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Pour me venger, je vais baiser ma belle-mère

Ecrit par mlkjhg39
Parue le 18 08 2016
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 7772 fois | Cette histoire erotique a une note de : 6/20

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Je vais baiser ma belle-mère pour me venger.


Première partie.

Je m’appelle Claude. Je viens d’apprendre de Julie, sa meilleure amie, que ma belle-mère lui avait demandé de me dépuceler et qu’elle en a même profité un jour que je portais une cagoule pour s’encanailler sur ma bite à mon insu.

Je suis sidéré de ce qu’elle a osé faire et surtout de la voir tous les jours se comporter comme si de rien n’était à la maison. J’ai décidé de me venger.

J’ai eu l’occasion de la provoquer une première fois lors d'un voyage ou nous partagions la même chambre d'hôtel. Au moment de prendre ma douche, pour voir sa réaction, j’avais volontairement laissé la porte entrouverte.
Elle en profita pour se changer et je la vis changer de sous-vêtements.
Mon état d’esprit et la vision de son corps un instant dénudé firent leurs effets et un début d’érection soudain fit gonfler ma verge.
Elle regarda enfin dans ma direction constatant seulement la vision de moi me savonnant, la queue déjà enflée.
Je continuai à me savonner l’observant d’un œil discret, sous ses regards, ma bite continuant son développement.
Sans aucune gêne, elle profita du spectacle restant bien dans l’axe de la porte.
J’avais auparavant retiré les serviettes de bain et lui demandai de m’en apporter une.
Sans être plus mal à l'aise que ça de voir son fils la queue bien raide à l’horizontale, elle me tendit la serviette me complimentant sur mon organe osant même préciser:
- Tu sais, c’est normal à ton âge d’éprouver du désir et je ne peux que te complimenter, tu as une sacrée gaule, Claude.
Je fis semblant d’être gêné en sortant de la douche, le tissu éponge n’arrivant pas à cacher mon érection.


Annabelle.

Depuis l’aventure que j’ai eue avec mon beau-fils sans qu’il ne le sache, (voir épisodes précédents), je repense souvent à son corps et surtout à son sexe incroyable avec nostalgie.
Je meurs d’envie de connaître à nouveau l’extase en chevauchant comme une folle son rostre infatigable.
Lors d’un voyage, j’ai enfin eu l’occasion de revoir son engin pendant qu’il prenait sa douche. La porte, sûrement mal fermée baillait et j'ai pu admirer le corps de mon fils, son sexe en pleine érection.
Je suis restée surprise mais aussi excitée par cette vision qui me rappelle de si bons souvenirs. J’ai dû lui amener une serviette et me suis trouvé nez-à nez avec cette excroissance si généreuse chez lui, ne pouvant détacher mon regard de sa queue jusqu’à ce qu’il passe la serviette autour de sa taille, elle est repoussée sur le devant par la vitalité de son organe.

Une fois habillé et prêt à partir, il me demanda soudain
- Tu as aimé me voir tout à l'heure ?
Je suis tellement surprise par sa question que je ne trouve qu’à répondre :
-Oui
Pour ceux qui n’auraient pas lu les épisodes précédents, Claude a été bien doté par la nature, trop bien même (Julie m’a dit un jour qu’elle avait mesuré sa verge, un bon 26 cm et d’une épaisseur extra-large, de la grosseur d’un poignet féminin).


Claude

La seconde fois que je l’ai provoqué, j’étais entré dans la salle de bain dont elle verrouille rarement la porte, complètement nu la découvrant en train de se changer pour sortir, elle était en train de mettre un soutif à balconnet qui comprimait deux magnifiques obus bien ronds (dans les 95D ).
Ses formes magnifiques, ses courbes avantageuses déclenchèrent la réaction attendue.
Ma belle-mère en revanche, fit semblant de ne pas remarquer mon érection puissante...
Bafouillant de vagues excuses, je m'empressais de quitter la salle de bain.


La 3ème fois par une belle journée d’été, je décidai de rester nu dans ma chambre attendant sa venue quand elle ne me verrait pas descendre.
Quand elle est entrée, elle est restée un peu surprise sur le pas de la porte.
Je voyais ses yeux qui faisaient des allers-retours de mon engin à mon visage.
Elle m’avoua enfin :
- Claude, j’ai beau être ta belle-mère, je suis aussi une femme et j’éprouve du plaisir à regarder un beau jeune homme, mais ne me tente pas en étant nu devant moi, ça devient une habitude.
- Oui mais j’aime être nu et en n’éprouve aucune honte Annabelle.
- Je suis du même avis que toi mais tu es mon beau-fils et ce n’est pas bien de m’exciter de la sorte, je ne suis pas de bois !
- Ok je vais essayer de faire attention à l’avenir.
- Merci mon chéri.

