Histoire erotique : les vacances d'Elsa (1) premiere fellation

J’habitais alors un petit village à la campagne, je vivais seul dans ma petite maison et en temps normal mes voisins les plus proches se situaient à environ huit cent mètres. C’est dire si j’étais tranquille et cela convenait parfaitement à mon tempérament. J’ai dit en temps normal car en période estivale j’avais des voisins bien plus proches qui venaient en vacances occuper pendant au moins un mois la maison qu’ils avaient hérité d’un vieil oncle. Il y avait les grands parents tous deux retraités, leurs deux filles de mon âge, l’une était mariée Michelle et l’autre, Marie, divorcée avec deux enfants Gilles et Elsa. Nous avions de bonnes relations de voisinage mais sans plus : je ne les voyais que lorsqu’ils avaient besoin d’un petit service ou de m’emprunter de l’outillage. Les enfants avaient pris l’habitude de venir me retrouver régulièrement, déjeunant parfois avec moi et dormant aussi à la maison (surtout lorsque cela arrangeait leur mère). Les étés se suivaient et se ressemblaient et les enfants grandissaient.
Cet été seule Elsa a accompagné sa famille (Gilles est parti à l’étranger pour un séjour linguistique), elle venait d’avoir 18 ans et moi 45. La petite fille s’est peu à peu transformée en jeune femme mais elle a gardé l’habitude de venir me retrouver, de partager mon repas et même de dormir parfois à la maison.

Lundi 11 août 15h
La chaleur devient insoutenable, aussi cet après-midi je décide d’aller me baigner dans un petit plan d’eau
aménagé à une dizaine de kilomètres. Au moment où je vais partir Elsa arrive, elle me demande si elle peut m’accompagner. Je réponds que je veux bien à la condition que sa mère soit d’accord. Elle obtient l’accord de sa mère et je l’emmène donc avec moi. Nous profitons de la baignade et au cours de celle-ci je constate qu’Elsa a tendance à se rapprocher de plus en plus de moi, elle se serre contre moi, me prenant dans ses bras. A un moment je sens franchement qu’elle frotte son ventre contre le mien et en même temps mon sexe commence à durcir aussi je l’écarte de moi avant qu’elle s’en aperçoive. Il me faut un certain temps avant de redevenir décent et de pouvoir ressortir de l’eau. Je prends alors la décision de rentrer. J’enfile mon short sur mon maillot encore humide, je lui demande de se rhabiller mais elle me dit qu’elle préfère attendre d’avoir séché et c’est donc ainsi que nous rejoignons la voiture. Arrivés à la maison elle me demande si elle peut prendre une douche avant de remettre ses vêtements. Je lui réponds :« pas de problème, tu sais où est la salle de bains. » Quelques minutes plus tard je l’entends m’appeler car elle ne trouve pas les serviettes et j’entre donc pour lui en donner une. Quelle n’est pas ma surprise de la voir qui m’attend nue au milieu de la salle de bain. Je fais celui qui n’a rien vu et je m’empresse de lui tendre une serviette et de ressortir au plus vite car je sens que je recommence à bander. Mais j’ai quand même eu le temps de m’apercevoir qu’elle est devenue une vraie belle jeune fille : son corps est magnifique, avec les formes qu’il faut et où il faut, des petits seins qu’on a envie de prendre dans la main, et surtout un petit abricot à peine velu qui éveille en moi les désirs les plus fous. Quand elle ressort de la salle de bain elle me fait un petit sourire qui en dit longtemps et je vois son regard se porter au niveau de mon short. Je lui conseille d’aller rassurer sa mère elle lui montrant qu’elle ne s’est pas noyée. Elle me répond qu’il n’y avait pas assez d’eau, qu’elle sait nager et qu’elle n’est plus une gamine. Ça je m’en suis aperçu lui réponds-je !
Elle revient très vite, elle s’est encore changée : elle a opté pour une petite jupe légère, un tee-shirt presque transparent qui laisse voir qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge. Elle m’annonce qu’elle mangera
avec moi ce soir et que sa mère lui a demandé si je pouvais l’héberger pour la nuit.
- Qui ? ta mère ?
- Non moi ! Ma mère elle est trop vieille pour toi !
- Tu plaisantes ?
- Oui ! Mais c’est moi que tu vas devoir héberger ce soir
- Si je veux et surtout si tu es sage
- Je te promets d’être très gentille, tu veux que je prépare le repas ?
- Tu sais cuisiner ?
- Oh oui et je ne sais pas faire que ça !
Pendant qu’elle s’affaire dans la cuisine je me sers un apéritif, histoire de mélanger encore plus les idées
qui s’enchevêtrent dans ma tête.

