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Mise en bouche

Ecrit par cigalou
Parue le 28 08 2010
Il y a 5 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5097 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Ce soir j’ai rendez-vous avec toi, Chantal, toi qui me fais fantasmer en continu depuis plusieurs jours. Cette nuit promet d’être chaude, rien que d’y penser j’ai la queue qui se dresse. Ton homme est allé rendre visite à la belle Nadine (celle dont tu nous as tant vanté la beauté du cul) et te voilà exceptionnellement seule, avec son accord comme à chaque foi, pour moi ce soir ! Quelle chance ! J’espère passer une aussi bonne soirée que Pascal, le dernier puceau que tu ajouté à ta désormais célèbre collection.

Pour toi Chantal, je vais me faire le plus beau ! La quarantaine tout juste passée l’an dernier (je te laisse calculer mon année de naissance cela devrait te plaire…), je mesure 1,69 m (comme toi – décidemment c’est un chiffre qui ne me lâche pas) pour 67 kg (à deux kilos prés j’y étais, mais je préfère éviter car ce n’est pas bon pour les poignées d’amour qui commencent à poindre autour de mes hanches). Cheveux courts, bruns, qui virent de plus en plus vers le poivre et sel (mais cela fait parait-il mon charme). Enfin des yeux d’un bleu pur, qui sont à ce que l’on me dit très beaux et qui se cachent derrière de fines lunettes (cela me donne un petit côté intello, j’espère que tu aimes).

Après une douche ou je m’astique tout le corps (au cas il te vienne l’envie d’y promener ta langue…), je me rase le visage afin d’avoir les joues les plus douces possibles. Je pourrais ainsi, si je tu souhaites aller plus loin, t’embrasser avec douceur sans te faire mal. J’enfile un slip noir bien moulant. Je me regarde dans la glace, il y a pas à dire, cela devrait faire son effet. Côté face, on devine bien mes bourses gonflées par le désir et juste au dessus ma tige déjà toute raide d’excitation à l’idée de te rencontrer.
Côté pile c’est mon petit cul ferme et musclé qui se dresse. Il devrait te plaire. Un peu de parfum sur le corps, et je saute dans un jean tout aussi moulant. En haut une petite chemise noire à manches courtes et à rayures blanches très fines. Me voilà fin prêt. J’espère être à ton goût. Tout propre et frais, complètement excité par la soirée qui s’annonce…

Au passage, je m’arrête pour acheter un bouquet de rose et une bouteille de champagne. Je crois me souvenir que tu aimes. Tu en bois souvent dans tes histoires.

Après avoir gravi les 7 étages de ton immeuble cossu, je sonne à ta porte… Tu ouvres et je te découvre enfin ! Fidèle à mes rêves et à ta description, tu te tiens devant moi, resplendissante et désirable à la fois ! Sur tes talons hauts, avec une légère robe rouge à bretelles qui s’arrête au dessus du genou, un décolleté infernal laissant apparaître les rondeurs de deux merveilleux seins libres de tout soutien-gorge. Un 95d comme je les aime ! Mon regard est rivé sur ces deux gros melons parfaitement ronds et symétriques.

Un peu maladroitement je te remets les fleurs et dépose timidement un doux baiser dans ton cou. Ton parfum m’enivre, je suis conquis ! J’espère qu’il en est de même pour toi ! Tu m’invites alors à aller plus loin dans ton appart de 110 m2, te retournes et je te suis. C’est alors, que s’offrent à ma vue ta superbe chute de rein qui remue dans tous les sens et que je discerne à travers ta robe. Je remarque également ton string qui permet de faire ressortir ces deux demi-lunes bien rebondies que je devine et qui me fascinent déjà. Mon regard se porte ensuite sur tes fines jambes, gainées de dim-up résilles noirs affriolants. Leur galbe est divin, je suis plus qu’en appétit, je commence à devenir affamé !

