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Un dessert pour Chantal

Ecrit par cigalou
Parue le 19 09 2010
Il y a 4 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 4621 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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Au petit matin, te voilà réveillée et à nouveau mise en appétit par ma présence, nu à tes côtés. Tu as faim et ton cul en feu me réclame, il n’a pas eu son compte et souhaite follement pouvoir profiter à son tour de cette petite bite agile que toutes tes lèvres ont gouté, de ta bouche affamée à ton minou inondé. Me voyant dormir comme un bébé, tu décides de me réveiller en douceur.

Je suis allongé sur le ventre, mon petit cul rond offert à ta vue. Tu étends ta main sur mon corps et la promène avec tendresse sur mon dos et sur mes deux demi lunes. Plongé dans mes rêves je ressens de délicieuses sensations m’envahir et parcourir mon échine. Tes voluptueuses caresses font frissonner tout mon corps et je réalise soudain que je suis le jouet érotique d’une femme superbe et salope à la fois. Tu me rends fou. Je recommence à avoir envie de toi et de ton corps de rêve fait pour l’amour ! J’ouvre alors les yeux et me tourne vers toi, tu m’embrasses alors avec gourmandise. Tes baisers sont doux et sucrés et ta langue si délicieuse. Tes mains se font pressentes sur mon torse puis descendent sur mon entrecuisse. Tu me branles alors avec délicatesse tandis que mon arme se recharge prête à te prendre à nouveau par tous les trous.

Allongée sur le dos tu m’attires sur toi, car tu veux à nouveau que je t’habite. Me voilà enserré entre tes jambes, prisonnier de tes cuisses. Tu m’ouvres en grand à nouveau la porte de ton trésor le plus secret. Tes mains collées sur mes fesses, m’orientent dans la bonne direction…

Mon pénis gonflé de désir s’introduit alors à nouveau dans ton sexe mouillé par le désir. Toi et moi, nous ne formons cette fois encore plus qu’un …

Pendant de longues minutes, je reste enfoncé en toi, tout en cherchant à te donner le maximum de plaisir. Est-ce que tu aimes ça ? Tu me sens de plus en plus fort et de plus en plus dur en toi ? La pression de ton vagin sur ma queue me procure un bien-être immense. Le plaisir va m’envahir mais c’est encore trop tôt car je te dois une sodomie qui sera pour moi mémorable : une première ! Je me retire alors, tu te retournes et te positionne à quatre pattes et me montre ce cul d’enfer qui sera désormais l’objet de toutes mes attentions : « prends moi le fion mon cigalou chéri ! Je veux sentir ta belle bite au fond de mon anus en fusion ! »

J’écarte délicatement tes deux globes et avec mon doigt vient caresser ton petit trou d’amour. Puis je lèche avec envie ta raie et j’en profite pour bien l’humidifier en prévision de la suite….de la même manière je passe un doigt dans ta chatte marécageuse et vient ensuite lubrifier ton anus avec tes sécrétions intimes. Te voilà prête à m’accueillir, les mains sur tes fesses que j’écarte délicatement, je présente alors mon gland luisant de désir à l’entrée de ton petit orifice d’amour. Ce dernier étant bien lubrifié, je m’introduis alors délicatement, je passe sans trop de difficulté ton petit anneau serré et m’enfonce comme dans du beurre alors au plus profond de ton délicieux fondement. Le passage est beaucoup plus étroit que le précédent mais les sensations que je découvre sont géniales.
- Tu me sens ma belle salope ?
- Oh oui mon cigalou adorée, continues comme cela ! Tu me remplis bien ! Fais-moi jouir, je te veux au plus profond de mon cul !

Les mains collées sur tes hanches, je coulisse alors en toi et en profite pour caresser tes fesses adorables. Je passe ensuite une main sur tes seins qui se dresse de plaisir, je titille leurs extrémités durcies par mes caresses et mes mouvements dans ton rectum. Mon autre main se glisse alors sur ton bas ventre à la recherche de ton clito que je n’ai nullement oublié. Je le triture avec délicatesse tout en continuant de te ramoner le fion. J’entre et je sors de ton petit œillet et à chaque fois je m’enfonce plus profondément en toi. Je sens que tu adores cela. Ton corps en frissonne de plaisir…Je ressens aussi les contractions de ton rectum sur ma bite perforeuse et c’est tout bonnement divin !

Je poursuis ainsi mes ardeurs par devant sur tes seins et ton bouton d’amour et par derrière dans ton cul en ébullition. Ton souffle se fait de plus en plus court et haletant. Je t’entends gémir à chacun de mes mouvements. Plus je viens en toi, et plus tu me désires. Plus je me retire et plus tu me retiens en serrant les fesses et en redemandes. Tel un ramoneur lubrique, je mets de plus en plus de cœur à l’ouvrage, et prends un plaisir inouï à astiquer ta cheminée. Mon pénis est aussi dur que de la pierre. Est-ce que tu le sens mon amour ? Oui et tu aimes ça ! Tu veux que j’aille plus vite encore ? Mais si je continue dans cette voie, je vais te faire perdre la tête ! Tu n’en as cure car ton plaisir croit à chaque coup de rein. Pour être honnête, je profite aussi pleinement de cet instant qui me comble comme jamais auparavant. Nos cœurs s’emballent et nos esprits s’élèvent dans les airs voguant vers ce que l’on appelle le 7eme ciel.

Au bout de longues minutes ainsi imbriqués, tes gémissements se font de plus en plus forts en écho à mes assauts et à mes caresses. C’est le signe d’une explosion prochaine… J’en profite alors pour murmurer à tes oreilles des mots d’amour d’une indécence extrême… « Vas-y jouis ma belle salope, fais-toi du bien avec ma bite ! » Ceci provoque en toi une vague de plaisir qui submerge tout ton corps dans un ultime hurlement de satisfaction. Tu remues dans tous les sens. Me voilà, tel un cavalier dans un rodéo endiablé, à la limite de me faire désarçonner de ma sublime monture ; ta jouissance me procure un tel bonheur que je ne peux plus me retenir. Dans un dernier cri de plaisir, à mon tour j’explose en toi, profitant des derniers remous de ton extase. Nos corps sont brulants et se procurent ainsi un plaisir mutuel extrême et simultané qui se termine en apothéose dans un fabuleux feu d’artifice …..

Je me retire alors et tu m’enlèves mon petit capuchon, que tu vides dans ta bouche gourmande. Te délectant jusqu’au bout de ma dernière goutte de sperme, tu viens me nettoyer la queue. Mes couilles sont vides, car en une nuit tu m’as pompé par trois fois tout mon nectar. La journée a bien commencé. Je suis encore tout retourné par cette nouvelle expérience que tu viens de me faire découvrir.

Après une douche prise en commun, au cours de laquelle nous nous sommes mutuellement savonnés et caressés (je rêve de te faire l’amour un jour dans cet endroit…). Je prends avec regrets congés de toi. J’espère que tu auras envie de me revoir, en tout cas pour ma part, cette nuit restera à jamais gravée dans ma mémoire. Je sens cependant que tu as encore plein de choses coquines à m’apprendre. Qu’as-tu envie de faire avec mon corps ma belle salope ? Quels sont tes fantasmes ?

A bientôt.



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