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olivia

Ecrit par olihen69
Parue le 02 novembre 2015
Il y a 4 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 8663 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13.5/20

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Je m’appelle Olivia, je suis la fille de feu Shawn, la maîtresse de René et de Sir Charles. Je suis une jolie beauté scandinave.
Je suis une brune aux yeux verts. J’ai des pieds fins et latins, des jambes longues bronzées, musclées qui inquiètent par leur perfection. Mon pénil est bombé, ouvert, couronné de noir. Ma pilosité brune couvre mon pubis jusqu'à ma raie fessière. Je suis très poilue entre les cuisses et j’ai une superbe croupe. Les lèvres de mon sexe sont une plaie rouge entre mon entrecuisse velue noire. Mes hanches s'incurvent et délimitent le ventre plat, délicieusement renflé autour du nombril, les hanches sont larges et rondes, mais sans lourdeur. La taille est affinée. Les seins parfaits intégralement bronzés sont un peu volumineux mais fermes, et leurs pointes marron clair, toujours dressées, cernées par une large aréole marron attirent le regard. J’ai une peau lisse et patine. Finition parfaite, un seul grain de beauté entre mes superbes seins. De longs cheveux plats blonds flottant comme des algues, battent ses épaules rondes et gracieusement athlétiques. Je suis intégralement bronzée. Mes yeux verts limpides s'allument, ma bouche charnue se fend. J’ai des sourcils bruns bien dessinés et des lèvres pulpeuses. J’ai de longs doigts fins et de belles mains. Je fais du 90B de poitrine, 56 de taille, 90 de hanches, 1,72 m.
Ma vie sexuelle est monotone.

Olivia pucelle

Un soir automnal, le jour de mes 20 ans, mon amant Richard m’emmène un jour me promener dans un quartier où ils ne vont jamais.
A l'angle du parc, au coin, d'une rue, après la promenade dans le parc, et assis côte à côte au bord d'une pelouse, nous apercevons une voiture, avec un compteur, qui ressemble à un taxi.
- Monte, dit-il.
Je monte.
Je suis vêtue d’escarpins noirs à hauts talons, un tailleur fuchsia à jupe plissée, une blouse de soie, de grands gants qui montent sur les manches de mon tailleur, et je porte mon sac.
Le taxi part doucement, sans que Richard, le fils de René ferme, à droite et à gauche, les volets à glissière sur les vitres et à l'arrière ; j’ai retiré mes gants.
Mais il dit :
- Tu es embarrassée, donne ton sac.
Je le donne, il le pose hors de portée de moi et ajoute :
- Tu es aussi trop habillée. Défais tes jarretelles, roule tes bas au-dessus de tes genoux : voici des jarretières.
Je roule mes bas, mes jambes sont nues et libres sous la soie de ma combinaison. Aussi, les jarretelles défaites glissent.
Défais le porte-jarretelles, dit-il, et ôte ton slip. »
Je passe les mains derrière les reins et de me soulever un peu. Il me prend des mains le porte-jarretelles et le slip, ouvre le sac et les y enferme, puis dit :
- Relève ta jupe et assis-toi directement sur la banquette.
La banquette est en moleskine, glissante et froide, elle colle aux cuisses.
Puis il lui dit :
- Remets tes gants maintenant.
Je n’ose ni croiser les jambes ni serrer les genoux. J’ai mes deux mains gantées appuyées de chaque côté de moi, sur la banquette.
- Voilà, dit-il tout à coup.
Le taxi s'arrête dans une belle avenue, sous un arbre devant une sorte de petit hôtel qu'on devine entre cour et jardin.
- Ne bouge pas, dit René. Ne bouge pas du tout.
Il allonge la main vers le col de ma blouse, défait le nœud, puis les boutons. Je penche un peu le buste, et croit qu'il veut lui caresser les seins.
Il tranche avec un petit canif les bretelles du soutien-gorge, qu'il enlève. J’ai sous ma blouse qu’il a laissé les seins libres et nus comme elle a nus et libres les reins et le ventre, de la taille aux genoux.
- Ecoute, dit-il. Maintenant, tu es prête. Je te laisse. Tu vas descendre et sonner à la porte. Tu suivras qui t'ouvrira, tu feras ce qu'on t'ordonnera. Si tu n'entrais pas tout de suite, on viendrait te chercher, si tu n'obéissais pas tout de suite, on te ferait obéir. Ton sac ? Non, tu n'as plus besoin de ton sac. Tu es seulement la fille que je fournis. Si, si, je suis là. Va.
Une autre version du même début était plus brutale et plus simple : je suis emmenée par mon amant et un ami inconnu. L'inconnu est au volant, l'amant assis à mes côtés, et c'est l'ami, l'inconnu, qui parle pour m’expliquer que mon amant est chargé de me préparer, qu'il va lui lier les mains dans le dos, pardessus mes gants, me défaire et me rouler mes bas, m’enlever mon porte-jarretelles, mon slip et mon soutien-gorge, et me bander les yeux.
Qu'ensuite je serais remise au château, où on m'instruirait à mesure de ce que j’aurais à faire.
En effet, une fois ainsi dévêtue et liée, au bout d'une demi-heure de route, on m'aide à sortir dé voiture, on me fait monter quelques marches, puis franchir une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, mon bandeau enlevé, debout dans une pièce noire.
Puis, quand enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, je suis dans une: avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards.
Deux femmes ont ouvert la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues avec de longues jupes légères et bouffantes qui cachaient les pieds, des corselets serrés qui faisaient jaillir la poitrine et étaient lacés ou agrafés par-devant, et des dentelles autour de la gorge, et des manches à demi longues. Les yeux et la bouche sont fardés. Elles avaient un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
Elles me délient les mains, me déshabillent et me baignent et me fardent.
Nue, on range mes vêtements dans un des placards.
Je me baigne en leur compagnie, puis on me coiffe, assise dans un grand fauteuil qui bascule quand on vous lave la tête, et que l'on redresse pour vous mettre le séchoir, après la mise en plis.
Je dois rester assise nue. Une des femmes m’ordonne :
- Interdiction de croiser les genoux ou de les rapprocher. Votre fente doit être toujours visible.
En face de moi, une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
On ombre mes paupières, on met du rouge sur ma bouche, on peint en rose mes mamelons et mes aréoles, on met du rouge sur le bord des lèvres de ma chatte, on parfume longuement la fourrure des aisselles et du pubis, dans le sillon entre mes cuisses, dans le sillon sous mes seins, et au creux des paumes.
J’entre nue dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettent de me bien voir. Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me pique un peu. J’ai des mules rouges aux pieds nus. Je garde mes cuisses écartées pour m’observer.
Une des femmes mesure mon cou et mes poignets avec un centimètre de couturière, l'autre une corbeille avec le collier et les bracelets qui correspondent. Voici comment ils sont faits : en plusieurs épaisseurs de cuir (chaque épaisseur assez mince, au total pas plus d'un doigt), fermées par un système à déclic, qui fonctionne automatiquement quand on le ferme et ne peut s'ouvrir qu'avec une petite clef. Dans la partie exactement opposée à la fermeture, dans le milieu des épaisseurs de cuir, et n'ayant, presque pas de jeu, il y a un anneau de métal, qui donnait une prise sur le bracelet, si on veut le fixer, car il est trop serré au bras et le collier trop serré au cou, bien qu'il y ait assez de jeu pour ne pas du tout blesser, pour qu'on y puisse pas glisser le moindre lien. On fixe donc ce collier et ces bracelets à mon cou et à mes poignets.
Collier de soumission disposant d'une lanière sur le devant ainsi qu'un anneau d'accroche fermeture par sangle réglable Collier de soumission clouté en cuir véritable
Les menottes ainsi que le collier possèdent chacun un anneau de métal que l'on relie ensemble grâce à un mousqueton métallique.
Tout en cuir, ces menottes de bondage avec un collier avec anneau et deux menottes poignet en cuir amovibles. Tous les accessoires sont en cuir noir avec boucle de fermeture réglable Collier en cuir noir avec un anneau et deux menottes à un crochet à carabine simple. Complètement réglable avec des boucles.
Un homme entre, vêtu d'un gilet en velours sur son torse velu musclé et d’un short ouvert, laissant libre le mandrin. Je vois le mandrin en premier, puis le fouet de lanières de cuir passé à la ceinture, puis que l'homme est masqué par une cagoule noire, où un réseau de tulle noir dissimule même les yeux - et enfin, qu'il a des gants noirs aussi, et de fin chevreau.
- Debout, penche-toi en avant.
Il glisse son mandrin dans mon anus vierge. Je gémis. Il s’enfonce doucement dans mon anus, tout en pressant le haut de mes cuisses. Logeant progressivement son mandrin dans mon cul, je me dilate, il s’empare de mon clitoris. Je jouis. Il se retire et gicle sur mes fesses.
- Tu es un peu étroite du cul. On y remédiera.
Il s’assoit sur le pouf, me fait approcher contre ses genoux, passe sa main gantée entre mes cuisses, ma chatte est trempée d’excitation et sur mes seins.
- Tu seras présentée ce soir, après le dîner que tu prendras seule.
Nue, je prends mon dîner seule, dans une cabine, où une main invisible me tend les plats par un guichet.
Enfin, le dîner fini, les deux femmes reviennent me chercher. Dans le boudoir, elles fixent ensemble, derrière mon dos, les deux anneaux de mes bracelets, me mettent sur les épaules, attachée à mon collier, une longue cape qui me couvre tout entière, mais s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir, ayant les mains attachées derrière le dos. Une femme avance devant moi et ouvre les portes, l'autre me suit et les referme.
Je rejoins une grande pièce où quatre hommes m’attendent, en gilets et en shorts, les mandrins en érection, se masturbant, deux portent des gaines à picots.
On m’aveugle avec une lampe-phare.
Les deux femmes restent dans la pièce, de chaque côté de moi.
Le phare s’éteint et les femmes partent. On me met un bandeau sur les yeux.
Deux mains soulèvent ma cape, deux autres descendaient le long de mes reins après avoir vérifié l'attache des bracelets : elles sont non gantées, et l'une me pénètre la chatte et l’anus simultanément. Je crie.
Une main me prend un sein, une bouche saisit le mamelon de l'autre.
Je perds l’équilibre et je suis prise à la hussarde, jambes ouvertes et écartées, par Alban, muni d’une gaine à picots. On lèche ma chatte. Brice m’encule. Je gémis.
On me retire la cape et je me retrouve agenouillée, je fléchis un peu en arrière, à demi assise sur les talons.
- Vous ne l'avez jamais attachée ?
- Non, jamais.
- Ni fouettée ?
- Jamais non plus, mais justement...
C'est Richard qui répond.
- Justement, dit Brice. Si vous l'attachez quelquefois, si vous la fouettez un peu, et qu'elle y prenne plaisir, non. Ce qu'il faut, c'est dépasser le moment où elle prendra plaisir, pour obtenir les larmes.
Je me retrouve ensuite le buste reposant sur un pouf, toujours les mains au dos, et les reins plus hauts que le torse, et Carl me maintient aux hanches, m’honore la chatte et me déflore. Brice m’encule, me maintient aux hanches, m’encule. Je tente de me dérober. Je contrôle parfaitement l’introduction du mandrin dans mon anus.
Totalement soumise, je ne peux plus bouger.
Lorsque Alban m’encule ensuite, il me plaque l’une des mains sur les reins et me donne quelques claques magistrales sur les fesses. Je geins et m’empale sur lui.
Je jouis pour la première fois du cul.
Quand on me lâche, je glisse à terre, les yeux bandés.
On me laisse enfin, captive à la renverse.
On me retire le bandeau, je suis offerte à Richard, qui me caresse un sein.
- Tu seras toujours avec les yeux bandés, au château, tu ne verras jamais le visage des hommes qui te violeront, mais jamais la nuit. Pour te fouetter, ce sera pareil, sauf si on veut que tu te voies fouettée la première fois sans bandeau, mais nous mettrons nos masques, et que tu ne peux nous distinguer.
Richard me relève et me fait asseoir sur le bras d'un fauteuil contre l'angle de la cheminée, pour que j’écoute, les mains au dos.
- Tu commences à prend goût à la sodomie. Ses reins s’ouvrent un peu plus.
On me montra la cravache, qui est noire, longue et fine, de fin bambou gainé de cuir; le fouet de cuir est long, fait de six lanières terminées par un nœud ; il y a un troisième fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs nœuds, et qui sont toutes raides, comme si on lès avait trempées dans l'eau, ce qu'on a fait, comme je peux le constater, car on m’en caresse le ventre et on m’écarte les cuisses pour que je puisse mieux sentir combien les cordes sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
On me lève et on m’installe sur la croix de Saint-André au centre de la pièce. Je suis mise dos aux hommes ; je me retrouve sur la pointe des pieds.
Je me retrouve écartelée jambes et bras écartés, pour que je sois complètement à disposition. On fixe mes bracelets aux anneaux pour le haut du corps et on enserre mes chevilles de bracelets en cuir.
On me fouette en principe que les reins et les cuisses, bref, de la taille aux genoux, comme on m'y a préparée dans la voiture qui l'a amenée, quand on l'a fait asseoir nue sur la banquette.
Je peux crier, me débattre et pleurer. On me laisse respirer, mais quand j’aurais repris haleine, on recommence, jugeant du résultat des traces plus ou moins vives ou durables, que les fouets laissent sur sa peau.
Je serais fouettée en dehors des murs du château, en plein air dans le parc, comme il arrive souvent ou dans n'importe quel appartement ordinaire ou n'importe quelle chambre d'hôtel, à condition d'utiliser un bâillon bien compris qui ne laisse de liberté qu'aux larmes, étouffe tous les cris, et permet à peine quelques gémissements.
Hors, ce soir, on veut m’entendre hurler et au plus vite.
Je les supplie
- Détachez-moi, arrêtez un instant.
Une ceinture est passée autour de la taille fixe bien mon corps par son milieu.
Lors des premiers coups de fouet de cuir, sous lequel je gémis, me marque beaucoup moins (ce qu'on obtient presque avec la corde mouillée de la garcette, et au premier coup avec la cravache) et donc permet de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt qu'on en a fantaisie.
- Utilisez que le fouet.
Entre-temps, Carl séduit par ma croupe offerte qui se tend sous la corde au-dessous de la taille et ne s'offre que davantage en voulant se dérober, demande
- Je veux un répit pour la prendre.
Il m’écarte les fesses et m’encule longuement.
- Il faudra rendre son œillet plus commode.
- Ce sera fait. Cette beauté aime le sexe.
Alban et Brice m’enculent ensuite, après quelques coups de fouet.
On me détache enfin, chancelante et presque évanouie pour me donner, avant de me faire conduire dans la cellule que je dois occuper, le détail des règles qu'elle aurait à observer dans le château pendant que j’y loge et dans la vie ordinaire après que je l’ai quitté (sans regagner ma liberté pour autant), on me fait asseoir dans un grand fauteuil, et on sonne.
- Nul besoin de porter ton uniforme ce soir. Tu seras nue mais tu chausseras tes mules.
Brice saisit une des deux femmes, la fait retourner, la prend à la taille d’une main et relevant ses jupes de l’autre, pour faire tenir la jupe relevée avec une simple ceinture. Les femmes sont troussées dans le château ou dans le parc les femmes troussées de cette manière, ou par-devant, également jusqu'à la taille. On me fait montrer par la jeune femme comment je dois faire tenir ma jupe remontée à plusieurs tours, dans une ceinture serrée, juste au milieu devant, pour, laisser libre le ventre, ou juste au milieu du dos pour libérer les reins. Dans l'un et l'autre cas, le jupon et la jupe retombent en gros plis diagonaux mêlés en cascade. Comme moi, la jeune femme a sur le travers des reins de fraîches marques de cravache. Elle s'en va.

