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les entremetteuses

Ecrit par XXL
Parue le 03 08 2016
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Cette histoire érotique a été lue 2728 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Les Entremetteuses

J'avais accepté l'invitation de Natou, ma sœur , Samedi midi . Elle voulait me remercier d'avoir aidé son mari à élaguer un vieux pommier qui menaçait de s’écrouler chez le voisin . Ma frangine était une excellente cuisinière et, divorcé depuis 3 ans ,à 52 ans , j'aurais été bête de refuser l'occasion d'un repas raffiné . Elle avait aussi invité une copine avec qui elle faisait de l'aquagym et, son époux évidemment . Natou m'avait prévenu , pour éviter tout impair de ma part que , je ne devais absolument pas parler politique à table car le mari de sa copine soutenait un candidat aux primaires et, il devait même assister à un meeting, ce jour là, en soirée . Elle m'avait également dit de ne pas m'étonner de la grande différence d'âge entre sa copine Claire et son mari : Claire avait perdu son premier mari très tôt , avec deux enfants en bas âge et un maigre salaire de fonctionnaire territorial , elle n'envisageait pas un avenir serein . Le directeur de son agence bancaire qui s'était occupé de son dossier lui avait donc fait une proposition . Il était veuf, sans enfant et épousa Claire, s'occupa parfaitement de l'éducation et des études des enfants, tout en se montrant un excellent époux . Maintenant ce brave homme allant sur ses 73 printemps , la différence d'âge avec son épouse de vingt ans sa cadette devenait criante , d'après ma sœur. Alors , surtout , fais comme si de rien n'était avait exigé Natou ...
Par un vent glacial de la mi septembre , j’arrivais pratiquement en même temps que le couple invité chez la frangine. Quand on se débarrassa de nos doudounes d'hiver , Natou nous pria de patienter un peu car il manquait une invitée surprise , sa prof de peinture sur soie , jamais à l'heure . Le beau frère et le monsieur âgé, très sympa, parlaient coupe d’Europe de football . Moi je me lavais les mains avant de décortiquer un grand bol de crevettes grises pour l'apéro . Claire décida de me m'aider à condition que je l'initie à cette technique qu'elle ne connaissait pas . Elle portait un ensemble, jupe et veste en jean et des collants , ou des bas , d'un vert étincelant qui mettait malencontreusement ses gros genoux en valeur . Faut dire que c'était une belle plante la copine de Natou : Grande, même avec ses mocassins plats; Un cou de première ligne de rugby avec un début de double menton ; Des joues bien rondes ; une longue queue de cheval retenue par un élastique ; des hanches larges agrémentées d’énormes fesses moulées par la jupe, un peu juste pour ce gabarit . Quel cul ! Ce qui était surprenant c'est que , vu son gabarit, sa poitrine , sous son pull à col roulé , paraissait modeste .
Je m'assis sur le canapé en posant les crevettes grises sur la table basse du salon et Claire se plaça en face de moi , debout , pour bénéficier de ma démonstration technique . Visiblement elle apprit très vite les astuces et s'accroupit de l'autre côté de la table, face à moi , pour être à hauteur du bol de crevettes .
Claire , complètement concentrée sur le décorticage , n'avait pas pris conscience de l'indécence de sa position . Je bénéficiais d'une vue imprenable sous la jupe relevée au dessus des genoux . Ce n'était pas des collants mais des bas verts qu'elle portait . Les pauvres , étirés à l'extrême , enveloppaient le haut de cuisses gigantesques, mais fermes cependant . La spacieuse petite culotte, en tissu synthétique, était toute simple . bleu ciel , avec deux fins rubans de broderies blanches qui encerclaient les cuisses . Le fin tissu tendu moulait cependant parfaitement le minou de Claire : Je distinguais nettement les deux renflements qui encerclaient la fente qui semblait aspirer le textile .
Quand l'invitée surprise arriva et que Natou nous la présenta , je pressentis de suite le coup monté de toutes pièces par ma frangine . Comme par hasard sa prof de peinture était divorcée aussi , comme par hasard elle avait mon âge et rêvait d'habiter dans une maison avec un grand jardin très fleuri. Elle adorait les chiens ...
Le problème c'est que cette dame , au demeurant fort sympathique, intelligente et agréable à regarder , d'abord, refusait de manger de la viande. Ma sœur avait d'ailleurs conçu un repas de poissons pour tout le monde ! En outre l'invitée , dite surprise, ne supportait pas l'exposition au soleil , encore moins les plages au sable chaud et la mer car, elle savait à peine nager . Ses vacances privilégiées consistaient à crapahuter sur des sentiers de randonnées pourris avec le sac à dos et, de préférence, dans des régions inconnues du commun des mortels .
Bref on se quitta poliment et Natou , vexée de l' échec de sa vocation autoproclamée d'entremetteuse , jura que, plus jamais, elle ne s'occuperait de mon avenir sentimental.
Il faisait déjà presque noir quand on regagna nos voitures. Le mari de Claire me demanda d'avoir la gentillesse de reconduire son épouse ; C'était sur ma route et ça lui évitait un aller retour inutile et d' arriver à l'heure au meeting de soutien à son candidat .
Comme son pavillon , plongé dans le noir , était en retrait de la route et qu’elle n’était pas très rassurée de rentrer seule chez elle , elle me demanda de l’accompagner au cas ou … Après une inspection qui la rassura , je m’apprêtais à prendre congé .
- Natou me parle quelquefois de toi , elle est triste que tu n ‘ai pas de copine . A bien y réfléchir on est dans la même misère sexuelle tous les deux , non ? Je ne suis pas une fanatique des galipettes mais une fois de temps en temps , je n'ai rien contre . Si on s’offrait une petite parenthèse dans notre vie bien monotone , juste une petite baise sans lendemain , ni vu ni connu , ça te dit ? Mais ne te sens pas obligé par charité ...
-
