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mon dépucelage

Ecrit par karlina5936
Parue le 19 octobre 2009
Il y a 4 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 18983 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14.7/20

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Je vais vous raconter mon dépucelage. J'avais à l'époque à peine 18 ans.
Je viens d'une famille à l'aise financièrement et vivais dans une belle villa avec piscine.
Cela se passait en période estivale, mes parents étaient partis en vacances me laissant seule à la maison pour un mois.
Je profitais donc de l'occasion pour inviter mon petit ami de l'époque. Nous avions tout deux le même âge et nous étions tout deux puceaux. J'avais donc l'intention de mettre à profit mon indépendance pour passer à l'acte. J'invitais Benoît dès que mes parents furent partis. En maillot, nous nous installâmes sur une chaise longue devant la piscine. Comme il faisait chaud nous allâmes nous baigner. Très vite je me retrouvais plaquée contre le bord de la piscine, la langue de Benoît fouillant ma bouche, ses mains sur mes seins qu'elles pelotaient maladroitement. Je sentais une chaleur envahir mon bas ventre et mon minou s'humidifier. Puis ses mains descendirent sur mon ventre puis glissèrent entre mes cuisses et il se mit à caresser ma chatte à travers mon maillot. Je mouillais de plus en plus. Il glissa ses doigts impatients sous mon slip, s'introduisant dans ma fente toute mouillée qu'il se mit maladroitement à branler. Je commençais à gémir. De sa main libre il guida ma main sur son sexe. Nous nous caressâmes mutuellement et très vite sous ma main inexpérimentée il jouit dans son slip de bain. Nous sortîmes de l'eau et nous nous installâmes sur la chaise longue. Il me demanda d'enlever mon maillot. Après quelques hésitations je m'exécutais et me rallongeais. Il s'agenouilla à coté de moi et mit sa tête entre mes jambes et il commença à me lécher le minou. C'était la première fois qu'on me faisait ça. Sa langue était brûlante et me léchait insatiablement.

