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florence 3

Ecrit par Emile hubert
Parue le 16 juillet 2007
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 16830 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15.6364/20

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Mardi, toute frétillante, j'allais à l'agence, comme il ne m'était pas facile de le faire avec mon mari j'emportais mon porte-jarretelles et mes bas et passais le tout dans les toilettes dès mon arrivée. Stéphanie remarqua immédiatement mon changement d'allure (j'étais bien arrangée et j'avais remis un soutient gorge à balconnet qui mettait de nouveau ma poitrine en valeur décidée que j'étais à plaire). En souriant elle me lança :


- "Oh oh ! On dirait qu'il y anguille sous roche !"

Je haussais les épaules pour ne pas avoir à répondre. Journée de travail, petits signes discrets avec marc. Jour de fermeture de Stéphanie, bof, boulot-maison-dodo.

Mercredi, MON jour de fermeture, j'aurais dût faire attention, dans la salle de bain, mon mari me dit :

- "Tu es bien jolie pour aller travailler"

Je jouais la carte enjôleuse et en riant lui répondit

- "Tu n'es pas content d'avoir une jolie femme ? " et je m'éclipsais

Agence, travail, clients, vers 10 heures, Marc :

- "Laurence, dites à Michèle de vous remplacer, j'ai un courrier à vous faire prendre en sténo"

Après avoir frappé j'entrais. Je vis immédiatement son œil allumé.
- "Asseyez-vous" dit-il à haute voix et il ajouta plus bas "Relève ta jupe complètement"

Estomaquée, j'obéis.

- "Enlèves ta culotte et écarte les jambes"

J'obéis encore, j'étais folle quelqu'un aurait pu entrer…Il dicta la lettre, me demanda ma culotte, et dis :

- "C'est ton jour de fermeture ce soir ! C'est bien ! Il faudra donc que tu fermes les portes et que tu ouvres les cuisses, penses-y, tu vas passer une bonne journée surtout cul-nu"


Effectivement je passais une bonne journée, plus elle s'avançait, plus j'avais l'impression de sentir mon vagin se tremper surtout qu'en plus c'était la première fois que je restais fesses nues pendant toute une journée. Tout cela fit qu'à l'heure de la fermeture j'avais le feu…disons…entre autre, aux joues. J'allais à toute vitesse dans le bureau de Marc pour l'informer que les portes étaient fermées.

- "Bien, alors.. Deuxième partie du programme maintenant, allez à poil !"

L'ordre avait claqué ! Le plus sensuellement possible, je retirais mon chemisier, puis fit glisser ma jupe, me penchant un peu en avant je fit saillir ma poitrine et dégrafais le soutien gorge. Je ne me reconnaissais pas… En porte jarretelle sur mon lieu de travail ! Mais je me sentais prête à toutes les folies. Comme il ne bougeait pas assis à son bureau, j'en fis le tour ondulant, et me baissant j'écartais ses jambes, massais sa braguette sous laquelle son membre gonflait, et je commençais à ouvrir son pantalon.

- "On croirait que tu en veux de la bite ce soir, dis-moi que tu vas me la sucer"

- "Oui, j'en veux…de…de la…bite, je vais te la sucer ta …grosse bite" et l'ayant mise à nu, je l'embouchais fiévreusement après m'être agenouillée.

Il me laissa faire un moment ou je mis toute ma ferveur à essayer de lui procurer le plus de plaisir possible, laissant courir mes lèvres le long de ce membre tendu, léchant voluptueusement le gland turgescent ou ses testicules gonflées, le tout accompagné d'une masturbation sensuelle. Je commençais à me rendre compte que, contre toute attente, j'adorais à présent le prendre ainsi dans ma bouche et le fait de savoir qu'il allait me l'inonder m'échauffais réellement.


