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Place des Vosges

Ecrit par Fab75
Parue le 20 mars 2008
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5080 fois | Cette histoire erotique a une note de : 12.5/20

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C'est l'histoire d'un homme, c'est l'histoire d'une femme ...



On est le 22 juin 2007, le lendemain de la fête de la musique, c'est l'été à Paris, il fait lourd, une nuit d'orage. Les rues sont désertes.



Un homme se prépare, il enfile un pantalon noir en tissu léger, un t shirt gris clair et une veste en jeans. La lumière est tamisée, les fenêtres ouvertes, dehors le bruit sourd de la ville qui dort.



Une femme est dans un taxi, elle est vêtue d'une petite robe d'été légère, elle ne porte rien en dessous.



Il est 3h30 du matin. Elle ne rentre pas chez elle. Elle a un rendez vous dans 5 minutes, elle est inquiète, mais ça roule bien elle y sera. Ca la rassure et ça l'angoisse en même temps. Elle n'a jamais vu cet homme, sauf sur internet, quelques photos. Il lui plaît bien mais quand même c'est un peu juste, elle n'est pas certaine qu'il lui plaira.



Elle se demande comment elle en est arrivée là. Flashback.



Pièce ensoleillée de lumière, elle est là, assise devant son PC. Elle tapote fiévreusement avec un mystérieux interlocuteur. Sur l'écran de tes pensées les deux apparaissent, l'homme qui s'habillait, c'est lui, ils sont en plein dialogue. Leur histoire à commencé comme des millions d'autres. Ils se sont croisés sur un site de rencontres par internet.



Ils ont joué, beaucoup, les deux sont très cérébraux. Elle lui demandait de lui écrire des histoires érotiques, il les lui a écrites. Elle a beaucoup frissonné et sa petite chatte aérée s'humidifiait souvent à la lecture de ces histoires débridées. Elle ne lui en disait rien mais après les avoir lues, elle allait souvent se caresser en imaginant que c'était elle l'héroïne de ces histoires ...



Elle aimait écarter ses jambes de manière complètement indécente, elle mimait cette saillie de son esprit, elle était allongée sur le dos, les jambes ouvertes, écartées, elle se caressait délicatement le corps, passait ses mains sur ses seins, et descendait masser son clitoris tout émoustillé, elle se pinçait les lèvres et soulevait sa poitrine, elle montait ses jambes autour des épaules de son amant imaginaire qui ainsi, pouvait mieux s'enfoncer dans sa chatte maintenant trempée d'excitation. Elle se caressait ainsi jusqu'à l'orgasme.



Elle avait fini par craquer, elle voulait être celle qui s'abandonne, qui se fait prendre comme une femme qu'elle est et qui aime sentir une queue bien dure lui donner du plaisir.



Elle voulait le rencontrer, elle voulait réaliser ce fantasme qu'elle avait aimé.



Ils avaient rendez vous Place des Vosges. A coté de la maison de Victor HUgo, sous les arcades faiblement éclairées ou l'on voyait perler de fines gouttes de pluie qui descendaient du ciel avec paresse pour donner un peu d'air à la ville engourdie de moiteur.



Comme la chatte de notre héroïne qui était toute heureuse de sortir ainsi à l'air libre ou presque, même pas de micro ficelle pour la brider un tant soit peu. Le pied !



Notre homme était là, fidèle au rendez vous et ponctuel, lui aussi était un peu angoissé, c'est bien sympa d'écrire, mais faire c'est autre chose. Ceci dit, il était là quand même et avait furieusement envie de voir la belle se pointer ainsi qu'il le lui avait demandé.



Il entendit le bruit de ses pas légers, il se retourna, elle était là, à quelques mètres de lui, la lumière diffuse de la nuit et des réverbères éclairait faiblement leurs visages souriants mais un tantinet crispés tout de même.



La voix de l'homme claqua dans la nuit avec douceur. "Approche". Elle le regardait comme hypnotisée, de nombreuses pensées s'entrechoquaient dans son cerveau, si elle avançait elle se perdait, elle avait peur. Il la regardait en souriant, il était d'expression tranquille, sereine bien que coquine, son oeil était pétillant de malice, elle lui sourit en réponse, elle avait moins peur du coup.



Elle s'approcha, elle fit deux pas, il ne bougeait pas. Elle avança encore, il souriant toujours sans bouger d'un pouce. Elle était proche de lui maintenant, à deux pas. Elle ne bougeait plus. Elle ne pouvait plus.



IL fit un pas et se posa devant elle, leurs visages n'étaient séparés que par quelques centimètres, elle le sentait, il la humait ...



Leurs regards étaient pleins d'une densité inhabituelle, ils n'avaient plus parlé depuis quelques minutes déjà, ils se parlaient avec les yeux maintenant. Il posa doucement sa main sur sa hanche, elle eut immédiatement un frisson qui lui parcourût l'échine.



Il remontait dans son dos, avec douceur, et la pressait imperceptiblement contre lui, son autre main vint flatter son sein droit, il le soupesa délicatement et il épousait le creux de sa main, il tira délicatement sur la pointe dardée de plaisir qu'il sentait pointer à travers le tissu.



Il la regarda d'un oeil dans lequel passa une lueur qui fit comprendre à notre héroïne qu'il s'était rendu compte qu'elle était déjà très excitée ...elle rougit de honte mais aussi de plaisir ...