Je suivais Claire dans l’escalier qui menait aux chambres. Je lui avais demandé de se débarrasser de sa jupe avant qu’elle ne monte, histoire de me motiver et de me rincer l’œil . C’était encore mieux que ce que j’avais imaginé : Une gigantesque croupe ondulait , à hauteur de mon visage . Il aurait été criminel de ma part d’ envisager d’autre perspective que d’enfiler la copine de ma sœur en levrette , la queue bien raide noyée entre ses énormes fesses béantes .
Je me retrouvais nu dans la chambre d’ami avec Claire qui , elle , ne portait plus que ses bas . Sa chevelure abondante laissait déjà présager une foufoune bien poilue ; J’étais en dessous de la vérité …Quelle touffe ! Une toison hirsute et dense découvrant à peine son minou dodu . Assise sur le lit , ma partenaire , avait décidé de commencer les hostilités en m’octroyant une fellation, ma foi fort honorable. Après s’être essuyé la bouche d’un revers de main , elle m’annonça que c’était à son tour de bénéficier de mon savoir faire . Obéissant à ses directives , je m’adossais au lit , assis sur la moquette . Souriante , elle plaça une jambe de part et d'autre de mon corps, fléchit les jambes et frotta sa chatte sur mes lèvres au dessus de mon visage , les cuisses bien ouvertes . Claire visiblement était en manque car, des les premiers coups de langue , elle mouilla très vite . Quand , en plus , je lui introduisis deux doigts dans la fente , elle commença à pousser des petits cris de plus en plus rapprochés . La sentant partie, j’accélérais le rythme et j’en profitais pour lui enfiler l’index de ma main inactive ,bien profond dans son trou du cul , en essayant de synchroniser l’ensemble . Finalement elle poussa une espèce de long râle et mon visage fut inondé .
Claire m’essuya la bouche avec sa grande petite culotte avant de se frotter l’entre jambes avec la lingerie bleue ciel . Comme prévu je la pris en levrette . Elle me tourna le dos avant de poser son buste sur le lit, la tête de profil sur un oreiller . Elle garda les pieds au sol pour m’offrir sa croupe béante , tendue vers le plafond . Elle ne reçut une petite giclée mais bon , je n'étais plus un fougueux étalon . J’avais peur de ne pas être à la hauteur, vu mon abstinence, mais le moral revint .
On se quitta bon amis , se promettant de garder le contact au cas ou l’un de nous aurait une petite envie mais, pas tout de suite, dans quelque temps …
Moi , je lui avais subtilisé discrètement , dans le bac au linge sale , sa grande petite culotte bleu ciel , imbibée de ses odeurs suaves . Ce n’était pas un trophée mais un souvenir, qui pourrait éventuellement me servir pour une petite gâterie de célibataire .
Jusqu’au Printemps notre liaison se prolongea ; Un Email et , sans se prendre la tête , chez moi ou chez elle on se faisait une partie de jambes en l’air . Un jour, chez elle, Claire me fit la surprise de m’ouvrir la porte , perché sur des haut talons et simplement vêtu d’un string fuchsia et de bas . Vu de dos, Ses énormes fesses séparées d’une ficelle minuscule et sa moule qui débordait , vu de derrière, de part et d’autre de la ficelle me récompensèrent de mon déplacement sous un déluge d'averses orageuses . C’est d’ailleurs ce jour là , alors que je me rhabillais tranquillement qu’elle m’apprit que ma sœur avait désormais un amant depuis quelques semaines . Natou , d’après Claire, s’ennuyait et elle avait trouvé un mec drôle et sympa qui la comblait au lit . J’étais déjà sur le cul d’apprendre cette nouvelle mais Claire enfonça encore plus le clou ; Ma frangine avait accepté que son amant la sodomise , de temps en temps , pour lui faire plaisir .
- La prochaine fois qu’on se reverra Pierre , ce serait sympa que tu me fasses ce petit plaisir , par pure curiosité puisque je ne l’ai jamais fait .
Devant mon air dubitatif , car cette pratique ne faisait pas du tout partie de mes fantasmes , elle insista tellement que je lui promis .
Après tout pourquoi pas ? Histoire de ne pas mourir idiot ! Je supputais quand même une espèce de compétition malsaine entre Claire et ma sœur .
J’avais acheté une boite de préservatifs estimant que l’intrusion de mon pénis dans un anus exigeait un minimum d’hygiène . J’avais même préparé une tasse d’huile d’olive et du sopalin pour lubrifier l’endroit, en attendant sa venue .
J’eus droit à une fellation de luxe pour me remercier de mon sacrifice , après qu’elle ait avalé un verre de cognac qui , d’après elle, servirait d’anesthésiant à la douleur probable . On tomba d’accord sur le lieu et la position qui nous sembla adéquate . Claire, visiblement motivée et radieuse, posa son ventre sur l’accoudoir d’un fauteuil en cuir , plongea la tête dans le fauteuil pour la poser sur le coussin moelleux qu’elle avait sélectionné . Comme prévu , elle laissa la jambe gauche au sol et posa l’autre, un peu plus en hauteur , sur un repose pied pour que mon intrusion soit plus aisée . C’était parti .
Je la laissais prendre une grande goulée d’air et bloquer sa respiration et , boum, l’extrémité de mon pénis était dans la place . Après trois secondes de récupération , Claire me donna le feu vert pour continuer ma progression , en douceur . Je n’avais qu’un tiers de mon membre enfoncé dans son anus qu’elle commença à geindre , c’était beaucoup plus douloureux que ce qu’elle avait prévu. Déçue de sa piètre prestation , elle me demanda de me retirer . Moi ça m’arrangeait car j’étais bien à l’étroit dans ce canal qui refusait toute dilatation . C’était quand même étrange d’avoir un si gros postérieur et un si petit trou du cul .
Finalement mon intuition était la bonne ; C’était bien pour montrer à ma sœur qu’elle n’était pas plus cruche qu’elle que Claire avait voulu l’imiter car, elle exigea que je jouisse dans son fondement avant de m’échapper de son orifice anal ; J’étais certain que lors de leur prochaine séance d’aquagym , Claire se ferait un plaisir de dévoiler à Natou qu’elle avait aussi un amant et qu’elle s’était faite aussi sodomiser …