Voici le discours que l'on me tient ensuite.
- Tu es ici au service de tes maîtres. Le jour durant, tu feras telle corvée qu'on te confiera pour la tenue de la maison, comme de balayer, ou de ranger les livres ou de disposer les fleurs, ou de servir à table. Il n'y en a pas de plus dures. Mais tu abandonnes toujours au premier mot de qui te l'enjoindra, ou au premier signe, ce que tu fais, pour ton seul véritable service, qui est de te prêter. Tes mains ne sont pas à toi, ni tes seins, ni tout particulièrement aucun des orifices de ton corps, que nous pouvons fouiller et dans lesquels nous pouvons nous enfoncer à notre gré. Par manière de signe, pour qu'il te sois constamment présent à l'esprit, ou aussi présent que possible, que tu as perdu le droit de te dérober, devant nous tu ne fermes jamais tout à fait les lèvres, ni ne croises les jambes, ni ne serres les genoux, ce qui marquera à tes yeux et aux nôtres que ta bouche, ta chatte, et ton anus nous sont ouverts. Devant nous, tu ne touches jamais à tes seins : ils sont exhaussés par le corset pour nous appartenir. Le jour durant, tu seras donc habillée, tu relèves ta jupe si on t’en donne l'ordre, et tu utilises qui voudra, à visage découvert à la réserve toutefois du fouet. Le fouet ne te seras appliqué qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui te seras donné par qui le désirera, tu seras punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parles ou te prends : tu ne dois jamais regarder un de nous au visage. Dans le costume que nous portons à la nuit, et que j'ai devant toi, si notre sexe est à découvert, ce n'est pas pour la commodité, qui ira aussi bien autrement, c'est pour l'insolence, pour que tes yeux s'y fixent, et ne se fixent pas ailleurs, pour que tu apprends que c'est là ton maître, à quoi tes lèvres sont avant tout destinées. Dans la journée, où nous sommes vêtus comme partout, et où tu l'es comme te voilà, tu observes la même consigne, et tu auras seulement la peine, si l'on t’en requiert, d'ouvrir tes vêtements, que tu refermes toi-même quand nous en aurons fini de tu. En outre, à la nuit, tu n'auras que tes lèvres pour nous honorer, et l'écartement de tes cuisses, car tu auras les mains liées au dos, et seras nue comme on t’as amenée tout à l'heure ; on ne te banderas les yeux que pour te maltraiter, et maintenant que tu as vu comment on te fouette, pour te fouetter. A ce propos, s'il convient que tu t’accoutumes à recevoir le fouet, comme tant que tu seras ici tu le recevras chaque jour, ce n'est pas tant pour notre plaisir que pour ton instruction. Cela est tellement vrai que les nuits où personne n'auras envie de toi, tu attendras que le valet chargé de cette besogne vienne dans la solitude de ta cellule t’appliquer ce que tu devras recevoir et que nous n'aurons pas le goût de tu donner. Il s'agit en effet, par ce moyen, comme par celui de la chaîne qui, fixée à l'anneau de ton collier, te maintiens plus ou moins étroitement à ton lit plusieurs heures par jour, beaucoup moins de te feras éprouver une douleur, crier ou répandre des larmes que de te faire sentir, par le moyen de cette douleur, que tu es contrainte, et de t’enseigner que tu es entièrement vouée à quelque chose qui est en dehors de toi. Quand tu sortiras d'ici, tu porteras un anneau de fer à l'annulaire, qui te feras reconnaître : tu auras appris à ce moment-là à obéir à ceux qui porteront ce même signe - eux sauront à le voir que tu êtes constamment nue sous ta jupe, si correct et banal que soit ton vêtement, et que c'est pour eux. Ceux qui te trouvent indocile te ramènent ici. On va te conduire dans ta cellule. »
Pendant qu'on parle les deux femmes se tiennent tenues debout de part et d'autre de la croix, où on m'a fouettée; lorsque l'homme a fini, elles s'avancent vers moi, je me lève pour les suivre. Je ne sens pas d'aplomb sur les mules à semelles surélevées et très hauts talons qu'une bande de satin épais, empêche seule d'échapper au pied. En me baissant, je tourne la tête. Les femmes attendent, les hommes ne me regardent plus. Richard, assis par terre, adossé au pouf contre lequel on m'a renversée au début de la soirée, les genoux relevés et les coudes sur les genoux, joue avec le fouet de cuir.
Richard lève la tête et se met debout, me caresse doucement les cheveux, me lisse les sourcils du bout du doigt, me baise doucement les lèvres. Tout haut, il lui dit qu'il m'aime.
Je lui réponds
- Je t'aime
Il me prend contre lui
- Mon chéri, mon coeur chéri
Il m’embrasse le cou et le coin de la joue ; je pose ma tête aller sur l'épaule. Tout bas cette fois il me répète qu'il m’aime et tout bas encore dit :
- Tu vas te mettre à genoux, me caresser et me sucer.
Les trois hommes s’approchent. Je m’agenouille sur le tapis, mes seins, sont à la hauteur des genoux de Richard.
Richard ordonne soudain
- Répète : je vous aime.
Je répète
- Je vous aime
Mes lèvres effleurent le gland, que j’embouche totalement, le mandrin est en érection, je lui caresse les testicules, sur lesquels je laisse couler ma salive.
Puis Richard me fait pivoter, tête en bas, glisse mes cuisses sur ses épaules. Je suce centimètre par centimètre son mandrin jusqu’aux testicules. Il me lèche la chatte trempée et me doigte l’anus encore dilaté et humide.
J’enserre et soupèse les testicules de mes doigts agiles et experts.
Richard éjacule dans ma bouche dans de longs jets de sperme. Je ne perds aucune goutte.
Richard me libère ensuite.
Je remets mes mules.
Les mules claquent sur les carrelages des couloirs, où des portes se succèdent, discrètes et propres, avec des serrures minuscules.
Au rez-de-chaussée, ce trouvent les valets tous vêtus de blanc, munis d’un cadenas autour du mandrin et des testicules. Ils sont en état d’excitation pendant toute la journée en leur cadenassant la base commune du mandrin et des testicules, mais peuvent éjaculer. Le mandrin est bien enserré à la base commune et ainsi que les testicules sans toutefois serrer la base du mandrin trop fort. La vision du pénis et des testicules cadenassés est très excitante pour moi.
Un des valets m’encule sur le champ, penchée en avant, les mains contre la porte, sans me mener au plaisir.
Au premier étage, les valets sont tous vêtus de noir, munis d’un harnais, étirant les testicules et le mandrin stimulé, leurs testicules sont gonflés et bien lourds et bien pendants.
Après une courte sodomie, toujours penchée en avant, un des valets qui m’encule, éjacule sur mes fesses.
Au second étage, les valets portent un gilet noir et un short rouge, munis d’un séparateur de testicules, qui étire bien les testicules en les séparant, le mandrin est pris en étau entre le séparateur de testicules et le bracelet de cuir autour de la base commune du mandrin et des testicules. Le mandrin est en érection bien dure.
Je suis enculée par un des valets jusqu’à l’orgasme de celui-ci.
Enfin, au troisième étage, où se trouve ma cellule, les valets sont vêtus d’un gilet noir et d’un short rouge, munis d’un harnais d’érection. En effet, le mandrin peut se plier ou de se tordre sans contrainte. Le harnais d’érection se compose d’un bracelet en cuir qui se referme à la base commune du mandrin et des testicules et qui est relié à l’anneau par une languette à pivot mobile. Le harnais d’érection contribue à provoquer l’érection et à la maintenir.
- Tu es dans l'aile rouge, et ton valet s'appelle Pierre.
- Quel valet ? dit O saisie par la douceur de la voix, et comment vous appelez-vous ?
- Je m'appelle Brigitte.
- Et moi Janine, dit la seconde.
- C'est le valet qui a les clefs, qui t’attacheras et te détacheras, te fouetteras quand tu seras punie et quand on n'aura pas de temps pour toi.
- J'ai été dans l'aile rouge l'année dernière, dit Janine, Pierre y était déjà. Il vient souvent la nuit ; les valets ont les clefs et dans les chambres qui font partie de leur section, ils ont le droit de se servir de nous.
Sur une banquette entre cette porte et la porte suivante un bel étalon musclé en gilet et short nous attend. Il porte des bottes comme tous les valets. Il porte aussi un fouet à lanière de cuir. Il sort un passe de sa poche de gilet, ouvre la porte et nous fait entre, disant :
« Je referme, vous sonnerez quand vous aurez fini. »
La cellule était toute petite, et comportait en réalité deux pièces. La porte qui donnait sur le couloir refermée, on se trouvait dans une antichambre, qui ouvrait sur la cellule proprement dite ; sur la même paroi ouvrait, de la chambre, une autre porte, sur une salle de bains.
En face des portes il y a la fenêtre. Sur la paroi de gauche, entre les portes et la fenêtre, s'appuie le chevet d'un grand lit carré, très bas et couvert de fourrures. Il y a un tapis. Brigitte me fait remarquer
- Le lit est une plate-forme matelassée, recouverte d’une étoffe à très longs poils. L’oreiller est plat et dur, avec une couverture à double face.
Le seul objet qui est au mur, est un gros anneau d'acier brillant, où passe une longue chaîne d'acier qui pend droit sur le lit ; ses anneaux entassés forment une petite pile, l'autre extrémité s'accroche à portée de la main à un crochet cadenassé, prise dans une embrasse.
- Nous devons vous faire prendre votre bain, dit Janine.
Les seuls traits particuliers à la salle de bains sont le siège à la turque, dans l'angle le plus proche de la porte, et le fait que les parois sont entièrement revêtues de glace. Brigitte et Janine demeurent avec moi, si bien que lorsque je dois m’accroupir sur le socle de porcelaine, je me trouve au milieu de tant de reflets aussi exposée lorsque des mains inconnues me forcent.
La femme me caresse l’anus délicatement en faisant des petits cercles avec le doigt pénètre juste le bout d’un doigt, notamment au moment de l’orgasme de votre partenaire. Pour me doigter l’anus, elle appuie doucement la pulpe du doigt sur mon anus. L’anus s’ouvre alors tout seul sans forcer et accueille son doigt jusqu’à une ou deux phalanges et ne bouge pas trop au début.
- Attendez que ce soit Pierre, dit Janine, et vous verrez.
- Pourquoi Pierre ?
- Quand il viendra t’enchaîner, il te feras peut-être accroupir. Tu seras bien obligée, réplique Janine, mais tu as de la chance.
- C'est ton amant qui t’as amenée ?
- Oui, dis-je.
- On sera beaucoup plus dur avec toi. Tu comprendras très vite. Je sonne Pierre. Nous viendrons te chercher demain matin.
Brigitte sourit en partant, et Janine, avant de la suivre, caresse, à la pointe des seins, Je reste debout au pied du lit, interdite.
A la réserve du collier et des bracelets de cuir, que l'eau a durcis quand je suis baignée, et qui me serrent davantage, je suis nue.
- Alors la belle dame, dit le valet en entrant.
Et il me saisit les deux mains. Il fait glisser l'un dans l'autre les deux anneaux de mes bracelets, ce qui me joint étroitement les poignets, et ces deux anneaux dans l'anneau du collier. Je me trouve donc les mains jointes à la hauteur du cou
Il défait le crochet et en fixe l'autre extrémité, et tire pour la raccourcir. J’avance vers la tête du lit, où il me fait coucher. La chaîne cliquète dans l'anneau, et se tend si bien que je ne peux me déplacer sur la largeur du lit, ou me tenir debout de chaque côté du chevet. La chaîne tire vers l’arrière et mes mains la ramènent vers l’avant, mes mains jointes se couchent vers l'épaule gauche, vers laquelle la tête se pencha aussi.
Le valet me relève complètement les cuisses sur les épaules, son gland glisse dans mon anus jusqu’à la garde, je sens son harnais m’ouvrir l’anus. Je ne peux me dérober dans cette position renversée. La sodomie est profonde. Je gémis un peu avant de jouir.
Il s’introduit très progressivement et marque plein de temps de pause pour que je m’habitue petit à petit à la sensation de son mandrin dans mon anus. Il fait des va-et-vient, mais très lent pour commencer. Il accélère ensuite le rythme.
- Ton cul est bien ouvert, mais encore. Tu es encore étroite.
Il se retire après quelques va-et-vient et me fait sucer son gland.
Le valet ramène sur moi la couverture noire, ne dit pas un mot, éteint la lumière, qui est une applique entre les deux portes, et sort.
Couchée sur le côté gauche, et seule dans le noir et le silence, chaude entre ses deux épaisseurs de fourrure, et par force immobile, je ne peux me servir de mes mains, pour apaiser la chaleur entre mes lèvres de ma chatte, mon anus reste encore un peu dilaté et humide après la sodomie par Pierre.
Je revois la main de Richard prenant mon porte-jarretelles et mon slip, et tendu les jarretières pour que je roule mes bas au-dessus de mes genoux.
Dans la nuit, je serais mise debout sur le lit, pour me fouetter et m’enculer de nombreuses fois.
Pierre me fouetterait, Janine l'a dit. Je m’endors.
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est plus noire et plus froide, juste avant l'aube, Pierre revient. Il allume la lumière de la salle de bains en laissant la porte ouverte, ce qui illumine mon corps, mince et recroquevillé, enfle un peu la couverture, qu'il rejète en silence. Je suis couchée sur la gauche, le visage vers la fenêtre, et les genoux un peu remontés, j’offre à son regard ma croupe bronzée sur la fourrure noire. De sous ma tête, il ôte l'oreiller, dit poliment :
- Veux-tu te mettre debout, s'il te plaît
Je m’agenouille en m'accrochant à la chaîne, il me prend par les coudes pour que je me dresse tout à fait.
Il détache la chaîne du mousqueton pour la raccrocher à un autre maillon, de manière qu'elle demeure tendue, et je la sens se tendre.
Mes pieds reposent, nus, bien à plat sur le lit. Pierre a pris la cravache noire.
Pierre me courbe en avant, cravache le travers des reins, et j’hurle. Pierre me cravachait à toute volée. Il recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Il s’arrête.
Il m’écarte les fesses, s’enfonce progressivement dans mon anus, qu’il dilate avec son harnais, jusqu’aux testicules et me donne quelques claques magistrales sur les fesses.
Il me caresse le clitoris ; La sodomie est brève. Je jouis.
- Retourne-toi et mets-toi accroupie, dit-il,
J’obéis, pantelante de ma sodomie. Il se donne un peu de recul, puis de toute sa force abat sa cravache sur le devant des cuisses.
Le tout a duré cinq minutes.
Il éjacule dans ma bouche.
Quand il part, après avoir refermé la lumière et, la porte de la salle de bains, je reste accroupie, puis m’agenouille, cuisses écartées, à demi assise sur les talons, bras tendus en l’air. Je suis tournée vers la grande fenêtre, va du plafond au sol, sans aucun rideau. Je regarde naître le jour.
Aucun homme n’a les clefs, ni celles des portes, ni celles des chaînes, ni celles des bracelets et des colliers, mais tous les hommes portent à un anneau les trois sortes de clefs qui, chacune dans leur genre, ouvrent toutes les portes, ou tous les cadenas, ou tous les colliers.
Les valets les ont aussi. Mais, au matin, les valets qui ont été de service la nuit dorment, et c'est l'un des maîtres ou un autre valet qui vient ouvrir les serrures. L'homme qui entre dans ma cellule est habillé d'un blouson de cuir et d'un short, et bottes.
Il porte un anneau en cuir avec une fente au milieu de l’anneau pénien vient emprisonner les testicules qui retiennent alors l’anneau pénien en l’empêchant de glisser, et en provoquant simultanément une sensation d’étreinte très agréable à la base des testicules ! Il permet d’avoir une érection sans comprimer trop fortement le pénis et ils permettent aussi le placement de l’anneau pénien à la base commune du pénis et des testicules : une sensation ultra-excitante.
Il défait d'abord la chaîne du mur, et je peux me coucher sur le lit.
Il me fait sucer son mandrin en signe de reconnaissance.
Encore mains jointes au cou, l’homme m’allonge sur le ventre, m’écarte les cuisses, m’encule, en me tenant aux hanches. Il m’imprime des coups profonds. Je lui réponds en agitant ma croupe, pour qu’il bande davantage.
Il se retire sans me mener au plaisir et éjacule dans ma bouche.
Il me détache les poignets, je garde les yeux fermés en sa présence.
Brigitte et Janine sont entrées avec lui, et attendent debout de chaque côté du lit. Sur quoi il s'en va ! Brigitte ramasse l'oreiller par terre, et la couverture que Pierre a rabattue vers le pied du lit, quand il est venu me fouetter, pendant que Janine tire vers le chevet une table roulante qui a été amenée dans le couloir et porte du café, du lait, du sucre, du bain, du beurre et des croissants.
- Mangez vite, dit Brigitte, il est neuf heures, tu pourras ensuite dormir jusqu'à midi, et quand tu entendras sonner, il sera temps de t’apprêter pour le déjeuner. Tu prendras un bain et je te coifferais, je viendrai te farder et te lacer ton corset.-
- Tu n’es de service que dans l'après-midi, dit Janine, pour la bibliothèque servir le café, les liqueurs et entretenir le feu.
- Mais vous ? dit O.
- Ah ! Nous sommes seulement chargées de toi pour les premières vingt-quatre heures de ton séjour, ensuite tu seras seule et tu n'auras affaire qu'aux hommes. Nous ne pourrons pas te parler, et toi non plus à nous.
- Restez, dit O, restez encore, et dites-moi...
Richard entre nu, muni du même anneau pénien que l’homme qui l’a libéré ce matin.
Les deux femmes disparurent, sans autre bruit que le crissement de la soie lorsqu'elles relèvent leurs jupes (toutes les jupes traînent un peu) - sur les tapis les mules ne s'entendent pas.
Je tiens une tasse de café à la main gauche et de l'autre un croissant, assise à demi en tailleur au rebord du lit, une jambe pendante et l'autre repliée, reste immobile.
Je pose la tasse sur la table. Puis Richard s’assoit près de moi, me renverse et m'embrasse.
- Tu m’aimes.
- Je t’aime.
Il me fait mettre debout, appuyant doucement la paume fraîche de ses mains, puis ses lèvres tout le long des balafres. Richard m’entraîne au pied du lit.
- Prends-la, elle est pour toi.
L’inconnu passe la main sur mes seins et le long de mes reins.
Ecarte tes jambes.
- Obéis me dit Richard, qui me soutient debout, appuyée du dos contre lui qui est debout aussi. Et sa main droite me caresse un sein, et l'autre me tient l'épaule.
L'inconnu s’assoit sur le rebord du lit, il écarte les lèvres de ma chatte. Je me retrouve à portée, poussée en avant. Le bras droit de Richard glisse autour de ma taille, ce qui lui donne plus de prise.
Puis l’inconnu me lèche l’anus et mon clitoris qui durcit et se dresse.
Je me retrouve soudain étendue sur le dos, la bouche de Richard sur ma bouche ; ses deux mains me plaquent les épaules sur le lit, cependant que deux autres mains sous mes jarrets m’ouvrent et me relèvent les jambes.
Mes mains sont sous mes reins (car au moment où Richard m’a poussé vers l'inconnu, il m’a lié les poignets en joignant les anneaux des bracelets), mes mains sont effleurées par le mandrin de l'homme qui se caresse à l’entrée de mon anus. Il me soulève les reins et m’encule avec douceur puis entre et sort de mon anus pour me soumettre. Au premier coup je crie, puis à chaque coup, et Richard me mord la bouche.
Après son éjaculation, il se retire. Richard me défait les mains, me couche sous la couverture. L'homme se relève, il va avec lui vers la porte.
Richard reste avec moi, se couche le long de moi, sous la couverture, se glisse dans ma chatte humide et brûlante, et me tenant embrassée,
- Je t'aime. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang.
Le soleil a percé la brume et inondait la chambre. Mais seule la sonnerie de midi nous réveille. Il me dit, tout en me tenant par le collier, deux doigts glissés entre le cuir et le cou,
- Tu seras désormais mise en commun entre lui et ceux dont il déciderait, et ceux qu'il ne connaîtrait pas qui sont affiliés à la société du château, comme je l'ai été la veille au soir. Que c'est de lui, et de lui seul que je dépends, même si je reçois des ordres d'autres que lui, qu'il soit présent ou absent, car il participe par principe à n'importe quoi qu'on puisse exiger de moi ou lui infliger, et que c'est lui qui me possède et jouit de moi à travers ceux aux mains de qui je suis remise, du seul fait qu'il m’a remise à eux. Je suis soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel je l'accueille. Je deviens une prostituée. C'est parce qu'il t'est facile de consentir que je veux de toi ce à quoi il te sera impossible de consentir, même si d'avance tu l'acceptes, même si tu dis oui maintenant, et que tu t'imagines capable de te soumettre. Tu ne pourras pas ne pas te révolter. On obtiendra ta soumission malgré toi, non seulement pour l'incomparable plaisir que moi ou d'autres y trouveront, mais pour que tu prennes conscience de ce qu'on a fait de toi. On t'a dit hier que tu ne devais, tant que tu serais dans ce château, ni regarder un homme au visage, ni lui parler. Tu ne le dois pas davantage à moi, mais te taire, et obéir. Je t'aime. Lève-toi. Tu n'ouvriras désormais ici la bouche, en présence d'un homme, que pour crier ou caresser.
Je me lève donc. Je me baigne, me coiffe, m’éponge les reins sans frotter, farde ma bouche, me poudre et toujours nue, je rejoins les yeux baissés, la cellule.
Richard me fait asseoir sur une chaise. Je me tiens les cuisses très écartées, les fesses au bord de la chaise, dévoilant ma toison fendue par les lèvres de ma chatte, menottée au dossier et aux pieds de la chaise, prisonnière, les talons sur la chaise, les genoux remontés, les cuisses écartées, dévoilant mon sexe et mon cul. Mes poils s’étendent entre mes fesses dans la naissance de la raie culière.
Il arrache quatre par quatre les mèches humides des poils autour de mes lèvres de la chatte et jette les poils dans la bassine, dévoilant les lèvres allongées de la chatte, décollées. Mes grandes lèvres s’écarquillent.
Il me libère, me penche en avant, chaussée de mes mules, il m’encule avec vigueur, mains jointes au cou, je ne peux retirer son mandrin de mon anus. Il me fesse, tandis que ses testicules claquent contre mes fesses. Je jouis.
- Ouvre-toi, obéis.
Il se retire et me glisse dans l’anus, un bijou d’anus en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre mes fesses une fois que le bijou a été introduit dans l’anus. Le bijou est très doux et très petit, il peut facilement être porté pendant toute la journée, il ne provoque aucune gêne mais au contraire une délicieuse excitation anale permanente, long de cinq centimètres dont quatre et demi m’enculent, pour trois de diamètre.
- Ceci est pour ouvrir tes reins.
Janine entre, et se tient debout au chevet du lit, les yeux baissés, muette elle aussi.
Habille-la.
Janine agrafe le corset sur le devant, commence à serrer le lacet par-derrière. Le corset est durement baleiné, long et rigide, et comporte des goussets où reposent les seins.
A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe. En même temps, la taille s'étrangle, ce qui fait saillir le ventre et cambrer profondément les reins.
Je mets le jupon uniquement pour le second jour, s’arrêtant au-dessous du genou.
La large jupe et le corsage échancre en trapèze,
Richard tient à ce que je porte le corsage, croisé devant et noué derrière pouvant suivre ainsi la ligne plus ou moins fine du buste, selon qu'on a plus ou moins serré le corset.
Quand je suis habillée, Richard m’invite
- Relève ton jupon.
J’obéis, je relève le jupon à deux mains, dénudant mon ventre, mes cuisses et mes genoux polis, mon pubis noir. Richard me caresse les seins.
- Tu sors de ta cellule, en montrant tes reins.
Je relève mon jupon et fixe les pontes de la fente à des pressions sur le jupon.
Janine me prend par la main et m'entraîne dans le couloir. Nos mules claquent de nouveau sur le carrelage, et nous trouvons de nouveau sur la banquette, entre les portes, un valet. Il est vêtu comme Pierre, mais ce n'est pas lui. Celui-ci est grand, sec.
Le valet me penche en avant, me retire le bijou d’anus et m’encule quelques instants sans me mener au plaisir ;
Il nous précède, et nous fait entrer dans une antichambre où, devant une porte en fer forgé qui se découpe sur de grands rideaux, deux autres valets attendent. Le sol est fait de marbre.
Janine disparaît conduite par un valet.
Le valet qui reste seul, me prie de le suivre, ouvre une porte face à celle que je viens de franchir et s'efface.
Le valet referme la porte et reste avec moi.
Il me met mains jointes au cou, me penche en avant, me retire le bijou d’anus, m’encule pendant un quart d’heure. Je ne peux me dérober et je jouis. Il gicle dans ma bouche, que j’offre accroupie, sans perdre une goutte.
Pendant les deux semaines de mon séjour, je me plie au silence.
Les valets punissent les infractions à la règle, quand ils en étaient seuls témoins, sur-le-champ.
Le valet qui m’a enculée, me cravache ensuite les fesses, pour m’être abandonnée au plaisir.
Le plein jour donne au costume des valets un aspect étrange et menaçant. Quelques-uns portent des shorts et des chemises ouvertes.

