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Noire soumission.

Ecrit par Darkshadow666
Parue le 18 09 2018
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 4131 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.5601/20

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Jusqu'à vers 40 ans, j'étais très galant, serviable et attentionné à la femme, toujours crainte. Ma phrase favorite était «vos désirs sont des ordres, Madame». Une allemande fort autoritaire de rencontre prit cette phrase au mot, en y détectant la demande latente. Elle a plus que développé et exploité cette «souplesse» innée, en faisant éclore une obéissance bien travaillée quotidiennement. De souhaits à demandes puis à ordres. De serviable à soumis. Mise en ménage gynarchique sous son contrôle total, Sexuellement, j'étais juste son gode à pattes, selon ses besoins. Elle m'a jeté .Retour en Allemagne. Paumé, seul, branleur solitaire sur les sites de Dominas de pacotille. Invité à une fête africaine par un pote. A posteriori, c'était une «rencontre arrangée», le piège. Une impressionnante et imposante mi-quadra camerounaise (+1.85m.) m'y fixe beaucoup. Je baisse les yeux, intimidé. Elle m'aborde, me tutoie. Moi, «vous». Elle parle. un bon français désuet, de l'époque «coloniale». Je vis seul? Oui. Travail? Non, une petite pension d'invalidité. Ça ne m'empêche pas de bricoler en douce. Justement, elle a besoin d'un bricoleur pour petits travaux chez elle. RV demain matin. Là, accueil en boubou bien décolleté sur très forte poitrine, Elle est plus grande que moi. Bricolages au sol, ras-de-terre (plomberie, tuyaux). Elle me regarde bosser, debout ou assise, bien campée sur un tabouret, jambes bien écartées, me toise et me domine de fait de toute sa forte stature. Je ne la vois que de bas en haut. «Alors, t'es seul? Oui. T'as des attaches? Aucunes. Pourquoi invalide? T'as pas l'air. Accident de travail en voiture, 2 fractures du crâne. J'ai exagéré les séquelles psychiques aux expertises. Tu bossais où?. La Poste». Je me sens comme dans une toile d'araignée, qu'elle tisse, ne lui pose aucunes questions en retour. Elle me dit seulement: J'ai une rente de veuve, mon mari est mort il y a 5 ans». Elle me dirige durant mes bricolages. Ni stp, ni merci. Elle n'a pas parlé de me payer.. Midi. «Tu restes manger!». Elle sort les assiettes, les couverts. «Tiens, mets la table». Cuisine africaine. Elle m'appelle pour garnir les assiettes. Encore des questions durant le repas, ma pension, son montant, ma vie. hélas vite résumée. «Tiens, débarrasse donc et, pendant que tu y es, rince les assiettes et les couverts». Re-boulot. Elle va s'allonger sur le canapé, fait une sieste. Je bosse. Je mate depuis la cuisine. En dormant, ses gros seins ont tendance à sortir du boubou, jambes un peu écartées, J'y distingue vaguement une foret vierge touffue toute noire. Réveil. Elle me fait une infusion bizarre, au goût aigre. Elle me demande 1 bière. 18 heures. Elle me désigne un placard. «Sers nous donc 2 whiskies, la bouteille est là. Glaçons au frigo».On boit. «Reviens demain. Tu es un homme utile. J'ai encore des petits boulots pour toi».
Le lendemain, pantalon cuir noir moulant, corsage bien ouvert. Travaux d'électricité au sol. Pose de plinthes. Elle debout ou assise, jambes bien écartées. Le pantalon colle de près. Je devine une énorme moule saillante bien fendue. Il s'incruste dans la fente et ses contours. Je mate furtivement. Elle le voit, écarte un peu plus. Elle me parle du pays. «Chez nous, au village, les femmes portent la culotte. Elles décident et dirigent l'homme. On habitue tout jeunes les garçons, à nous obéir. Ça marche bien. Finies les guerres de tribus». Même scénario pour le déjeuner. Puis chaque jour de la semaine. Elle me fait revenir pour des bricolages-prétextes. Infusion aigre à boire à 17 h. Je lui obéis en tout. Vendredi: «Viens dîner samedi soir, 19 h!