Au printemps Natou m’informa que nos relations devaient malheureusement prendre fin mais qu’on resterait bons copains ; Son vieux mari avait fait un début d’ AVC et elle culpabilisait un maximum . Comme si son infidélité , qui n’était pourtant que purement physique , y était pour quelque chose !

Le printemps arriva et il fallait impérativement que je m’attaque aux travaux ,dans mon jardin . Edith , ma voisine avait eu la même idée . Je la sentais soucieuse et , pendant la petite pause qu’on s’octroya , elle m’expliqua que c’était l’avenir de son unique petit fils, Benjamin qui la perturbait .
Benjamin venait de prendre conscience que le Master de chimie qu’il terminait ne déboucherait pas facilement sur un emploi à la hauteur de ses espérances . Il voulait continuer pour obtenir une thèse mais, ça faisait encore trois ans d’études et de gros problèmes financiers allaient se poser . Anne , sa mère bien qu’ayant un salaire modeste n’avait pas eu droit à une bourse pour les études de son fils ; En plus elle payait un loyer astronomique pour son petit appartement en ville . Le père de Benjamin avait reconnu légalement sa progéniture mais il n’avait pas eu le courage de divorcer pour épouser Anne . Les ponts étaient rompus depuis 15 ans, pas d’espoir financier à espérer de ce côté ! Anne avait donc fortement suggéré à son fils de passer, en parallèle avec son Master , les concours des écoles d’ingénieur chimiste . Edith me demanda ce que j’en pensais . Je trouvais l’idée de sa fille très pertinente , Edith aussi .

