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Mon docteur chéri

Ecrit par MonsieurDE
Parue le 16 janvier 2019
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Cette histoire érotique a été lue 1501 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Avec le recul, je dois aujourd’hui admettre que j’ai été longtemps déstabilisée par ce que je crois avoir été un jeu coquin proposé par mon chéri….Sans en avoir jamais eu la preuve. C’est sans doute cela, d’ailleurs, qui me trouble le plus…Jusque dans mes rêves!!

Tout a commencé un mercredi après midi.

Assise derrière mon bureau, face à un client, j’entendis vibrer la messagerie de mon portable. Je la consultai vingt minutes plus tard. Elle était très laconique et très surprenante : « prends rendez vous chez le médecin ». Le message émanait du téléphone de mon cher et tendre mais il me laissait perplexe. Je n’avais nul besoin de consulter un praticien. Une heure plus tard, un nouveau texto me donnait les coordonnées d’un médecin : docteur YVAN..suivi de l’adresse et du numéro de téléphone. J’étais de plus en plus dubitative. Qu’est ce que cela signifiait? Je répondis à son texto en lui envoyant une dizaine de points d’interrogations. La réponse fut autant immédiate qu’impérative: « fais ce que je te demande » une dizaine de smiley « clins d’oeil » ponctuaient le texte.
Je compris. C’était un nouveau petit jeu…Mon chéri en raffole…et moi aussi. je me sentis subitement tout émoustillée, d’autant que j’entrevis les grandes lignes du scénario…. Un sourire aux lèvres, je composai donc le numéro du « docteur » et faillis raccrocher en entendant une voix féminine : « cabinet médical bonjour ». Je commençais alors un abominable bafouillage  « Heu..bonjour… » puis, finalement je me lançai « je souhaiterais un rendez-vous s’il vous plait
-Avec quel médecin? » Je re-bafouillais « heu…le docteur YVAN
-Un instant je consulte l’emploi du temps du docteur……
un silence s’en suivit puis :
« Je peux vous proposer jeudi prochain à 16 heures
-Heu…. c’est que je travaille
-Je suis désolée, le docteur n’a pas d’autre possibilité 
-Très bien je m’arrangerai Merci
-C’est à quel nom?
-Madame DELECOURT (c’est mon nom d’actrice coquine)
-C’est noté au revoir madame à jeudi »
Il est gonflé quand même! Il sait que je travaille! En même temps on n’a pas toujours le choix de l’heure quand on va chez son toubib. Je me surpris à sourire.
La charge de travail me fis totalement oublier ce petit jeu…jusqu’au jeudi matin lorsqu’une alarme retentit. Je consultai mon portable. Mince j’avais totalement oublié. Je me précipite aussitôt dans le bureau de mon chef pour le prévenir de ce rendez-vous. « vous êtes malade Patricia?
-Non monsieur, un contrôle, je suis désolé mais je n’ai pas pu trouver un autre horaire.
-Oh aucune importance
-erci monsieur »
Je quittai le bureau vers 15h30. Je n’avais pas beaucoup de chemin à faire. Arrivée à l’adresse, je repérais aussitôt la plaque sur la façade. « Docteur MICHALON R. -Docteur YVAN C. diplômé de la faculté de Nancy »
Je poussai la porte cochère. Le cabinet était situé au rez-de-chaussée. Je sonnai puis poussai la porte comme indiqué. Une femme blonde, la cinquantaine, assise derrière un comptoir, m’adressa un généreux sourire :
« Bonjour vous avez rendez vous
-Oui
-Vous êtes madame?
-Delecourt » L’hôtesse consulta son PC « avec le docteur YVAN c’est ça? » Je bafouillai à nouveau « Euh…Oui
-Si vous voulez bien patienter en salle d’attente
-Oui merci. »
Je fus réellement déstabilisée lorsque je poussai la porte de la salle d’attente. C’est vraiment un cabinet médical ou quoi?. Deux femmes patientaient en silence. J’étais à peine assise que la secrétaire poussa la porte. « Mademoiselle ARTOIS si vous voulez bien me suivre » La jeune femme se leva. Je fus de plus en plus perdue… Troublée et excitée. Quinze minutes plus tard, l’hôtesse était de retour : « Madame Delecourt, c’est à vous » j’emboitai le pas de la quinquagénaire qui me conduisit au bout du couloir.
