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Pour mon service militaire j'ai été envoyé en Nouvelle Calédonie et j'en étais très heureux. Le soleil et la mer, ce n'est pas une légende, c'est vraiment le paradis. Il y avait sur la plage un boîte qui s'appelait le Tahiti-club et je m'y rendait régulièrement.
Un soir alors que j'étais venu draguer les filles j'ai rencontré au bar un martiniquais, qui comme moi venait pour effectuer son service. Nous avons sympathisé et nous avons bu plusieurs ponchs. Plus la soirée se déroulait, plus je le trouvais beau. Il était élancé, fin, avait un sourire d'enfer, le super beau mec. Pour nous débarrassée des effluves d'alcool, il m'a proposé de sortir sur la plage de la baie des citrons. Une immense plage au sable fin ou après avoir marché assez loin pour nous éloigner nous nous sommes étendus pas loin du rivage où l'on entendait le clapotis des vagues. Nous avons une nouvelle fois refait le monde et Benjamin me proposa d'aller nous baigner. Sans attendre ma réponse, il balança tous ses vêtements sur la plage et je pus observer son plastique. C'était un athlète musclé avec des super abdominaux, de beaux pectoraux et une super queue. Avant d'aller plonger sa tête dans l'océan il s'exhibait devant moi et son sexe gigantesque ballottait dans tous les sens et j'en étais médusé.
- Allez, petit blanc, déshabilles-toi et n'aies pas peur de montrer ta petite zézette...
Provoqué, je me mis à poil et il m'observa en rigolant : - elle est petite mais elle est adorable, allez viens on y va !
Nous avons pris notre élan et nous avons couru jusqu'à la mer. L'eau nous a paru froide au début mais très vite nous a remis en forme. Nous avons joué en nous retrouvant au fond qu'une clarté nous laissait apercevoir et épuisé nous sommes sortis ensemble de l'eau. Le corps magnifique de Benjamin se dessinait merveilleusement bien et il s'allongea sur le sable blanc. Je m'étendais à quelques centimètres de lui sur le ventre pour ne pas exhiber mon petit membre.
C'est lui qui s'est rapproché de moi et il a commencé à me caresser les épaules le dos et mes fesses. Je me suis mis à bander terriblement fort ce qui fait que quand il m'a retourné mon sexe avait atteint son apogée.
De sa main il me frotta le ventre puis le sexe pour écarter les grains de sable collés sur la peau. Il sortit un mouchoir de la poche de son jean' à proximité et doucement finit de nettoyer ma tige tendue. Pendant cette opération j'avais tendu la main et caressait son sexe en plein développement long et épais. très vite nous nous sommes retrouvés tête bêche et lentement, nos bouches se sont retrouvées devant le sexe de l'autre. J'ai commencé par lancer quelques coups de langue sur le bout de son gland et il a fait de même. Puis j'ai gobé tout son énorme gland qui me remplissait la bouche et j'ai commencé à le sucer. C'était ma première pipe mais tout de suite j'y ait trouvé du plaisir. il glissait bien entre mes lèvres enduites de salive et lui avec sa grande bouche avait pris tout mon sexe et le suçait comme une dragée. Il avait une certaine expérience et je le ressentais bien. Il allait et venait, titillait de la pointe de sa langue pour reprendre toute ma tige dans la bouche. Mais quel bon suceur. Jamais une fille ne m'avait sucé aussi bien. Il s'appliquait aspirant, léchant, caressant pour prolonger sa lèche jusqu'à mon anus sensible.
La pointe de sa langue me fouillait et s'enfonçait peu à peu de plus en plus profond. Bien enfoncé, il décrivait des cercles que très vite j'adoptais avec plaisir.
- Viens petit blanc, tu es prêt je vais t'enculer.
- Fais attention benjamin je suis puceau et j'ai peur que tu me fasses mal.
- Fais moi confiance petit blanc j'en ai dépucelé d'autres.
Avant de poser son sexe au seuil de mon anus, il ramena son prépuce sur son gland et il y mis beaucoup de salive. Quand il s'apprêta à me pénétrer son gland entra sans peine. J'eus un peu mal mais c'était supportable. Lentement il s'enfonça en moi centimètre par centimètre en me rassurant. A chaque avancée j'avais mal mais le douleur en une minute disparaissait. Il prenait tout son temps et moi je bombais mon arrière-train comme il me le demandait. Impensablement, il me mis tout dans le ventre et comme je ne disais rien il commença à limer. J'avais un mélange de douleur et de plaisir mélangés. Je sentais bien glisser dans mes tripes son engin magnifique et je sentais également ses boules me claquer les fesses. J'étais sa chose, sa femelle et il me possédait. la douleur se dissipa rapidement et mon plaisir au maximum grandit. je ne voulais plus qu'il s'arrête et qu'il me lime longtemps. Je lâchais malgré moi ds petits gémissements et l'encourageais à aller encore plus loin. Mais sa queue semblait enfler encore plus et avec un cri de bête il déchargea tout son foutre dans le ventre. Il resta sur moi comme ça un bon moment avant de se retirer lentement. J'étais épuisé mais heureux. Mon fond dilaté était en feu et je sentis que son jus s'écoulait. Que c'était bon !
Il me retourna et reprit mon sexe dans sa bouche et me pompa magnifiquement bien jusqu'à ce que je décharge tout mon foutre entre ses lèvres épaisses. Il avala chaque goutte avec délectation.
Nous étions vidés et il me promit de m'apprendre à le sodomiser plus tard, un autre jour.
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Ecrit par Anatole
Parue le 04 mars 2017