Accueil boubou, vue plongeante sur énorme poitrine. Déjà docile, habitué. je mets le couvert, nous sers. Débarras et vaisselle. Puis salon, canapé. «Tu as bien bossé. Ta récompense!». Elle extrait ses énormes seins. «Tu as le droit de les toucher». Je les masse, fasciné. «Suce les bouts!». Énormes mamelons. Elle se touche la chatte sous le boubou. «Viens dans la chambre! Déshabille- toi!». Elle s'y allonge, nue. «Lèche.moi la chatte, suce-moi le bouton!». Elle s'en écarte bien les larges lèvres. Je découvre une immense cavité velue inondée et un clitoris aux dimensions d'une petite bite. Je le suce, lèche tout le reste, le nez enfoui dedans.Odeurs fauves. Elle jouit plusieurs fois, cris rauques. «Mets-toi sur moi! Elle me saisit la bite qui bande à mort, se l'introduit dans la cavité. Je la besogne à fond, jusqu'aux couilles. Elle jouit maintenant en orgasmes perlés sonores et dévastateurs. Sa chatte si mouillée, très musclée malgré sa largeur, m'enserre la bite en se contractant et se relâchant et la garde prisonnière. Ses reins tressautent. J'ai l'impression d'être un cow-boy dans un rodéo qui chevauche une monture fougueuse plus qu'incontrôlable, qui tente de l'éjecter. Ablutions, retour salon. Elle me fait servir 2 whiskies. Plus tard, elle me congédie. «A lundi, 9h!».
2 semaines à ce régime. Elle me fait bosser toute la semaine, pour la «séance-récompense» du samedi soir. Aucuns rapports sexuels en semaine. Repos chez moi le dimanche. Les bricolages tarissent. Devenu accro, c'est moi qui lui propose de venir faire ses tâches ménagères quotidiennes, ménage, lessive, repassage etc. Tenue souple, sans slip, genre infirmier. Elle dirige fermement les opérations. Des ordres, remontrances si non satisfaites. Puis, après 1 mois, topo dans la cuisine, face à face moi, yeux baissés (en gros, de mémoire).
«Tu es seul et perdu. Je suis la chance de ta vie. J'ai sais y faire avec les hommes comme toi. Tu as bien besoin d'être pris en mains par une Maîtresse africaine comme moi, bien autoritaire et exigeante, qui te dirige et te gère en tout. Tu es du genre soumis, y a pas de honte. Je vais te prendre sous ma coupe, en vase clos intime. Tu vas te sentir libéré de tous tes soucis, des décisions à prendre, des papiers. Tu te consacreras à bien obéir aux commandements et ordres de ta Maîtresse J'ai de l'expérience. Mon mari était aussi docile que toi. Nous, les africaines, on a une forte autorité naturelle sur les soumis blancs, surtout vieux.
Laisse.moi faire, laisse-toi faire. Des fois, je te corrigerai et te punirai, pour ton bien.Je vais te rendre docile comme un agneau, te faire filer douy à mon commandement. C'est exactement ce que tu n'oses pas me demander. Tu me le montres depuis 1 mois. Juste? Ben... oui, ma Maîtresse. Je l'appelle spontanément «ma Maîtresse» pour la 1ère fois. Tu seras mon vieux soumis blanc volontaire. C'est toi qui te passe le collier. Je ne t'oblige à rien. Tu vas vivre ici. Je vais bien te modeler, t'éduquer, te gérer comme je te veux. Te faire bien travailler l'obéissance à ta Maîtresse. Pour ton bien. Tu sais, l'infusion que tu bois, ce sont des herbes naturelles du pays qui favorisent la docilité. Je t'en donnerai d'autres pour développer ta soumission. Tu seras mon vieux gamin. Je serai ta Maîtresse, ta mère sévère, ta Patronne, ta Cheffe, ta Tutrice. C'est ce que tu veux! Tu en as besoin! Oui ou non?». J'avoue. «Oui, ma Maîtresse, c'est vrai, j'en ai bien besoin. Merci.».
Bingo! Emménagement, début de ma vie de soumis. Mes quelques meubles liquidés, le studio aussi. 2 valises d'objets et papiers persos. Elle en fait un inventaire méticuleux, trie, jette. Examen des documents bancaires. 1 compte + 1 livret d'épargne, 1 carte crédit. Je donne le code. «Tu vas me faire une procuration, pour que je te gère». Remise du téléphone. «Tu n'en as plus besoin, y a que moi qui t'appelait». Idem PC portable. Elle jette des objets personnels. «Aucun intérêt». Vêtements à la déchetterie. Ici, tu as ta tenue d'intérieur. Si je t'envoie dehors, 1 jean's, 1 polo, un pull, 1 blouson. Portefeuille remis, carte d'identité + passeport + argent liquide en lieu sur. «Tu te tiendras dans la cuisine, moi dans le salon. C'est ta place. Je t'y autorise 1 radio et 1 TV, sous conditions. Je peux te punir en t'en privant, Tu poseras une sonnerie cuisine- salon. On la commandera sur le Net, Je te sonnerai si j'ai besoin de toi. Tu dormiras sur un matelas, au pied de mon lit. Soirées au salon, sur coussins, à mes pied, sur appels, si tu m'as bien donné satisfaction».