- "Tu fais des progrès, tu fais ça bien, mais attends un peu tu vas me faire déjanter, relèves-toi"

J'obéis, il me fit pivoter, m'accouder à son bureau, me fit écarter les jambes et m'investit d'un seul coup. Quelle sensation ! Il m'avait littéralement rivé au bureau de son gros mandrin, de sa grosse bite, comme il voulait que je dise…J'étais remplie, et sous cet assaut je laissais échapper un jappement de plaisir qui déclencha chez mon amant une bordée de commentaire salace sur ma disponibilité. Il me lima véritablement et l'image de la secrétaire se faisant prendre dans cette posture par son patron me fit rapidement atteindre l'orgasme qui fut aussi puissant que ceux qu'ils me procuraient. Les contractions de mon vagin à ce moment eurent raison de sa résistance et en ahanant, je le sentis éjaculer longuement en moi. Il se retira, me prit dans ses bras pour m'embrasser passionnément, sa bouche prenant possession de la mienne et de ma langue que je lui offrais sans retenue. Il me poussa contre le rebord de son bureau et m'y fit allonger sur le dos. Et me demanda :


- "Ecartes les jambes, oui…c'est bien comme cela Florence, maintenant ouvre ta chatte en grand que je puisse l'admirer"

Et comme d'habitude, comme subjuguée j'obéis servilement à la demande qui me faisait prendre cette posture pour le moins impudique. Il s'assit sur son fauteuil et je vis avec ravissement son visage se rapprocher de mon entre-cuisse. Sa bouche se posa sur ma vulve et avec une adresse folle sa langue commença de m'explorer, me faisant gémir. Il m'ordonna de me maintenir ouverte et sa langue débusqua mon clitoris sur lequel il s'acharna en alternant des aspirations et des mouvements de langue virevoltants. Je ma laissais aller tant et si bien que je jouis en criant. Mon manque de retenue eu l'air de lui plaire énormément et il me fit relever pour m'embrasser à nouveau. Sa bouche avait un goût d'un cocktail étrange fait de salive, de mes sécrétions mêlées de son propre sperme qui avait ruisselé de mon vagin…Pas une seconde je ne songeais à interrompre ce baiser particulier. Il me prit la main et la posa sur sa verge qui avait retrouvé toute sa dureté en disant :


- "Allez, maintenant tu peux me sucer"

Docilement, je m'agenouillais pour recommencer mes activités buccales. Son membre, lui aussi, avait le goût de ces saveurs mélangées et loin de me dégoûter le souvenir de la pénétration à laquelle il m'avait soumise me fit redoubler d'ardeur. Je fis tant et si bien que ses bourses se relevèrent son sexe gonfla et…son foutre m'envahit la bouche, je déglutis rapidement et le repris en bouche désireuse d'extirper de cette…de ce…de cette queue que j'adorais jusqu'à la dernière goutte. Il trouva que "je suçais de mieux en mieux" et il m'encouragea à m'exercer sur mon mari, ajoutant "que je lui devais bien cela".


Pendant quelques temps, au moins une fois par semaine il me prenait dans l'agence, me faisant "visiter" chaque pièce et le lundi, chez moi, j'étais sa maîtresse comblée qu'il prenait et reprenait dans toutes sortes de positions osées. J'étais quand même partagée entre plusieurs sentiments Tout d'abord par la honte de tromper ainsi mon mari que j'aimais, qui ne s'apercevait de rien et à qui j'avais, à sa grande surprise, pratiqué quelques fellations "d'exercice" qui l'avaient ravi. Je m'étais aperçu dans ces situations qu'autant j'avalais avec, je dois l'avouer, complaisance le foutre de mon amant, autant je ne pouvais me résoudre à faire la même choses avec mon mari. L'autre sentiment me rongeait véritablement, je me rendais compte que Marc me "tenait" par les sens et qu'il pouvait me faire faire ce qu'il désirait…Il ne s'en priva pas ! Un samedi, à la fermeture de l'agence, et après qu'il m'ait fait l'amour, en me caressant les fesses, il me dit :


- "Tu as de belles fesses, elles m'inspirent… lundi, je vais te sodomiser…"

Bien entendu, je n'avais jamais pratiqué cela, mon mari, il y a longtemps me l'avait proposé, mais j'avais toujours catégoriquement refusé et là, et j'avais un peu eu peur de cette demande, mon amant voulais me soumettre à cette pratique. Je me récriais, protestant que c'était sale, que je ne l'avais jamais fait, que j'avais peur d'avoir mal, que c'était déshonorant, etc.…Il me répondit cyniquement :