Sans dire un mot, il la plaqua délicatement contre une des arcades ... sa main jouait toujours avec les seins qu'il s'amusait à exciter encore plus en les faisant tourner dans ses doigts et en les tirant avec agileté ... son autre main lui caressait les fesses, il les écartait et il sentait son souffle s'accelerer, il commençait à descendre entre ses fesses et lui emprisonna fermement un sein dans l'autre main après l'avoir caressé avec douceur ... elle gémit de plaisir ...



Il retira alors sa main de ses fesses et vint la poser contre sa cuisse, à l'embrasure de son ventre ... elle était toute mouillée déjà ... il la caressa à travers le tissu et le sentit s'humidifier en peu de temps, elle mouillait terriblement et son souffle était court, elle perdait la tête mais elle avait trop envie de s'abandonner, son ventre était en feu, maintenant elle voulait se faire prendre, elle voulait sentir une queue ferme la besogner solidement ... elle ne pouvait plus penser à autre chose qu'à cette sensation divine qu'elle attendait et qui soulagerait la brûlure de son ventre.



Il lui sussura à l'oreille qu'il aimait la sentir trempée, qu'il allait bien la doigter avant de la prendre ici, adossée aux arcades, pendant ce temps il la caressait et elle gémissait, les jambes ouvertes, se mordait les lèvres de plaisir, ses doigts massaient son clito et allaient en elle, passaient de l'un à l'autre ...



C'était bon, elle posa sa main sur l'entrejambe de notre protagoniste masculin et s'aperçut que sa queue était raide de désir également, elle mit sa langue dans son oreille pendant qu'elle commençait à branler sa queue à travers le pantalon noir en tissu léger tendu ...



Un rire résonna dans la nuit, un rire de femme, une voix d'homme l'accompagnait et leurs pas se rapprochaient. L'oreille aux aguets bien que tout à leurs plaisirs, nos héros se rajustèrent en vitesse et s'embrassèrent simplement alors que le couple passait sans rien remarquer que deux amoureux qu'ils n'étaient pas exactement.



Sitôt les pas éloignés ils reprirent leur balai, il passa sa main sous sa robe et la remonta à moitié, découvrant ses cuisses et son sexe offert sans dessous, il était déjà innondé de son plaisir et de son excitation, des caresses qu'il lui avait prodigué.



Elle branlait sa queue de plus belle en lui tirant aussi suri les têton qu'il avait de très sensibles, en peu de temps il banda fortement ... il la retourna délicatement et la pris par derrière après les avoir protégés ... cela ne l'empêchait de sentir son sexe chaud et coulant du plaisir qu'elle avait en elle de se faire prendre ainsi dans la rue alors que la ville dormait maintenant, il était quatre heures du matin.



Elle était appuyée aux murs épais des arcades, les bras tendus, ses fesses relevées pour mieux qu'il la prenne, pour qu'il aille plus loin dans sa chatte en feu, c'était bon, elle aimait ça, elle en voulait encore, il était comme un fou, accroché à ses hanches puis à ses seins qu'il enfermait dans la paume de ses mains dans une étreinte quasi animale ...



Son sexe était gonflé et tendu à l'extrême, elle sentait ses hanches se déchaîner et elle aimait ça, elle sentait ses couilles rebondir sur ses fesses tendues et ça l'excitait aussi, elle avait perdu la notion du monde qui l'entoure, elle ne vibrait plus qu'au rythme de ses ondulations et de cette queue qui rentrait en elle et la clouait aux arcades auxquelles elle s'appuyait toujours ... elle faiblissait tant elle mouillait, les frissons venaient de partout, elle sentait ses lèvres douces parcourir sa nuque et ses baisers légers qui dansaient le long de ses joues empourprées de plaisir ...



Il lui sussura au creux de l'oreille qu'il aimait le plaisir qu'elle lui donnait, ce faisant il pris délicatement ses cheveux dans ses mains et les tira en arrière, lui faisant cambrer le dos et les fesses, elle s'offrit autant qu'elle put à la demande de son amant qui brulait de plaisir en elle.



On n'entendait plus que leurs souffles respectifs, le plaisir montait et ils étaient en phase, il sentait le bassin de cette femme offerte s'emboutir encore plus violemment aller au devant de ses coups de boutoir, il accéléra le rythme, le plaisir montait en lui ... elle le sentait, il la comblait encore plus, elle non plus n'en pouvait plus, elle lui dit tout bas dans un souffle, " fais moi jouir, maintenant", il se déchaîna et emporta la belle dans un orgasme explosif et unique, elle était toute chancelante, les jambes tremblantes, sa peau était parcourue d'ondes, de frissons ... il était tout essoufflé encore, reprenait sa respiration, l'air lui battait les tempes tant son plaisir avait été fort.



Ils se regardaient souriants, heureux d'avoir eu le courage et la force de leurs envies, de leurs fantasmes, ils marchèrent jusqu'a la place de la bastille, devisant agréablement de choses légères, il la conduisit à un taxi, la belle monta après un dernier baiser pudique sur la joue, mais fort sympathique, il la remerçia de son courage et lui souhaita le meilleur.



La voiture s'éloigna petit à petit pendant qu'il regardait le soleil commencer à déchirer les nuages pour annoncer en chantant la naissance du jour à venir, c'était le petit matin, il faisait bon vivre, il était heureux, elle avait la tête pleine de cette rencontre et lui aussi, ils firent de beaux rêves et se réveillèrent heureux de cette belle aventure.



THE END.



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