Au huitième jour, au réfectoire, je suis vêtue de mon jupon, exhibant mes reins, de mon corsage, ave mon bijou d’anus que je porte une partie de la journée, je me trouve au réfectoire. Le valet me fait lever, me cravache les fesses, me retire le bijou d’anus et m’encule entre le plat de résistance et le dessert, sans explication.
Il me remet le bijou en place et je continue à manger.
Je suis fouettée aussi, pour avoir lever les yeux sur certains.
Ils tiennent à m’humilier.
La salle du réfectoire comprend une grande table en verre épais, avec le sol en marbre. Je m’assois cul nu, sur un tabouret rond recouvert de cuir. Je relève ma jupe pour m'y poser, et je retrouve ainsi, au contact du cuir lisse et froid sous mes cuisses, le premier instant où Richard m’avait fait ôter mes bas et mon slip, et m'a fait asseoir à même la banquette de la voiture.
Inversement, à mon départ du château, et je dois toujours garder les reins et les fesses nus sous mon tailleur ou ma robe, relever à chaque fois ma combinaison et ma jupe pour m'asseoir aux côtés d’un homme, à même la banquette d'une auto ou d'un café, c'est le château que je retrouve, les seins offerts dans les corsets de soie, les mains et les bouches à qui tout est permis, et le terrible silence.

Le jour qui est son deuxième jour, quand vingt-quatre heures ne sont pas encore écoulées depuis mon arrivée, après le repas, je suis conduite dans la bibliothèque, pour y faire le service du café et du feu. Janine m'accompagne, et une autre fille qui s'appelle Sarah. C'est le même valet qui nous conduit, et demeura dans la pièce, debout près du poteau où j’avais été attachée.
La bibliothèque est encore déserte. Les portes-fenêtres ouvrent à l'Ouest.
Le jupon ouvert sur mes reins, tous voient mes reins nus jusqu’à la taille, mes cuisses, mes jambes musclées s’encadrant dans l’ouverture du jupon. Tous voient aussi mon cristal rose visible entre mes fesses. On voit les cinq balafres noires.
- Richard a commencé à préparer vos reins, je vois un bijou d’anus. C’est très bien, dit Brice..
Carl me met les mains jointes au cou, tandis que Brice me penche en avant, m’écarte les fesses et me retire le bijou d’anus. Il me doigte l’anus avec aisance. Je jouis.
Je verse ensuite le café, les mains libres, dans les petites tasses noires et or, que Sarah offre, avec du sucre.
De temps en temps, je remets une bûche sur le feu. Je suis assise sur un coussin par terre près du panier de bois, Sarah et Janine par terre aussi en face de moi.
Tout à coup, mais au bout d'une heure seulement, le garçon blond appelle Janine, puis Sarah. Il leur dit d'apporter le pouf. Sarah s'agenouille, se penche, la poitrine écrasée contre la fourrure et tenant à pleines mains les deux coins du pouf. Lorsque le garçon fait relever par Janine la jupe, elle ne bouge pas. Janine doit alors, et il en donna l'ordre dans les termes les plus brutaux, défaire son vêtement, et prendre entre ses deux mains son mandrin, les mains menues de Janine, qui écartent les cuisses de Sarah au creux desquelles, lentement, et à petites secousses qui la font gémir, le garçon s'enfonce.
L'autre homme me fait signe d'approcher, et sans cesser de regarder, me fait basculer en avant sur un des bras du fauteuil - et mon jupon relevé, me retire le bijou d’anus, m’encule dans cette position, je ne peux me dérober.
Richard me rejoint, tandis que l’homme va et vient dans des coups de boutoir vigoureux dans mon anus dilaté. Il me fesse magistralement. La sodomie dure une éternité.
Il m’écarte davantage les fesses pour m’enculer profondément, jusqu’aux testicules qui claquent contre mes fesses rougies et brûlantes.
Sarah est depuis longtemps relevée, Janine tisonne le feu à ma place. L'homme ne se déloge pas de mon anus tout en parlant :
Elle est à vous ?
Oui, répond Richard
Elle est trop étroite, reprend l'autre, le bijou ne l’ouvre que partiellement l’anus il faut l'élargir.
- Pas trop tout de même, dit un autre.
- A votre gré, dit Richard en se levant, vous êtes meilleur juge que moi. » Et il sonna.
Désormais, huit jours durant, entre la tombée du jour où finit mon service dans la bibliothèque et l'heure de la nuit, huit heures ou dix heures généralement, où on m'y ramène - quand on m'y ramène - enchaînée et nue sous une cape rouge, je porte fixée au centre de mes reins par trois chaînettes tendues à une ceinture de cuir autour de mes hanches, de façon que le mouvement intérieur de mes muscles ne la puisse repousser, un sexe dressé. Une chaînette suit le sillon des reins, les deux autres le pli des cuisses de part et d'autre du triangle pubien, afin de ne pas empêcher qu'on y pénètre au besoin. Quand René a sonné, c'est pour faire apporter le coffret où dans un compartiment il y a un assortiment de chaînettes et de ceintures, et dans l'autre un choix de ces mandrins dressés, qui vont des plus minces aux plus épais.
Tous ont en commun qu'ils s'élargissent à la base, pour distendre l’anus. Ainsi écartelée, et chaque jour davantage, car chaque jour Jacques, qui me fait mettre à genoux, ou plutôt prosterner, pour veiller à ce que Janine ou Sarah, ou telle autre qui se trouve là, fixe le mandrin qu'il a choisi, le choisit plus épais. Au repas du soir, que les filles prennent ensemble dans le même réfectoire, mais après leur bain, nues et fardées, je le porte encore, et du fait des chaînettes et de la ceinture, tout le monde peut voir que je le porte.
Il ne m’est enlevé, et par lui, qu'au moment où le valet Pierre vient m'enchaîner, soit au mur pour la nuit si personne ne me réclame, soit les mains au dos s'il doit me reconduire à la bibliothèque. Rares sont les nuits où je suis enculée, l’anus ainsi rapidement rendu aussi aisé, bien que toujours plus étroit que l'autre.
Le premier est un bijou d’anus anatomique qui reste très bien en place dans l’anus, sa forme anatomique est extrêmement bien acceptée par l’anus qui ne cherche pas à l’expulser naturellement, sa base souple courbe s’adapte à la perfection à la raie culière, le gros renflement en bas du bijou d’anus maintient très bien le bijou d’anus dans l’anus, la petite dimension du bijou d’anus rend son insertion et sa conservation particulièrement confortables et très excitantes. L’extraction du bijou d’anus est délicieuse quand chaque renflement provoque des petites dilatations de l’anus ! Il mesure dix centimètres avec un diamètre maximum de trois centimètres à la hauteur du gros renflement.
Je le porte la journée et le soir, je porte un bouton d’anus long de six centimètres dont quatre m’enculent et trois de diamètre pour 90g.
Quand je porte le bijou d’anus, je ne porte pas la ceinture de cuir.
Au troisième jour, j’ai droit de porter un autre bijou d’anus en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rose à son sommet : c’est ce cristal rose qui est visible entre les fesses une fois que le bijou d’anus a été introduit dans l’anus. Il mesure six centimètres dont six m’enculent pour trois de diamètre, il est un peu plus léger avec 34 grammes. Je ne peux l’expulser car la forme en sapin du bijou d’anus et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.
Au cinquième jour, je porte un bouton d’anus avec un personnage très indiscret, qui me pénètre de son énorme dard, il me scrute au plus près en toute impudeur et me caresse de ses pieds. Il est long de huit centimètres dont sept m’enculent, pour trois de diamètre et 165g
Au septième jour, j’ai droit à un bijou d’anus long de sept centimètres de longueur et de 140 grammes, à cristal rouge, en aluminium brillant orné par un magnifique cristal rouge à son sommet : c’est ce cristal rouge qui est visible entre les fesses une fois que le bijou d’anus a été introduit dans l’anus. Six centimètres et demi m’enculent, pour trois de diamètre et 140 grammes. Je ne peux l’expulser car la forme en sapin du bijou d’anus et sa large base vous garantissent un excellent maintien dans l’anus.
Enfin, je porte le bouton d’anus long de onze centimètres dont huit m’enculent avec quatre de diamètre pour 440g
Au huitième jour, j’ai droit à un bouton d’anus avec un serpent malicieux qui darde impudiquement sa langue sur la vulve, le clitoris, et me conduis au paradis, long de treize centimètres dont douze m’enculent, cinq de diamètre pour 600g. C’est le plus épais que je porte.
Chaque bijou d’anus a une section qui relie les deux extrémités qui est très fine et douce afin de laisser l’anus se refermer dessus sans gêne La tige de la taille de l’auriculaire sert de support lorsque le sphincter se referme.

Le soir du huitième jour, où Pierre me l’enlève, je suis conduite nue et en mules, mains dans le dos. Je suis longuement enculée prosternée, par Brice, Alban et Carl, ainsi que Richard. Chacun gicle dans ma bouche.
- Je suis heureuse que tu sois doublement ouverte. Je tiens à veiller que tu le demeures.
Au bout de huit jours aucun appareil ne fut plus nécessaire et Richard me dit
- Je suis heureux que tu sois doublement ouverte, et qu'il veillerait à ce que tu le demeures.
Le soir, je porte le plus gros des bijoux d’anus au cristal rouge, long de six centimètres et demi, pour garder mon anus dilaté.
En même temps Richard m'avertit
- Je pars. Tu dois passer encore sept dernières journées au château avant mon retour pour te ramener, tu ne verras point. Mais je t'aime, ajouta-t-il, je t'aime, ne m'oublie pas.
Le corset me tient droite, les chaînes qui me gardent soumise, le silence mon refuge y sont peut-être pour quelque chose, comme aussi le spectacle constant des filles, livrées comme moi, et même lorsqu'elles ne sont pas livrées, de leur corps constamment accessible. Le spectacle aussi et la conscience de mon propre corps.
Chaque jour, je suce des mandrins anonymes, mes mamelons sont froissés, ma chatte et mon anus sont labourés par des mandrins à plaisir.
Je reste calme, sereine, telle une recluse.
Lorsque Richard m'avertit qu'il me laisse, la nuit est déjà tombée.
Je suis nue dans ma cellule, les lèvres de la chatte fraîchement épilées par Richard, l’anus rempli par mon bijou au cristal rouge et attends de rejoindre le réfectoire.
Richard est torse nu, pour me prendre dans ses bras, il agace les mamelons, m’embrasse, m’allonge sur le ventre, retire son pantalon, me retire mon bijou et m’encule vigoureusement. J’agite ma croupe pour l’amener progressivement au plus fort de son érection. Il se retire et éjacule dans ma bouche.
Il me remet le bijou en place dans l’anus.
Il m’embrasse encore.
- Avant de partir, je voudrais te faire fouettera dit-il, et cette fois je te le demande. Acceptes-tu ?
J’accepte.
- Je t'aime, répéta-t-il, sonne Pierre.
Elle sonne. Pierre m’enchaîne les mains au-dessus de ma tête, à la chaîne du lit.
Richard fait signe à Pierre, la cravache cingle mes fesses, mes cuisses et mes reins, avec la même force que le premier soir. Je jouis sous la cravache.
Avant de renvoyer Pierre, Richard me retirer le bijou d’anus et me fait enculer par Pierre, je suis encore enchaînée. Pierre me tient par les hanches, me fait empaler jusqu’aux testicules. Je jouis à nouveau, malgré que la sodomie soit courte.
Pierre me remet le bijou d’anus en place et disparaît.
Richard me délie, me couche sur le ventre, caressant mes cuisses, mes fesses et mes reins zébrés et part.

Le surlendemain du départ, au soir tombé, nue dans ma cellule, regardant mes marques presque effacées de la cravache sur le devant de mes cuisses dans le miroir de ma salle de bains, Pierre entre.
Il me penche en avant, me libère du bijou d’anus, m’encule quelques instants.
Il y a deux heures encore avant le dîner.
- Apprête-toi, en me désignant dans l'angle le siège à la Turque
Je dois m’accroupir, le poids du bijou bouge en même temps.
Il me baigne. Je me rince. Je me farde.
Il me joint ensuite les bracelets dans le dos, comme au premier soir.
- Tu restes nue ce soir, assis-toi, cuisses écartées.
J’obéis.
Pierre a une vue imprenable sur mon pubis velu brun et mes seins durcis par l’excitation.
Pierre attache sur mes yeux le bandeau de velours noir. Il se renfle un peu au-dessous des orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le moindre regard, impossible de lever les paupières.
Pierre attache cette chaîne à l'anneau de mon collier, et me prie
- Accompagne-moi.
Je me lève, sens qu'on me tire en avant, et marche. Mes pieds nus se glacèrent sur le carreau du couloir de l'aile rouge, puis le sol, toujours aussi froid, devint rugueux : je marche sur un dallage de pierre.
A deux reprises, le valet me fait arrêter, j’entends le bruit d'une clef dans une serrure, ouverte, puis refermée.
A la première porte, des mains étrangères m’écartent les fesses, pendant qu’on ouvre la porte. Un gros gland m’encule, après le retrait du bijou d’anus, la sodomie est brève. On me remet le bijou en place.
« Prenez garde aux marches », dit Pierre.
Je descends un escalier où je trébuche une fois. Pierre me rattrape à bras-le-corps. Il me couche contre les marches froides où de mes mains liées je m'accroche tant bien que mal pour ne pas glisser, et qu'il me prenne les seins. Sa bouche allait de l'un à l'autre, et en même temps qu'il s'appuie contre moi, me pose les mollets sur ses épaules, m’agrippe aux hanches, me retire le bijou d’anus et m’encule.
Il m’encule profondément. Je ne peux me dérober. En tentant de me dérober, j’accentue ma sodomie.
Il se retire et éjacule sur mon pubis.
Il ne me relève. Moite et tremblant de froid, je descends les dernières marches quand je l'entends ouvrir encore une porte, que je franchis, et sens aussitôt sous mes pieds un épais tapis.
La chaîne est encore un peu tirée, puis les mains de Pierre détachent mes mains, dénouaient mon bandeau : je suis dans une pièce ronde et voûtée, très petite et très basse ; les murs et la voûte sont de pierre. La chaîne qui est fixée à mon collier tient au mur à un piton à un mètre de haut, face à la porte et ne me laisse que la liberté de faire deux pas en avant.
Sur le côté, trône une mystérieuse machine, avec deux godes plein souple et doux ultra-réaliste qui imite la consistance de la chair : un gode anal de quatorze centimètres et quatre de diamètre et un gode vaginal long de quatorze centimètres et dix pour honorer ma chatte et quatre de diamètre orné de deux stimulateurs clitoridiens et anaux ultra-souples ainsi que d’une multitude de renflements le long de la hampe. Chaque gode est visé sur la base de la machine, chaque gode est traversé de sa base jusqu’au gland par un canal d’éjaculation pour le faux sperme.
Pierre me fait asseoir sur la machine, agenouillée, cuisses écartées, jambes repliées.
Les deux godes montent et descendent de six centimètres À chaque va-et-vient : une sodomie et une pénétration qui ne me laissent pas insensible ! La cadence de va-et-vient est très aisément réglable en temps réel grâce à un bouton rotatif en façade : jusqu’à 300 pénétrations par minute !
Elle dispose d’un réservoir de faux sperme: le fait de presser le bouton rouge en façade provoque le blocage du gode en position haute suivie de cinq éjaculations successives !
La machine est électrique.
Je suis pénétrée jusqu’à la jouissance grâce à l’action des stimulateurs clitoridiens et anaux conjuguée aux mouvements de haut en bas. Les éjaculations successives sont très stimulantes et très excitantes : il ne faut pas hésiter à les déclencher au moment de mon orgasme..
Pierre me fait asseoir dessus, mains jointes au cou. Il enclenche les vitesses. Je ne peux tenir plus d’une demi-heure. Je suis récompensée par de longs jets d’eau tiède dans mon anus et ma chatte.
Pierre accentue ma soumission, profitant que je suis menottée, pour fixer un tube creux transparent à l’extrémité du flexible transparent relié à la pompe à main. Il presse sur la pompe à main sans relâcher la pression, pose le tube transparent sur le clitoris, pendant que je suis assise sur la machine : mon clitoris devient gros comme une cerise dans le tube creux transparent qui reste en place en l’allongeant érotiquement et en vous procurant des sensations exquises !
Il le laisse en place, pour étirer mon clitoris.
Puis il retire le tube, appuie simplement sur le petit bouton transparent à l’extrémité de chaque tube, l’air va alors s’échapper en libérant mon clitoris : mon clitoris reste volumineux pendant plusieurs secondes ou plusieurs minutes selon mon excitation ! Ainsi mon clitoris est particulièrement saillant et volumineux.
Pierre me laisse ainsi une demi-heure chaque jour sur la machine. Mains jointes au cou, Pierre ou le valet de permanence peut cravacher mes reins, mes fesses, mes reins exposés, tandis mon bassin ondule sur les deux godes.
Par contre, à ma portée, dans une niche d'où part le peu de lumière qui éclaire la pièce, un plateau de bois porte de l'eau, des fruits et du pain.
Ainsi, lors de la venue d’hommes, je suis accroupie au centre de la pièce, mains jointes au cou, la chaîne fixée au piton, les yeux bandés par le valet qui me remet sur le plateau aussi de l'eau, des fruits et du pain quand il n'y en a plus, et me conduit me baigner dans un réduit voisin.
Accroupie, j’expose le devant de mes cuisses aux inconnus, qui sont plusieurs ou seuls. Ils caressent ma bouche, ma chatte, me fouettent et m’enculent accroupie. Tous sont bien montés.
Je perds aussi leur compte, et leur nombre, et mes douces mains ni mes lèvres caressant à l'aveugle ne surent jamais reconnaître qui elles touchent.
Je perds aussi le compte des supplices et de mes cris, que la voûte étouffe.

