Parue le 22 avril 2018

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Le lendemain je me réveillais vers 8h et je vois que ma femme n'était pas là, que ma fille dormait toujours, avec son cul en l'air me laissait voir un joli cul rebondi et ferme!! Sans retenue je me mis, à caresser ce joli cul, avant de descendre. J'ai embrassé son cul elle a secoué son cul, disant oh oui! mon Papounet, continué à embrasser mon cul J'aime vraiment tes bisous à mes fesses. J'ai Immédiatement répondu, non! ma fille je dois descendre à la cuisine, pour trouver ta mère. Ma fille attristée par ma réponse! je l'ai rassurée immédiatement ne t'en fait pas ma fille! on va ses attrapes plus tard! rassuré ma fille continue à dormir. Je suis descendu à la cuisine, surprise dans la cuisine! je trouve ma femme vêtue d'une sexy nuisette! sans culotte .Bonjour mon amour! elle s'est immédiatement tournée vers moi avec des sourires coquins! Bonjour mon amour! elle vient donc se blottir contre moi..

-Mon amour, merci beaucoup pour cette nuit inoubliable que tu m'as donnée.

- Tu vois! Je savais que tu allais adorer ca!!

-Oui j'ai aimé vraiment!! J'espère continuer ainsi mon amour?

-Il n'y a aucune raison de ne pas continuer comme ça! si on le désire? Collé contre elle, je sentais son corps chaud et doux, contre ce contact m’excitait J'ai commencé à bande!

-"Ben ça fait plaisir ... on sent que t'as vraiment envie de moi...profites...je suis pour toi…

j'étais collé à elle, j’ai envie de te baiser là, elle se retourna, je lui pris la main la tira vers la table de la cuisine, la fis s’asseoir dessus, alors j’appuyais pour qu’elle se couche sur la table, je pris ses jambes les plaçai sur mes épaules, présentai ma bite devant sa chatte et d’un coup je la pénétrait, elle poussa son petit cri de plaisir puis j’ai commencé à la pistonner, tout en lui pétrissant les seins, de grands coups de queue elle gémissait les yeux fermés à chaque coup de boutoir, puis je ralentis et je regardais doucement ma bite sortir et rentrer dans ce fourreau chaud, ce qui m'excitait encore et je reprends mes coups de boutoir

- Oui, mon chéri ! Fais-moi jouir ! Fais jouir ta femme,

-Cette fois, c'est elle qui hurle avant moi tant son orgasme était fort , se mit progressivement à hurler ! J'étais en train de faire jouir

-Ouiiiiiiiiiiiiiii Mon chéri vas-y

Et sur ces paroles je le sens se raidir et ne plus bouger. Seul les contractions de son sexe et du mien sont palpables.
J'ai fini par jouir, et je me suis vidé en elle,elle s'allongea sur la table à plat ventre ,Vas-y, encule-moi, maintenant défonce-moi le cul !Ni une ni deux, attend que je revienne à la charge. Heureux de la voir satisfaite, je reviens rapidement à la charge.

-Alors vous deux, on s'amuse bien …?