« Entrez, je vous prie et mettez-vous en sous-vêtements. Lorsque la porte s’ouvrira automatiquement vous pourrez entrer »
je me retrouvai dans un cagibi faisant office de vestiaire. Des dizaines de questions se bousculaient dans ma tête. Tout semblait tellement vrai…la secrétaire….les patientes…l’atmosphère…que si j’étais raisonnable je partirai en courant. Seulement je crois qu’à ce moment là, je me sentais beaucoup plus curieuse et excitée …que raisonnable. Alors je retirai ma robe.
Soudain la porte glissa sur ses rails. J’aperçois aussitôt un homme en blouse blanche. Il est de dos et se lave les mains. Sa voix retentit : « Asseyez vous je vous prie » La voix me semble familière. C’est celle de mon chéri. Ouf!. Pourtant à la réflexion cet homme me semble avoir une voix beaucoup plus grave. Et puis la silhouette? La taille ça correspond. Mais le mien a les cheveux bruns. Celui-là est poivre et sel et lorsqu’il se retourne, je constate qu’il a au moins cinquante ans. Mon chéri en a dix de moins. Il a également une moustache. Mon chéri n’en a pas. Je traque le moindre indice. Les yeux sont bleus. Le mien les a marron. C’est un cauchemar! si c’est lui il s’est drôlement bien grimé. Et comment fait-il pour la voix…Et tout ce décor! Pourtant je le sais capable de toutes ces prouesses…Alors? Lui ou pas lui?. Il s’assied à son bureau.
« Bien dites moi tout » Je bafouille une nouvelle fois comme une collégienne effarouchée
« Heu….je…c’est à dire…
-Je vois dans votre dossier qu’il y a plus d’un an que vous n’avez pas eu de visite générale » Je re-bafouille de plus belle « Heu…c’est à dire que… 
-Ne vous inquiétez pas je vais vous examiner des pieds à la tête et vous serez tranquille »
Des pieds à la tête? C’est qui ce toubib?. C’est lui, j’en suis sûr. J’ai reconnu son rictus…coquin!! J’ai presque envie de lui dire que je l’ai démasqué…. Mais la voix, ça n’est pas la sienne!. Ou alors il s’est entrainé. C’est ça, il a travaillé sa voix pour que je ne le reconnaisse pas! Quel voyou!
« On va passer à côté si vous voulez bien »
je le suis dans une petite pièce aveugle. C’est une véritable salle d’examen. Rien ne me semble y manquer
 « Allongez vous sur la table s’il vous plait»
Il me prend la tension comme un vrai pro puis il m’ausculte au stéthoscope consciencieusement. Très « professionnel » mon chéri! Il a pris des cours de médecine ou quoi? Il m’examine la gorge, recherche d’éventuels ganglions au cou et sous les aisselles puis il me palpe le ventre dans tous les sens.
«Mettez vous debout et enlevez votre soutien gorge »
j’obéis à mon chéri- oui c’est bien lui- sans rechigner, et je sens l’excitation me gagner. Il me palpe les seins l’un après l’autre puis me pince les tétons qui se dressent aussitôt. J’avais jamais remarqué que mon chéri avait les mains aussi fines! « vous avez de très belles mamelles et vos tétons réagissent bien ». J’ai envie de lui dire que c’est surtout dans ma culotte que je commence à réagir! Les mains continuent leur pelotage méthodique…Mais j’y pense!!! Mon homme travaille la terre et il a les mains rugueuses!. Il n’a pas pu se faire une manucure à ce point! Ou alors, il est « fort »….Très « fort » même. C’est vrai qu’il m’a souvent étonné de mille façons…Mais là! Mon chéri (ou l’homme) me fait pencher en avant pour, dit-il, bien pouvoir soupeser mes nichons. En fait il continue de me peloter copieusement. Et j’aime ça!
« Enlevez votre culotte s’il vous plait »
Ca y est mon chéri est lancé!! Je retire ma culotte. Je suis maintenant toute nue devant lui. Je le regarde droit dans les yeux et je ne parviens pas y retrouver le regard rieur…Peut être à cause des lentilles. Oui, c’est ça, il porte des lentilles! Je suis perplexe. Je n’arrive pas à avoir la certitude de me trouver devant mon mari. Et je suis entièrement nue !
«A quand remonte votre dernière visite chez un gynécologue? » Je re-re bafouille
« Heu….un an au moins
-D’accord. Vous avez des règles régulières?
-Oui tous les vingt et un jours
-Bien. Quelle est la fréquence de vos rapports sexuels? »
Comme s’il ne le savait pas!
« Heu…Trois fois par semaine
Bien. Avez vous des douleurs à la pénétration?