Au huitième jour, Pierre m’installe une dernière fois sur la machine. Il m’autorise à masturber mon clitoris qui a rendu volumineux avec le tube, ainsi que mes mamelons gros et longs avec les tubes ; chaque caresse me fait mouiller davantage.
Pantelante, il me fait lever de la machine, m’encule une ultime fois en levrette, empalée jusqu’aux testicules. Je m’empale sur lui à son tour.
Il éjacule dans ma bouche, me remet le bijou d’anus en place.
Il me bande les yeux, m’enveloppe nue dans une couverture, me prenant aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve dans sa cellule, couchée sous ma fourrure noire, c'est le début de l'après-midi, j’ai les yeux ouverts, les mains libres, et Richard assis près, de moi caresse les cheveux.
- Il faut te rhabiller, dit-il, nous partons.
Je prends un dernier bain, il me brosse les cheveux, me tend ma poudre et mon rouge à lèvres.
Quand je reviens dans la cellule, mon tailleur, mes bas, des mules à petits talons sont sur le pied du lit, mon sac et mes gants aussi. Il y a même le manteau que je mets sur mon tailleur quand il commence à faire froid, et un carré de soie pour protéger le cou, mais ni porte-jarretelles, ni slip.
Enfile que tes bas, tu mettras ta jupe et ta veste plus tard, chausse tes mules.
Je m’habille lentement, roulant mes bas au-dessus du genou, et sans mettre ma veste parce qu'il fait très chaud dans la cellule. A cet instant, l'homme qui m’a expliqué le premier soir ce qui serait exigé de moi entre. Il défait le collier et les bracelets qui depuis deux semaines me tiennent captive.
Il me prie ensuite de choisir, parmi des bagues toutes semblables qu'il me présente dans un petit coffret de bois, celle qui irait à mon annulaire gauche. Ce sont de curieuses bagues de fer, intérieurement cerclées d'or, mais renflé, porte en nielles d'or le dessin d'une sorte de roue à trois branches, qui chacune se referme en spirale. La seconde, en forçant un peu, me va exactement. Elle est lourde à sa main, et l'or brillait comme à la dérobée dans le gris mat du fer poli. Il n'est pas possible de parler dans cette pièce où la chaîne est encore au mur au-dessus du lit, où la couverture noire encore défaite traîne par terre, où le valet Pierre peut entrer, va entre
L’homme m’encule une ultime fois, penchée en avant, les mains au sol. Il m’écarte bien les fesses, logeant son mandrin profondément. Je jouis. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses et d’une main, il s’empare de mon clitoris encore saillant et volumineux, par la pompe matinale.
Il se retire et éjacule dans ma bouche.
Je me trompe, Pierre n'entre pas. Richard me fait mettre la veste de mon tailleur, sur mon torse nu et mes longs gants qui recouvrent le bas des manches.
Je prends mon foulard, mon sac, et sur le bras mon manteau et ma jupe. Les talons de mes mules font sur le carreau du couloir moins de bruit que n'en ont fait mes mules à hauts talons, les portes sont fermées, l'antichambre est vide.
Je tiens Richard par la main. L'inconnu qui nous accompagne ouvre les grilles.
A la dernière grille, Richard m’offre à l’inconnu :
- Encule-la. Elle est bien ouverte.
L’homme me fait mettre en levrette sur une banquette. Il m’encule jusqu’aux testicules. Il plaque une main sur mes reins et me donne quelques claques magistrales sur les fesses. Je m’empale à mon tour sur son mandrin, soumise. Je jouis. Il se retire et éjacule dans ma bouche.
Il soulève un des rideaux de velours, et nous fait passer tous les deux. Le rideau retombe. La grille se referme. Nous sommes seuls dans une autre antichambre qui ouvre sur le parc.
- Avant de mettre ta jupe et ton manteau, je veux t’enculer aussi.
Il m’allonge sur le dos, me déchausse, me relève complètement les cuisses sur les épaules. Son gland m’encule avec aisance. Je jouis, ouverte au maximum.
Il gicle dans ma bouche.
Je me refais une beauté, enfile ma jupe qui fendue derrière et mon manteau.
Richard m’a inséré un nouveau bijou d’anus en forme de pomme de pin, dont chaque mouvement fait mouvoir le bijou d’anus en moi, frottant tout ou partie de ma chatte, long de treize centimètres dont douze m’enculent et cinq de diamètre pour - 600g
Il n'y a plus qu'à descendre les marches du perron, devant lequel je reconnais la voiture. Je m’assois près de Richard, qui prend le volant et démarre.
Je m’assois cul nu sur la banquette, comme au château.
Quand nous sommes sortis du parc dont la porte cochère est grande ouverte, au bout de quelques centaines de mètres, il arrête pour m'embrasser.
Mes seins nus pointent sous ma veste de tailleur et mes fesses nues sont posées sur le cuir froid de la voiture.
L'appartement que j’habite est situé dans un quartier résidentiel bourgeois, sous les combles d'une vieille maison.
Les pièces sont mansardées, larges et basses, et celles qui sont en façade, il y en a deux, ouvrant chacune sur des balcons ménagés dans la pente du toit. L'une d'elles est ma chambre d'O, l'autre où du sol au plafond, sur une paroi des rayons de livres encadrent la cheminée, sert de salon, de bureau, et même de chambre si l'on veut : elle a un grand divan face à ses deux. fenêtres, et face à la cheminée une grande table ancienne. On y dîne aussi quand la toute petite salle à est vraiment trop petite pour les convives. Une autre chambre, sur la cour aussi, sert à Richard qui y range ses vêtements, et s'y habille. Je partage avec lui ma salle de bains; la cuisine, est minuscule. Une femme de ménage vient tous les jours. Les pièces sur cour sont carrelées, similaires à ceux des corridors du château.
Ma chambre est petite, les rideaux sont fermés, le feu brille derrière la toile métallique du pare-feu, le lit est prêt, la couverture faite.
- Tu resteras nue désormais, à toute occasion, dans l’appartement.
Je me déshabille prestement, ne gardant que mes mules et mon bijou d’anus.
- Assis-toi devant le feu, cuisses bien écartées, pour que je vois ton sexe, assis-toi sur tes talons, le mains dans le dos, pendant que je te parle.
J’obéis, devant Richard qui est debout, la fourrure du tapis frotte ma chatte humide.
Je demeure donc immobile
- Je veux que tu sois constamment et immédiatement accessible. Fini, les genoux croisés, tes lèvres resteront entrouvertes. Tu trieras tes vêtements, j’ai déjà retiré tes slips, tes soutien-gorges, tes porte-jarretelles, tes combinaisons et tes robes non ouvertes devant et tes jupes trop étroites. Il te reste encore quelques vêtements à trier.
Je trouverais dans le petit tiroir de son secrétaire tout l'argent qu'il me faut.
Lorsqu'il a fini de parler, elle murmura « je t'aime » sans le moindre geste.
- Va te coucher, je te rejoins.
A son arrivée à la chambre, il me voit allongée sur le ventre, dévoilant mon bijou d’anus. Il me retire, je me détends l’anus. Il m’encule, m’enserre par les hanches, glisse ses mains autour de mes seins, pour m’imprimer des coups de boutoir plus profonds. En réponse, j’agite ma croupe pour qu’il bande davantage.
Il se retire et éjacule sur mes fesses.
Je me lève, me nettoie les fesses et le rejoint, j’éteins la lumière avec ma main gauche.
Le lendemain, je finis de déjeuner, seule, nue, dans la salle à manger - Richard est parti de bonne heure et ne doit revenir que le soir pour m'emmener dîner - lorsque le téléphone sonne. L'appareil est dans la chambre au chevet du lit, sous la lampe. Je m’assois par terre pour décrocher. C'est Richard, qui veut savoir si la femme de ménage es partie. Oui, elle vient de s'en aller, après avoir servi le déjeuner, et ne reviendrait que le lendemain matin.
- As-tu commencé le tri de tes vêtements ? dit Richard.
- Je vais commencer, répondis-je, mais je me suis levée très tard, j'ai pris un bain, et je n'ai été prête que pour midi. Je suis nue, j’ai remis mon bijou d’anus pour toi.
- Tu es nue reprend Richard.
- Oui, dis-je.
- Tu as gardé ta bague ?
- J’ai gardé ma bague.
- Prépare la valise des vêtements dont tu dois te débarrasser.
Puis il raccroche.
Au passage, une des glaces fixées sur une porte, et qui forme avec un pan de mur et une autre porte également recouverte de glaces, un grand miroir à trois faces, me renvoie brusquement mon image : je ne suis juste chaussée de mes mules, comme au château. Je n’ai ni collier ni bracelets de cuir, je suis seule voyeuse.
Je me glisse une main entre les cuisses et me caresse le clitoris, en doigtant ma chatte, me faisant jouir. Ma chatte est comprimée comme celle d’une vierge.
Quand je me baisse pour ouvrir un tiroir, je vois mes seins bouger doucement.
Dans mes placards, ni slips, ni soutien-gorges qui se croisent dans le dos, et se fixent sur le côté, ni porte-jarretelles, ni guêpières, ni chandails ras du cou, ni combinaisons, ni robes droites.
Je pense à un même modèle de soutien-gorges, croisés dans le dos, fixés sur le côté, en ménageant la fermeture au milieu du devant, juste sous le creux des seins. Il me faut d'autres jupons, clairs et courts, des robes boutonnées de haut en bas, avec un dessous qui s’ouvre en maintenant que la robe elle-même. Pour les jupons, c'est facile, pour les robes aussi, mais pour les dessous de robes avec une doublure amovible.
Enfin lorsque j’ai fini, et il ne me reste que mes chemisiers qui tous se boutonnent par-devant, ma jupe plissée noire, mes manteaux bien entendu, et le tailleur avec lequel elle était revenue du château, je vais préparer du thé.
Ainsi j’attends, agenouillée sur le tapis, cuisses écartées, assise sur les talons,.

Au travail, je suis modèle nu pour une grande école de dessins. Je dois poser pendant des heures, nue.
Je me tiens plus droite, j’ai le regard plus clair, la perfection de mon immobilité, et la mesure de mes gestes.
Je porte avant de me déshabiller, un chandail porté à même la peau, et qui dessine si doucement les seins, une jupe plissée sur mes fesses nues.
Je porte encore les marques presque effacées de la cravache sur le devant de mes cuisses, mes fesses et mes reins que j’expose.
Ce sont des positions académiques : assise, cuisses écartées, sur un tabouret ou accroupie, cuisses écartées ou en levrette.
Une fois, un des professeurs m’invite à poser debout, le pied gauche fléchi, le pied droit en pointe sur une chaise, la main gauche accrochée au dossier de la chaise et la main droite posée sur le genou droit ce qui a pour effet, que tous voient mon sexe velu brun et distinguent le cristal de mon bijou d’anus.
Puis le même jour, à une autre séance, il me fait poser les genoux posés sur ma poitrine, offrant la vue imprenable sur ma chatte et mon bijou d’anus.
Je passe trois heures encore – jambes ouvertes et relevées, exposée sur l’estrade, face aux dessinateurs.
A la fin de la séance, je me baigne, en compagnie de l’autre modèle féminin, une blonde aux cheveux courts, épais, à peine ondés.
Ah ! si. Jacqueline a aussi, au cou, un collier d'or serré, aux poignets, deux bracelets d'or. Je me surpris à penser qu'elle serait plus belle avec un collier, avec des bracelets de cuir.
Je reste nue devant elle, elle m’embrasse dans un long baiser langoureux, tout en caressant mes seins, mon clitoris et ma chatte, je jouis.
Je frotte mes seins contre les siens, glissant ma main entre ses cuisses, nous jouissons ensemble.
Je me douche, farde mes seins, ma chatte fraîchement épilée par Richard, hier soir.
Je me rhabille et rejoins les élèves dans un café.

Deux semaines ont passé, je suis nue dans mon appartement, l’anus encore humide et dilaté d’une sodomie surprise aux toilettes avec un des professeurs.
Je trouve un mot de Richard qui me prie d'être prête à huit heures pour venir dîner avec lui et avec un de ses amis. Une voiture passerait me prendre, le chauffeur monterait me chercher.
Le post-scriptum précise que je dois mettre ma veste de fourrure, m'habiller entièrement en noir (entièrement était souligné) et de me farder et de me parfumer comme au château. Il est six heures.
Entièrement en noir, et pour dîner - et c'est la mi-décembre, il fait froid, cela voulait dire bas de nylon noir, gants noirs, et avec ma jupe plissée en éventail, un chemisier sans boutons. Richard a retiré tous mes boutons à mes chemisiers et à mes robes, pour que mes seins et ma chatte soient immédiatement accessibles.
Le chemisier dessine si parfaitement la poitrine, c'est que le soutien-gorge y est intérieurement fixé, sans fermeture par le milieu du devant. Le chemisier est découpé pour s'arrêter aux hanches.
Je dispose mes vêtements sur le lit et mes mules au pied du lit.
Je me baigne, me lubrifie l’anus avant de remettre mon bijou d’anus, m’épile les lèvres de la chatte, avant de me farder, me parfumer, comme au château. Richard m’a offert un rouge-baiser en tube, que je passe sur mes mamelons et les lèvres de ma chatte, cuisses écartées, devant un grand miroir.
J’apprête mes cheveux, mon visage, enfin me parfume avec un vaporisateur qui dépose une brume sur mes aisselles épilées et sur mon ventre, me parfumant trois fois, laissant à chaque fois le parfum sécher sur elle.
Je met mes bas, mes mules,,puis la jupe qui est fendue au dos, avec un voile de dentelle noire sur les fesses nues et un triangle de dentelle noire devant mettant en valeur mon pubis velu brun. Tous savent que je suis mes reins nus sous ma jupe, puis le chemisier. Le chemisier comporte deux triangles sur mes seins dont on devine l’aréole. Les bonnets du soutien-gorge sont des demis bonnets.
Je mets mes gants, prends mon sac.
Toute gantée, je prends mon manteau de fourrure.
J’attends ensuite, cuisses écartées, la jupe relevée, au bord du lit.
On sonne. J’éteins la lumière. Je m’assois cul nu sur la banquette.
Lorsque je pousse la porte du club privé devant lequel la voiture m’a arrêtée, Richard m’attend en compagnie d’un bel étalon un peu plus âge, Sir Marc H.
Je m’assois sur le tabouret entre les deux hommes, ouvrant le dos de ma jupe, pour m’asseoir cul nu, tous voient mes fesses nues. Richard glisse ma jupe hors du tabouret. Mes fesses nues reposent sur le cuir froid et le rebord gainé de métal au creux même de mes cuisses, le bijou d’anus m’encule davantage.
Mon talon droit est accroché à l'un des barreaux du tabouret, la pointe de mon pied gauche touche terre.
Sir Marc me fait le baisemain, glisse furtivement une main pour caresser mes seins.
Cuisses écartées, j’offre une vue imprenable sur mon pubis nu. Je retire mes gants.
Je porte à l'annulaire gauche la bague de fer à triple spirale d'or qu’observe Sir Marc.
Je bois un jus de fruits. Sir Marc glisse à nouveau sa main sous mon chemisier, pour peloter mes seins.
Il me murmure ensuite à l’oreille :
J’aime les petits seins comme les vôtres. Votre fard ne laisse pas de traces.
Mais non, il ne dit rien, il sourit : il avait vu la bague. Richard buvait un Martini, Sir
Puis nous rejoignons une table isolée au sous-sol, à l’abri des regards.
Derrière un paravent, je suis invitée à retirer mon chemisier pour exhiber mes seins à Sir Marc. On nous sert les plats commandés d’avance, par des ouvertures. Nul ne sait que je suis torse nu.
Pendant le dîner, Sir Marc, assis à mes côtés, ne cesse entre deux plats de caresser mes seins et de glisser sa main sous ma jupe pour caresser mon clitoris. Il tient aux préliminaires.
Puis Richard nous conduit chez lui, qui se trouve derrière une porte secrète où se trouve le club privé dans le même immeuble.
Nous prenons l’ascenseur jusqu’au premier étage.
- Déshabillez-vous pendant que nous montons à mon appartement, ne gardez que vos bas et vos mules.
J’obéis. En retirant ma jupe, Sir Marc a une vue imprenable sur le cristal de mon bijou d’anus entre mes fesses.
L'appartement de Sir Marc était situé au fond d'une cour, dans l'aile d'un hôtel ancien, et les pièces se commandent en enfilade. Celle qui est au bout des autres est aussi la plus grande, et la plus reposante, meublée à l'anglaise.
Je m’assois sur le canapé, cuisses écartées, tandis que Richard donne mes vêtements à une autre personne dans mon dos.
Le grand canapé est placé perpendiculairement à la cheminée, face aux fenêtres qui donnaient sur un jardin, et le dos à celles qui, vis-à-vis des premières, donnent sur la cour.
Richard me rejoint, passe derrière le canapé, me saisit au cou et par les cheveux, pour m’embrasser langoureusement.
Les doigts de Sir Marc me fouillent longuement la chatte pendant le long baiser. Je perds mon souffle. Ses doigts vont et viennent en rythme. Puis ils m’abandonnent, je suis pantelante.
- Que Richard vous aime, je le sais. Je l'aurais vu, sans qu'il ne l'ai dit, et même sans qu'il ait bougé : il suffit de le voir vous regarder. Je sais aussi que tu es de celles qui a séjourné au château. Je t’y ramènerais. J’ai le droit de disposer de vous. Je vous veux comme soumise : tu n'auras toujours qu'un maître. Je te posséderais comme ceux du château, tous les jours.
Je reste assise silencieuse, mes cuisses écartées, mes seins, mes mains lui appartiennent.
- Si tu acceptes mes exigences, dit Sir Marc.
Après un long silence, je me lève.
- Je suis à vous. Je ferais ce que voudrez. Mes seins, mes cuisses, mes reins vous sont offerts. Je reconnais à Richard et à Sir marc le droit de disposer de mon corps à leur gré, en quelque lieu et de quelque manière qu'il leur plait, le droit de me tenir enchaînée, le droit de me fouetter pour la moindre faute ou pour leur plaisir, le droit de ne pas tenir compte de mes supplications ni de mes cris, si on me fait crier.
Richard me donne ensuite les exigences de Sir Marc, similaires à celles du château.
Je devais avoir les reins nus, les corsages qui se dégrafent, la bague de fer, me faire enculer, honorer ma chatte et sucer.
Lorsque Sir Marc désire que je passe la nuit chez lui, ou seulement une heure, ou que je l'accompagne même à quelque restaurant ou à quelque spectacle, il me téléphone et m’envoie sa voiture.
- Je consens à tout ce qu'il vous plaira. Je serais fouettée, dis-je.
- Quelquefois, répond Sir Marc.
- J’y consens, dis-je.
Je suis mise en levrette, Richard, d'une main, m’enserre les poignets, pendant que de l'autre il me caresse les reins, après avoir retiré le bijou d’anus, les fouillent à deux doigts. Je jouis, en ondulant mon bassin.
Son cul est large, par les godes du château. Elle ne refuse nullement la sodomie. Regarde comme elle ondule de plaisir.
- Laisse-moi la prendre.
Richard me maintient les fesses écartées, appuyant sur mes reins pour les faire saillir, tandis que le gros gland se loge progressivement dans mon anus dilaté.
Sir Marc va et vient à son rythme. Doucement au début, pour me faire goûter la longueur et la grosseur de son mandrin puis avec des coups de boutoir rapides, se délogeant de mon anus pour mieux m’enculer. Je jouis.
- Je te laisse à Sir Marc, dit alors Richard, reste comme tu es, il te renverra quand il voudra.
Après le départ de Richard, Sir Marc m’ordonne
- Retire tes bas, je te veux entièrement nue. Assis-toi et caresse tes seins et ton clitoris.
Cuisses écartées, je m’abandonne à mes caresses, mes mamelons sont durcis et mon clitoris est érigé et durci. Je suis toute humide de la chatte. Je jouis. Je viens d’obéir à Sir Marc.
Sir Marc me fait mettre en levrette sur le canapé et m’encule vigoureusement, jusqu’aux testicules. Je m’empale sur lui, en retour. Il me donne quelques claques magistrales sur les fesses.
- Tes reins s’ouvrent facilement. Tu aimes Richard, mais tu as envie de moi, entre autres.
- Oui, enculez-moi
La sodomie dure une éternité.
Puis il se retire et me met sur le dos, les jambes relevées et repliées contre elle. Je me caresse devant lui, la chatte. Puis Sir Marc m’encule dans cette position, pour mon plus grand plaisir.
- Tu m’obéis sans m'aimer, et sans que je t’aime.
Puis il m’encule encore une fois en levrette jusqu’à l’orgasme anal, dans de longs va-et-vient, entrant et sortant de mon anus, pour me soumettre.
Il me rappelle
- Tu as consentie à être l'esclave de Richard et la mienne
A demi étendu dans le grand fauteuil qu'il occupe près du feu, avant le départ de Richard, il me laisse nue, debout devant lui, en me disant d'attendre ses ordres.
Je le suis nue, avec mes mules, je monte derrière lui l'escalier qui part du palier du premier étage, et pénètre dans une petite chambre, accueillant un lit dans un angle et pour une coiffeuse et une chaise entre le lit et la fenêtre. Cette petite chambre est commandée par une chambre plus grande qui est celle de Sir Marc et toutes deux ouvrent sur la même salle de bains.
Devant Sir Marc, je me lave, Sir Marc me remet le bijou d’anus après que je me sois soulagée, cuisses écartées, sur la cuvette des toilettes sans porte. Je me nettoie la chatte. Je me couche nue dans les draps frais.
Sir Marc m’a mis pour la nuit, mon collier et mes bracelets de cuir similaires à ceux du château, pour la nuit et a joint mes mains à mon cou, pour je ne puisse me caresser pendant la nuit.
Avant de fermer la porte de communication, Sir Marc s'approche de moi et me complimente :
- Ta chatte, tes reins et ta bouche sont faciles.
Je m’endors à l'aube.
Le lendemain, un peu avant midi, le chauffeur de Sir Marc me reconduit chez moi.
A dix heures je suis réveillée, une beauté africaine me retire les draps, glisse sa main entre mes cuisses, fouille la chatte sans me mener au plaisir. Elle me libère les mains, me retire le collier et les bracelets en cuir.
- Tu les porteras à chacune des visites chez Sir Marc.
Elle m’apporte une tasse de café, me prépare un bain et donne mes vêtements, à sauf ma fourrure, mes gants et de mon sac qui sont sur le canapé du salon quand je descends. Le salon est vide, les persiennes et les rideaux sont ouverts. On aperçoit, face au sofa, un jardin étroit. Comme elle mettait son manteau, la beauté africaine m’a dit que Sir Marc est sorti et m’a tendu une lettre où, sur l'enveloppe, est sa seule initiale ; la feuille blanche portait deux lignes :
« Richard a téléphoné qu'il viendrait à six heures te chercher au studio », signées d'un S, et un post-scriptum : « La cravache est pour votre prochaine visite. »
Je regarde autour de moi : sur la table, entre les deux fauteuils il y as, une très longue et mince cravache de cuir. La domestique m'attends à la porte. Je mets la lettre dans mon sac et pars.
De retour chez moi, après avoir quitté mes vêtements et déjeuné, nue et en mules, je refais mon maquillage et ma coiffure, et de me rhabiller pour partir pour le studio où je dois être à trois heures :
Trois heures durant, dans le studio où je pose, le professeur tient à je reste quelques instants, l’anus libre de mon bijou d’anus, puis je reste accroupie, enfin, agenouillée, cuisses écartées, talons contre fesses, bras levés, comme au château.
Richard m’a fait fouettée et prostituée avec facilité.
Des mains qui caressent mes seins, des bouches aspirent mes lèvres et ma langue, et des langues et des mandrins dans ma bouche fermée, ma chatte et mon anus sont offerts à tous les mandrins.
Richard arrive enfin à sept heures, m’embrasse, je suis encore nue et en mules, sèche après ma douche et devant Jacqueline, que personne n'attend, brusquement entrée sur ses talons.
C'est ravissant, dit Jacqueline.
Mademoiselle, je vous en supplie, cria Richard sans me lâcher qu'il tient par la taille, Mademoiselle, ne vous en allez pas ! »
Je présente Richard à Jacqueline et Jacqueline à Richard.
Son chandail noir marque ses seins petits et très écartés, le pantalon en fuseau ses jambes longues de fille des neiges. Elle a aux lèvres un rouge qui tire au capucine, et quand elle sourit, et lève les yeux sur moi. Je m’habille d’un chandail moulant sur mes seins nus et d’une jupe plissée sur mes jambes nues et mes mules à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval.
Nous descendons tous trois. La neige est tombée à gros flocons deux heures durant ne tourbillonne plus qu'en minces petites mouches blanches qui nous piquent au visage. Le sel répandu sur le trottoir crisse sous les semelles et décompose la neige, et je sens le souffle glacé qu'il dégage monter le long de ses jambes et saisir ses cuisses nues.
J’ai hâte à tenir Jacqueline nue sous mes yeux, sous mes mains.
Je suis amoureuse de Jacqueline.