Edith nous avait accueilli ,avec chaleur , quand on emménagea , mon épouse et moi , dans la maison qui jouxtait la sienne, il y a 28 ans . On avait tout de suite sympathisé et nous étions devenus de grands amis , bien qu’ Edith soit d’une dizaine d ‘années notre aînée . C’était une femme intelligente qui aurait du trouver un meilleur emploi que celui d’ouvrière dans une usine textile mais, elle nous l’avait avoué , Edith avait toujours eu horreur de l’école . Son mari lui était un sombre crétin et, encore, je suis indulgent ! Paix à son âme puisqu’il nous avait quitté il y a une dizaine d’années .

Edith arrêta de jardiner quand l’horloge de l’église martela ses onze coups . Elle devait prendre une douche et se faire belle car son copain l’emmenait au restaurant , comme tous les Mercredi . Sa liaison durait depuis un an , discrète ; Ses deux filles n’étaient pas encore au courant . Elle était dans sa soixante troisième année mais Edith restait encore désirable . Un peu potelée certes mais toujours bien maquillée et très coquette avec une coiffure à la mode : Des cheveux coupés très court , teintées d’un roux flamboyant , qui se dressaient en pointes désordonnées , raidis par du gel . Il y avait quand même un bémol, Edith avait comme on dit du caractère et , en plus Madame était très soupe au lait ; Il ne fallait pas la contredire ni lui souffler dans les naseaux à la Mamie …
Comme elle m’avait demandé gentiment de couper une branche de mon pommier qui allait faire de l’ombre à ses semis de radis , je me suis exécuté en grimpant sur mon échelle .
Je ne vis que trois secondes son buste passer devant la large fenêtre de la salle de bains, les nichons à l’air. Ses seins lourds se baladant lentement dans l’espace . Les auréoles aperçues brièvement me semblèrent bien larges et les seins, un peu affaissés quand même .
Bizarrerie génétique , sa fille aînée , Anne était totalement dépourvue de poitrine . J'avais découvert , un jour , près de la machine à coudre de sa mère, son petit soutien gorge bourré de coton hydrophile .

Quelque temps après , un Samedi mâtin, il était 9 heures , je m ‘apprêtais à finir de bêcher mon potager quand Edith me téléphona pour réparer la lampe de sa machine à coudre . C’était urgent . Elle devait faire l'ourlet du nouveau jean de Benjamin et , la petite lampe commençait à clignoter de façon aléatoire , l’empêchant d’attaquer sa tâche . Lui et sa mère avaient demandé à la mamie de leur mijoter un pot au feu pour le repas de midi .

Puisque c’était urgent , j’emmenais un sachet d’outils prévu pour les pannes électriques . Dès qu’Edith m’ouvrit , je sentis l’odeur du bouillon qui embaumait le couloir . Ma voisine était encore en pyjama , d’un jaune passé qui avait connu des jours meilleurs. Visiblement elle dormait sans soutien gorge car ses seins se baladaient librement sous le tissu . Peut être même aussi sans petite culotte ? Ajouté à ça, le fait qu’elle n’était pas maquillée et que de petites rides se dessinaient au coin des yeux avec, en plus , d’horribles savates aux pieds, on ne peut pas dire qu' Edith se présentait sous son meilleur jour .
Je commençais à déballer mes outils , les effluves d’un bouillon authentique berçant mes narines .

- Laisse tes outils un instant Pierre , assieds toi …il faut qu’on ait une conversation d’adultes, tous les deux . Je réfléchis à ça depuis des semaines et je pense avoir trouvé la bonne idée … Puisque tu n’as pas de petite amie et que ce n’est pas bon de vivre seul , j’ai pensé qu’Anne serait ravie de vivre avec toi , dans ta maison . Je pourrais voir ma fille tous les jours et Benjamin aussi, puisque lui, habiterait chez moi , dans la petite chambre du haut qu’on peut aménager facilement . Du coup, elle n’aurait plus son loyer à payer et il n’y aurait plus de problème financier pour les études de Benjamin . En plus je n’y vois que des avantages , Anne est plus jeune que toi , c’est une fanatique du ménage et de la maison propre , elle te mijotera de bons petits plats et réchauffera ton lit tous les soirs , en petite nuisette transparente . Vous ferez juste un petit mariage civil , discret, pour les intimes .
Elle était devenu complètement cinglée Edith . Je me trouvais très bien tout seul et, de toutes façons , je n’aurais jamais choisi Anne pour accompagner mes vieux jours . J’avais à faire, non plus à une entremetteuse comme ma sœur, mais carrément à une marieuse des siècles passés .
Je n’avais absolument pas envie de rire , j’étais sur qu’elle était sérieuse mais, connaissant son caractère, il fallait que je la joue en finesse pour trouver une parade ferme mais élégante à son fantasme délirant .
- Tu en a déjà parlé à Benjamin ou à Anne ?
- Non , mais je me fais fort de les convaincre sans trop de difficultés , ils te connaissent depuis longtemps et je n’ai aucun doute sur ce qu’ils pensent de toi et Anne serait enchantée de connaître enfin la vie en couple.
Edith s’avançait beaucoup car , j’avais découvert sur Anne, un secret , tout à fait par hasard . Il aurait occasionné , à coup sur , un infarctus à sa mère, assez traditionaliste sur certains points ; D’ailleurs j’aurais pu le lui révéler à l’instant présent , pour me sortir d’affaire mais , je voulais me comporter dignement .
Je tentais donc une seconde tentative .
- Edith , ta fille est intelligente , sympathique , courageuse mais , je suis désolé , elle n’a pas plus de poitrine qu’une gamine ! Moi il me faut une poitrine généreuse , des gros nichons , de quoi occuper les mains d’un honnête homme .
Je pensais avoir marqué le point décisif car, elle se leva silencieusement , perturbée , pour aller dans la cuisine vu qu’ un minuteur venait de retentir . Elle fit demi tour et me lança :
- Tu as les moyens de lui payer des prothèses en silicone , non ?
Edith croyait m’ avoir cloué le bec mais là , je suis resté inébranlable .
- J’ai horreur des nichons artificiels , je hais les mamelles en silicones Edith ; C’est laid , on voit les coutures chirurgicales ; Le simple fait d’imaginer poser ma main sur une poche rempli de gélatine me donne la nausée .
Sur ce cri du cœur sincère , je la laissais éplucher les carottes et je m’occupais du mauvais contact électrique de la lampe croyant avoir définitivement coupé l’herbe sous le pied à cette mythomane .