J’aimerai tant pouvoir palper ton corps de déesse, tout de que je vois en toi m’attire : ta bouche que je sais experte dans l’art de la fellation, ta peau que je devine si douce et qui ne demande qu’à être caressée pour le prouver, tes seins identiques à deux obus qui se dressent sous ta fine robe. J’ai une envie folle de les faire exploser ! Ton cul qui se balance quand tu marches et qui provoque en moi une tension de folie dans le bas de mon ventre, et enfin tes longues jambes que j’aimerai couvrir de baiser depuis le bout de tes orteils (que je sucerai bien) jusqu’en haut de tes cuisses, où un autre trésor, caché à ma vue pour le moment mais pas à mon imagination, attend ma langue gourmande.

Es-tu mouillée en ce moment en me lisant ? As-tu envie que je poursuive mon histoire ? Pour ma part, j’ai une trique de folie ! Mais je ne vais pas te prendre tout de suite, ce n’est pas mon habitude. J’ai envie de douceur et de volupté… plus les préliminaires sont longs, meilleurs sont les souvenirs. Nous avons toute la nuit devant nous ma belle cochonne…

Un œil gourmant rivé sur ton cul que tu tortilles comme une diablesse, je te suis dans la visite de ta maison : le salon, la cuisine, la salle de bain et enfin ta chambre toute recouverte de miroirs. Tu dois prendre ton pied, lorsque tu te regardes en te faisant prendre par tous les trous par tes multiples amants !

A cet instant, tu m’enlèves mes fines lunettes (souhaites-tu mieux te noyer dans mon regard ?) et les déposes sur ta commode. Cela ne m’empêche nullement de profiter du paysage, et en particuliers de ta poitrine qui compte tenu de tes talons, n’est pas très éloignée de mon regard…Je discerne en particuliers le bout de tes seins qui pointent à travers le tissu de ta robe. Dois-je en conclure que tu es autant excitée que moi en ce moment ? C’est bon signe pour la suite de la soirée…

C’est alors que tu t’allonges sur le lit et remonte délicatement ta robe, laissant apparaître la lisière de tes bas puis tu écartes les cuisses, je découvre alors ton string blanc ainsi qu’une petite auréole humide signe de ton désir. J’aperçois également par transparence ta toison brune ainsi que quelques poils qui dépassent. Cela m’excite au plus haut point ! Ensuite en me fixant droit dans les yeux, tu passes un doigt sur ton minou, dont les lèvres ont totalement recouvert la ficelle de ton string. Dans la minute qui suit, tu le suces sensuellement en pensant certainement à quelque chose de plus consistant…

Tu m’as bien allumé ma jolie salope ! Bien que timide, il va falloir que je me jette à l’eau pour ne pas te décevoir ma belle ! Mon estomac est totalement noué et mon cœur bat à 170 pulsations ! C’est alors que tu me susurres « Embrasse-moi mon cigalou et baise-moi mon cochon ! Cette nuit mon corps est tout à toi, j’ai la chatte en feu ! Fais-en bon usage ! ».

Gardant mon calme (mais c’est particulièrement dur en ce moment, car j’ai une envie folle de me retrouver à la place de ton index…) je te relève délicatement et t’attire vers moi. Je respire les effluves de ton parfum captivant et enivrant et je t’enlace passionnément…Je te glisse à l’oreille : « Rien ne presse. Tu sais, j’aime prendre mon temps avec les femmes, surtout quand elles sont belles comme toi (je sais, c’est mon côté baratineur). Je vais te faire profiter de mes caresses pour faire monter doucement ton désir. Mais je souhaite aussi partager avec toi les joies de ces jeux érotiques. En fait comme tu me l’as déjà demandé, si je dois me comparer à l’un de tes multiples amants, je me verrais bien à la place de Monsieur Louis. Sauf que me concernant, après m’être occupé de ton corps, si j’arrive à te faire jouir, tu pourras me rendre la pareille comme il te plaira ! »

Je prends ta tête entre mes deux mains vigoureuses et ma bouche couvre tes joues de bisous voluptueux. Je me rapproche ainsi tout doucement de tes lèvres pour leur faire goûter à mes tendres baisers sucrés, puis je pars à la recherche de ta langue gourmande. Cette dernière loin d’être farouche, vient à ma rencontre. Nos langues s’engagent alors dans une danse langoureuse, se tournent autour, roulent et s’emmêlent fiévreusement. Chantal, j’ai une faim de loup ! Je vais te dévorer ce soir !