A mesure que les mois passent, depuis que Richard m'a donnée à Sir Marc, Richard choisit pour passer la nuit avec moi les nuits, et celles-là seulement, qui font suite aux soirées où Sir marc me fait venir (Sir Marc ne me gardant jusqu'au matin que lorsque Richard est absent).
Richard, lors de ces soirées, ne me caresse que rarement, pou mieux m’offrir à Sir marc et me maintenir à la disposition de celui-ci, si je me débats.
Mais Sir Marc n'aime que les femmes.
Au château, j’ai appartenu, dans le même instant, dans le même lieu, à Richard et à d'autres hommes.
Elle lui posa la question, sûre par avance de la réponse.
- Par respect, répond Richard.
- Mais je suis à toi, dit O.
- Tu es à Sir Marc d'abord.
Sir Marc tient à tout moment, que je sois présent à ses côtés.
Une fois, je me retrouve nue, avec mon collier et mes bracelets en cuir, dans la petite pièce ovale, au plancher de marqueterie, et dont le seul meuble est un guéridon, qui ouvre sur le grand salon Richard n'y reste que les trois minutes nécessaires pour me trahir et entendre la réponse de Sir marc. Puis il salue celui-ci de la main, me sourit et part.
Ce soir, Sir Marc m’encule longuement pendant plus d’une heure, avant me cravacher les fesses et les reins pour avoir voulu changer un jour de rendez-vous.
Fier des marques de la cravache, il m’encule en levrette sur le canapé, jusqu’à l’orgasme anal.
Il éjacule dans ma bouche.
Alors, et pour la première fois depuis qu'il me fait venir deux ou trois fois par semaine, et me fait patienter nue avec mon collier et mes bracelets de cuir, parfois une heure avant de m'approcher, pour m’embrasser langoureusement sur la bouche, m’enculer sur le canapé.
Il décide une fois me cravacher, debout, au milieu du salon, les bras levés et joints, que les bracelets du château maintiennent par une chaînette à l'anneau du plafond, font saillir mes seins, qu’il caresse longuement, puis les baise et m’embrasse langoureusement. Il me met un bâillon avec un gode à l’intérieur.

Le Bâillon-pénis est un bâillon en cuir véritable épais doublé dont le bâillon est un pénis en caoutchouc plein : le pénis mesure quatre centimètres de long pour un diamètre maximum de trois, il s’agit d’une dimension qui impose la présence d’un pénis dans la bouche de l’esclave femelle tout en permettant à l’esclave de conserver son bâillon pendant des heures. En effet la présence continuelle d’un pénis dans ma bouche me conditionne à penser que ma bouche est le réceptacle naturel des pénis. En plus, ce bâillon étouffe efficacement mes gémissements et mes râles lorsque il me punit.
- Je voudrais te fouetter jusqu'au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ?
Je hoche la tête.
Il me prend doucement aux cheveux. Balancée par la chaîne, je chancèle sur mes pieds nus.
Il me lâche et frappe.
Au bout d’un quart d’heure, il arrête, me retire le bâillon et m’encule longuement, me tenant par les hanches, jusqu’à l’orgasme, masturbant mon clitoris durci et érigé.
Quand Richard revient chez moi, à minuit passé, après être allé seul à la soirée où nous devons aller ensemble, il me trouve couchée, frissonnante nue. Sir marc m'a ramenée et couchée lui-même, et encore embrassée.
Une seule fois devant lui Sir Marc a employé sur moi la cravache. Richard m’a courbé contre la table, et m'a maintenue immobile. Ma jupe a glissé : il m’a relevée. Je me tords, gémis.
Au château, il m'a fait fouetter par les valets. En Sir Marc, il avait trouvé le maître rigoureux que lui-même ne savait pas être. Toutes les bouches qui ont fouillé ma bouche, toutes les mains qui m’ont saisi les seins et la chatte, tous les mandrins qui se sont enfoncés dans ma chatte et mon anus, et qui ont si parfaitement fait la preuve que je suis prostituée, m'ont en même temps et en quelque sorte consacrée
Richard, bouleversé, regarde longuement le corps mince où d'épaisses balafres violettes font comme des cordes en travers des épaules, du dos, des reins, du ventre et des seins, et parfois s'entrecroisent.
Richard m’encule longuement, allongée sur le ventre cuisses écartées, ses mains autour de mes seins, pour mieux m’enculer profondément ; Je jouis.
Les balafres, sur mon corps, mettent près d'un mois à s'effacer. Encore me reste-t-il, aux endroits où la peau a éclaté, une ligne un peu blanche.
Richard me fait excuser auprès des professeurs.
Bien entendu, Richard a une clef de mon appartement. Bref, il fit faire une clef, la remit à Sir Marc, et ne m'avertit que lorsque Sir Marc l'a acceptée.
Un matin où par hasard ma femme de ménage n'est pas là et où je me suis levée plus tôt que de coutume, et à dix heures, nue et en mules, Sir Marc ouvre la porte à clef.
Il me fait asseoir sur le lit, me prend la tête entre les deux mains et m’entrouvre la bouche pour m'embrasser. Il me retient et me redresse.
J’attends les yeux baissés, face à Sir Marc, qui est appuyé, contre la fenêtre.
Agenouille-toi devant moi et tu vas me sucer.
J’obéis, talons contre fesses.
Puis il me fait asseoir sur la coiffeuse, dans un fauteuil en rotin, avec un petit tissu. Je m’assois cuisses écartées. Il me renverse sur le fauteuil, ma jambe gauche relevée sur le bras du fauteuil, et l'autre légèrement repliée, je m’offre devant la glace.
- Depuis ton retour du château, as-tu couchée avec d’autres hommes que Richard et lui ?
- Non.
- Si tu as désiré appartenir à d'autres que tu as rencontrés ?
- Non.
- Si tu te caresse la nuit, quand elle était seule ?
- Oui.
- Si tu as des amies dont tu te laisse caresser ou que tu caresses ?
- Oui
- Mais des amies que tu désires ?
- Eh bien Jacqueline, sauf qu'amie est trop dire. Camarade serait plus juste, ou encore compagne, comme les filles bien élevées se désignent l'une l'autre dans les pensionnats de bon ton.
Sir Marc m’aide à me lever.
Richard est dan le salon. Je suis debout devant la grande table. Sir Marc, d’une l'autre main, me tient, deux doigts enfoncés dan ma chatte.
Je me retrouve couchée sur le dos par le travers de la table, où Sir Marc, m’écarte les jambes en V, je suis déchaussée, il me soulève les reins. Son mandrin m’encule avec douceur puis entre et sort pour me soumettre. Je jouis.
Il se retire et éjacule sur mon pubis.
Pantelante, je reprends mes esprits. Ils me prennent chacun par une main et me remettent debout. Richard ramasse ma mule. Il faut s'habiller.
C’est pendant le déjeuner qui suit, que Sir marc, demeuré seul avec moi, recommence à m'interroger. Je suis assise cuisses nues, écartées, la jupe relevée, sur une chaise en fer, Richard m’a mis mon bijou d’anus.
Ce que voulait savoir Sir marc, c'était pourquoi Jacqueline lui plaisait. Ah ! ce n'était pas difficile : c'est qu'elle était trop belle pour O, comme les poupées, aussi grandes qu'eux, qu'on donne aux enfants pauvres, et auxquelles ils n'osent jamais toucher. Et en même temps elle savait bien que si elle ne lui parlait pas, et ne l'approchait pas, c'est qu'elle n'en avait pas vraiment envie. Là, elle leva les yeux qu'elle avait tenus baissés vers les pivoines, et se rendit compte que Sir marc fixait ses lèvres. L'écoutait-il, ou s'il était seulement attentif au son de sa voix, au mouvement de ses lèvres ? Elle se tut brusquement, et le regard de Sir marc remonta et croisa son propre regard. Ce qu'elle y lut était cette fois si clair, et il était si clair pour lui qu'elle avait bien lu, que ce fut son tour de pâlir. S'il l'aimait, lui pardonnerait-il de s'en être aperçue ? Elle ne pouvait ni détourner les yeux, ni sourire, ni parler. S'il l'aimait, qu'y aurait-il de changé ? On l'aurait menacée de mort, elle serait restée pareillement incapable d'un geste, incapable de fuir, ses genoux ne l'auraient pas portée. Sans doute ne voudrait-il jamais rien d'elle que la soumission à son désir, tant que son désir durerait. Mais était-ce bien le désir qui, depuis le jour où Richard la lui avait remise, suffisait à expliquer qu'il la réclamât et la retînt de plus en plus souvent, et quelquefois pour sa seule présence, et sans rien lui demander ? Il était devant elle, muet et immobile comme elle
- Olivia, dit Sir marc.
-Oui, dis-je, toute faible.
- Ce dont je vais vous parler, j'en ai décidé avec Richard. Mais aussi, je... Il s'interrompt.
- Je serais heureux si vous vouliez bien... Répondez tout de même , dit-il.
- Je ferai ce que vous voudrez , réponds-je,
D'ailleurs, il la ramènerait lui-même à Roissy, dans le cours de l'été.
Lorsque Sir Marc reçoit dans sa maison, il ne m'invite pas. Jamais je n’ai déjeuné ou dîné chez lui. Jamais non plus Richard ne m’a, en dehors de Sir Marc, présenté ses amis. Il continuerait sans doute à me tenir à l'écart, car Sir Marc détient désormais le privilège de disposer de moi. L’anneau de fer et d'or que je porte à la main gauche je ne peux pas l'ôter - est signe que je suis esclave, mais esclave commune.
Sir Marc m’a dit que les fers me vont bien, n'est nullement une équivoque, mais une formule de reconnaissance.
- A Richard et à vous, dis-je.
- Non, dit Sir Marc, à moi. Richard désire que tu relèves d'abord de moi.
D'ici quelque temps, et en tout cas avant que je ne retourne au château, j’aurais à accepter. une marque définitive, qui ne me dispenserait pas d'être esclave commune, mais me désignerait, en outre, comme esclave particulière, la sienne, et auprès de laquelle les traces sur mon corps de coups de fouet ou de cravache, soient-elles renouvelées, seraient discrètes et futiles. terrifiée, fascinée, mourait du besoin de savoir, et de savoir tout de suite. Cependant, avant que cette marque ne me soit imposée, avant même que Sir Marc ne prenne l'habitude, de me fouetter de telle manière que les traces en soient constamment visibles, il me serait laissé un sursis - le temps qu'il faudrait pour que j’amène Jacqueline à me céder. Ici, je suis stupéfaite relève la tête et regarde Sir marc. Pourquoi ? Pourquoi Jacqueline ? Et si Jacqueline intéresse Sir Marc, pourquoi est-ce par rapport à moi ?
- La première, et la moins importante, est que je désire te voir embrasser et caresser une femme.
- Mais comment voulez-vous, s'écrie-je, que j'obtienne, en admettant qu'elle veuille bien de moi, son consentement à votre présence ?
- Ce n'est que peu de chose, dit Sir Marc, par trahison au besoin, et je compte que tu obtiendras bien davantage, car la seconde raison pourquoi je désire qu'elle soit à toi, c'est qu'il te faudra l'emmener au château.
Je vois les yeux glacés de Jacqueline devant le valet Pierre, ses hanches, sans doute aussi dorées que ses seins, et que je ne connais pas, offertes dans sa grande robe de velours rouge retroussée, sur le duvet de ses joues des larmes et sa bouche fardée ouverte et criant, et ses cheveux droits comme paille fauchée sur son front, non c'était impossible, non pas elle, pas Jacqueline.
- Ce n'est pas possible, dis-je
- Si, réplique Sir Marc. Et comment croyez-vous que se recrutent les filles pour le château ? Une fois que tu l'auras amenée, rien ne te regarderas plus et d'ailleurs, si elle veut partir, elle partira. Viens.
Il se lève brusquement, laissant sur la table l'argent de l'addition. Je le suis jusqu'à la voiture, monte, m'assois. A peine avons nous pénétré dans le Bois qu'il fait un détour pour se ranger dans une petite contre-allée, et me prend dans ses bras.
Il me relève la jupe et m’encule, penchée en avant, les mains sur le capot, jusqu’à l’orgasme anal et éjacule sur mes fesses.

Le lendemain, lors de mon rendez-vous chez Sir Marc, je m’assois sur une chaise. Je me tiens les cuisses très écartées, les fesses au bord de la chaise, dévoilant ma toison fendue par les lèvres de ma chatte, menottée au dossier et aux pieds de la chaise, prisonnière, les talons sur la chaise, les genoux remontés, les cuisses écartées, dévoilant mon sexe et mon cul. Mes poils s’étendent entre mes fesses dans la naissance de la raie culière.
- Je vais te raser le pubis, ta chatte et tu porteras un nouveau gode anal.
Il me mouille les poils pubiens. Il me pince les lèvres vaginales et appuie sur le clitoris gonflé, qui me fait jouir. Il arrache quatre par quatre les mèches humides des poils autour de mes lèvres de la chatte et jette les poils dans la bassine, dévoilant les lèvres allongées de la chatte, décollées. Mes grandes lèvres s’écarquillent. Il arrache ensuite les poils dégageant autour des lèvres et du clitoris jusqu’à la naissance de la vulve. Il arrache les poils pour transformer ma toison pubienne en une superbe lisse et imberbe. Je ruisselle. Il enduit d’une huile les zones un peu irritées.
Je découvre mon sexe imberbe d’esclave, mes lèvres rouges et mon anus marron imberbe.
Libre, je me penche en avant, nue, pour montrer mon derrière. J’ouvre mes fesses à pleines mains. Je dois dilater mon sphincter. Il enfonce un doigt dans l’anus qui se resserre.
Il prends un gode dont la base est garnie de chaînettes.
- Viens sur mes genoux et présente ton cul !
Je me couche en travers de ses cuisses.
Il écarte mes fesses. Je relâche mes muscles pour que le gode puisse glisser dans mon anus dilaté et relaxé. Il me maintient les fesses écartées et enfonce le gode, me dilatant un peu plus le cul. Il fait tourner le gode en l’insérant. Il m’encule sur douze centimètres et me dilate jusqu’à six centimètres, avec une base de quatre centimètres. Ainsi il reste en place pour me dilater l’anus, le cône est lourd et volumineux, je contracte mon anus.
Correctement ajustement au fond de mon rectum, je me relève. Il remonte les chaînettes fixées à la base du gode, qu’il attache à une ceinture de cuir qu’il me passe à la taille et verrouille le tout avec un cadenas.
- Tu le garderas quelques heures pour élargir ton cul.
Je marche les cuisses écartées, les mains dans le dos, en mules.
Je m’assois sur un siège, les fesses au bord du siège, les jambes relevées sur les accoudoirs. Il m’attache ensuite les cuisses aux accoudoirs. Les cuisses écartelées donnent une vue sur sa vulve, sa raie culière d’où dépasse la base du gode. Ma chatte est bien ouverte, mouillée. Mon clitoris est érigé et durci par l’excitation.
Au bout de quelques heures, il me retire le gode, met de la crème sur l’anus.
Il replace le gode vibrant anal avec ventouse, long de seize centimètres dont quatorze m’enculent et le gland mesure quatre centimètres. Il me l’insère dans l’anus et m’attache à mon lit, mains jointes au cou.
Il appuie sur la télécommande pour que le gland monte et descende à l’intérieur de mon anus ; les sensations sont exquises et ultra-excitantes ! Encore mieux, il appuie une seconde fois sur le bouton avec la flèche montante pour accélérer les mouvements de va-et-vient dans mon anus, et il appuie une troisième fois sur ce bouton alors le gland ira encore plus vite de haut en bas dans mon anus ! Et ce n’est pas fini, il appuie sur l’onde centrale pour déclencher les vibrations du bouton d’anus, à chaque nouvel appui sur l’onde il déclenche un nouveau mode de vibration dont des vibrations par à-coups ; je connais l’extase anale avec la tête qui monte et qui descend dans mon anus conjuguée aux vibrations qui s’arrêtent et qui recommencent Je subis les mouvements de va-et-vient de la tête du bouton d’anus combiné aux vibrations à à-coups et aux vibrations à intensité progressive.
Je le porte une demi-heure.
Puis il me retire le gode.
Je me penche en avant, les mains dans le bac de la douche., exposant mes fesses.
- Un vrai cul de putain, avec un gros trou.
Il dirige le jet d’eau chaude entre mes fesses.
Sir Marc entre un doigt dans mon cul.
Je me mets en levrette sur le canapé, puis écarte les genoux, je tire sur mes fesses. Mon Maître enduit de beurre l’anus encore dilaté.
Je l’enjambe, face à lui. Je guide la queue dans mon cul sans effort, elle coulisse. Je m’empale lentement. Je coulisse, assise sur ses genoux.
Chaque fois que je remonte sur les cuisses de mon Maître, il m’enfonce les doigts dans la chatte. Je m’accroche aux épaules de mon Maître.
- Tu es devenue une chienne, une chienne lubrique !
Il éjacule longuement dans mon cul.
En fin d’après-midi, encore nue et en mules, avec mon collier et mes bracelets, Sir Marc me fait porter à mes lèvres vaginales un jeu de trois chaînettes reliant deux anneaux sans percer mes lèvres, pont délicieux entre les lèvres de ma chatte. Elles bougent entre mes cuisses à chacun de mes pas. Il complète ma tenue par une chaîne autour de ma taille, tandis qu’un œuf est inséré dans mon anus. L’œuf mesure trois centimètres de diamètre pour cinq de long.
Il me conduit devant un miroir, je découvre mon pubis et ma chatte imberbes comme une jeune fille, les chaînes pendant à mes lèvres et entre mes fesses, la chaîne reliée à l’œuf anal.
Sir Marc me lie les mains dans le dos.
La beauté africaine m’ombre légèrement les paupières, la bouche très rouge, le mamelon et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de la chatte imberbe rougi, du parfum longuement passé sur les aisselles imberbes et du pubis imberbe, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes.
Sir Marc me met un bandeau sur les yeux et me fixe une chaîne au collier. Je suis tirée en avant et mes pieds nus glissent sur le parquet froid de la pièce, puis je franchis un rideau et une porte.
Deux mains gantées vérifient que je suis ben attachée dans le dos, me retire l’œuf anal et me doigte l’anus et je jouis.
Puis je me retrouve au sol, sur le dos, les cuisses totalement relevées sur mes épaules, on m’encule une première fois, les chaînettes claquent contre mon ventre.
Je me retrouve agenouillée, cuisses écartées, le buste contre un pouf, les reins plus hauts que le torse, deux hommes m’enculent tour à tour. Je jouis.
Quand je retrouve ma vue, pantelante, je suis suspendue à un crochet, les mains au-dessus de la tête, sur la pointe des pieds nus, les bras tendus, une corde passée et serrée autour de ma taille, la croupe saillante, pour me maintenir au poteau, entourée de grands miroirs.
Des coups de cravache cinglent mes reins et mes cuisses. Je jouis.
De temps à autre, on m’encule.
Le lieu ressemble à la bibliothèque du château que Sir Marc a reconstitué au dernier étage de l’immeuble .Je ne reconnais les trois hommes qui son présents.
Tous me complimentent pour mon anus bien ouvert et mon pubis et ma chatte imberbes.
Avant de me détacher, les trois hommes et Sir Marc m’enculent jusqu’à l’orgasme anal.
Sir Marc me détache après leurs départs par une porte dérobée.
Il me bande les yeux, car je ne dois pas connaître l’accès à la pièce, me prend nus aux épaules et aux jarrets, me soulève et m’emporte. Il m’a remis l’œuf anal en place.
J’ouvre mes yeux. Je suis dans mon lit, nue, ayant gardé l’œuf anal et ma chaîne de taille. Je me lève, me regarde dans un miroir et découvre mes nouvelles marques sur mes reins et mes fesses. Je me caresse devant le miroir, mon clitoris et ma chatte imberbe jusqu’à l’orgasme.
Je me refais une beauté pour Richard.