Grossière erreur !!!
- Puisque tu veux vraiment des seins naturels de bonne taille , je serais à ta disposition quand tu en auras envie , dès qu’Anne aura emménagé chez toi . Bien sur çà resterait entre nous .
Je me retournais donc vers la cuisine furax . J’avais déjà la réplique en bouche , tant pis pour les dégâts inévitables qui s’en suivraient : D’abord, c’était moi qui choisissait mes partenaires , ensuite je n’étais pas trop en manque ces temps ci et , malgré l’estime que j’avais pour elle , elle me semblait un peu trop âgée à mon goût .
Enfin , c’est ce que je voulais faire … Parce que Edith avait déjà franchi la porte de séparation et qu’elle s’amenait , sans le haut du pyjama , les seins à l’air . Le sourire mielleux, elle inclina légèrement le buste et imprima à ses nichons un mouvement latéral qui les entraîna dans un lent balancement d’horloge suisse . J’étais un peu dépassé par les évènements . Elle en profita pour se saisir de mes mains et les poser sur ses mamelles qui bougeaient encore . Elle insista lourdement pour que je vérifie que c’était bien du naturel avant de me prendre par la main et de m’entraîner vers son salon . Elle s’assit dans un fauteuil , me tira par la ceinture pour que je lui fasse face. Edith me baissa alors le pantalon et le slip , en même temps, jusqu’aux chevilles et entama une fellation , sans aucun état d’âme . Je ne savais pas quoi faire ; Certes la fellation était tout à fait convenable mais je me sentais entraîné, par lâcheté, dans une spirale irréversible .
Mon imprévisible voisine , après s’être essuyé les lèvres d’un revers de main , souleva légèrement ses fesses du fauteuil pour se débarrasser du pantalon de pyjama . Edith ne portait pas de culotte pour dormir . Elle posa ensuite chacune de ses jambes sur un accoudoir du fauteuil avant de m’inviter à lui montrer ma virilité . Elle ne voulait quand même pas voulait pas sa fille à un éjaculateur précoce ( dixit Edith ! ) .
Edith était persuadée avoir emporté ma décision , à tel point que, pendant que je faisais un brin de toilette dans la salle de bains alors qu’elle, complètement à poil, rajoutait des poireaux dans le bouillon , elle me fixa l’agenda de nos futures rencontres : Ce serait le Vendredi en fin d’après midi , le jour ou je finissais plus tôt et, qui était aussi le jour ou Anne revenait plus tard car , elle faisait les courses du week-end .

Inutile de préciser que, dés mon retour à la maison , je passais un coup de fil à Anne . Je lui expliquais les projets fous de sa chère maman . Elle rigola mais elle avoua qu’elle allait réfléchir car elle trouva que c’était une hypothèse intéressante . Il ne manquait plus que çà .
J’étais alors obligé d’employer les grands moyens , sortir le plan B , le secret qui concernait Anne et que je n’aurais jamais osé dévoiler à sa maman …
Après m’avoir écouté , elle m’a dit qu’elle avait reçu mon message 5sur 5 et que je n’avais plus de souci à me faire .

