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PETITE ANNONCE

Ecrit par ARCAY
Parue le 15 février 2015
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 2969 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Je dois avouer que j'aime beaucoup la compagnie féminine surtout pour partager des moments torrides,

Ayant déménagé dans le sud ouest de la France, j'avais perdu beaucoup de mes relations et pour aller plus vite, je me décidais de consulter les petites annonces sur internet.
Après quelques échanges infructueux, je tombais sur l'annonce suivante :
« Femme 45 ans mariée, physique agréable, recherche homme, age indifférent pour relation suivie. »
Je pris contact avec cette personne pour savoir ce qu'elle recherchait vraiment.
Le jour même je reçu sa réponse.
Elle m'expliqua qu'elle recherchait un homme pour une relation uniquement basée sur le sexe.
En effet, d'après ses dires, son mari ne lui apportait pas de plaisir.
Cependant, ils étaient très attachés l'un à l'autre et c'est avec son accord qu'elle avait passé son annonce.
La situation me paraissant intéressante, je continuais à échanger avec elle pour connaître ses gouts et ses aspirations.
Au bout de quelques jours, elle me demanda une photo de moi nu, sexe en érection, ce que j'acceptais, sous réserve qu'elle m'en envoie une en retour.
Quelques minutes plus tard, je reçu un nouveau message auquel était joint deux photos.
Bien entendu elle m'avait envoyé des photos ou elle était nue et je pus ainsi voir à quoi elle ressemblait.
Bien qu'elle ai 45 ans, elle était très appétissante.
Je m'empressais d'envoyer une photo de moi en retour et attendis sa réponse.
Le soir même elle m'informa que je lui convenait et qu'elle souhaitait une rencontre, son mari lui ayant donné son accord.

Elle me dit préférer que je vienne chez elle et me me demanda si j'étais disponible le samedi après midi suivant.
Bien entendu j'acceptais aussitôt son invitation.

Elle demeurait dans un quartier résidentiel du centre ville.
Lors de nos derniers échanges, elle m'avait indiqué le code de l'interphone ainsi que la localisation de son appartement.
Dès 14 heures, j'entrais dans l'immeuble et pruis l'ascenseur jusqu'au second étage.

Je sonnais à la porte et après quelques instants, celle ci s'ouvrit.
Contrairement à ce que je m'imaginais c'est un homme qui était devant moi.
Il me tendit la main :
« Bonjour, je suis LUC, le mari de VERONIQUE, nous vous attendions. »
Voyant mon air embarrassé, il ajouta :
« Ne vous inquiétez pas, notre annonce est tout à fait réelle, il n'y a aucun problème, entrez au salon »

Je le suivis, la décoration de l'appartement montrait bien que j'avais à faire à des gens aisés.
VERONIQUE attendait dans le salon, vêtue d'une longue robe claire, largement fendue sur le côté ce qui laissait apparaître ses cuisses bronzées.
Sur la table, était posé un plateau avec une bouteille de champagne dans un seau et trois coupes.
« Si vous le voulez bien, nous allons prendre d'abord une coupe pour faire connaissance » déclara
LUC . »Asseyez vous à côté de VERONIQUE »
Je pris place sur le canapé et LUC remplit les coupes après avoir ouvert la bouteille.
La conversation roula sur leur vie de couple et en particulier sur ce qui les avait amenés à passer une annonce.
Ils étaient mariés depuis presque 20 ans et filaient le parfait amour. Seul ombre au tableau LUC avait un sexe ridiculement petit et ne contentait pas son épouse.
C'est pourquoi, d'un commun accord, ils avaient décidé de passer cette annonce.

Après avoir bu le champagne, VERONIQUE se leva et m'invita à la suivre dans la chambre.
LUC resta seul dans le salon.
Je me sentais un peu gêné de le savoir dans la pièce voisine pendant que nous ferions l'amour.

La chambre était vaste et très bien meublée. Le lit était d'une largeur supérieure à la normale.
La pièce était éclairée par deux petites lampes qui la maintenant dans la pénombre.

Voyant mon hésitation, VERONIQUE vient se coller à moi et m'embrassa sur la bouche.
Je réagissais et commençais à caresser sa poitrine menue et ferme.
Elle se recula pour défaire ma ceinture et faire glisser mon pantalon, puis elle glissa la main dans mon slip pour attraper ma queue qui commençait à durcir.
Je ne fus pas en reste et remontais sa robe jusqu'à la ceinture et commençais a caresser son sexe déjà humide au travers son string.
Elle me fit basculer sur le lit, fit glisser sa robe à ses pieds et retira lentement son string.
Son sexe était épilé et je le sentais avide de recevoir ma queue en érection.
Rapidement je retirais le reste de mes vêtements.
Elle vint s'empaler sur moi.
Je sentais son sexe palpiter lorsqu'elle commençât de lents va et viens en gémissant de plus en plus fort.
Après quelques minutes elle prit son plaisir tandis que mon pieu restait planté en elle.