Pendant ce temps, mes mains descendent sur tes épaules et se promènent sur les contours de ton corps appétissant, glissant sur tes hanches, elles poursuivent le long de tes jambes.
Ayant atteint l’extrémité de ta robe, je glisse alors mes doigts en dessous puis remonte doucement sur tes cuisses puis sur ton cul aux rondeurs diaboliques qui me faisait tant bander il y a un instant.

De ton côté, tu commences à défaire ma chemise en enlevant un à un les boutons. Une fois terminé, tu l’enlèves délicatement et me glisse à l’oreille : « Enlève ma robe ! Je veux sentir ta peau sur mon corps. »

Ni une, ni deux, je m’exécute. Couvrant ton cou de baisers, mes mains sur tes épaules, je fais glisser les bretelles de ta robe le long de tes bras, laissant éclore à l’air libre tes deux magnifiques seins. Sous mes yeux captivés, je les vois qui se dressent, n’attendant plus qu’à être caressés et sucés.

C’est une envie irrésistible qui me prend, tellement ils sont appétissants ! Je palpe donc tes deux superbes lolos puis en effleure les tétons que je sens durs comme la pierre sous mes doigts agiles et coquins. Chantal, aimes-tu cela ma salope ? Prends-tu plaisirs à ces attouchements ou bien veux-tu autre chose de plus profond ou de plus chaud ?

De ton côté, tes mains habiles parcourent mon torse, mes épaules et mon dos. Tes caresses sont voluptueuses et mon corps tremble de plaisir. Tu me rends fou ma chérie !

Laissant temporairement ta superbe poitrine de côté (mais t’inquiètes ce n’est pas pour longtemps, tes melons sont trop bons !), je caresse ton visage, ton cou, ta gorge. Ta peau est d’une douceur inouïe… Je sens ton cœur qui s’emballe aussi, il bat à l’unisson avec le mien ! Ma bouche s’approche alors de tes tétons que je ne peux oublier…et je suce alors délicatement tes seins que je prends chacun à pleine main. Ils se gonflent de désir et durcissent au contact de ma langue. Je sens ton corps qui se tort sur la cordelette de ton string et ta peau qui frissonne sous mes caresses. C’est alors, que de légers gémissements de bonheur s’échappent de ta bouche :
« Oui continues comme cela mon salaud ! Tu me rends folle ! Je suis toute excitée et trempée ! Prends moi et fais moi jouir jusqu’à plus soif ! »

Je finis de faire glisser ta robe sur tes hanches puis tes jambes. Au passage, je tâte à nouveau ta croupe généreuse, que ton string ne cache nullement. Plus glissant ma main entre tes cuisses, je viens vérifier l’état de ce dernier… Pas de doute, il est totalement inondé. Tu mouilles comme une chienne ma salope ! Gourmant comme je suis, je glisse un doigt dans ta fente humide (c’est bien pratique le string pour cela). Tu tressautes de bonheur !

Tes mains se promènent alors sur mon petit cul. Il te plait au fait ? Tu défais ma ceinture, dégrafe ma braguette et quitte mon jean. Me voilà en slip à ta merci, plus qu’une étape avant la tenue d’Adam…Tes baisers descendent le long de mon torse, sur mon nombril et te voilà à genoux à hauteur de mes hanches. Je n’en peux plus tellement je te désire ma belle salope ! Vois-tu ce mat qui se dresse, prêt à déchirer mon slip et à surgir sous tes yeux gourmands ? Suces moi ma puce, j’en meurs d’envie ! Et toi ? As-tu faim ? Je te glisse alors « Avale-moi, ma belle ! ».

Une main de chaque côté, tu vires le dernier bout de tissu qui couvrait mon corps et tu découvres alors ma petite bite en pleine excitation, turgescente et dure à souhait, le gland tout gonflé de désir, au garde à vous prêt à obéir à tes ordres ! Tu vas te régaler ma chérie, c’est l’heure de la « mise en bouche »…Je n’en peux plus, rien que d’imaginer ce que tu me réserves !