- "Comme tu veux ! Si je ne peux pas sodomiser ma maîtresse, il ne me reste plus qu'à en changer…C'est comme tu veux ma chère Florence, si tu change d'avis téléphones-moi demain matin, sinon, ce n'est pas la peine de m'attendre lundi, ni les autres jours d'ailleurs…"
La mort dans l'âme, je me rhabillais à la hâte et filait sans demander mon reste. Il exagérait vraiment…vouloir m'avilir de cette sorte… non…non vraiment c'était trop, il était trop exigeant, il me fallait rompre... En conduisant j'étais sûre d'une chose…que le lendemain…j'allais…j'allais l'appeler au téléphone pour lui dire que j'avais changé d'avis et qu'il pourrait me…me (les mots me faisaient un peu peur) prendre comme il le souhaitait…A la limite, je me demandais même si en réalité, je ne souhaitais pas qu'il me fasse subir cet outrage dégradant. Soirée morne, mauvaise nuit, entre deux contradictions, être ou ne pas être…sodomisée…? Dimanche matin :


- "Florence, je vais au pain, tu n'as besoin de rien d'autre ?" Me demanda mon mari.

- "Si, il n'y a plus de café pour demain matin" mentis-je effrontément car il faut dire que l'épicerie ouverte le dimanche était très éloignée de notre pavillon et que boulangerie plus épicerie me laisseraient tout le temps nécessaire à ce coup de téléphone de reddition que j'étais impatiente de donner. En tremblant, je décrochais et numérotais, sonneries, une, deux, trois…

- "Allo !"

- "Allo Marc, c'est Florence"

- "…"

- "C'est moi, Florence…"

- "Oui, je t'entends bien, que puis-je faire pour toi ?"

- "Je…Je t'appelle…Enfin…Euh !…j'ai changé d'avis pour lundi…"

- "Ah bien ! Tu ne veux plus garder tes petites fesses pour toi seule…?"

- "Euh … Ou…Je…"

- "Tu veux bien me les offrir, me les ouvrir ?"

- "Enfin…Oui… Si tu veux…"

- "Dis-moi cela clairement que diable !"

- "Je veux bien que…Que tu me sodomise…" parvins-je à murmurer

- "Dis-moi, est-ce que tu en as envie ?" Demanda-t-il goguenard

- "Oui, j'ai envie que tu me sodomise…Voilà c'est dit ! Tu es satisfait ?" Ajoutais-je d'une voix peu assurée

- "Bien, bien ! Ce lundi va être torride ! Oh ! Attend j'ai une idée…Tu t'es un peu fait prier, non ?"

- "Oui, je le reconnais" confirmais-je en me demandant ce qu'il pouvait bien avoir en tête

- "Il faut que tu te fasses pardonner. Pour cela, je n'irais pas chez toi, mais c'est toi qui viendras chez moi à neuf heures ma chère Florence rien qu'en porte-jarretelles sous un manteau et excessivement maquillée, et là …je m'occuperais de ton petit cul, d'accord ?"

- "C'est d'accord !" Répondis-je sans l'ombre d'une hésitation, je l'entendis raccrocher en riant et je restais comme une idiote le combiné à la main. Qu'avais-je dit, que s'était-il passé, je n'en revenais pas…Moi, si coincé, si prude j'allais me livrer aux turpitudes de mon amant sans tergiverser. Décidément, il me faisait faire tout ce qu'il voulait…J'étais bien consciente de cela, j'avais peur, mais quelle stimulation ! Lundi, oui-à-ce-soir-mon-chéri-passe-une-bonne-journée vite, vite, salle de bain…Douche, coiffure…Bien ! Ah oui, les bas…Noirs à couture…Porte-jarretelles…Escarpins…Voilà, re-bien !…Vite, salle de bain, maquillage…Pas trop vite… très…très, très enfin, l'air d'une…professionnelle (ce n'était sûrement pas le terme qu'il emploierait) re-re-bien ! Regard dans la glace… Pas mal…Du tout…Un vêtement…Frissons…Moi imper noir allait faire l'affaire…En sortant, l'air sous mon imperméable me fit à nouveau frissonner mais était-ce de froid ou de désir ? De toute façon j'allais être réchauffée et assouvie…Enfin c'est ce que j'attendais…Trajet rapide en voiture…Stationnement…Je quittais la voiture, le seul endroit ou j'étais encore en sécurité…Sur le court trajet pour me rendre à son appartement, je fus dévisagée avec intérêt par quelques passants masculins qui, sans vergogne se retournèrent sur mon passage. Voilà à présent que je faisais retourner les hommes ! Que de changement, je devais ne pas être mal du tout …Ascenseur, sixième étage, je déboutonnais mon imper, allez, encore un, jusqu'à la naissance de mes seins gonflés de désir. Sonnette…Porte…Marc était dans l'entrée…Nu…
- "Bonjour Florence, tu es ravissante…Ouvres ton imper " ordonna-t-il