Ma vie s'organise, sous son commandement omniprésent. Elle passe sa vie au tel portable, en dialecte pour que je ne comprenne pas. Une petite badine apparaît sur la table basse du salon. Ça me tire l’œil, elle le voit. «Oui, mon vieux soumis blanc, je devrai te corriger, pour ton bien. Tu me remercieras». Réveil avant elle, faire couler son bain, lui apporter ses vêtements, servir petit déjeuner au salon, débarrasser + ménage + cirage chaussures aux pieds + ordres du jour etc. Des détails: vider et laver son cendrier à chacun de ses mégots. «Tu anticipes trop mes ordres. Contente-toi d'obéir à chacun que je te donne». Je partage son intimité, elle évolue souvent nue devant moi, sans se gêner. Quand elle sort, elle m'ordonne des tâches. Contrôles au retour. Commande sur le Net d'une table de «massages» métallique, installée dans une petite pièce. «Tu sauras vite pourquoi. C'est pour ton bien, ton éducation. Tu vas me sentir...»...
Un matin, sonnerie impérieuse. «La cuisine est sale, le cendrier plein! (2 mégots). Va dans la pièce t'allonger sur la table de massages! Vais te masser, moi! Sur le ventre, poignets et chevilles liés, cul nu mouillé relevé sous coussins. Puissante fessée main nue. Ça claque fort! Elle s'absente, me fait mitonner. Retour avec badine. 5 coups secs sur chaque fesse. «T'as compris? Oui, oui! 1 coup. Oui qui? 1 coup. Oui, ma Maîtresse! J'exige ton obéissance totale! Je vais te serrer la vis!». Puis, le chaud et le froid. Pommade épaisse sur le cul. «T'en auras d'autres! Et souvent! Garanti! Je vais te mater! Maintenant, au boulot!».
Puis mariage civil, 2 copines-témoins naturalisées. Elle fait l'amoureuse devant le Maire. Donner le change. Retour maison à 4. Repas africain. Je suis en cuisine, les sers. Elles boivent beaucoup. Maîtresse est fière de leur montrer comme son soumis marche à la baguette. Elle en parle fort, même à mes passages. «Mon secret, c'est ça!». Elle montre la badine. Rires. Départ très tardif, pas de «nuit de noces». Mariage gynarchique.
6 mois après, demande de mise volontaire sous la tutelle de l'épouse, pour difficultés à se gérer. Passage chez un expert. Je confirme. Logique, il y a l'accident du travail et ses séquelles exagérées à dessein. Passage chez le juge. Audition, validation. Elle fait la protectrice, l'attentionnée, moi l'humble reconnaissant.
Tout est mis à son nom. Compte bancaire + livret, papiers etc. «Tu es tout à moi, maintenant»!
60 ans, ma retraite de fonctionnaire. Maîtresse est contente. «Belle retraite! Mieux que ta rente de minable! Rire. Bon, à part ta nourriture, tu ne me coûtes pas énorme. Je vais acheter une maison au pays et une voiture ici! Je t'y t'expédierai faire des travaux de rénovation. Un petit stage chez mes 2 sœurs, encore plus dures que moi!». Elle fait des achats de vêtements , cosmétiques et parfums sur le Net, puis me sonne. Un site SM. «Ton cadeau. Choisis! Une nouvelle badine plus dure et de vraies menottes chevilles-poignets. Je te gâte! Tu préfères un vrai petit fouet, pour ton vieux cul blanc de soumis? Dis merci! Merci, Maîtresse».
Toutes ces années à ce régime = 1 soumis modèle à la botte. Domination totale, obéissance absolue, 3 infusions/jour, corrections, punitions et humiliations régulières, mise sous tutelle, 1 volonté implacable pour 2, dépendance-drogue à la Maîtresse, à ses ordres permanents, je me sentirais perdu sans elle.
Et pourtant, je la perds brusquement. L'accident stupide. Renversée par un bus. Morte sur le coup. Pour moi, + 6 mois de rééducation-réinsertion» à «la vie civile», même pour ses actes les plus courants. Arrêt des d'infusions. Ma conscience réémerge. Je me gère à nouveau, progressivement. Elle laisse un vide abyssal.
J'ai vieilli. Être un bon soumis sous l'autorité bien affirmée et stricte d'une puissante Maîtresse africaine bien dominante me manque. Mais en version plus «light», moins «hard». L'âge... J'ai eu quelques «appels d'offres» de ses copines, peu sincères, pas crédibles. Je cherche toujours.


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