J’ai cru, ou veux croire, pour me donner des excuses, que Jacqueline serait farouche. Je sois détrompée aussitôt que je veux l'être. Les airs pudiques que prend Jacqueline, fermant la porte de la petite pièce au miroir où elle mettait et enlevait ses robes, sont précisément destinés à m’aguicher, à me donner envie de forcer une porte que, grande ouverte, je ne me décide pas à franchir. Que ma décision vient finalement d'une autorité en dehors de moi. J’éprouve du plaisir, alors que j'aide Jacqueline à se recoiffer, par exemple, lorsque Jacqueline, ayant quitté les vêtements dans lesquels elle avait posé, met son chandail serré au cou, et le collier de turquoises pareilles à ses yeux, à l'idée que le même soir Sir Marc saurait chacun des gestes de Jacqueline, si elle m’a laissé saisir ses deux seins écartés et petits, à travers le chandail noir, si ses paupières ont abaissé sur sa joue ses cils plus clairs que sa peau, si elle avait gémi. Quand je l'embrasse, elle devenait toute lourde, immobile et comme attentive dans mes bras, laissait entrouvrir sa bouche et tirer à la renverse ses cheveux. Je l’appuie au chambranle d'une porte, ou contre une table, et de la tenir aux épaules.
Quand elle cède aux baisers, elle cède brusquement, et l'on aurait dit entièrement, devenant soudain quelqu'un d'outré, pendant dix secondes, pendant cinq minutes. Le reste du temps, elle est à la fois provocante et fuyante, d'une incroyable habileté à l'esquive, s'arrangeant sans jamais une faute pour ne donner prise ni à un geste, ni à un mot, ni même à un regard qui permît de faire coïncider cette triomphante avec cette vaincue, et de faire croire qu'il était si facile de forcer sa bouche.
A peine en avait-elle parlé à Sir Marc, qui me reproche ma lenteur, que Richard intervient.
Les cinq ou six fois où Richard est venu me chercher et où Jacqueline s'est trouvée là, tous trois nous sommes allés ensemble nous promener.
C'est que Jacqueline vient habiter chez moi.
Mais Jacqueline a une demi-sœur déclarée de père inconnu, qui s'appelait Nathalie, et a maintenant quinze ans.
Car à peine Jacqueline est-elle installée chez moi, où elle se voit attribuer - et sur la demande de Richard - la chambre que celui-ci fait parfois semblant d'occuper que je me trouve contre toute attente surprise par le violent désir de posséder Jacqueline coûte que coûte, et dois-je pour y parvenir la livrer.
Une fois admis qu'elle est chez moi, et que je suis la maîtresse de Richard, Jacqueline semble trouver de ce fait naturelles les familiarités de Richard. Elle admet sans broncher que Richard pénètre dans sa chambre, sous prétexte qu'il y a oublié quelque document, ce qui n'est pas vrai, je le sais, j’ai moi-même vidé les tiroirs du grand secrétaire.
Cinq jours après avoir défait ses valises, dont je l'ai aidée à ranger le contenu, quand Richard nous a pour la première fois ramenées, vers les dix heures, après avoir dîné avec nous, et soit parti elle apparaît simplement, nue et encore moite de son bain, dans l'encadrement de la porte de ma chambre
Elle me dit : « Il ne revient pas, vous êtes sûre ? »
Et, sans même attendre la réponse, Jacqueline se glisse dans le grand lit. Elle se laisse embrasser et caresser, les yeux fermés, sans répondre par une seule caresse, gémit d'abord à peine, puis plus fort, puis encore plus fort, et enfin crie. Elle s'endort dans la pleine lumière de la lampe rose, en travers du lit, genoux retombés et disjoints, le buste un peu de côté, les mains ouvertes. On voit briller la sueur entre ses seins. Je la recouvre, éteint. Deux heures plus tard, quand je la reprend, dans le noir, Jacqueline se laisse faire, mais murmura :
« Ne me fatigue pas trop, je me lève tôt demain. »
Elle s'arrache du lit le matin, avec plus de rage que d'élan, se douche et se farde à la hâte, n'acceptait que la brande tasse de café noir que j’ai eu juste le temps de lui préparer, et me laisse baiser le bout des doigts, avec un sourire machinal et un regard plein de rancune : je suis douce et tiède, nue, les cheveux brossés, le visage lavé. Mes poils pubiens repoussent, sur ordre de Sir Marc.
Je me rends chaque matin chez Sir Marc, quand le soleil sur sa route ne frappe encore que l'est des façades ; les autres murs sont frais, mais dans les jardins l'ombre se raccourcit sous les arbres.

Le ménage n'est pas fini. La beauté africaine me conduit dans la chambre où le premier soir Sir Marc m'a laissée dormir, attend que je sois nue, elle farde mes seins et ma chatte. J’écarte mes fesses pour recevoir le gode de douze centimètres. Elle remonte les chaînettes fixées à la base du gode, qu’elle attache à une ceinture de cuir qu’elle me passe à la taille et verrouille le tout avec un cadenas. Je dois préparer mon anus pour le reste de la journée, le gardant huit heures ou moins, selon les envies de Sir Marc.
La beauté africaine me prend mes vêtements et les ranger devant moi dans un placard dont elle garde la clef, puis m’ayant donné des mules à hauts talons, vernies, qui claquent quand je marche, me précède, ouvrant les portes devant moi, jusqu'à la porte du bureau de Sir Marc, où elle s'efface pour me faire passer.
Le fait d’être nue devant la beauté africaine m’excite.
Ainsi gardée auprès de lui les matinées entières, où parfois il me fait sucer son mandrin, en retour de caresses sur les seins.
Le bureau de Sir Marc, situé au-dessus du salon où il se tient le soir, est plus étroit, et plus bas de plafond. Il n'y a ni canapé ni divan, mais seulement deux fauteuils. Je m’y assois parfois, mais Sir Marc préfère généralement me tenir plus près de lui, à portée de la main et pendant qu'il ne s'occupait pas de moi, m’avoir pourtant assise sur son bureau, à sa gauche. Le bureau était placé perpendiculairement au mur, je m’accote aux rayonnages qui portent quelques dictionnaires et des annuaires reliés. Le téléphone est contre ma cuisse gauche, et je décroche et réponds pour passer la communication ou l’excuser.
Lors des visites au bureau, la beauté africaine l’annonce, Sir Marc me fait attendre, dans la chambre. La beauté africaine me met toujours mes mains jointes au cou, pour que je ne puisse me caresser pour éveiller les soupçons. Puis elle me libère et me ramène.
La beauté africaine s’occupe de nettoyer le bureau, sans jamais frapper, et enfin qu'elle attend toujours en silence, quand elle a quelque chose à dire, que Sir Marc lui adresse la parole, il arrive qu'une fois je me trouve courbée sur le bureau, la tête et les bras appuyés contre le cuir, la croupe offerte, attendant que Sir Marc m’encule, au moment où la beauté africaine entre. Je lève la tête. La beauté africaine ne m’a pas regardée, comme elle fait toujours, elle n'a pas autrement bougé. Mais cette fois, il était clair que la beauté africaine veut rencontrer mon regard. Je reste zen lorsqu’elle me regarde, ouvrant mon anus sans difficulté et Sir Marc va et vient à son rythme jusqu’à l’orgasme anal, en me tenant par les hanches.
Tu es encore plus ouverte que d’habitude, j’aime ça.
Ses testicules claquent contre mes fesses, le massage anal est supportable.
Alors au moment de m’enculer à nouveau, il dit à la beauté africaine d'attendre, et qu'elle pourrait faire me rhabiller quand il en aurait fini. Cependant, avant de la renvoyer, il m’embrasse sur la bouche avec tendresse.
Quelques jours plus tard,
- Et lorsque tu porteras, comme tu feras bientôt - si t’y consens - ma marque et mes fers, tu auras beaucoup plus de raison de la craindre.
- Pourquoi ? dis-je et quelle marque, et quels fers ? Je porte déjà cet anneau...
- Cela regarde Marianne, à qui j'ai promis de te montrer. Nous allons chez elle après le déjeuner. Tu le veux bien ? C'est une de mes amies, et tu remarques que jusqu'ici je ne t’ai jamais fait rencontrer de mes amis
Je n’insiste pas. Cette Marianne dont on me menace m'intrigue plus que la beauté africaine. C'est elle dont Sir Marc m’a déjà parlé quand nous avons déjeuné dans les bois. Et il est bien vrai que je ne connais aucun des amis, aucune des relations de Sir Marc. Je vis enfermée dans mon secret, dont seuls, Richard et Sir Marc, ont en même temps droit à mon corps.
Marianne habite, dans un appartement flanqué d'une sorte de grand atelier, en haut d'un immeuble neuf, qui domine la cime des arbres. C'est une femme mince, de l'âge de Sir Marc, et dont les cheveux noirs sont mêlés de mèches grises.
Marianne me fait déshabiller entièrement. Je porte des jarretières pour tenir mes bas.
Une fois nue, mon pubis et mes lèvres de ma chatte ont été épilées par Sir Marc, Marianne me dit:
Viens que je voie ton ventre, petite, et tes fesses. Je vais te faire donner des bas très longs et foncés, O, et un porte-jarretelles pour les tenir, mais un porte-jarretelles baleiné, qui te marque la taille.
Une jeune fille blonde entre. avec des bas très fins et noirs et une guêpière de taffetas de nylon, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, je suis toujours debout et en équilibre, d'un pied sur l'autre, j’enfile les bas, qui me montent tout en haut des cuisses.
Puis ma taille et mon ventre sont enserrées par la guêpière, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, comme aux corsets du château, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. J’accroche mes bas, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles puis la jeune fille me la lace aussi étroitement qu'elle peut. Ma taille et mon ventre se creusent sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laissait la croupe entièrement libre.
- Tu seras beaucoup mieux, dit Marianne, en s'adressant à Sir Marc, quand elle aura la taille tout à fait réduite ; d'ailleurs, si vous n'avez pas le temps de la faire déshabiller, vous verrez que la guêpière ne gêne pas. Approche-toi maintenant
La jeune fille sort, je m’approche de Marianne, qui est assise dans un fauteuil bas, un fauteuil crapaud. Marianne me passe doucement la main sur les fesses, puis me faisant basculer sur un pouf pareil au fauteuil, me relève et m’ouvrit les jambes et m’ordonnant
- Ne bouges pas.
Elle me saisit les deux lèvres de la chatte.
- Je peux l’honorer sur le pouf.
- Bien sûr, dit Marianne, complaisante.
Sir Marc me relève complètement les cuisses sur les épaules et m’encule séance tenante. Je jouis.
- Ses reins sont bien ouverts, Marianne. Elle peut recevoir n’importe quel mandrin, n’est-ce pas ?
- Oh oui, réponds-je, haletante, sou les coups de boutoir dans mon anus ;
Libre, Marianne me fait me remettre debout, me rhabiller.
- Vous pouvez me l'amener quand vous voudrez, dit-elle à Sir Marc, je serai à ma résidence dans deux jours. Ça ira très bien.
- Dans dix jours si vous voulez, répondit Sir Marc, au début de juillet.
Dans la voiture qui me reconduit chez moi, Sir Marc étant resté chez Marianne,
Juillet approche, où il va partir, il ne viendrait pas la voir chez cette Marianne où Sir Marc m'envoie.
Je descends soudain de voiture, sur le quai devant sa maison, au lieu de garder la voiture, et je me mets aussitôt à courir pour arrêter un taxi. Je suis en sueur, et haletante, parce que ma guêpière me coupe la respiration, lorsque enfin un taxi ralentit à l'angle de la rue. Je lui fais signe, donna l'adresse du bureau où Richard travaille, et monte, sans savoir si Richard y est, s'il me reçoit s'il y est. Jamais je n'y suis allée.
Richard me reçoit,
- J'ai eu peur que tu ne m'aimes plus, dis-je
- Tu reviens de chez Marianne. Et tu vas à sa résidence dans dix jours. Sir Marc vient de me téléphoner.
Richard est assis dans le seul fauteuil confortable de son bureau, face à la table, et je me suis blottie dans ses bras.
- Ce qu'ils feront de moi m'est égal, murmure-je, mais dis-moi si tu m'aimes encore.
- Mon petit coeur, je t'aime, dit Richard, mais je veux que tu m'obéisses, et tu m'obéis bien mal. Tu as dit à Jacqueline que tu appartiens à Sir Marc, tu lui as parlé du château ?
Richard me relève, m'accote contre le fauteuil qu'il vient de quitter, et me retrousse ma jupe.
- Ah ! voilà la guêpière, dit-il. C'est vrai que tu seras beaucoup plus agréable quand tu auras la taille très mince.
Puis il m’encule, je me penche en avant, m’appuyant les mains sur le bureau, me tentant totalement aux coups , il me tient aux hanches pour m’enculer profondément. Il caresse mes seins nus, sous ma veste de tailleur. Il m‘écarte les fesses pour mieux m’enculer. Je jouis.
Il se retire. Je le suce et avale ses giclées de sperme en bouche.
- Tu sais, me dit-il ensuite, tu es stupide de ne pas parler à Jacqueline. Il nous la faut au château, ce serait plus commode que ce soit toi qui l'amènes. D'ailleurs, quand tu reviendras de chez Marianne, tu ne pourras plus lui cacher ta véritable condition. Tu verras, reprend Richard. Tu as encore cinq jours, et seulement cinq jours, parce que Sir Marc a l'intention, cinq jours avant de t'envoyer chez Marianne, de recommencer à te fouetter tous les jours, tu en porteras sûrement des traces, et comment les expliqueras-tu à Jacqueline ? Ecoute, il y a une chose en tout cas que tu vas lui dire, et lui dire tout de suite : c'est que je suis amoureux d'elle.
- Et c'est vrai ? dis-je.
- Je veux l'avoir, dit Richard, et puisque toi tu ne peux ou ne veux rien faire, moi je ferai ce qu'il faudra.
- Elle ne voudra jamais, pour le château, dis-je
- Ah ! non ? Eh bien, reprit Richard, on la forcera.
Le soir, à la nuit close, quand Jacqueline est couchée, et que j’ai rejeté le drap pour la regarder à la lumière de la lampe, après lui avoir dit
- Richard est amoureux de toi
Jacqueline partie, pour ne revenir sans doute qu'au début d'août.
Juillet approche, Sir Marc annonce
Nous allons chez Marianne, dit-il, elle t’attends. N'emportes aucune valise, tu n'auras besoin de rien.
Arrivée à la maison en pleine forêt, Sir Marc lui annonce
- Vous savez ce qu'il faut lui faire, quand sera-t-elle prête ?
Marianne regarda O.
- Tu ne l’as pas prévenue ?
- Eh bien, je commencerai tout de suite. Il faut compter sans doute dix jours ensuite. Je suppose que vous voulez poser les anneaux et le chiffre vous-même ? Revenez dans quinze jours. Ensuite tout devrait être fini au bout de quinze autres jours. Un instant, va dans la chambre qui est devant, déshabille-toi, ne garde que tes mules, et reviens.
La chambre est vide, une grande chambre blanche. Je pose mon sac, mes gants, mes vêtements, sur une petite chaise près d'une porté de placard. Il n'y a pas de glace.
Je porte le gode anal de douze centimètres fixé à la ceinture de cuir, que Sir Marc m’a fait mettre à mon arrivée chez lui, tôt le matin.
Marianne me dit
- Mets-toi à genoux devant Sir Marc.
J’obéis, talons contre fesses, le gode s’enfonce davantage dans mon anus, les mains dans le dos.
- Consens-tu, à porter les anneaux et le chiffre dont Sir Marc désire que tu sois marquée, sans savoir comment ils te seront imposés ?
- Oui, dis-je
- Alors je reconduis Sir Marc, reste là.
Sir Marc se pencha, et me prend par les seins, pendant que Marianne se lève de sa chaise longue. Il m'embrassa sur la bouche, murmure :
- Tu es à moi, vraiment tu es à moi ? puis me quitta pour suivre Marianne.
Le portail claque, Marianne revient. Les genoux pliés, je suis assise sur mes talons et a posé Mes bras sur mes genoux
- Lève-toi pour que je libère du gode. Tu seras godée tous les jours sous mon toit, mes filles sont enculées fréquemment pour rester ouvertes.
Trois autres filles habitaient la maison, elles ont chacune une chambre au premier étage ; on me donne une petite chambre au rez-de-chaussée, voisine de celle de Marianne. Marianne les appelle, leur criant de descendre dans le jardin. Toutes trois, sont nues. Seuls, Marianne et les domestiques sont vêtues : une cuisinière et deux femmes de chambre.
- Elle s'appelle Olivia, dit Marianne, qui s'est rassise. Amène-la-moi, que je la revoie de près.
Deux des filles me mettent debout, toutes deux brunes, les cheveux aussi noirs que leur toison. L'autre est petite, ronde et rousse. Les deux filles me poussent O tout contre Marianne, qui désigne du doigt les trois zébrures noires qui rayent le devant de mes cuisses, et se répètent sur les reins.
- Qui t'a fouettée, dit-elle, Sir Marc ?
- Oui, dis-je
- Avec quoi, et quand ?
- Il y a trois jours, à la cravache.
- Pendant un mois à partir de demain, tu ne seras pas fouettée, mais tu le seras aujourd'hui, pour ton arrivée, quand j'aurai fini de t'examiner. Sir Marc ne t'a jamais fouetté l'intérieur des cuisses, jambes grandes ouvertes ? Non ? Non, les hommes ne savent pas. Tout à l'heure, nous verrons. Montre ta taille. Ah ! c'est mieux !
Anne- Marie tiret sur ma taille, pour la faire encore plus mince.
Puis elle envoie la petite rousse chercher une autre guêpière, et me la fait mettre. Elle est aussi de nylon, si durement baleinée et si étroite qu'on a dit une très haute ceinture de cuir, et ne comporte pas de jarretelles. Une des filles brunes la lace, cependant que Marianne m’ordonne de serrer de toute sa force.
- C'est terrible, dis-je.
- Justement, dit Marianne, c'est pour cela que tu es bien plus belle, mais tu ne serres pas assez, tu la portes ainsi tous les jours. Dis-moi maintenant comment Sir Marc préfère se servir de toi. J'ai besoin de le savoir.
Elle me tient à la chatte, à pleine main, et je ne peux pas répondre. Deux des filles se sont assises par terre, la troisième, la brune, sur le pied de la chaise longue de Marianne.
- Renversez-la, vous autres, dit Marianne, que je voie ses reins.
Je me retrouve retournée et basculée, et les mains de deux jeunes filles m'entrouvrent.
- Bien sûr, reprend Marianne, tu n'as pas besoin de répondre, c'est aux reins qu'il faudra te marquer. Relève-toi. On va te mettre tes bracelets. Corinne va chercher la boîte, on va tirer au sort qui te fouettera, Corinne apporte les jetons, puis on ira dans la salle de Musique.
Corinne est la plus grande des deux filles brunes, l'autre s'appelait Claire, la petite rousse Isabelle. Je n'ai pas fait attention qu'elles portaient toutes, comme à Roissy, un collier de cuir et des bracelets aux poignets. En plus, elles portaient aux chevilles les mêmes bracelets. Quand Isabelle eut choisi et fixé sur moi les bracelets qui lui allaient, Marianne me tendit quatre jetons, en la priant d'en donner un à chacune d'elles, sans regarder le chiffre qui y était inscrit. Je distribue ses jetons. Les trois filles regardèrent chacune le leur et ne dirent rien, attendant que Marianne parlât.
- J'ai deux, dit Marianne, qui a un ?
C'est Corinne.
- Emmène Olivia, elle est à toi.
Corinne saisit mes bras et, me réunissant les mains derrière le dos, en attachant ensemble mes bracelets, me pousse devant elle. Au seuil d'une porte-fenêtre, qui ouvrait dans une petite aile perpendiculaire à la façade principale, Isabelle qui les précède me retira mes sandales.
La porte-fenêtre éclaire une pièce dont le fond formait comme une rotonde surélevée ; le plafond en coupole à peine indiquée est soutenu au départ de la courbe par deux colonnes minces séparées de deux mètres
L'estrade, haute de près de quatre marches, se prolonge, entre les deux colonnes, par une avancée arrondie. Le sol de la rotonde, comme celui du reste de la pièce, est recouvert d'un tapis de feutre. Les murs sont blancs, les rideaux des fenêtres rouges, les divans qui font le tour de la rotonde de feutre. Il y a une cheminée, dans la partie rectangulaire de la salle, qui est plus large que profonde, et en face de la cheminée un grand appareil de radio avec pick-up que flanquent des rayonnages à disques. C'est pour cela qu'on l'appelle la salle de musique. Elle communique directement par une porte, près de la cheminée, avec la chambre de Marianne.
La porte symétrique est une porte de placard. A part les divans et le phono, il n'y a aucun meuble.
Pendant que Corinne me fait asseoir sur le rebord de l'estrade, qui est à pic en son milieu, les marches sont à droite et à gauche des colonnes, les deux autres filles ferment la porte-fenêtre, après avoir tiré légèrement les persiennes. Je suis surprise et m'aperçois que c'est une double fenêtre et Marianne, qui rie, dit :
- C'est pour que l'on ne t'entende pas crier, les murs sont doublés de liège, on n'entend rien de ce qui se passe ici, Couche-toi.