-C'est marié qui nous regardait en souriant. Je peux jouer avec vous’ dit-elle? Ma femme et moi avons regardé ma fille avec un grand sourire. Immédiatement, ma femme fait un signe à notre fille, de venir. Marie se mit à genoux et enfouit ma bite au fond de sa gorge pour qu'elle avale les dernières gouttes de mon sperme .Ma femme a immédiatement appelé sa fille pour s'allonger à côté d'elle sur la table, à plat ventre. J'ai deux femmes qui me présentent leur cul à ma bite. J’avais retrouvé ma raideur et ma queue s’annonçait prometteuse dans sa future pénétration. Je devais maintenant, de prendre le cul, de ma femme Je reviens rapidement à la charge. Je pose mon gland à l'entrée du trou du cul de ma femme, et je le pousse lentement ,en disant, à ma femme tu aimes ma bite dans ton cul? et elle me répond ,oh, oui mon cœur… continue… alors j'accélère. Tout en parlant à ma femme, profitant de la vue du beau cul de ma ma fille, ma main remontait vers l’intérieur de la cuisse de marie , et je glisse, un doigt dans le trou du cul de marie qui gémissait à côté de sa mère. En taquinant aussi plus bas, le clitoris de ma fille. Puis, je reculai d'elle et vins prendre à son tour le cul de ma fille qui attendait! J’écartai ses fesses, l’anus s’ouvrit, petit puits rose magnifique, j’y plongeai mon vit et poussait… il entra sans difficulté, en taquinant aussi le clitoris de ma femme avec mon doigt! facilité en cela par les belles humeurs de ma fille geignit, et me donna quelques petits et lents coups de cul qui eurent pour effet de l’empaler jusqu’à mes couilles… je raidis ma queue, dard en ses profondeurs et m'active… quelle délicieuse douceur. L’anus de ma fille me serrait fort, anneau de chair sur les rondeurs de mon phallus, me retenant, glissant, se serrant à nouveau puis me ouvrant… je navigue ainsi quelques instants, puis je reculai d’elle et vins retrouver sa mère… Ma queue était rouge vif, tendue à l’extrême, une excitation peu banale, bien que la sodomie à chaque fois provoqué sur mon anatomie une forte, très forte érection ! Je fouillai ma femme en plusieurs coups de bite, m'enfonçait, me retire, poussai à nouveau – elle était folle de jouissance et criait. Je sentais monter mon jus, ma lave, pourrais-je encore la retenir ? Je sortais, je rentrais, je changeais de couloir Culin, quelle ivresse ! Ma queue comme paralysée par l’immense plaisir qui s’en venait faisait ici l’office d’un beau bouteillon que j'administre à ma volonté, à mon rythme, à ma cadence, bien soucieux cependant de donner le plus de plaisir possible à mes deux partenaires… Je me retirais d’un cul, celui-ci me cherchait, remontait et je partais vers l’autre cul qui m’attendait, m'inspirait, me serrait… je le quittais à son tour pour retrouver l’autre… je partais, je revenais, j’entrais, je sortais dans un galop anal infernal, maintenant par les hanches mes deux femmes aux fesses brûlantes.Je commençai à jouir en ma femme… un petit flot bouillant projeté profondément dans le rectum… je ressortis de suite… poussai dans le cul de ma fille… déchargeait… un autre beau flot brûlant, puis je revins en ma femme, l’enculant à fond et déposant mon foutre en obole aux fins fonds de l’abysse satiné… puis, je déculai d’elle et revins vers ma fille où je me vidai définitivement, haletant, suant, essoufflé, rouge, vidé de mon foutre… Je restai en cul de ma fille Un long filet de foutre blanc épais s’écoulait peu à peu du bel anus de ma fille.Immédiatement ma femme s'est levée, est allée derrière sa fille ,Ma femme encore excitée — était-ce l’odeur de nos culs, de nos suites intimes et celle de leur cyprine ? je ne sais, mais elle semblait soudain folle de luxure… elle descendit des fesses de sa fille, s’accroupit et se mit à lécher comme une démente, ma semence qui s’échappait du beau con de sa fille.Elle lécha, lécha, écartant bien les fesses, les claquant par intervalle, poussant sa langue pointue en l’anus rose refermé, comme une petite bouche pincée… Ma femme, sous cette caresse, fit aller de haut en bas son petit cul et se mit à geindre doucement, la langue lécheuse de sa mère et la salive de celle-ci contribuant à apaiser le feu de son cul qui venait d’être pris si joliment… Puis, ce fut au tour de ma fille de lécher sa mère, cul levé, fesses écartées, elle lui fit même office, même vice, même caresse linguale appliquée… Ma fille jouissait à petits souffles rauques…, les mains bien à plats, sur la table … Bien que la vue fût de bon aloi, je ne me mis point à rebander et filai au cabinet de toilette pour me bien purifier après tant de folies anales… Les femmes m’y rejoignirent et nous nous retrouvons donc tous les trois sous la douche En taquinant leurs cul et leurs seins.Après une bonne douche et un nettoyage en profondeur. On a besoin de souffler un peu après cette joute inhabituelle et nous allons enfin prendre un copieux petit déjeuner, pour obtenir de la force mérite!

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