Dans mon bain, je me suis masturbé lentement, l’imaginant en train de m’encourager :
- (Branle ta queue, caresse-toi les testicules, jouis pour maman, lâche ton foutre !)
Dans un gros orgasme, je me suis vidé dans la baignoire en longs filament blanchâtres.

Le lendemain, je n’ai même pas eu le temps de me lever. Elle est venue dans ma chambre aux aurores me surprenant encore au lit avec la gaule matinale, la queue gonflée d’une érection au maximum de sa capacité.
Elle s’est approché du lit et a violemment retiré le drap en m’expliquant:
- Je ne pense plus qu’à toi, à ta formidable queue, tu m’as trop excitée ces derniers jours, je ne peux plus résister à l’envie d’en découvrir le goût, la force virile qui s’en dégage, pardonne-moi de ce que je vais faire mais il faut que je la touche, que je la caresse !

Je fais l’ingénu :
- Mère, (c’est comme ça que je l’appelle) ce n’est pas de ma faute si j’ai une érection le matin comme tous les hommes, tu n’as qu’a pas y faire attention !
- Tu sais, une femme de mon âge n’a plus souvent l’occasion de se trouver en galante compagnie et encore moins d’être avec un jeune homme aussi bien équipé que toi qui bande comme un dieu !
- Tu es pourtant encore belle et attirante, je suis sûr que tu plais encore aux hommes.
- Je te remercie, tu es un amour mais ce que je vais te demander est horrible, tu veux bien te branler pour moi?
-Mais oui Annabelle, je ne veux pas te priver de ce petit plaisir.

Je commence donc à me branler, détaillant son corps caché sous son peignoir, observant ses splendides mamelles bien rebondies et le haut de ses cuisses. Je fais durer le plaisir, saisissant ma hampe à deux mains qui montent et descendent avec lenteur.
Elle a posé une jambe sur le bord du lit et son peignoir a baillé me laissant apercevoir sa chatte entourée de poils pubiens comme une île au milieu de l’océan.
Elle s’est encore rapprochée de moi voyant aux crispations de mon visage que je n’en ai plus pour longtemps.
Elle se penche même quand elle voit poindre mon pré-sperme et ne pouvant plus me retenir, j’arrose littéralement son visage et sa robe de chambre de ma semence.
Elle me regarde d’un regard suppliant puis se penche et prend ma pine en bouche, la nettoyant amoureusement d’une dernière pulsion de sperme qui s’écoule le long de la hampe avant de me dire :
- La prochaine fois, je veux goûter à ta liqueur.

Je viens de jouir mais ma verge ne veux pas baisser la tête car sa bouche a pris la relève de mes mains et plonge le plus loin possible sur mon gourdin. Annabelle a beau insister mais ne peut en absorber que la moitié.
Elle se redresse essayant de reprendre tant bien que mal son souffle, son peignoir baille de plus en plus, ne cachant plus grand-chose, je vois ses seins aux bouts durs et dressés.

Je veux voir comment elle va réagir avant que l’on aille encore plus loin, je vais lui mentir et elle le saura tout de suite puisque ce n’est pas la première fois qu’elle va se faire prendre par moi bien que la première fois je n’en étais pas conscient.

- Je suis puceau tu sais, je n'ai jamais fais l'amour avec une femme. Tu veux être mon initiatrice?


Annabelle.

Je suis abasourdie devant sa hardiesse et sa roublardise, mais cette fois j'ai passé le point de non-retour. Ma tête m’ordonne de cesser mais mon ventre est le plus fort.
Claude me ment mais ne sait pas que je suis au courant de ses frasques dont je suis l’instigatrice, avec ma meilleure amie, (si vous voulez en savoir plus, il va falloir lire les épisodes précédents) et encore moins que je me suis déjà enfilé son gourdin par tous les trous possibles.
Il continue ses tentatives d’approche:
- A ce que je peux constater, tu as encore de jolis seins bien fermes, et j'entraperçois une belle grosse chatte juteuse.
Je suis soufflée de la façon crue et directe de ses propos.

Il vient de poser son bras sur mon épaule et sa main descend dans l’échancrure de la robe de chambre pendant que son autre main en dénoue la ceinture. Il caresse mes seins, jouant avec mes tétons que je sens durcir et s’allonger encore.
Je ne bouge plus, vivant pleinement l’instant, Claude est en train de me caresser avec amour la poitrine, une main sur chaque sein, cette situation que j’imaginais dans mes fantasmes depuis que j’ai fauté avec lui la première fois est enfin devenue réelle.

