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Tous les ans mes parents louaient une maison dans une station thermale pour des soins pour moi et pour ma mère. J'avais seize ans et je me rendais à pied à la station pour ses soins et ma mère allait de son côté pour les siens. Pour ne pas l'attendre je revenais seul à la villa louée. Auguste un frère de mon père venait nous rendre visite pour deux ou trois jours et comme la villa était trop petite pour nous, il prenait une chambre à l'hôtel.
Le premier jour, il m'avait demandé de passer le chercher après ma cure pour rejoindre notre logis pour le déjeuner. Il était charmant et je me faisais un plaisir de me rendre à son hôtel. Connaissant le numéro je montais les trois étages pour retrouver sa chambre. Je frappe et j'entends une voix qui me dit "entre, c'est ouvert". Quand je pousse la porte je vois mon oncle une serviette autour de la taille. "Assis-toi sur le lit, je prends ma douche". Je pris une revue et m'assieds sur le lit défait. Je patiente une bonne dizaine de minutes quand je vois soudain Auguste nu sortir de sa salle de bains son drap de bain à la main. Il est super bien membré le gland à moitié découvert. Il est encore mouillé et il s'essuie les épaules.
"Tu veux m'essuyer le dos, s'il te plaît ?
Je ne peux refuser, je saisis la serviette et commence à éponger les gouttelettes d'eau sur le dos d'Auguste. Puis il se retourna et je vis que son sexe avait doublé de volume le gland décalotté. "Tu as vu ce que tu me fais ?" Mon regard ne pouvait plus se détacher de son entrejambe.
"Aller, continue à m'essuyer" me dit-il avec un petit sourire. je passe le drap sur son torse, le ventre et quand j'arrive à son sexe, je m'attarde et après l'avoir sécher je le saisis à pleine main. Il est bien moulé et son gland bien dessiné fait l'objet de mes caresses. Vite, il devient extrêmement dur sous ma main. De mes petites mains je caresse et le branle machinalement. "C'est bien, tu t'y prends très bien, continue". Il est debout et je me suis assis sur le bord de son lit.
Son membre turgescent est à hauteur de mon visage. Je peux admirer sa tige de près tout en la caressant. Il pose sa main dans mes cheveux bouclés et lentement m'attire vers l'objet du désir. J'ouvre la bouche et lentement engloutis ce gland chaud et tendu. Il gémit, ma langue s'active sur le frein, je le suce,le lèche, l'aspire. Sa main qui guide ma tête donne le rythme du va et vient. J'ai un peu mal à la mâchoire mais je continue trop excité. D'une main je caresse ses fesses et de l'autre je tripote ses boules ballotantes. Soudain, il se cambra, attira violemment vers lui. Son chibre touchait le fond de ma gorge, j'étouffais. Je le repoussais pour pouvoir respirer et là, il déversa un flot de sperme sur ma langue. J'avalais tout ce suc avec délice et aspirais son gland pour n'en perdre aucune goutte. Il continuait à me caresser la chevelure et laissait échapper "que c'est bon petit ! ". Son sexe perdit de sa consistance et il sortit de ma bouche.
Toujours debout et moi assis, il me poussa et je me retrouvais sur le dos. Avec dextérité, il déboutonna mon pantalon, baissa la fermeture éclair et d'un seul mouvement il baissa jean' et slip jusqu'aux chevilles. Il se mit à genoux, et finit par enlever mes baskettes, ce qui fait que je me retrouvais tout le bas nu. Il me fit soulevé les bras et il m'enleva mon tee-shirt. Maintenant j'étais entièrement nu étendu sur son lit. Je bandais de ma petite queue. Il écarta mes jambes et se mit à genoux entre. de sa bouche et des ses mains il joua avec ma queue. Triturant mes boules et mon appendice avant de les prendre à son tour dans la bouche. Ma tige enveloppée entre ses lèvres pleines de salive chaude, glissait allègrement. Il arrivait à gober tige et boules entièrement. C'était délicieux ! Il savait ralentir sa succion quand sentait venir le jus et appuyait sur mon périnée pour que mon plaisir dure. Il caressait mes boules d'une main et après avoir enduit un doigt de salive,il l'enfonça dans mon anus. Il avançait et reculait son doigt et j'aimais ça. mais au bout de quelques minutes il ne put retenir mon éjac et je crachais tout mon sperme dans sa bouche qu'il avala avec un plaisir non contenu.
Une fois bien vidé, il me fit jurer de n'en parler à personne et il m'invitait à revenir le lendemain. Bien sûr, je me dépêchais de finir ma cure pour le rejoindre dans sa chambre où il m'attendait nu dans son lit.
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Ecrit par Robin
Parue le 17 janvier 2019