C’était l’an dernier , mi Décembre , vers 19 H . Un cadre sympa de ma boite fêtait sa promotion et sa mutation au Novotel . Je vapotais sur le parking attendant la fin des discours avant d’aller boire une coupe et me réchauffer . Anne sortit d’une chambre d’un motel tué à une dizaine de mètres . Elle était joyeuse , sa copine aussi . Elles firent quelques pas , se tenant par la main avant de se séparer en s’embrassant sur la bouche, protégées par l’obscurité avant de regagner leurs voitures . Je n’avais pas été repéré . D’une banalité quelconque pour beaucoup , cette découverte aurait profondément choquée Edith , d’autant que l’amante de sa fille , elle la connaissait, moi aussi d’ailleurs : C’était quelqu’un qui s’était installé dans le village il y a six ans . La quarantaine , mariée , mère de deux enfants ; C’était une des piqueuses , comme on disait dans le bourg , du cabinet médical ou trois infirmières opéraient .

Le Samedi soir , sur mon répondeur , il y avait un message très court d’Edith :
- Pierre , tu oublies tout ce que j’ai dit et tout ce qu’on a fait après , mon imbécile de fille refuse catégoriquement de vivre avec toi , on a même failli se fâcher !
Edith s’était sacrifiée pour rien mais elle ne m’en tint pas rigueur pour autant et nos relations redevinrent normales. Le problème financier pour les études de Benjamin restait bien posé cependant . Edith proposa ainsi à son copain d’emménager chez lui mais cruelle désillusion , ce dernier refusa . Il ne voulait pas rentrer en conflit ouvert avec ses enfants qui voulaient que leur père reste fidèle à la mémoire de leur mère disparue . Du coup , Edith largua définitivement son ami .
Par chance , la seconde fille d’Edith , Murielle proposa une solution : Si Benjamin réussissait le concours d’entrée d’une école d’ingénieurs chimistes de Lyon , il serait nourri et logé gratuitement chez sa tante qui était aussi sa marraine . ils habitaient à Villefranche sur Sâone . Elle et son mari n’ayant pas eu d’enfant , Benjamin serait choyé .
On fêta la réussite de Benjamin juste avant que je parte en vacances.