Lundi 11 août 19h
Repas simple mais sympa, même s’il y avait trop de vinaigre dans la salade et que l’omelette était un peu trop cuite. Je veux la remercier en lui faisant une bise mais elle s’agrippe à moi et se frotte à nouveau le ventre contre le mien. Là je ne peux m’écarter et elle doit forcément sentir la grosseur dans mon short. C’est elle qui s’écarte la première pour me dire : maintenant on fait quoi ? une balade ou on regarde la
télé ?
J’opte pour la balade, me disant qu’elle sera moins proche de moi. Depuis des années nous avons l’habitude d’aller faire un tour dans la campagne, elle aime que je lui raconte la nature, les plantes et même que parfois je lui fasse peur en prétextant la présence d’animaux dangereux imaginaires. Mais rien n’est plus comme les autres années et dès le début de la promenade elle me prend la main, puis un peu plus tard elle me prend par la taille et sa main s’infiltre dans la poche de mon short. Je la sens qui explore
au plus profond et surtout qui recherche à atteindre mon sexe. Cela devient rapidement possible vu la
taille que celui-ci atteint. Elle m’annonce :
- Tu sais j’ai grandi et je n’ai plus peur du loup !
- Tu sais bien qu’il n’y a jamais eu de loup par ici, je disais cela pour te faire peur et tu faisais semblant de me croire
- Pourtant on m’a dit que je ne serai grande que lorsque j’aurai vu le loup
- Ça c’est une expression !
- Et ça veut dire quoi ?
- C’est difficile à expliquer
- Allez ! explique moi
- Pour une jeune fille ça veut dire avoir perdu son innocence
- Tu veux dire sa virginité ?
- En quelque sorte oui
- Alors fais moi voir le loup !
- Je ne suis pas sûr que cela soit raisonnable, tu ne veux pas attendre un peu ?
- Non parce que si j’attends tu seras trop vieux
- Tu trouveras bien un jeune pour te faire découvrir tout cela
- Non c’est toi que je veux
Tout en parlant elle continue à fouiller dans ma poche et elle triture à présent le bout de mon sexe.
Je ne sais plus que faire, je suis troublé, excité, je cherche une porte de sortie.
- Tu sais il faut du temps pour découvrir les choses de l’amour et surtout je ne suis pas sûr que ta
mère soit d’accord
- Elle ne peut rien dire je suis majeure. Et je veux que tu sois mon prof d’amour
- Ah bon !
- Oui et pour le moment je ne veux plus parler je veux tout voir et te toucher
Et sans se démonter elle s’agenouille devant moi et abaisse mon short et mon slip.
- J’aime ta bite qui bande ! Tu veux m’apprendre à faire une fellation ?
- Tu crois que c’est le moment et l’endroit ?
- Le moment oui ! Pour l’endroit suis-moi on va rentrer dans le petit bois
Elle me remonte le short et me prend la main pour m’entraîner dans un bosquet et à nouveau s’agenouille
devant moi et abaisse mon short.
- Apprends moi s’il te plaît !
- Fais moi d’abord ce que tu as envie de me faire mais fais le tout en douceur
Alors je la laisse faire et je me rends compte qu’elle est douée
Elle commence par explorer mon sexe, décalottant le gland, caressant la hampe, les bourses. Puis elle entrouvre la bouche pour l’approcher du gland, se rétracte et sort sa langue pour commencer à lécher d’abord le gland puis sur toute la longueur, tout en continuant à me caresser les testicules.
Enfin elle introduit le gland dans sa bouche pour le sucer comme une boule de glace et elle finit par avaler mon pénis tendu le faisant pénétrer au moins jusqu’à la moitié de sa longueur à l’intérieur de sa bouche. Elle pratique un lent va-et-vient tout en le caressant délicatement avec sa main. Pour une première pipe je trouve qu’elle y met beaucoup de talent. Elle ne me lâche que lorsque j’ai fini de vider par saccade tout mon sperme au fond de sa gorge. Quand elle a fini de déglutir elle ressort mon sexe et entreprend de le nettoyer avec sa langue.
- C’est ma première fellation aussi je ne veux rien perdre de la semence que tu m’as donnée. Comment l’as-tu trouvé ? Je me débrouille bien ?
- Comme une reine, viens vite que je t’embrasse
Et je lui roule un patin d’enfer pour la remercier.
- Il faudra que je m’entraîne encore, j’ai un peu mal à la mâchoire. Tu crois que je peux encore
mieux faire ?
- Bien sûr ma chérie !
- Alors tu n’as pas fini de me voir chez toi !
La nuit est maintenant tombée mais la lune éclaire nos pas et nous rentrons tranquillement la main dans la main sans rien dire.
A suivre

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