D’une main ferme tu attrapes ma tige toute frétillante et de l’autre tu effleures mes bourses qui se rétractent à ce contact divin. Tu commences alors à astiquer avec douceur mon manche avec tes doigts longs et fins. Puis approchant ta bouche de ce dernier, tu le couvres délicatement de baisers. La minute d’après, tu le fais rouler tendrement sur tes douces joues rouges de désir. Ta langue s’attarde ensuite sur mon gland surexcité d’envie. Puis tu m’aspires tout entier dans ta bouche ! Tel un sucre d’orge tu me suce avec gourmandise ! Enfin ce sont avec mes couilles, qui bénéficient de tes faveurs ! Quelle cochonne ! J’adore !

De retour sur ma queue, tu vas et viens quelques instants sur ma hampe, me procurant un plaisir immense. Mais je ne veux pas jouir maintenant même si je sens la sève qui monte en moi. Je me retiens, car je n’en ai pas fini avec toi…

Je me retire de ta bouche et décide alors de finir de te dénuder. Il n’y a pas de raison, que je sois le seul dans cette tenue dépouillée mais au combien sexy ! Après avoir viré tes escarpins, un à un, je fais glisser tes dim-up le long de tes interminables jambes, qu’au passage je couvre de baisers ! Ne reste plus que ton string trempé, qui dégage une odeur incroyablement attirante de femelle en chaleur ! Délicatement, je te le quitte et découvre alors ta toison finement taillée qui fleure bon et qui m’excite tant ! Y-a pas à dire, je préfère largement une bonne chatte poilue à un minou épilé ou rasé. Avec toi je suis pleinement ravi ! Et puis tu as raison l’odeur sensuelle qui s’en dégage est à se damner !

Je t’allonge alors sur le lit et me livre à de multiples caresses sur ton corps en fusion. Ma bouche aussi s’en donne à cœur joie ! Je t’embrasse de partout et te lèche comme un petit diablotin en rut. Tu es là sur le lit, nue, immobile, allongée sur le dos et offerte à ma bouche affamée. Tout y passe !

Commençant par ta bouche, je descends irrésistiblement sur tes gros seins dont je ne peux plus désormais me passer (un admirateur de plus dans leur fan club !). Puis je bascule sur ton ventre en ébullition. Mes mains parcourent le reste de ton corps. Ma langue descend alors avec volupté le long de ta jambe droite, passant à l’intérieur de ta cuisse (je sais cela te rend complètement folle…). Mes mains ont pris le relais sur tes seins, qu’elles triturent dans tous les sens. Je sens ta peau qui frémit. Tu as la chair de poule, mon ange ! Puis je suçote tes orteils, je ne sais si tu aimes (tu me diras..), et je remonte ensuite le long de ta jambe gauche cette-fois, poussant ma langue et mes baisers sur l’intérieur de ta seconde cuisse très douce elle-aussi (rebelote ! comme ça il n’y aura pas de jalouses !) et finissant enfin sur ton minou au bord de la noyade…

Je glisse alors mes mains entre tes cuisses et les remonte vers le bas de ton ventre en direction de ton joli bouton de fleur …Tout doucement, j’effleure ce bourgeon turgescent du bout de l’index dans un mouvement circulaire qui te transporte. Après quelques minutes, te sentant au bord de l’orgasme, je me calme. Puis après quelques baisers je glisse mon majeur plus profondément en toi pour visiter les recoins les plus secrets de ton anatomie féminine. Tu mouilles comme une folle, il faut que je m’abreuve à cette fontaine…Faisant durer le plaisir, je m’arrête à cet instant et je te demande alors mutin : « Tu en veux plus ? ». « Oui, bouffe-moi la chatte ! » me cries-tu, en te tortillant comme une furie.