-Heu…non
-Bon montez sur la table et mettez les pieds dans les étriers »
Je suis vraiment désorientée. Ces questions intimes m’ont terriblement excitée…et même si cet homme est un étranger j’ai tellement le feu au ventre que je n’ai pas la force de résister et de m’enfuir. Tant pis pour lui! -je parle de mon chéri- Je vois « l’homme » prendre une paire de gants stériles, puis il se tourne vers moi en souriant.
« Il me semble que je n’ai peut être pas besoin de mettre de lubrifiant, qu’en pensez vous? » Je pique un fard. Je dois être écarlate. Il ne me laisse pas le temps de répondre et pose ses doigts sur ma chatte. Je sens un flot de liqueur couler sur le haut de mes cuisses.
« Voyons ce clitoris »
Il inspecte mon petit bouton en le faisant rouler entre le pousse et l’index. Je commence à décoller.
« Détendez vous je dois voir comment vous réagissez » Il commence à me masturber doucement. C’est délicieux. Je n’ai plus la force de rien. Je me sens partir. Que ce soit mon mec ou un autre, à ce moment là je n’en ai plus rien à faire. Je commence à flotter vers d’autres latitudes. J’essaie de contrôler ma respiration qui s’emballe.
« Laissez vous aller madame Delecourt, ne cherchez pas à lutter »
J’obéis volontiers.
« Vous êtes prête? on y va? »
Où veut il aller? Je comprends aussitôt lorsque la cadence s’active sur mon clito
« On se laisse aller et on essaie d’avoir un bel orgasme »
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je monte rapidement « dans les tours » et je laisse échapper de petits cris de fouine. J’explose bientôt en soulevant violemment le bassin. Il calme le jeu sur mon bouton mais n’arrête pas de le tripoter pour autant, si bien que je repars assez vite vers un second orgasme. Mince deux fois de suite!!
« C’est parfait vos orgasmes clitoridiens sont excellents »
Je sens soudain ses doigts me pénétrer et masser les parois de mon vagin. ça y est je repars pour un tour et.....pour deux nouveaux orgasmes. Je crois devenir folle. Loin de me calmer, cela exacerbe tous mes sens. Je suis une vraie pile électrique et qui qu’il soit en cet instant je n’ai qu’une envie : qu’il me baise à fond!…bestialement.
« Vos orgasmes vaginaux sont également excellents »
Il me laisse reprendre mes esprits puis :
«Je dois contrôler encore quelque chose. Venez vous mettre sur l’autre table »
J’obéis
« A quatre pattes s’il vous plait » Je me place dans la position. « Posez votre front sur la table. Les fesses bien en l’air » J’obéis encore. J’ai la chatte en feu. Je tremble. Je ne me reconnais plus. J’ai tellement envie de me faire sauter que je me sens prête pour un gang bang..Là, maintenant. Je ne me suis jamais sentie salope comme ça. J’ai honte de le penser…mais j’aime ça!. Sans prévenir, il pose sa main sur mes fesses et je sursaute. « Chut….calmez-vous »
Me calmer? Il me fait jouir depuis une heure et il veut que je me calme??? Je sens maintenant ses mains qui écartent mes fesses puis il pose un doigt sur mon anus. Je ferme les yeux et je pense très fort « vas y enfonce le profond… » Il n’en fait rien, se contentant de masser.
« Je voulais juste voir si vous vous ouvrez facilement mais vous me semblez un peu étroite. ». Oh non!!!!!je sens qu’il retire sa main et m’abandonne alors que ma liqueur inonde mes cuisses. Soudain, j’aperçois furtivement sa blouse tomber sur le sol. Puis je sens bientôt sa queue venir au contact de ma cuisse gauche. Je tente de la saisir. L’engin de mon cher et tendre étant de petite taille, c’est le moyen infaillible pour l’identifier. Il arrête mon geste.
« Gardez les mains sur la table s’il vous plait ».
J’obéis. Je sens son gland à l’entrée de mon vagin. Il donne un grand coup de reins et s’enfonce profondément alors que je lâche un cri aigu. Puis il commence à me limer brutalement….et c’est bon…Tellement bon…Même si on ne m’a jamais prise aussi violemment. Je perds bientôt toute contenance et la salope qui sommeillait en moi libère tout son vocabulaire. Je ne parviens pas à terminer ma dernière phrase qui voulait le supplier de se glisser entre mes fesses : « enc… »
car j’explose dans un cri rauque et je tremble des pieds à la tête. Il ne me laisse pas récupérer « Vous voulez que je vous encule madame Delecourt ?»