Et là, sur ce pallier, lentement, je déboutonnais le vêtement et en écartais les pans. Il bandait déjà…

- "Tu es magnifique, entre vite"

A peine la porte fut-elle refermée qu'il m'enlaça. Je me retrouvais plaquée contre le mur et littéralement écrasée contre celui-ci. Marc glissa une main vers mon entrejambe, trempé comme vous pouvez le deviner, puis elle courut sous mon genou qu'il fit lever. Je compris qu'il allait me prendre, là comme cela debout dans l'entrée. La chose fut rendue aisée par la hauteur de mes talons qui nous mettaient presque à la même taille. Vite, je me retrouvais embrochée, clouée au mur. Un bras passé autour de mes reins et me soutenant la jambe de l'autre il me baisait frénétiquement. Que c'était bon ! Je m'offrais en l'encourageant…

La position n'étant que peu confortable, il se retira me laissant le sexe désespérément vide. Mon imper rejoignit mon sac à main sur le sol de l'entrée. Et me prenant par la main, il m'attira dans l'appartement que je n'eus pas le loisir d'admirer longtemps. Il prit une chaise, s'y assis me fit faire face à lui m'attira pour que je m'empale sur lui. Je saisis sa…Bite et la plaçais à l'aplomb de mon vagin et lentement, avec délectation je fléchis les jambes pour me laisser glisser…Et entamer un long va et viens voluptueux. Il m'empoigna (pas d'autre mot) douloureusement les seins pour m'indiquer le rythme qu'il voulait que j'adopte. Ils avaient l'air de lui plaire, gonflés par l'envie, les mamelons dardés par l'excitation. Les prenant à pleines mains, il les porta à sa bouche pour en sucer tout d'abord les extrémités, puis le mordiller ensuite assez rudement me faisant crier, suppliant :


- "Arrêtes, tu mords trop fort, aaaaah, oui suces les, comme ça c'est bon, encore ouiiii, mords-les encore…Ouiii …Marc, je vais jouir…Non attend, pas encore…Jouis avec moi…Je sens ta bite, elle est grosse, elle me rend folle…Baise-moi fort…Aaaaaahh je jouiiiiis….."
Et en même temps que je succombais à cette chevauchée, je sentis son membre grossir plus exploser, se liquéfiant en moi. Je m'affalais sur son épaule épuisée, et nous restâmes ainsi un moment sur cette chaise au milieu de la pièce entrain de rendre nos esprits.

- "Eh bien Florence ! tu ne m'avais pas habitué à tant de démonstration tu te rappelle notre conversation, tu vois que tu deviens une vraie cochonne"

Un peu rougissante j'acquiesçais et il reprit :

- "Et ce n'est pas fini…Tu as des talents de baiseuses bien cachés, je vais satisfaire toutes mes envies avec toi, je te ferais faire les choses les plus vicieuses, tu veux ?"

Je répondis par l'affirmative, inutile d'hésiter, il savait qu'il avait gagné et qu'il pouvait me faire ce qu'il voulait, ma présence ici ce matin en était la preuve.