Un séjour, last minute, à prix cassé, dans l’île de Rhodes . La météo était de la partie mais la bouffe était abominable . Après deux jours, j’avais pris mes marques dans ce soi disant 4 étoiles . Mimi vint s ‘installer à ma table , comme d’habitude au repas du soir . C’est elle qui me l’avait proposé . Elle avait horreur de manger seule . La quarantaine , la Daxoise était coiffeuse dans un salon . Elle avait tenu à mettre les choses au clair tout de suite : « J’ai bossé comme une dingue toute l’année pour pouvoir faire la fête et m’envoyer en l’air avec les jeunes mâles qui font les gigolos auprès des femmes seules , contre contribution financière évidemment ! » . Le jeune serveur grec , chargé des boissons , vint s’enquérir de mes désirs dans un anglais parfait . Je lui fis donc naturellement ma commande dans la même langue .
- Tu as vu les yeux qu’il a , j’ai failli mouillé ma petite culotte …
Bien entendu , c’était Mimi qui bavait d’admiration devant ce jeune éphèbe bronzé et tatoué .
- Il faut que tu m’arranges le coup avec ce demi Dieu et surtout que tu négocies son tarif , moi je ne parle pas un mot d’anglais et je veux finir mes vacances en feu d’artifice !
C’était la meilleure de l’année celle là ; Cette fois ci, c’était moi qui devenait négociateur entremetteur , le monde à l’envers . J’ai refusé .
Mimi a insisté lourdement et m’ a promis , en contre partie de m’indiquer une touriste française de l’hôtel qui aurait bien aimé que je m’intéresse à elle .
La négociation financière avec le serveur réalisée et le rendez vous avec Mimi fixé , la coiffeuse , avec son charmant accent du Sud me révéla l’identité de mon amoureuse .
- Je me suis retrouvée au jacuzzy avec la dame qui t’a demandé d’aller repêcher son bracelet en or, au fond de la piscine et , on a papauté , voilà c’est elle …
- La rouquine qui est en vacances avec sa mère ? …Je te remercie mais , elle n’est pas terrible …
- Tu ne te prends pas pour Léonardo Dicaprio quand même ?
J’étais rhabillé pour l’hiver mais bon , elle n’était quand même pas terrible la nana !
Mon sauvetage s’était passé la veille . La française , blonde , la cinquantaine , avait repéré mon polar en français au pied de mon bain de soleil et avait demandé mon intervention . Elle ne voulait pas plonger et se mouiller les cheveux frisés déjà mal en point, à cause du soleil . On ne pouvait vraiment plus dire que c’était une blonde flamboyante, la couleur originelle de ses cheveux était bien ternie . Bref, je la suivis vers l’endroit ou sa mère , appuyée sur sa canne le long du plan d’eau , surveillait le bijou coulé . La dame avaient les chevilles fines mais, au dessus des genoux , les jambes, bien galbées au départ, s’élargissaient en se terminant mollement , sur des anches larges et quelconques . Le maillot, une pièce , bleu marine et mouillé, collait contre ses fesses plates . Ses seins pesants pendouillaient un peu , mal soutenus par les bretelles lâches du maillot . Par contre, quand elle s’accroupit sur le bord de la piscine pour se saisir du bracelet que je lui tendais , une découverte me surpris . Le tissu humide de son maillot moulait parfaitement la chatte de la rouquine . Deux renflements anormalement longs encerclaient la fente . J’avais même l’impression que le bas de sa foufoune débordait sous les cuisses , dans l’ouverture des jambes béantes .
- Ne réfléchit pas trop longtemps Pierre car la mère et la fille reprennent l’avion demain, dans la nuit . Si ça peut t’intéresser la blondasse ,comme tu dis, veut rendre la monnaie de sa pièce à son mari qu’elle a surpris , entrain se s’envoyer en l’air avec la nouvelle femme de ménage, dans le lit conjugal , qui plus est …
-
Il était 21h , je consultais, dans ma chambre , mon courrier sur ma tablette , quand on sonna à ma porte . C’était la blonde , en jean bleu et polo jaune , souriante .
- Mimi m’a donné votre numéro de chambre et elle m’a dit que vous alliez en ville , au port , tous les soirs pour boire un verre ; Ce serait super gentil si vous m’autorisiez à vous accompagner , je m’appelle Maryse .
C’était Mimi , à coup sûr , qui avait imaginé ce coup fourré , histoire de ma forcer la main , dans une bonne intention peut être ?
- Ce sera avec plaisir Maryse mais il est un trop tôt ; La ville ne s ‘anime qu’à partir de 22h au moins .
- Pas de problème , on pourrait se faire une petite baise sympa en attendant , sans se prendre la tête , pour égayer notre séjour , non ?
On se déshabilla calmement, chacun de son côté et Maryse en profita pour fixer les règles du jeu : préservatif obligatoire , sodomisation strictement prohibée et , plus surprenant , interdiction de toucher à ses cheveux ?
J’aimais vraiment bien sa moule , comme une gousse de petits pois prêt à exploser , surmontée d’un petit triangle de poils châtain clair ,courts et frisés . Vu de derrière c’était encore plus excitant , comme une langue de chair blanche , imberbe , parfaitement fendue en deux qui se balançait entre ses cuisses .
Je pris l’initiative des préliminaires et Maryse me remercia par une fellation courte mais, pleine d’ardeur . Le jour tombait et elle insista pour voir la lune se refléter dans la mer . Je m’assis donc sur une chaise du balcon , Maryse se mit de dos, face à moi et à la mer avant de baisser le buste pour que ses bras tendus puissent s’agripper à la rambarde. Elle recula un peu jusqu’à hauteur de mon pénis avant de s’enfiler en pliant les jambes . Je n’avais rien à faire , c’est Maryse qui prit l’initiative de jouer à l’ascenseur .
Le lendemain , le jour de son départ , Maryse vint me faire ses adieux . Elle sortit son smartphone en m’annonçant qu’elle voulait montrer absolument à son mari la photo de celui qui l’avait fait cocu ; Histoire de laver l’humiliation qu’il lui avait fait subir . J’étais vraiment pas très chaud car la perverse me dit son désir de m’immortaliser de plein pied et en pleine érection .
- Je serais vraiment déçue si tu me refusais ce petit plaisir ; je te laisse y réfléchir car il faut absolument que je fasse un gros pipi , ma mère monopolise notre salle de bain ; Elle a un début de Tourista.
J’ai donc sauté sur l’occasion pour lui proposer un arrangement qui me semblait équitable . Bien qu’un peu perplexe et étonnée de ma proposition , elle accepta .
Je pris donc aussi mon smartphone et le mis en mode video avant de la suivre dans la salle de bains . Comme convenu , elle souleva la lunette des WC avant de reculer, en marche arrière, pour se mettre, debout , au dessus du siège . Quand un petit filet s’échappa de sa fente , elle fléchit les jambes et les écarta plus . Elle avait bien fait car un puissant jet jaillit dans la seconde qui suivit . Elle refusa catégoriquement par contre que je la filme pendant qu’elle s’essuyait la moule avec une lingette humide . Va comprendre Charles ???
Comme ma maman m’avait bien élevé , je suis allé souhaiter un bon retour à Maryse et à sa mère qui attendaient , dans le hall , avec d’autres , le bus qui assurait la navette vers l’aéroport .

