est agréable de détendre une personne.

Elle a commencé à faire des ronds sur ma rondelle avec son majeur puis elle passait son doigt sur mon sillon pour revenir sur ma pastille. Je me suis enhardie et je me suis mise à genoux, la tête sur la table, le dos bien cambré. Elle a continué et elle a poussé lentement son index dans mon cul. J’ai poussé un petit gémissement et j’ai commencé à faire des mouvements d’aller et retour.
- Oh ! Je vois que vous avez envie d’une détente totale.
Oui, Soledad, je suis en vacance avec ma fille et mon mari est à un congrès aux Etats-Unis. Je n’ai que quelques sex-toys pour me détendre et pour me soulager.

Soi doigt entrait et sortait et quand il était dans mon cul, elle faisait un mouvement circulaire.

Elle m’a demandé de me mettre sur le ventre et elle a vu mes tétons durci et ma fente mouillée.

Elle a pris l’huile et en a enduit mon ventre et mes seins. Soin massage était vraiment merveilleusement détendant, elle prenait son temps, sans brusquerie, ses mains parcouraient mes seins délicatement et elle passait la paume de sa main sur mes tétons durs et dressés. Elle redescendait sur le ventre et le massait puis pétrissait mon pubis lisse.
Je ne voyais pas l’heure qu’elle s’attaque à mon entrejambe mais elle prenait son temps, me faisait languir.

Finalement elle a passé ses mains entre mes jambes et a massé ma fente trempée. Elle passait et repassait et l’arête de sa main s’insinuait entre me lèvres gonflées de désir. Elle est descendue sur mes jambes qu’elle a massées de haut en bas, massant chacun de mes orteils et entre chacun d’eux. C’était génial. Soledad avait une grande pratique et un talent fou pour me détendre.

Elle est remontée jusqu’à mon sexe et j’ai écarté les jambes au maximum. Elle a pincé délicatement chacune de mes lèvres et a titillé mon clito dur et bien dressé hors de son petit capuchon protecteur.

Je me tortillais de plaisir, les yeux fermés. Puis soudain je me suis retrouvée avec sa bouche collée contre ma chatte et elle l’a léchée langoureusement et délicatement, prenant son temps, happant mes lèvres qu’elle mordillait entre les lèvres de sa bouche.
Elle a passé sa langue tout autour de mon clito. Je réprimais mes gémissements alors que j’avais envie de crier. Ses doigts s’insinuaient dans mon sexe et elle me limait avec douceur, tout en continuant à bouffer mon clito.

N’en pouvant plus, j’ai collé sa bouche contre ma chatte et elle m’a fait jouir dans un grand cri libérateur.

Elle s’est redressée et je l’ai attirée vers moi pour l’embrasser tendrement. Je goûtais ma cyprine sur sa bouche.
Je l’ai remerciée pour ce formidable massage et vous imaginez bien que ce ne fut pas le seul que j’ai fait durant mes vacances.
Je lui ai dit que je prenais rendez-vous pour ma fille, le lendemain. Elle me dit :

- Quel âge a votre fille ?
- 16 ans et demi. Cela pose un problème ?
- Pas du tout, je voulais simplement savoir. Je lui ferai un massage relaxant.
- Vraiment relaxant.

Elle m’a regardé un instant et m’a demandé, en hésitant :

- Vous voulez pour elle… un massage… comme celui que je viens de vous faire ?
- Oui. Elle fait l’amour avec une copine et a donc l’habitude des câlins intimes.
- Vous êtes une mère très moderne et très ouverte d’esprit. Ma mère était cool mais pas à ce point là. J’aurais aimé avoir une mère aussi ouverte d’esprit que vous
- Inutile de jouer les hypocrites. Si c’est bon pour moi, c’est bon pour elle. Comme elle ne m’a pas demandé mon avis pour faire l’amour avec une fille, je ne vais pas la priver d’un massage aussi merveilleusement fait.
- Pas de problème, je vais la détendre et la faire jouir.
- Merci Soledad.

Je suis retournée sur ma chaise longue, au bord de la piscine. Delphine bronzait. Elle a regardé ma chatte qui ne laissait aucun doute sur le traitement qu’elle avait subi.

- Ma chérie, je viens de connaître un merveilleux massage. Soledad, l’esthéticienne m’a détendue on ne peut mieux. Je t’ai pris un rendez-vous pour demain, si tu veux, bien sur.
- Un massage ? Génial !!
-Elle va te détendre totalement, tu saisis ?
- Elle va s’occuper de ma chatte ?
- Tu as tout compris.
- Cool !!!!

Le lendemain, Delphine a reçu son massage. Elle en a été enchantée. Elle aussi s’est fait massée régulièrement.

Les jours ont passé et ce fut la fin des vacances. De retour chez nous, nous avons repris notre vie tranquille et sereine durant quelques jours. Mon mari est rentré de son congrès et j’ai pu faire l’amour de tout mon soûl. Ensuite, nous sommes allés sur la Côte d’Azur pour trois semaines de vacances bien agréables. Cette fois-ci j’avais mon homme pour me remplir tous mes orifices et ce furent trois semaines de plaisir et de repos. A l’Hôtel, Delphine avait une chambre à côté de la nôtre, et elle n’a rien perdu de mes ébats.

De retour à la maison, Delphine a continué à faire l’amour avec Louise mais cette fois-ci elle avait de la fine lingerie, des sex-toys et la fente toujours bien épilée. Nous allons ensemble nous faire épiler dans mon institut habituel.
Une fois par semaine, nous avons un moment de grande complicité et on se se masturbe et on se gode l’une devant l’autre. C’est notre petit secret et un moment toujours bien sympathique.
Nos vacances en Espagne à deux ont créé un lien particulier entre nous et nous avons une complicité totale, elle me dit tout et moi aussi.
A bientôt pour un autre récit de ma vie sexuelle.



















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