- "En attendant, viens, je fais visiter…"

Salon, divan profond, canapé accueillant sur lesquels il devait être bon de se faire prendre (oui, oui, c'est bien moi qui eu cette pensée), cuisine sympa, bureau, salle de bain bien aménagée, puis enfin la chambre…grande…grand lit, miroirs…une autre télé grand écran, lumière diffuses, mais aussi quelques spots éteints…bref un endroit fait pour ÇA et qui avait du en voir de belles et ou vraisemblablement, moi aussi j'allait en voir de belles…Il me fit allonger sur le coté, puis se leva mettre une casette et revint se placer derrière moi. Sur l'écran, une blonde plantureuse se faisait…assaillir (le mot est faible) par cinq ou six gaillards fortement membrés.


Derrière moi, Marc me caressait le dos, la taille, la hanche, le haut de la cuisse pour revenir soit devant par ma vulve, mon ventre et mes seins, soit par derrière entre mes fesses, mes reins et le long de ma colonne vertébrale. Il m'embrassait le cou, la nuque, me suçait le lobe de l'oreille et en même temps me murmurait des obscénités à l'oreille. Les hommes avaient investit tous les orifices de la blonde simultanément et semblaient déchaînés. Quand même, quels excès ! Même si mon amant m'avait fait quitter mon carcan d'oie blanche et se préparait à franchir le dernier rempart de ma virginité arrière, je trouvais que se faire filmer entrain de se faire saillir par plusieurs partenaires était d'une perversité outrancière et déshonorante pour celle qui s'y livrait. Quand même quelque part, je m'interrogeais sur les sensations qu'elle pouvait éprouver et j'eus l'impression que Marc avait lu dans mes pensées car il demanda
- "Tu as vu la fille, elle assure hein ! Sept pour elle toute seule, tu te rends compte, tu n'aimerais pas être à sa place ? J'ai l'impression que cela excite la petite Florence B, pas vrai…"
Je protestais, arguant que j'avais un amant qui me satisfaisait entièrement…Il n'insista pas…Par contre, il me fit mettre en levrette, face à l'écran et me pris longuement me procurant plusieurs orgasmes ou je dus admettre "que j'adorais me faire sauter comme une salope", "que j'étais une chienne avide de queue" et autre gracieuseté que je répétais servilement tant j'étais excitée et il faut bien le dire qui n'était que la stricte vérité.


Après m'être un rafraîchie (mon entre jambe en avait besoin), nous prîmes un repas rapide, lui nu et moi en petite tenue. Cette collation, comme à l'accoutumée fut entrecoupée de caresses, si bien qu'à la fin du repas Marc était en érection. Il me dit :

- "Bon, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses, tu te rappelle pourquoi tu es ici n'est ce pas, mais remaquilles-toi, je n'encule que les salopes…"

Ca bien entendu, je n'avais pas oublié…j'en frissonnais à l'avance…et ce que j'avais vu faire faire à la blonde ne m'avait pas rassurée, bien au contraire…mais de toute façon, j'étais résignée et aussi, je dois l'avouer, très troublée par l'envie de me faire prendre de cette façon…Je revins de la salle de bain maquillée comme …comme une pute (ça y est le mot était lâché). Je ne fus pas la seule à y penser car Marc dit en souriant ironiquement:

- "Tu fais pute, c'est bien Florence, je t'adore comme cela, je vais te récompenser viens par ici, que je me fasse ton petit cul…"
Il m'entraîna par la taille dans la chambre me fit mettre à quatre pattes face à la glace "pour que je me voie prendre du petit" et commença à me masser la raie, puis me lécher, me titillant l'anneau de sa langue ce qui j'en conviens était fort agréable. Puis, après sa langue, il glissa une phalange enduite d'un gel lubrifiant dans l'ouverture de mes reins. Une deuxième suivit la première bientôt rejointe par un troisième…A ce moment, avec délicatesse, il fit remarquer que j'avais "un doigt dans le cul et que je ne m'en plaignais pas". C'était vrai, une sensation un peu étrange dans ce sens, mais pas désagréable surtout quand il fit aller et venir son doigt le long de mon rectum.