Puis tout à coup une voix puissante et grave retentit "Bein faut pas se gêner". Nous sursautâmes. C'était Claude l'associé de mon père. Il avait 42 ans, blond, grand et costaud.
- Casse toi !
Benoît ne demanda pas son reste prit ses affaires et fila rapidement.
- Heureusement que j'arrive à temps dit il, " tu allais vraiment te laisser baiser par ce p’tit con ?
J'était très gênée de mettre laissé surprendre dans cette situation, rouge jusqu'à la racine des cheveux.
-Qu'est ce que je vais bien pouvoir dire à tes parents?
- Non je t'en prie ne dis rien s'il te plait.
- Vous l'avait déjà fait ?" je lui répondis que non. "T'es vierge"? Je baissais la tête honteuse et lui fit signe que oui.
Un sourire fugace se dessina sur ses lèvre et son intérêt s’accrut. Il sembla réfléchir
- Rallonge toi m'ordonna t il. J'obéis.
Il s'agenouilla à coté de moi et posa sa main droite sur mon ventre, ses yeux ne quittaient pas mon corps.
- Qu'est ce que tu fais demandais je, un peu affolée. "Rien que tu n'aimeras pas" dit il la voix rauque le souffle court.
Une énorme bosse déformait sa braguette ce qui me troubla. Sa main caressait tendrement mon ventre, effleurant de temps à autre mon pubis. Je me détendais petit à petit et fermais les yeux, le souffle court. Sa main experte glissa entre mes cuisses entrouvertes et de son autre main il me força à les écarter un peu plus. Ma chatte était humide, il glissa son majeur dans ma fente et le fit glisser de bas en haut titillant à chaque passage le clitoris. "Tu aimes ça on dirait" me dit il. Il continua un moment, mon souffle se faisait de plus en plus court, ma chatte était trempée. Puis il retira sa main. Surprise et déçue et à mon plus grand étonnement je lui demandais de continuer. Il pencha alors la tête et sa langue prit la place qu'occupait précédemment celle de Benoît. Il commença à me lécher. C'était divin. Je gémissais sous les assauts de cette langue qui fouillait chaque recoin de mon sexe, qui aspirait mon clitoris, le faisait rouler. Puis elle se fit plus dure, plus incisive, essayant de me pénétrer. Tandis qu'il me léchait , je sentis ses doigts m'écarter doucement pour s'introduire dans ma vulve. Il me suçait en me branlant. Je poussais des gémissements qui se transformèrent en petits cris. Très vite je me mis à jouir sous les coups de langue experts. Il aspirait ma mouille. Il se retira.
-A ton tour maintenant.
Il se releva, déboutonna sa braguette et sortit son membre qui semblait prêt à éclater. Il se positionna devant moi en se caressant doucement et approcha son sexe de mon visage, qu’il frotta sur mes joues, sur mes lèvres qu'il essayait de forcer. C’était la première fois que j’en voyais un en vrai. C’était une longue et épaisse tige veinée, tendue, surmontée d’un gland turgescent presque violacé. Elle avait une légère odeur d'urine . Instinctivement j’essayai de me dégager mais de sa main libre il m’emprisonna la nuque.
- Lèche ma queue m’ordonna-t-il. Dans la situation improbable ou je me trouvais je n’avais guère le choix, et après quelques instants d’hésitation je passais timidement ma langue sur le gland. Ce n’était du reste pas désagréable. La peau était douce et satinée et l‘odeur ne me gênait pas trop. Il me laissait faire tout en m’observant et en se branlant doucement, puis je fis glisser ma langue le long de la hampe pendant qu'il me caressait doucement les cheveux. J‘explorais sa queue avec la langue et les lèvres pendant un moment mais il commençait à s‘impatienter.
- Maintenant prend la dans ta bouche et suce moi! Sa main poussa ma tête en avant et je me retrouvais pour la première fois avec la bouche rempli d’une bite et je me mis à sucer. Je lui faisais de l'effet car il gémissait alors que sa queue glissait entre mes lèvres.
- C’est bon tu sais … tu suces bien….
Puis au bout d'un long moment il se retira de ma bouche, il m'allongea sur le sol, se coucha sur moi, sa bouche prit la mienne, sa langue s’enroulait autour de la mienne, me coupant presque le souffle, étouffant mes gémissements, son corps lourd était plaqué contre le mien, ses mains parcouraient mon corps, ses jambes écartaient les miennes, puis je sentis un objet dur à l'entrée de mon vagin qui essayait forcer l’entrée de ma grotte. J'essayais de me dégager mais il me tenait fermement "Tiens toi tranquille" me dit il fermement "je vais te la mettre, depuis le temps que j'en ai envie". De sa main, il guida son membre entre mes lèvres. Il poussa, introduisant son gland. Je poussais un petit cri de surprise et de douleur, ressentais comme une brûlure. Son intrusion paraissait énorme. D’un coup de rein, il me pénétra davantage, me déflorant. J'avais l'impression que ma chatte ne pourrai jamais le contenir, mais il continuait à s'insinuer au plus profond de moi à chaque coup de rein. C'était douloureux. Des larmes coulaient sur mes joues sans que je puisse les retenir et ça semblait l’exciter davantage.
- Tu me fais mal sanglotais je.
- C’est normal, c’est toujours douloureux la première fois pour la femme mais tu vas voir tu vas aimer.
Maintenant, il imprimait à son membre un mouvement de va et vient qui le poussait à chaque fois un peu plus loin dans mon intimité.
Les parois de ma chatte se distendaient progressivement, la douleur s’estompait, ma chatte s'habituait à cette intrusion et je commençais même à éprouver un certain plaisir.
- Humm qu'est ce que tu es étroite, c'est bon tu sais. Il me limait doucement, sa queue allait et venait en moi, il savourait ce moment et faisait durer son plaisir.
- C’est la première fois que je dépucèle une fille, tu sais… Sa queue entrait et sortait de mon con presque entièrement. je m'agrippais à mon partenaire et lâchait un petit cri à chaque coup de pine. Puis le rythme s’accéléra, sa queue allait de plus en plus vite, ses mouvements étaient moins amples, plus secs, il me pilonnait de plus en plus fort en grognant puis il se retira de mon ventre précipitamment et la queue à la main déchargea de longs jets de foutre sur mon ventre.
Il se redressa, essuya sa queue molle dans la serviette de bain et la remis dans son pantalon tandis que je restais immobile allongée sur le dos, haletante.
- Tu es une femme maintenant…
Il semblait fier de lui, puis prenant conscience de ce qu’il venait de faire me demanda de n’en parler à personne.



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