J’enfouis maintenant ma tête entre tes cuisses. Cette odeur m’enivre ! Je couvre tes lèvres gonflées de mes baisers, puis je pars à la recherche de ton clitounet, et commence alors à le titiller avec la langue. Il est dur comme la pierre, je décide alors de l’aspirer tout entier et de le sucer tel un bonbon au miel. Par la même occasion, je te glisse un doigt dans ton petit trou d’amour. Je sais que tu adores cela, surtout pendant que l’on te suce. Tu n’en peux plus et exploses une première fois sous l’effet de mes caresses ! Ton corps se cambre dans tous les sens dans de multiples secousses répliques du premier séisme et tu pousses des petits cris de salope en plein orgasme ! Tu as aimé ma cochonne ? Moi en tout cas j’ai pris un plaisir immense à te voir ainsi jouir.

Reprenant alors tes esprits tu me glisses avec un air gourmand : « ma bouche s’ennuies…je veux pomper ta grosse bite ». Je te réponds en échos : « ne te gène pas ma chérie, suce moi le dard j’en meurs d’envie ! »

Ma queue dure et raide comme un bâton s’offre à nouveau à tes lèvres insatiables qui l’engloutissent sans attendre, heureuse d’avoir retrouvé leur sucette adorée. J’allais oublier aussi mon petit cul, qui se présente ainsi à tes mains avides de le pétrir.

Ta bouche de suceuse s’en donne à cœur joie et ma bite n’en peu plus. Tu l’avales à chaque fois plus profondément en toi en me tripotant le popotin. Vu ces 13 centimètres, tu peux facilement la gober en entier ! Tes lèvres m’enserrent la hampe et glissent avec délectation le long de cette dernière. Par moment ta langue vient me titiller le gland au bord de la rupture. Comble de bonheur ta main vient m’effleurer les couilles. Je sens que je vais exploser en toi et te le dit. Dois-je me retirer ? Non me dis-tu, reste je vais te finir jusqu’au bout…mais je le savais : tu es une vrai suceuse, et tu as une envie folle de savourer ma purée. Je ne peux plus me retenir tellement tu me dévores avec délectation, je te balance alors une giclée de sperme délicieux dans la bouche. Parallèlement je pousse un râle de jouissance extrême. Eh bien ma salope, tu es drôlement bonne ! Tu m’as bien vidé ! Fidèle à ta réputation d’experte !
Après t’être régalée de ma semence que tu sembles trouver à ton goût, tu finis de me nettoyer le gland et la bite avec la langue. Je suis propre comme un sou neuf ! Chantal jamais, une femme ne m’a aussi bien astiqué la queue !

Alors Chantal, as-tu aimé autant que moi cet instant délicieux ? Pour ma part quel pied, et la soirée ne fait que commencer…j’aimerai bien remplir ton ventre avec ma queue (après l’avoir recouverte de son petit capuchon !). Une fois que tu auras récupéré de cet orgasme et que ma bite aura retrouvé toute sa vigueur, je la ferai bien coulisser dans ton vagin trempé. Il faut dire que tu l’as bien pompée ma salope et j’ai pris un plaisir immense à me vider les couilles dans ta bouche !

Au fait après ton orgasme, j’aurais bien poursuivi mes caresses buccales (ma langue aurait bien aimé s’introduire dans ta fente mielleuse alors que tu me suçais la queue !) mais j’ai eu peur de te faire mal. Je sais qu’après un tel plaisir, cette zone sensible est plutôt parfois douloureuse et qu’il faut la laisser au repos avant de lui proposer une resucée ! Tu me diras si tu aimes que ton clito soit titillé à la suite d’un premier orgasme (c’est bon à savoir pour une éventuelle prochaine fois). Si tu aimes, la suite de la soirée sera pour plus tard (à suivre donc…). En attendant, je couvre de baisers ton joli corps de princesse.

Ton pervers adoré (et tout excité !)

PS : A l’intention des autres lecteurs (et lectrices !) de cette petite histoire, si vous avez aimé merci de me le dire. Cela me donnera plus de motivation pour une éventuelle suite.

Je vous embrasse toutes et tous. Surtout vous mes belles vicieuses que j’adore…



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