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Ecrit par Darkshadow666
Parue le 12 09 2018
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 4380 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15.4167/20

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Normandie 1964. Petit parisien, ma mère veuve m'envoie au mois d'août chez sa sœur, vers Argentan, «prendre le bon air de la campagne». Je pars en «Micheline» depuis l'ancienne gare Montparnasse. Tout seul, très fier. Une ferme, un petit village. La Tata fait les 3 x 8 jour ou nuit chez Moulinex. Le Tonton, ouvrier agricole, pas méchant pour 2 sous, rentre bourré tous les soirs. J'y suis livré à moi-même. Ils ont un fils de mon âge, mon cousin, mon pote. C'est la liberté! On fait les cons, du vélo toute la journée dans la campagne. Le cousin tombe malade. Pas grave. Il garde le lit quelques 3 jours. Je vais tout seul en vélo. Je pédale vite sur les chemins du bocage normand. Dans un virage, le gros gadin, sur des cailloux. Je crie.
Un vieux paysan, alerté, sort de sa ferme. «Eh, mon pauv' gars, qu'est ce qui t'arrive?» Il ramasse le vélo, m'emmène chez lui. Je saigne des genoux, des cuisses. «Ben te vlà bien mal en point. Je vais m'occuper de toi. Tu vas prendre une douche, après, pommade et des pansements!». Salle de bain rustique. Il vit seul Il me déshabille, short déchiré, me rince, m'arrose. Tout nu devant lui. Il me fait enfiler un peignoir trop grand. «Mon pauv gars! Quelle aventure!». Bourru mais gentil. Il me fait allonger sur le canapé, va chercher pommade et pansements. Il enduit les tibias et les genoux, puis les cuisses, sous le peignoir, qui tend à glisser et s'entrouvre. «Je vais bien te masser les cuisses, ça te remettra de tes émotions. T'as plein de contusions, mon pauv' gars». Ses grosses mains massent mes cuisses et remontent. Je sens ses auriculaires frôler les couilles. Comme sans faire exprès, un doigt frôle le gland. Il se concentre. «Ça te fait du bien? «Oui, m'sieur, merci». En me massant, le doigt frotte le gland, comme par inadvertance. Il le cherche insidieusement. Inquisiteur, le doigt s'insinue. Le peignoir s'entrouvre encore plus. Il masse. Horreur, je bande fort. A la puberté, ma bite s'est développée d'un coup, hors des proportion normales de mon corps d'alors, avec de vigoureuses érections. Je complexais à fond d'avoir cette grosse histoire entre mes jambes. Je ne savais pas trop quoi faire avec, je me touchais vaguement, du jus en sortait, Il voit la grosse bosse sous le peignoir. «Excusez-moi, M'sieur», je dis, gêné. «Pourquoi tu t'excuses, mon gars, c'est bien naturel de bander! On est entre hommes! Je peux la voir?». Il rit franchement. «Ben... Oui, si vous voulez». Je suis tout rouge, Il ouvre le peignoir. Il siffle, s'extasie. «Ben dis donc, quelle pièce! T'es monté comme un cerf en rut, mon gars! A ton âge, c'est rare! Ça, c'est de la belle bite! Exceptionnelle. Bravo, mon gars». Il est fasciné. Il l'empoigne, la place bien droite, perpendiculaire à mon ventre. «Magnifique! Sois en fier! Y a pas de honte! Au contraire! Quel engin! Tu te branles déjà sûrement, petit coquin? Mais j'peux pas te laisser comme ça, ça doit te faire mal, tellement elle est dure! Je dois te soulager». Sa grosse main calleuse a commencé à branler ma jeune et très vigoureuse bite bien droite. Il la fixait, admiratif, en soufflant fort Il faisait bien coulisser le gland et la peau, en un va-et-vient solide. A un moment, il a embrassé le bout du gland et l'a léché. «Elle sent bon, quel trésor! Tu sens le bon jus qui monte? Montre-moi comment tu gicles fort! Waouh. Eh beh...». Il l'essuie bien avec un mouchoir. Mais je n'arrive pas à débander, la bite tétanisée. Il rigole «Elle veut le 2ème service, la coquine! Mets toi donc debout». Lui, assis, la bite bien sous ses yeux. Il l'agrippe solidement, la met perpendiculaire à moi. Il la lèche depuis sa base, la langue remonte jusqu'à sur le gland et tourne dessus, pendant que la grosse main la branle doucement. «Elle est bonne, mmmhhh. Je sens le jus qui monte encore». Elle gicle à nouveau. Il continue de lécher. Cette fois-ci, il la nettoie avec la langue. Je manque de tomber, tellement je jouis fort. Il rigole. «T'y prends goût, dis-donc!».
Après, il me fait des tartines beurrées avec du saucisson, et me donne un verre d'eau. Lui, il boit un coup de rouge. «Tiens, je te donne une pièce de 5 francs (1964), mais promets-moi de revenir demain et de ne parler à personne de notre secret». Je promets. «Tu sais, je suis vieux, je ne bande plus. Alors, ça me console de m'occuper d'une belle et jeune bite bien vigoureuse. T'auras 5 francs à chaque fois. Je te gâte. Le cousin toujours malade, j'y suis retourné tous les jours de la semaine, en vélo. J'arrive en sueur. La douche, Il me savonne, insiste sur la bite, qui bande fort. Il la branle sous l'eau, assis sur un tabouret. Elle crache vite et fort. Je ne débande pas. «Va t'allonger au canapé». 2ème service! Très longues branlées et lèches appliquées.
Vacances finies, retour Paris Je me branle tous les jours, souvenirs en tête!
10 ans après, représentant, de passage dans l'Orne, un détour par le hameau. Il est sur le banc, dehors. Il a vieilli. J'ai changé. Je me situe. Il me remet. Son visage s'éclaire. «Je peux prendre une douche?». Il rit. «Oh, que oui!». Il me regarde tout nu, sous l'eau. «T'as bien changé!». Je bande. «Elle, elle a pas changé!». Vigoureuse branlée. Je gicle. «2ème service!». Il me gâte encore longuement sur le canapé. «T'as beaucoup plus de jus qu'avant! Toujours aussi bon...».
On boit un coup de rouge, on trinque. «Tu vois, maintenant, je tremble». «Tu sais Papi, moi, ça 'arrangerait plutôt, que tu trembles». On rit. En partant, je lui donne 35 francs. «Tiens, papi, 7 fois 5 francs, tu te paieras une bonne bouteille et tu la boiras à ma santé!.


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