Elle se retira et, se retournant vint prendre ma bite en bouche. Son sexe luisant de cyprine était son mes yeux et relevant la tête je me mis à le sucer, agaçant son bouton dur de jouissance.
Sa langue remontant le long de mon membre et venant me lécher les couilles.
Sentant que j'allais exploser elle le pris en bouche et se mit à me sucer de plus en plus vite.
Elle le garda jusqu'à ce que mon foutre jaillisse inondant sa bouche bien serrée autour de ma bite.
Elle m'en perdit pas une goutte et avala tout le liquide.
Cela la fit jouir une nouvelle fois.
Puis elle vint se coller contre moi la tête sur mon épaule.

Après avoir repris son souffle, elle me demanda :
» Tu as soif »
« Oui s'il te plait »
Elle se leva et sortit de la pièce toujours nue.
Quelques instants plus tard, elle fut de retour, portant le plateau avec la bouteille de champagne.
Son mari l'accompagnait et je me sentis mal à l'aise.
« Ne t'inquiète pas » me dit il, j'ai regardé vos ébats à travers la glace sans tain.

Comme si de rien était, il servit trois verres.
« Mon chéri, j'ai joui deux fois tu as vu ? »
« Oui je suis heureux pour toi »
« Tu as envie de jouir aussi »
« Oui je veux bien ma chérie »
Sur ces paroles il enleva son pantalon et retira son slip.
Il bandait mais sa queue ne faisait que quelques centimètres.
Il s'allongeât sur le dos et offrit son sexe.
VERONIQUE se penchât vers cette petite queue, le cul en l'air et se mit à la sucer.
La vue de ce tableau redonna de la vigueur à ma queue qui commençât à se redresser
Je me relevais et passais derrière VERONIQUE qui commençât à onduler des fesses en sentant ma bite caresser doucement sa raie.
Elle cambra les reins pour s'offrir.
Je glissais ma bite maintenant bien raide entre ses fesses et m'arrêtais devant son petit trou que je commençais à forcer doucement.
Voyant qu'elle se cambrait encore plus, je devinais qu'elle voulait que je l'encule.
Tout doucement j'entrais ma bite dans son cul. Le passage était large et je devinais que je n'étais pas le premier à emprunter ce passage.
Je m'enfonçais jusqu'aux couilles et commençais à la ramoner de plus en plus vite.
Pendant ce temps elle continuait de sucer la bite de LUC qui disparaissait entièrement dans sa bouche.
Je sentais qu'elle allait bientôt jouir par le cul et j'accélérais mes mouvements.
Mes couilles venaient battre sur ses fesses ce qui m'excitait.
LUC gémissait sous les caresses de sa femme.
Notre jouissance arriva en même temps.
Après avoir repris nos esprits nous avons bu une coupe de champagne.
Nous étions nus tous les trois et je me sentais à l'aise.

« Tu voudras bien recommencer tout à l'heure » me demanda elle d'une petite voix.
«Si tu veux, tu me fais bien bander »
« Ca t'ennuie si je reste dans la chambre » me demanda LUC.
« Pas du tout »

Grâce aux mains expertes de VERONIQUE,je recommençais à bander rapidement.
VERONIQUE se mit à genoux et me demanda de la prendre en levrette.
J'adore cette position et la pénétrais d'un coup sec.
LUC n 'en perdait pas une miette et branlait doucement sa petite queue.
Il glissa la tête sous les cuisses de sa femme pour lui sucer le clito.
De temps en temps sa langue venait le lécher les couilles et je trouvais ça plutôt agréable.
Voyant que j'acceptais ses caresses il commençât à me sucer les couilles.
Pendant ce temps il continuait à se branler. Je lui écartais la main pour masturber sa petite queue.
Un grognement de sa part me fit comprendre qu'il appréciait mon geste.
VERONIQUE, sentant que j'allais jouir, s'écartât de moi.
LUC la pris en main et se mit à la sucer avec ardeur.
En pivotant, je pus prendre sa queue en bouche.
Nous étions allongés sur le côté pour un soixante neuf torride.
VERONIQUE qui voulait participer commençât à nous caresser les fesses et glisser un doigt dans la raie s'arrêtant sur le petit trou qu'elle pénétrât doucement.

La bite de LUC se mit à frémir et je sentis qu'il allait jouir.
Je décidais de prendre sa semence en bouche et de l'avaler.
Il se mit à me pomper de plus en plus vite pendant que VERONIQUE me branlais le cul.
Ma jouissance fût énorme.

Remis de nos émotions, nous avons pris une douche en commun, ce qui fut encore un moment de caresses. Je ressentais autant de plaisir sous les caresses de LUC que sous celles de VERONIQUE.

Ils me proposèrent de passer la nuit avec eux ce que j'acceptais.
Le lit était vraiment grand et nous y sommes restés tous les trois.
En réalité nous n'avons pas beaucoup dormi.
Depuis nous sommes devenus les meilleurs amis du monde.
Je ne manque jamais une occasion de passer une soirée ou un week-end avec eux.
Bien entendu chaque rencontre est l'occasion de parties de cul mémorables.
La seule règle entre nous est que je ne baise jamais VERONIQUE hors de la présence de LUC.


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