Elle me prend aux épaules, me pose sur le feutre, puis me tire un peu en avant ; mes mains s'agrippent au rebord, de l'estrade, où Isabelle les assujettit à un anneau, et mes reins sont dans le vide. Marianne me fait plier les genoux vers la poitrine, puis je sens mes jambes, ainsi renversées, soudain tendues et tirées dans le même sens : des sangles passées dans les bracelets de mes chevilles les attachent plus haut que ma tête aux colonnes au milieu desquelles, ainsi surélevée sur cette estrade, je suis exposée de telle manière que la seule chose de moi qui est visible est le creux de ma chatte et mon anus violemment écartelés. Marianne me caresse l'intérieur des cuisses.
- C'est l'endroit du corps où la peau est la plus douce, dit-elle, il ne faudra pas l'abîmer. Va doucement, Corinne.
Corinne se met dans l’ouverture de mes jambes, les cordelettes du fouet me brûlent au ventre, je gémis. Corinne passe de la droite à la gauche, s'arrête, reprend.
- Plus vite, dit-elle à Corinne, et plus fort.
Une minute plus tard, elle cédait aux cris et aux larmes, tandis que Marianne me caressait le visage.
- Encore un instant, dit-elle, et puis c'est fini. Cinq minutes seulement. Tu peux bien crier pendant cinq minutes: Il est vingt-cinq. Corinne tu arrêteras à trente, quand je te le dirai.
Je le subis cependant jusqu'au bout, et Marianne me sourit quand Corinne quitte l'estrade.
- Remercie-moi me dit Marianne
Je la remercie. J’aime l'idée du supplice, quand je le subis, quand il est fini je suis heureuse de l'avoir subi, d'autant plus heureuse qu'il a été plus cruel et plus long.
Marianne tient à faire éprouver à toute fille qui entre dans sa maison, et doit y vivre dans un univers uniquement féminin, que sa condition de femme n'y perd pas son importance du fait qu'elle n'aurait de contact qu'avec d'autres femmes, mais en serait au contraire rendue plus présente et plus aiguë. C'est pour cette raison qu'elle exigeait que les filles soient constamment nues ; la façon dont j’ai été fouettée, comme la posture où je suis liée n'ont pas non plus d'autre but.
Aujourd'hui, je demeure le reste de l'après-midi trois heures encore - jambes ouvertes et relevées, exposée sur l'estrade, face au jardin. Je ne peux cesser désirer refermer mes jambes.
Demain, ce serait Claire ou Corinne, ou Isabelle, que je regarderait à mon tour. C'est un procédé beaucoup trop lent et beaucoup trop minutieux pour qu'il soit employé au château. Outre les anneaux et le chiffre que je porterais à mon départ, je serais rendue à Sir Marc plus ouvertement et plus profondément esclave que je ne l'imaginais possible.
Pendant les trois heures, Marianne m’insère un bouton d’anus dans mon anus, elle appuie sur la télécommande pour que le gland du bouton monte et descende à l’intérieur de mon anus ; puis elle accélère les va-et-vient et enfin, le gland accélère dans mon anus avant une série de vibrations anales à à-coups et aux vibrations à intensité progressive. Il est long de seize centimètres dont quatorze m’enculen,t pour quatre de diamètre.
Ligotée, j’explose dans de nombreux râles qui satisfont Marianne et en échange, me masse les seins et investit ma chatte trempée.
- Je ne m’attendais pas à une jouisseuse anale.
- Oh oui, on m’a enculé de nombreuses fois au château. Mon anus est devenu une nouvelle zone érogène.
Pantelante, au bout de trois heures, elle me libère, me retire le bouton d’anus et m’équipe d’un gode-ceinture particulier.
Il comporte un gode anal de treize centimètres de long sur quatre centimètres de diamètre et un gode anal externe de douze centimètres, un diamètre d’entrée d’environ 2 cm, l’équivalent d’un doigt. Ensuite, le diamètre augmente très lentement pour atteindre trois centimètres à son extrémité.
- Je veux que tu soumettes Corinne à la sodomie. Caresse le gode, il est muni d’un va-et-vient qui s’active à chaque coup de boutoir, qui se répercute dans le gode anal inséré dans ton anus. Ainsi tu prendras du plaisir, comme un homme t’enculer en même temps.
Je rejoins Corinne dans sa chambre, je lui lubrifie l’anus, en levrette et je l’encule. L’effet est immédiat, Corinne est une jouisseuse anale comme moi.
Puis Marianne me fait enculer ensuite par Corinne, pour que je prenne mon pied aussi.
A tour de rôle, tous les trois jours, je suis enculée par un gode-ceinture.
Le lendemain matin, après le petit déjeuner, Marianne me dit à moi et à Isabelle de la suivre dans sa chambre. Elle prend dans son secrétaire un coffret de cuir vert qu'elle pose sur son lit et l'ouvre.
Nous sommes assises à ses pieds.
- Isabelle ne t'a rien dit ? me demande Marianne.
Je réponds non de la tête.
- Qu'avait Isabelle à lui dire ?
- Sir Marc non plus, je sais. Eh bien voici les anneaux qu'il désire te faire porter.
Ce sont des anneaux de fer mat inoxydable. La tige en est ronde, épaisse comme un gros crayon de couleur, et ils sont oblongs : les maillons des grosses chaînes sont semblables. Marianne me montre que chacun est formé de deux U qui s'emboîtent l'un dans l'autre.
Ce n'est que le modèle d'essai, dit-elle. On peut l'enlever. Le modèle définitif, tu vois, il y a un ressort intérieur sur lequel on doit forcer pour le faire pénétrer dans la rainure où il se bloque. Une fois posé, il est impossible de l'ôter, il faut limer.
Chaque anneau était long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau était long. Sur une des faces, un triskel niellé d'or, sur l'autre, rien.
- Sur l'autre, dit Marianne, il y aura ton nom, le titre, le nom et le prénom de Sir Marc, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Isabelle porte un disque analogue à son collier. Mais toi, tu le porteras aux lèvres de ta chatte.
- Mais..., dis-je.
- Je sais, répond Marianne, c'est pour cela que j'ai emmené Isabelle. Montre ta chatte, Isabelle.
La fille rousse se lève, et se renverse sur le lit. Marianne lui ouvre les cuisses et me fait voir qu'une des lèvres de la chatte, dans le milieu de sa longueur et à sa base, est percé. L'anneau de fer y passerait juste.
- Je te percerai dans un instant, dit Marianne, ce n'est rien, le plus long est de poser les agrafes pour suturer ensemble l'épiderme du dessus et la muqueuse de dessous. C'est beaucoup moins dur que le fouet. Tu seras attachée seulement un peu plus serré qu'hier, c'est bien suffisant. Viens.

Huit jours plus tard, Marianne m’ôte les agrafes et me passe l'anneau d'essai. Si léger qu'il est et il est creux - il pèse. Le dur métal, entre dans la lèvre, semble un instrument de supplice.
- Bien entendu, dit Marianne, Tu as tout de même bien compris ce que veut Sir Marc ? Quiconque, à Roissy, ou ailleurs, lui ou n'importe qui d'autre, même toi devant la glace, quiconque relèvera ta jupe verra immédiatement ses anneaux à ta chatte, et si on le retourne, son chiffre sur tes reins. Tu pourras peut-être un jour faire limer les anneaux, mais le chiffre tu ne l'effaceras jamais.
- Je croyais, dit Corinne, qu'on effaçait très bien les tatouages.
C’est Marianne qui a tatoué Isabelle, au-dessus du triangle du pubis, en lettres bleues ornées comme des lettres de broderie, les initiales du maître d'Isabelle.
- O ne sera pas tatouée répond Marianne,
- Allons, dites, dis-je.
- Mon pauvre petit, je n'osais pas t'en parler : tu seras marquée au fer. Sir Marc me les a envoyés il y a deux jours.
- Au fer ? crie Isabelle.
- Au fer rouge.

Du premier jour, j’ai partagé la vie de la maison. Les masturbations en solo ou en duo sont fréquentes, ainsi que les sodomies avec gode-ceinture. Marianne note tout sur un carnet pour chacune de nous. Au moins trois fois par jour, nous sommes enculées, Marianne nous enduit l’anus de vaseline, avant chaque sodomie.
Je m’étends au soleil, pour ma patine de ma peau.
Lors du repas, chacune de nous porte un bouton d’anus, pour garder nos anus ouverts par les assauts de la journée.
Le soir, Marianne nomme l'une de nous pour dormir avec elle, la même parfois plusieurs soirs de suite. Elle la caresse et se fait caresser par elle le plus souvent vers l'aube, et se rendort ensuite, après l'avoir renvoyée dans sa chambre.
Ni le plaisir qu'elle avait pu prendre la nuit ni le choix qu'elle avait fait la veille n'influent sur la décision du lendemain après-midi, qui est toujours remise au sort. A trois heures, sous le hêtre pourpre où les fauteuils de jardin sont groupés autour d'une table ronde en pierre blanche, Marianne apporte la coupe aux jetons. Chacune en prenait un. Celle qui tire le nombre le plus faible est alors conduite à la salle de musique et disposée sur l'estrade.
Il lui reste à désigner la main droite ou la main gauche de Marianne, qui tient au hasard une boule blanche ou noire. Noire, la fille est fouettée, blanche, non. Marianne ne triche jamais, même si le sort condamne ou épargne la même fille plusieurs jours.
Isabelle exhibe ses cuisses zébrées et son anneau à la lèvre de sa chatte entièrement épilée.
- Mais pourquoi, je demande à Isabelle, et pourquoi l'anneau, si tu portes le disque à ton collier ?
- Il dit que je suis plus nue lorsque je suis épilée. L'anneau, je crois que c'est pour m'attacher.
- Je ne veux pas, dis-je je ne veux pas, je ne ferai rien pour l'amener, je ne lui en ai que trop dit. Jacqueline n'est pas faite pour être frappée et marquée.
Mais que les coups et les fers vont bien à Isabelle, que sa sueur et ses gémissements étaient doux, qu'il est doux de les lui arracher. Car Marianne, à deux reprises, et jusqu'ici pour Isabelle seulement, m’a tendu le fouet de cordes, en me disant de frapper. La première fois, la première minute, j’hésite, au premier cri d'Isabelle j’accélère les coups. Ensuite, je suis restée près d'Isabelle tout le temps qu'Isabelle est demeurée liée, l'embrassant de temps en temps.
- Que je regrette, dit Marianne, de ne pouvoir te faire fouetter. Quand tu reviendras... Enfin, je vais en tout cas t'ouvrir tous les jours.
Et tous les jours, quand la fille qui est dans la salle de musique est détachée, je la remplace, jusqu'à l'heure où sonne la cloche du dîner.
Un soir Claire est entrée avec Corinne, venant du jardin, s'est approchée de moi et a retourné les anneaux. Il n'y a pas encore d'inscription.
- Quand es-tu entrée à Roissy, dit-elle, c'est Marianne qui t'a fait entrer ?
- Non, dis-je.
- Moi, c'est Marianne, il y a deux ans. J'y retourne après-demain.
- Mais tu n'appartiens à personne ? dis-je.
- Claire appartient à moi, dit Marianne survenant. Ton maître arrive demain matin, Olivia. Tu dormiras avec moi cette nuit.
Ce soir-là, Marianne me caresse entre les cuisses, faisant ériger et durcir mon clitoris, doigtant mon anus ; je m’arc-boute de plaisir.
Marianne m’enfonce ensuite un gode dans l’anus tout en m’embrassant sur la bouche.
Pantelante, je me mets tête-bêche au-dessus d’elle, pour qu’elle continue à me goder l’anus et à me lécher la chatte trempée.
Je lui lèche le clitoris et la chatte en retour.
- Recommence.
Puis après un premier orgasme, elle me couche sur le dos, m’embrasse la bouche et les seins, et me tient contre elle une heure encore avant de me renvoyer. Elle m’a enlevé mes fers.
- Ce sont les dernières heures, lui avait-elle dit, où tu vas dormir sans porter de fers. Ceux qu'on te mettra tout à l'heure ne pourront plus s'enlever.
Elle a doucement et longuement passé sa main sur mes reins ; enfonçant une ultime fois le gode dans mon anus, je jouis sous les coups de boutoir, puis elle le retire et m’emmène dans la pièce où elle s'habille, la seule de la maison où il y eût une glace à trois faces, toujours fermée. Elle a ouvert la glace, pour que je puisse me voir.
- C'est la dernière fois que tu te vois intacte, me dit-elle. C'est ici, où tu es si ronde et lisse, que l'on t'imprimera les initiales de Sir Stephen, sur tes fesses. Je te ramènerai devant la glace la veille de ton départ, tu ne te reconnaîtras plus. Mais Sir Marc a raison. Va dormir, O.
Corinne vient me chercher, à dix heures, je me baigne, me coiffe, et elle me farde les lèvres,
Sir Marc est là.
- Allons, viens, dit Isabelle, il t'attend.
Le soleil est déjà haut dans le ciel, pas un souffle d'air ne faisait bouger les feuilles du hêtre. Sir Marc est debout, immobile, à côté de la table, Marianne assise auprès de lui.
- Voilà, dit Marianne quand Isabelle m’a amené devant lui, les anneaux peuvent être posés quand vous voudrez, elle est percée.
Sans répondre, Sir Marc m’attire dans ses bras, m'embrassa sur la bouche, et me soulevant tout à fait, me couche sur la table, où il demeura penché sur moi. Puis il m'embrasse encore, et se redressant, dit à Marianne :
- Tout de suite, si vous voulez bien.
Marianne prend le coffret de cuir qu'elle a apporté et mis sur un fauteuil, et tend à Sir Marc les anneaux disjoints qui portent le nom d'Olivia et le sien.
- Faites, dit Sir Marc.
Isabelle relève mes genoux, et je sens le froid du métal que Marianne glisse dans sa chair.
Au moment d'emboîter la seconde partie de l'anneau dans la première, Marianne prend soin que la face niellée d'or fût contre la cuisse, et la face portant l'inscription vers l'intérieur. Mais le ressort est si dur que les tiges n'entrent pas à fond.
Alors on me redresse, et me penchant jambes écartées, sur le rebord de la dalle de pierre qui faisait office d'enclume où appuyer alternativement l'extrémité des deux chaînons, on peut, en frappant sur l'autre extrémité, les rivets. Sir Marc regarde sans mot dire.
Quand c’est fini, il remercie Marianne et m’aide à me mettre debout.
Les nouveaux fers sont beaucoup plus lourds que les provisoires mais ceux-ci sont définitifs.
- Votre chiffre maintenant, n'est-ce pas ? dit Marianne à Sir Marc.
Sir Marc acquiesce d'un signe de tête, et me soutient, je chancèle, par la taille ; j’offre des hanches plus rondes et des seins plus lourds.
Dans la salle de musique où, suivant Marianne et Isabelle, Sir Marc me porte plus qu'il ne conduit Corinne et Claire sont assises au pied de l'estrade. Elles se lèvent à leur entrée. Sur l'estrade, il y a un gros réchaud rond à une bouche.
Marianne prend les sangles dans le placard et me fait lier étroitement à la taille et aux jarrets, le ventre contre une des colonnes. On me lie aussi les mains et les pieds.
Les deux fers rouges sont enfoncés dans la chair mes fesses à la fois, on compte jusqu’à cinq, puis on les retire.
Marianne en profite pour tatouer à l’encre noire, un fouet et une cravache entrecroisés sur mes reins, au-dessus de la naissance de mes fesses, où je fus cravaché le premier jour au château.
Quand on me détache, je glisse dans les bras de Marianne, et j’ai le temps, avant de m’évanouir, d'entrevoir, entre deux vagues de nuit, le visage livide de Sir Marc.
Sir Marc me ramène à Paris dix jours avant la fin de juillet. Les fers qui trouent le lobe gauche de son ventre et portent en toutes lettres que je suis la propriété de Sir Marc, me descendent jusqu'au tiers de la cuisse, et à chacun de mes pas bougent entre mes jambes, le disque gravé étant plus lourd et plus long que l'anneau auquel il pend. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair, à près d'un centimètre de profondeur. Rien que de les effleurer, on les perçoit sous le doigt.
De ces fers et de ces marques, j’éprouve une fierté insensée.
Durant ces huit jours, à la demande de Sir, Marc, je me fais réaliser quelques robes pour le grand soleil et quelques robes du soir très légères. Il ne me permet que des variantes de deux modèles, l'une qu'une fermeture Eclair ouvre ou ferme de haut en bas, l'autre composée d'une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je me baignerais nue avec mes fers.
Je garde mes lèvres de la chatte épilée, pour que Sir Marc plonge ses doigts dans ma chatte trempée d’excitation, tirant mes poils pubiens et me doigter longuement l’anus.
Chaque jour, Sir Marc me fait poser nue pour un ami peintre, avec mes fers, dans des poses érotiques.
Je m’habitue à jouir d’un gode anal avec testicules aux formes ultra réalistes à été spécialement conçu pour une dilation progressive avec sa poire de gonflage.
Il ferme le robinet de la poire de gonflage et exerce plusieurs pressions sur cette poire jusqu'à obtention du gonflage désiré. Le gode est long de dix-neuf centimètres et trois de diamètre et va jusqu’à quatre, une fois gonflé, sur quatorze centimètres qui m’enculent.
Après utilisation, il ouvre le robinet de la poire pour un dégonflage complet.
Un autre jour, j’essaie un gode réaliste avec testicules dispose de formes ultra réalistes, il a été moulé sur un sexe en érection, spécialement conçu pour une dilation progressive avec sa poire de gonflage. Il le gonfle comme l’autre, long de seize centimètres et quatre de diamètre et va jusqu’a cinq, une fois gonflé sur treize centimètres qui m’enculent,
Enfin, le summum est un gode long de treize centimètres et six de diamètre, avec une butée pour que je le garde bien en place pour la journée.
Mais aussi, j’ai droit à un gode avec poignée et anneau de dilatation progressive, long de vingt-deux centimètres dont quatorze m’enculent. Le diamètre montre progressivement de deux, trois, quatre à cinq centimètres.
Fier du résultat, il me retire et m’enfonce un spéculum anal, mon anus ouvert de cinq centimètres de diamètre, qui s’enfonce sur huit centimètres dans mon anus. Il bloque la vis, pour exposer mon anus dilaté dans un grand miroir.
Je me penche en avant, et il me cravache les fesses.
Il me retire le spéculum.
Il m’invite à le sucer, en récompense. Il s’installe sur le lit, je me mets tête en bas, la bouche à hauteur de son mandrin, les genoux en appui sur ses épaules, j’embouche uniquement son gland, pour qu’il bande.
Pour m’offrir davantage, Sir Marc se redresse et fait glisser mes cuisses sur ses épaules, pour que je l’embouche totalement jusqu’aux testicules, tandis qu’il me lèche la chatte et me doigte l’anus dilaté et humide. J’enserre et soupèse ses testicules de mes doigts agiles et experts.
Il m’encule ensuite en levrette jusqu’à l’orgasme anal.