- "Je vais t'en mettre un deuxième" prévint-il"

Il ressortit son doigt, et de deux doigts joints il me pénétra, dilatant mon conduit et l'assouplissant pour parvenir à ses fins.
Je laissais échapper un soupir d'aise et il en profita…Il allait me sodomiser…Enfin…


Il se positionna derrière moi, écarta mes fesses, ouvrit ma rondelle, je sentis son gland contre l'ouverture, il poussa…Je résistais à cette poussée, le gland brûlant m'ouvrit, faisant céder mon sphincter, je poussais un cri de légère douleur, le gland était passé le reste allait suivre. Oh mon dieu ! Je sentais la progression de cette tige brûlante forant mon étroit conduit. Je ne savais pas si je souffrais ou non…La douleur était diffuse, comme masquée par la sensation d'être remplie…Etrange….L'intromission se poursuivit lentement jusqu'à ce qu'il s'arrête et que je sente ses couilles buter sur mon périnée. J'étais enculée à fond….et je trouvais cette sensation agréable…Quelle honte…


Il marqua un temps d'arrêt pour que je m'habitue au diamètre puis lentement il se retira jusqu'au gland…pour mieux m'investir en une seule fois et encore plus profondément. Il se mit à me caresser le dos, les épaules, les seins bien entendu, il me fit écarter les jambes en grand pour "que ma chatte puisse ruisseler" me titilla un temps mon bouton si sensible et annonça qu'il allait à présent "me défoncer le cul". Je le suppliai de le faire…Il me saisit par les hanches et se mit en devoir de me limer d'importance cet endroit encore vierge il y avait quelques minutes encore.


Je dois reconnaître qu'il devait bien si prendre, car depuis quelques instant, je ne ressentais plus aucune douleur, mais au contraire…Une sensation inconnue de plaisir obscur commença de m'envahir pour aller lentement crescendo. Son rythme s'accéléra, l'amplitude de ses coups de queue augmenta dans mon boyau désormais distendu. Il me conseilla "de me branler le bouton pour jouir encore plus". J'obéis, une fois encore, et pris appuis sur un coude pour mieux laisser ma main libre entre mes jambes pour m'accorder un petit plus manuel. En face de moi, j'avais l'image d'une femme dépravée, offrant sans scrupule son anus à un amant qui le prenait avec délectation. Fou, c'était fou…complètement fou, différemment du devant, mais j'étais sûre, contre toute attente, d'atteindre l'orgasme…J'émis une plainte rauque sur laquelle il n'y avait aucune ambiguïté…Il comprit fort bien…


- "Alors, ma salope, on y prend goût à se faire enculer ? Hein ! Allez, réponds !"

Et moi, vaincue désormais de répondre entre deux halètements :

- "Oui, c'est bon…ouiii….ouiii…Je t'en prie….Oh oui !….Je pars…."

Et…, je me mis à jouir…Et je sentis son sexe gonfler distendant mon étroit fourreau…puis l'inonder de son sperme brûlant. Etendue sur le ventre pour me remettre, je restais indolente quelque temps pendant que Marc à côté de moi caressait mes reins et mes fesses en feu. Quel avilissement…Mais quel plaisir également, je n'aurais jamais cru cela possible…Pourvu que…Pourvu, oui qu….pourvu qu'il veuille recommencer, c'était certain, je ne l'empêcherais plus …Il décrypta bien ce qui se passait en moi, car il m'interrogea :

- "Dis-moi, quelles sont tes impressions ?…Les miennes sont que cela ne t'a pas déplu, bien au contraire, je me trompe ?"

Que pouvais-je concéder d'autre ? …Rien !

- "Oui, j'ai aimé …"

- "Ce n'est pas un peu court comme confidence ?"

Je comprenais fort bien ce qu'il attendait de moi…et une fois de plus avec un peu d'embarras je me lançais :

- "Oui, j'ai aimé que…Que tu m'encule…C'était bon, je te promets que je ne ferais plus d'histoire désormais…Tu pourras recommencer…"
- "Mais j'y compte bien…Tu as un petit cul très accueillant…Et je vais en profiter autant que du reste, je pense que tu n'y vois plus d'inconvénients ?"


Oh ! Que non…Là et ailleurs il pourrait me prendre à sa guise…consciente de devenir sa chose j'étais certaine qu'il n'allait pas s'en priver…La suite me prouva (avec bonheur) que je j'avais raison…




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