Mon subconscient me dit que c’est mal mais les instincts millénaires de femelle en chaleur devant un mâle en rut me forcent à faire cette chose inavouable mais tellement excitante.

Je reste passive, lui laissant prendre la décision pour moi.
Sa main droite glisse de mon sein et descend de plus en plus bas dans une caresse de velours pour finir entre mes cuisses. Ses doigts frottent sur ma vulve, l’un d’entre eux s’égare entre mes grandes lèvres.
- Mais t’es toute mouillée, c’est normal ?
-C’est toi qui me fait cet effet, les femmes mouillent avant l’acte sinon ce serait trop douloureux, surtout quand l’amant a une grosse verge.
Il m’embrasse, sa langue lèche mes lèvres, je réponds à son baiser, nos langues s’unissent puis reprenant mes esprits, je le repousse en l’implorant:
- Arrête maintenant, ce qu’on fait est mal!
Il me toise, sa main toujours sur ma chatte. Je m’emporte sachant que je suis sur le point de m’abandonner :
- Ne vas-pas plus loin, je t’en supplie, j’ai trop honte !
Il me rétorque :
- Je vois bien que tu en as envie autant que moi, tes seins, ta chatte te trahissent.

L’envie de sexe que je ressens brise mes derniers remords, je n’ai plus la volonté de revenir en arrière et me laisse guider par les attentes de Claude.
Je prends sa bite entre mes doigts et la masturbe lentement. Il bande si dur qu’ils n’en font pas le tour, quel gourdin !
Mes deux mains branlent son manche en mouvements circulaires mais elles ne suffisent pas, il y a encore de la place pour ma bouche.
Je lui avoue :
- Depuis que je t’ai vu nu, je ne rêve que d’avoir ta grosse queue entre mes mains.
- Elle bande pour toi, fais-en bonne usage !
- Tu aimes ce que je te fais?
- Oh oui… Continue… Lèche-moi le gland… Suce-moi !
Je gobe sa queue pour une longue et douce fellation pendant que mes mains masturbent sa formidable hampe, lui caressant les couilles en même temps.


Claude.

Elle maintient ma verge entre ses doigts serrés et se met à aspirer mon gland dans sa bouche ouverte au maximum, elle suce le bout de ma verge, serrant ses lèvres uniquement sous la couronne du gland, quelle intense ivresse érotique.
Je retrouve les sensations que j’avais déjà ressenties avec cette inconnue (qui s’est révélé être elle), sa façon très reconnaissable de triturer ma queue de ses 2 mains en travaillant de la bouche et des dents sur mon gland me rappelle de si bons souvenirs, je lui caresse les fesses et essaie de l’allonger pour la prendre.
Mais elle refuse tout net en me précisant :
- Non Claude ! Je veux bien que tu me caresses et que tu jouisses dans ma bouche mais je n’irai pas plus loin avec toi, il me reste un soupçon de dignité quand même !

Et elle fait l’effarouchée en plus, la sainte-nitouche ! Je me délecte de ses mensonges sachant bien qu’elle n’attend que ça !
- Ah tu veux mon jus dans ta bouche? Qu’à cela ne tienne, tu vas être servie! Mets-toi à genoux et viens me sucer !
Je replace ma pine dans sa bouche et la laisse à l’œuvre quelques minutes en l’invectivant :
- Tu aimes ça salope hein ?! Elle est bonne la bite à ton bébé ? Bouffe ma queue putain, avale plus loin !
Elle ne peut plus répondre car je la lime jusqu’à l’étouffement mais je suis sûr qu’elle prend son pied. Son massage terriblement voluptueux devient très vite insupportable, mon bas-ventre se contracte annonciateur de la délivrance proche. De temps à autre, elle frappe de sa langue l'extrémité de mon gland accentuant l'exacerbation de mon bourgeon de chair.

Quand je sens venir pour la deuxième fois mon plaisir, je donne encore quelques coups de reins et bloque sa tête pour qu’elle ne renâcle pas au fond de sa gorge et ouvre l’écluse, ma lave brûlante lui inonde la gorge allant directement dans son estomac, elle arrive quand-même à repousser sa tête pour recevoir le reste dans sa bouche, elle est fière ensuite de me montrer le liquide chaud et visqueux qui remplit sa bouche avant de déglutir, elle se délecte on dirait.

Fin de la première partie.



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