Je n’ai pas la force de répondre mais je pousse mes fesses vers lui lorsque je sens sa queue franchit la barrière de mon anus. J’ai un peu mal. Elle me semble énorme. Ce n’est pas mon chéri!!! Lui il rentre facilement. Ou alors il a enfilé un capuchon pour la grossir!! Lui ou pas lui, je m’en fous!!…..complètement. Je veux qu’il me défonce et que je ne puisse plus m’asseoir pendant huit jours….je veux qu'il me fasse jouir comme ça. Je n’y suis jamais arrivée avec mon homme. Sa queue qui glisse de plus en plus vite dans mon fourreau me procure une sensation indescriptible. Mon excitation est à son paroxysme. Mes tremblements deviennent presque frénétiques. J’ai envie qu’il se vide en moi. J’ai envie de sentir son sperme gicler au plus profond de moi. Il me pilonne longtemps puis mon voeux est exaucé et je jouis alors qu’il m’inonde de sa semence. Quelques minutes plus tard il se retire de mes fesses
« Vous pouvez vous rhabiller. Tout fonctionne parfaitement » Il décroche le téléphone « Annie, vous pouvez introduire ma prochaine patiente dans la salle 4 » Puis s’adressant à moi : « je dois vous laisser madame Delecourt. Bonne fin de journée. On se revoit dans un mois? 
-Merci…Heu…Oui...docteur »
Chancelante, je me rhabille lentement. Je rentre chez moi, harassée. Vidée…et complètement détendue. Je suis dans un état second durant de nombreuses heures.
Quand mon chéri revient, il ne me questionne pas. je cherche des signes. Il va bien être obligé de se trahir.
Lorsque nous sommes au lit n’y tenant plus je l’interroge « C’était toi cet après midi Bravo. Ton maquillage était parfait. J’ai eu du mal à te reconnaitre.
-De quoi est-ce que tu parles?
-Du médecin pardi! de qui veux tu que je parles?
-Quel médecin? Je ne comprends rien à ce que tu dis
-Tu mens! Je suis certaine que c’était toi!
-Arrête de me traiter de menteur et dis moi clairement ce qui se passe »
C’est pas possible, il a l’air sincère! Me serais-je fait sauter par un inconnu? Je le vois qui croise les bras. En général ça n’est pas bon signe
« J’attends »
Il a les yeux rivés sur moi. Je dois essayer de « noyer le poisson »…Sans bafouiller
« C’est que je suis allée chez un médecin du travail cet après midi…Et il te ressemblait
-Et qu’est ce qu’il a dit?
-Que tout fonctionnait bien
-Parfait »
Je m’allonge, prête à m’endormir….repue de sexe. Il se colle soudain à moi et je sens sa bite dressée contre mes reins. Il me glisse à l’oreille :
« Relève ta chemise de nuit mon ange, ça fait longtemps que je n’ai pas visité ton petit trou »
L’objet de son envie me fait trop mal pour que je puisse y recevoir quoi que ce soit…Comment lui dire que je me suis faite défoncée par un toubib bien monté….si c’était pas lui! Alors je lui livre la première bêtise qui me passe par la tête
« Je suis désolée mon coeur mais ça me brûle partout
-Devant aussi?
-Oui
-T’en as pas parlé au médecin tantôt?
-Je n’ai pas osé. T’inquiètes pas ça va passer
-Ok »
Il m’embrasse dans l’oreille et un puissant frisson me fait frémir
« Taille moi une pipe mon ange….comme j’aime »
Je m’assieds au bord du lit. je le vois se diriger vers la penderie d’où il ressort une cravate et un foulard. Je comprends aussitôt. Il veut me baiser dans la bouche. Il me lie les mains dans le dos puis ceint mes yeux du bandeau réalisé avec le foulard.
« Ouvre la bouche ma chérie »
j’obéis et il entre son membre que je trouve particulièrement dur
« Serre bien les lèvres »
J’écrase ma bouche -sans les dents!!!- autour de sa bite
« Ne bouge plus »
Il me bloque la tête de ses mains et me baise dans la bouche presque violemment….Comme cet après midi.
Il pousse un cri rauque lorsqu’il éjacule et il reste en moi ce qui m’oblige à avaler sa semence. Puis Il me libère et nous nous lovons dans le grand lit où je m’endors rapidement…Heureuse. Ce n’est pas tous les jours que je suis baisée dans tous mes trous!





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