Après les vacances, la routine repris ses droits ; calme plat pendant deux mois . Ma soeur m'apprit que sa copine qui accompagnait son époux à l'hôpital , s'était entichée du kiné polonais qui faisait la rééducation de son mari ; Elle avait enfin connu le plaisir physique ...
Edith avait ,semble t-il, complètement oublié son sacrifice inutile

Faut dire qu’elle avait d’autres préoccupations . Elle s’en était confié à moi pour que je la conseille vu qu’ elle avait juré à Benjamin que sa mère ne serait pas mis au courant .
La St Sylvestre , Benjamin la passa avec maman et mamie . Le futur ingénieur en profita pour se confier à sa grand mère adorée .
La seconde fille d'Edith avait séduit Benjamin : Elle lui apportait le petit déjeuner en nuisette , elle se promenait régulièrement dans la maison en lingerie , elle ne fermait jamais la porte de la salle de bains ... Bref , Benjamin , qui n'était pas de marbre s'était envoyé sa tante plusieurs fois . C'était d'une banalité évidente sauf que , maintenant , le mari assistait aux ébats de son épouse et y prenait beaucoup de plaisir . En fait , Edith pensait que Benjamin s'était fait roulé dans la farine car le couple était complice . L'épouse faisait d'une pierre deux coups ; Elle faisait plaisir à son mari et elle s'envoyait en l'air avec un jeune sportif , bien membré .
Edith se sentait, pour le moins , dépassée par les évènements mais, je n'avais aucun conseil qui puisse la rendre plus sereine ! Chacun sa M….e, comme disait souvent le patron du dernier bistro du village !

Dorénavant, quand des copains, ou la famille, m'invitaient , je posais mes conditions : Pas question qu'ils me fourguent comme voisine de table, une de leurs connaissances du genre dame esseulée , divorcée ou veuve !

Pour les bouffes familiales ou celles entre copains , tout le monde respecta ma demande .
Quand un vieil ami m’invita au repas de son départ en retraite , je me permis de lui faire la même requête , dans la mesure du possible évidemment .
Le salaud respecta ma demande à la lettre ; Il m’avait attribuée une place à une grande table ronde ou il n’y avait que des vieux . Trois couples et deux dames seules d’au moins soixante dix ans et plus …
C’était un coup de son épouse . Elle me détestait et c’était réciproque ; Elle était d’une bêtise à pleurer cette conne !
Ils ne parlèrent pas trop longtemps de leurs nombreux problèmes de santé, avec, toujours l’éternelle conclusion dans ce genre de conversation : Il faut profiter de la vie à 200 % , on ne sait pas de quoi Demain sera fait …
Par politesse , je fis quelques danses avec ces dames , forcé et contraint par leurs maris qui me refilèrent la corvée .
Vers 23 heures , une des vieilles dames seules prit sa chaise , se mit un peu à l’écart et elle s’assoupit . Le mari de la dame aux cheveux blancs platine de notre tablée lui, préféra pousser un roupillon dans sa voiture . J’avais décidé de m’éclipser discrètement pour éviter la danse des canards et la farandole mais je fus surpris par la patrouille . La dame aux cheveux blancs platine, dans son ensemble tailleur vieux rose , me mit le grappin dessus pour la série de tango annoncée par l’animateur .
Au second tango , elle se serra un peu plus contre moi .
- J’ai bu un peu trop…. Et si je vous proposais de flirter un peu pendant que mon mari dort dans sa voiture ? J’en ai vraiment envie .
Elle était vraiment inconsciente ou vraiment complètement beurrée . Toujours est il que j’en avais marre de m’être fait manipulé par ma sœur , sa copine , Edith , la Mimi de mes vacances et maintenant une mamie en chaleur !

- Je suis désolé chère Madame , vous êtes charmante mais, on n’a plus l’âge de flirter ni l’un , ni l’autre ! Par contre je serais ravi que vous m’accompagnez jusqu’à ma voiture . Je me ferais un plaisir de vous trousser la jupe et d’enlever votre petite culotte pour vous brouter le minou avant, bien entendu , d’attaquer les choses sérieuses sur le siège arrière de ma limousine , comme si on était encore des jeunes .
- Votre proposition n’est pas du tout convenable , je suis même choquée .
- Je conviens parfaitement que je me sois montré un peu trop direct mais ma proposition tient toujours . A près la série de tangos, je vous attendrais, un quart heure disons , au fond du parking , vers le lampadaire de droite . La balle est dans votre camp , je pense que vous êtes assez grande pour faire le bon choix .





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