Avec les tee-shirts moulants, que je choisis, à jupe plissée soleil et petit boléro ajusté et fermé, ou les robes plus sévères en cloqué de nylon, à peine fardée, sans chapeau, et les cheveux libres, j’ai l'air d'une jeune fille sage. Partout où Sir Marc m'emmène, on me prend pour sa fille, ou pour sa nièce, d'autant plus que maintenant il me tutoie, et que je continue à lui dire vous.
Souvent dans une petite rue, il m’embrasse, caresse mes seins nus et ma chatte, sans me mener au plaisir.
Une fois Sir Marc m’invite à déjeuner, avec deux de ses compatriotes de passage. Il vient me chercher une heure avant que je sois prête Je suis baignée, mais ni coiffée, ni maquillée, ni habillée. Sir Marc me fait ouvrir une sacoche à clubs de golf, contenant plusieurs cravaches de cuir, deux de cuir rouge un peu épaisses, deux très minces et longues en cuir noir, un fouet de flagellant à très longues lanières, de cuir vert, chacune repliée et formant boucle à son extrémité, un autre de cordelettes à noeuds, un fouet de chien fait d'une seule et épaisse lanière de cuir, dont le manche est de cuir tressé, enfin des bracelets de cuir comme ceux du château, et des cordes.
Sir Marc fixe les clous sur un panneau de boiserie entre la psyché et la cheminée se prête à les recevoir. Aux extrémités des manches des fouets et des cravaches, il y a des anneaux que l'on pouvait accrocher aux crochets des clous X, ce qui permet d'enlever et de reposer chaque fouet facilement ; avec les bracelets et les cordes roulées, J’ai en face à son lit, la panoplie complète de mes instruments de supplice.
Nue, en levrette, je suis punie avec le fouet à chiens.
Au club privé, au pied de chez Sir Marc, je suis invitée à manger nue, en compagnie des amis de Sir Marc. Je suis assise seule sur le divan en cuir, un des amis de Sir Marc à ma droite, l’autre à ma gauche, chacun dans un fauteuil et Sir Marc en face de moi.
Ainsi,
L’un est un grand garçon brun aux yeux bleus, âgé de vingt-cinq ans. Sir Marc leur dit en deux mots pourquoi il m’a invité, et ce que je suis, une putain, une fille qui consent. Tous regardent mes seins aux mamelons fardés, récemment cravachés par deux sillons en travers.
Au café, je me lève, me tourne, pour montrer comment je suis chiffrée et ferrée, il me laisse entre les mains de ses amis. Je porte le collier et les bracelets aux poignets comme au château.
Le premier me lie les mains au-dessus de la tête, à un crochet planté dans le plafond, à une hauteur que je ne peux atteindre sur la pointe des pieds et à bras tendus.
Il baisse son pantalon, exhibe son mandrin avec un anneau pénien placé à la base des testicules les rendant ses testicules bien volumineux et super excités et un second anneau pénien placé à la base commune du mandrin et des testicules favorisant l’érection et en aidant à maintenir l’érection..
Un troisième anneau pénien est placé le long du pénis, car les boules massent d’une manière hyper excitante la hampe du pénis ; les sensations provoquées par la masturbation sont alors décuplées et ultra excitantes en provoquant rapidement l’envie d’éjaculer !
L’homme m’écarte les fesses, après que je l’ai sucé. Il m’enfonce son mandrin dans l’anus et me masse l’anus avec les boules, déclenchant un orgasme anal.
Il me détache et je le suce, pour recevoir de longues giclées de spermes en bouche.
Le second veut davantage de moi, me prend par la main, me conduit dans une chambre, au-dessus du club privé, je suis restée nue et en mules.
Derrière des miroirs sans tain, des caméras et des appareils photographiques à déclenchement automatique sont reliés au bureau de Sir Marc.
Dans la chambre, je m’empale sur lui, me fait enculer jusqu’à la nuit tombée. Je l’embrasse en retour.

Le lendemain, lorsqu'à deux heures j’arrive chez Sir Marc qui m'a fait appeler, Sir Marc me conduit dans une pièce secrète.
Il y a un très petit boudoir, peint à neuf, et tendu de soie dont la moitié est occupée par une estrade arrondie, flanquée de deux colonnes, identiques à l'estrade de la salle de musique.
- Les murs et le plafond sont doublés de liège, n'est-ce pas, dis-je et la porte capitonnée, et vous avez fait installer une double fenêtre ?
Sir Marc fait oui de la tête.
- Mais depuis quand ? dis-je
- Depuis ton retour.
- Alors pourquoi ?...
- Pourquoi j'ai attendu jusqu'à aujourd'hui ?
- Parce que j'ai attendu de te faire passer entre d'autres mains que les miennes. Je t'en punirai, maintenant. Je ne t'ai jamais punie, Olivia.
- Mais je suis à vous, dis-je, punis-moi. Quand Eric viendra...
Une heure plus tard, mis en présence je suis grotesquement écartelée entre les deux colonnes, le garçon disparaît après m’avoir vu.
Je pense ne jamais le revoir. Je le retrouve au château, à la fin du mois de septembre, où je suis livrée à lui trois jours de suite et il me maltraite sauvagement.

Un matin, peu après le retour de Jacqueline, je prends mon bain, je me rase le pubis.
Jacqueline est revenue, plus radieuse et plus fraîche que jamais, de ne pas plus se cacher désormais pour se baigner ou s'habiller, qu'elle ne fat quand elle était seule. Jacqueline entre dans la salle de bains, au moment où je me finis de me raser le pubis, je sors de l'eau et enjambant le rebord de la baignoire, je fais tinter contre l'émail les fers de ma chatte pour que le bruit insolite attire son attention.
Jacqueline tourne la tête et voit à la fois le disque qui pend entre mes jambes, et les zébrures qui me rayent les cuisses et les seins.
- Qu'est-ce que tu as ? dit-elle.
- C'est Sir Marc, réponds-je. Et j’ajoute que Richard m'a donnée à lui, et il m'a fait ferrer à son nom. Regarde. »
Et tout en m'essuyant avec la serviette, je m’approche de Jacqueline qui, s'est assise sur le tabouret laqué, assez près pour qu'elle puisse prendre à la main le disque et lire l'inscription ; puis toujours nue, je me retourne, désigne de la main le S et l'H qui creusent mes fesses, et je dis :
- Il m'a fait aussi marquer à son chiffre. Le reste, ce sont des coups de cravache. Il me fouette généralement lui-même, mais il me fait aussi fouetter par sa servante noire.
Jacqueline reste avec moi, tandis que je me sèche, me parfume, me brosse les cheveux, m’écarte les fesses et m’insère mon bijou d’anus de cristal rose. Je mets ma guêpière, mes bas, mes mules.
- Serre-moi ma guêpière, dis-je. Tu fais bien l'étonnée. Richard est amoureux de toi, il ne t'a donc rien dit ?
- Je ne comprends pas, dit Jacqueline.
Et avouant du premier coup ce qui la surprenait le plus :
- Tu as l'air d'être fière, je ne comprends pas. Quand Richard t'emmènera à Roissy, tu comprendras. Est-ce que tu as commencé à coucher avec lui ?
Un flot de sang envahit le visage de Jacqueline qui fait non de la tête avec une telle mauvaise foi qu'O éclate encore de rire.
- Tu mens, mon chéri, tu es stupide. Tu as bien le droit de coucher avec lui. Et ce n'est pas une raison pour me repousser. Laisse-moi te caresser, je te raconterai Roissy.
Jacqueline cède. « Raconte », me dit-elle
- Oui, dis-je. Mais embrasse-moi d'abord le bout des seins. Il est temps que tu t'habitues, si tu veux servir à quelque chose à Richard.
Jacqueline obéit, et si bien que je gémis.
- Raconte », dit-elle encore.
Le récit, pour fidèle et clair qu'il fût, et en dépit de la preuve matérielle, que moi-même constitue, parait à Jacqueline délirant.
- Tu y retournes en septembre ? dit-elle.
- Je t'emmènerai ou Richard t'emmènera.
- Voir, je voudrais bien, reprend Jacqueline, mais voir seulement.
- Sûrement c'est possible », dis-je qui je suis convaincue du contraire, mais je me dis que si je peux persuader Jacqueline de franchir les grilles du château, Sir Marc m’en saurait gré - et qu'il y aurait ensuite assez de valets, de chaînes et de fouets, pour apprendre à Jacqueline la complaisance.

Mais avant, Sir Marc tient à me conduire dans une île privée en Méditerranée.
Je suis juste vêtue d’une jupe éventail, qui se retrousse d'un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je suis fardée et maquillée, chaussée de mes mules à hauts talons, mes cheveux libres.
Après deux heures de vol, nous atterrissons sur un aérodrome privé.
Nous prenons un hydravion qui amerrit près d’une île au milieu d’un lac ,isolée.
Je me déchausse pour marcher pieds nus sur le débarcadère.
Après le départ de l’hydravion, Sir Marc me retire le boléro, me bande les yeux et me met un collier et des bracelets aux poignets ; ils sont différents, ceux-ci sont de fer inoxydable, articulés et à demi rigides. Ils sont hauts de près de deux doigts et portaient chacun un anneau de même métal. Le fer est de la même couleur et du même éclat mat que les fers de ma chatte. Sir Marc me dit, au moment où retentit le dernier déclic qui ferme le collier, qu'il ne les retirerait ni jour ni nuit, ni même pour se baigner, tant que je serais sur l’île .
Sir Marc me lie les mains au dos.
On attache une chaîne à l'anneau de mon collier, et me prie de l'accompagner. Je suis tirée en avant, et marche. Mes pieds nus marchent sur le bois du débarcadère, puis sur le carrelage froid d’une première pièce. Là, on me retire ma robe, pour m’enserrer dans un bustier seins nus corseté étroitement. Des mains caressent mes fesses et mes seins, sans un mot.
Une porte s’ouvre, des mains me penchent en avant et je suis enculée par un gros mandrin qui me fait jouir.
Mes pieds nus marchent ensuite sur un tapis de laine. On glisse mes pieds nus dans des mules à hauts talons, avec une bande sur le cou-de-pied.
Je franchis une nouvelle porte, mes mules claquent sur les marches de l’escalier de pierre qui descend.
On ouvre une dernière porte.
On me retire le bandeau et la chaîne.
Quatre hommes m’attendent. Sans ménagement, je me retrouve le buste posé sur un pouf, cuisses écartées les mains au dos, je suis déchaussée. Trois se relaient pour m’enculer. Je jouis à chaque coup de boutoir.
Le quatrième me fait tendre les bras et fixe mes bracelets à un crochet face à moi. Il cingle mes reins, mes fesses et mes cuisses à toute volée, comme Pierre. Je gémis.
Puis il m’encule.
Enfin, je les suce, toujours menottée à la chaîne, recevant des giclées de sperme en bouche.
On me bande les yeux, on me libère de la chaîne.
On me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve dans ma cellule, nue, les mains libres. Mélanie, une beauté brune, aux petits seins, vêtue d’une large jupe bouffante, doublée de taffetas, montée à gros plis creux non repassés sur une bande droit fil, qui se boutonne sur le corset.
Le corset monte jusque sous les seins, qu'une légère armature maintenait écartés, et qu'un étroit rebord soutenait si bien qu'ils sont projetés en avant et paraissent d'autant plus libres et fragiles.
La jupe est ouverte dans le milieu du dos de la taille aux pieds. A moins qu'on ne tire délibérément sur un côté ou l'autre de la jupe, on ne le remarque pas. Le casaquin, qui se boutonne dans le dos et se porte sur la jupe, avait de courtes basques découpées qui couvrent d'une largeur de main le départ des plis. Il est ajusté par des pinces et par deux panneaux élastiques. Les manches sont taillées non montées, avec sur le dessus une couture qui prolonge la couture d'épaule, et se terminent au coude par un très large biais évasé. Un biais analogue termine le décolleté, qui suit exactement l'échancrure du corset.
Les seins sont juste couverts par une bande de dentelle assez souple et assez transparente pour qu'on en devine l'aréole, et pour qu'on comprend qu'ils sont libres sous le fichu. Au reste, il suffit d'enlever l'épingle pour qu'ils soient tout à fait nus, comme il suffit par-derrière d'écarter les deux côtés de la jupe pour que la croupe soit nue. Mélanie, avec deux attaches soulèvent les deux pans et se nouent sur le devant de la taille, il est facile de les maintenir ouverts.
Je remarque que sa croupe a été récemment cravachée tout comme ses seins. Elle est ferrée et marquée comme moi.
- Je dois te baigner et te faire ton lavement.
Je m’accroupis dans la douche, la même fille me savonne un instant, puis me rince avec le jet qui, par un ressort obéissant à la pression du doigt, jaillit d'un tuyau de métal annelé ; une mince canule d'ébonite le termine.
Le jet est doux, l’eau se répand dans le fond de mon anus puis de ma chatte.
- Toute les cinq sodomies ou plus, un lavement est nécessaire. Tu as de belles lèvres à la chatte. Tes amants doivent t’envier.
Elle m’amène ensuite devant le grand miroir à trois faces de ma chambre, me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole et la pointe des seins, et les petites lèvres entre mes cuisses, en soulignant la fente du giron. Je poudre mon visage, et chausse mes mules à hauts talons.
Mélanie me parfume, je vois mes seins et mes aisselles briller sous les fines gouttelettes. Un valet africain entre, me lie les mains dans le dos, me met les jambes en V, qu’il tient, me prenant aux jarrets, maintint écartées. Et la buée de parfum, qui se répand au creux de ma chatte et entre mes fesses, me brûle si fort que je gémis et me débats.
Le valet libère mes mains et disparaît.
Mélanie apporte des bas très fins et noirs et une guêpière de taffetas de nylon noir, tenue rigide par de larges baleines très rapprochées, courbées vers l'intérieur au ventre et au-dessus des hanches, je reste toujours debout et en équilibre, d'un pied sur l'autre, enfile les bas, qui me montent tout en haut des cuisses. Mélanie me met la guêpière, qu'un busc, sur un côté derrière, permet de boucler et de déboucler. Par-derrière aussi, un large laçage se serre ou se desserre à volonté. J’accroche mes bas, devant et sur les côtés, aux quatre jarretelles puis Mélanie la lace aussi étroitement qu'elle peut. Je sens ma taille et mon ventre se creuser sous la pression des baleines, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
- Aujourd’hui, tu porteras la guêpière. N’oublies pas que tu ne fermes jamais tout à fait les lèvres, ni ne croises les jambes, ni ne serres les genoux pour leur montrer que ta bouche, ta chatte et ton anus leur sont ouverts. Tes seins leur appartiennent. Tu restes en guêpière pour le premier jour, pour que l’on te prenne comme ils voudront, sauf le fouet. Tu seras fouettée qu'entre le coucher et le lever du soleil. Mais outre celui qui te seras donné par qui le désirera, tu seras punie du fouet le soir pour manquement à la règle dans la journée : c'est-à-dire pour avoir manqué de complaisance, ou levé les yeux sur celui qui te parle ou te prend : tu ne dois jamais regarder les visages des hommes et ne fixer ton regard sur leurs mandrins, que tu suceras. Dans la journée, tu ouvriras ta jupe pour qu’ils t’enculent et la referme ensuite à la fin des ébats. La nuit, tu dormiras les cuisses écartées les mains liées au dos, nue, tu seras fouettée les yeux bandés. Maintenant, silence et yeux baissés, le valet revient.
Le valet Aimé caresse mes seins et ma chatte, avant de m’enculer, allongée sur le ventre, sur le lit, après le départ de Mélanie.
Il m’écarte les jambes et m’écarte les fesses, la sodomie est profonde et longue. Je jouis après quelques coups de boutoir, ce qui me vaut une fessée magistrale.
Il se retire, me lie les mains dans le dos, glisse son gland dans ma bouche et je reçois de longues giclées de spermes sans perdre une goutte.
Aimé me fait prosterner et cingle mes fesses à la cravache pendant cinq minutes, tandis que l’autre main, il caresse mon clitoris érigé et durci.
Ma chatte est trempée et mon anus est encore plus humide d’excitation.
Il me relève, je chausse mes mules, les mains libres.
Mélanie se fait enculer dans le couloir, en levrette, sur une banquette, par un autre valet.
Mon regard se fixe sur le mandrin qui entre et sort de l’anus dilaté de Mélanie, qui gémit.
Après avoir fait gémir Mélanie, le valet me fait sucer et j’avale ses giclées de sperme en bouche.
Aimé me conduit à l’escalier qui fait l’angle de l’aile nord, où je loge et l’aile orientée à l’est. L’escalier est en marbre et mes mules claquent. D’autres filles m’accompagnent.
Au réfectoire, je m’assois cul nu, cuisses écartées, sur un tabouret rond recouvert de cuir noir. Un gode est introduit dans mon anus, à mon insu, pendant que je mange. Un valet appuie discrètement sur la télécommande pour que le gland monte et descende à l’intérieur de mon anus ; puis les va-et-vient s’accélèrent, me massant l’anus dans des va-et-vient plus rapides, des vibrations par à-coups, s’arrêtent et recommencent par intermittence. Je ne peux me caresser mon clitoris pour accentuer mon extase anale. Les vibrations deviennent ensuite progressives. Il mesure seize centimètres dont quatorze m’enculent avec un gland de quatre centimètres de diamètre.
Mes mouvements du bassin sont violents ; je suis au bord de l’orgasme anal, quand le gode rentre dans son logement dans le tabouret.
A la fin du repas, je suis penchée en avant, enchaînée à un anneau à la table, pour une sodomie longue et profonde par deux valets que je suce jusqu’à la dernière goutte.
- Assis-toi sur la table, ma belle ! m’ordonne un des deux et l’autre me lie les mains dans les dos.
Le premier défait le dernier maillon, qu'il passe dans le second anneau que je porte à la lèvre de ma chatte, puis referme. La chaîne d’un mètre et demi de long, se termine par un mousqueton. L’homme me fixe la chaîne à un de mes anneaux.
- Tu seras désormais promenée en laisse sur l’île et tu porteras le serpent entre tes fesses. Lève-toi, je vais te l’insérer.
Le second m’écarte les fesses et le premier insère ce serpent malicieux qui darde impudiquement sa langue sur ma chatte, mon clitoris, et me conduis au paradis…
Il mesure treize centimètres et cinq de diamètre, douze m’enculent pour un poids de 600g. il pèse lourd dans mon anus.
Je découvre le fait d’être tenue en laisse. Le valet me tire par les anneaux de mes lèvres de ma chatte. Je mouille d’excitation.
Je remonte l’escalier, tenue en laisse, rejoins ma cellule où le valet me déshabille entièrement et me déchausse, m’allonge sur le dos, mains jointes au cou, enchaînée à une chaîne suspendue à un crochet au plafond.
Ma chaîne est passée entre mes jambes, remontée sur mes reins, et entourant ma taille.
Il me rabat les jambes sur la poitrine, me caresse longuement la chatte avec le serpent, mais sans me mener au plaisir.
Il me met ensuite un bandeau sur les yeux.
Au bout d’une heure, je me retrouve debout, mes pieds nus bien plats sur le lit .La cravache cingle à toute volée, mes reins, mes fesses et mes cuisses et le devant des cuisses. Le tout dure cinq minutes.
Pendant l’après-midi, l’opération se renouvelle. Cinq fois, on me retire le serpent pour m’enculer vigoureusement.
Un m’allonge sur le ventre, m’encule, en m’enserrant les hanches. J’agite ma croupe pour qu’il bande davantage dans mon anus.
Au coucher du soleil, on me libère, me rabat mes jambes sur la poitrine, pour voir comment je suis mouillée.
Avant de me retirer le bandeau des yeux, on me lie les mains dans le dos. Je reste nue et pieds nus, pendant le lavement fait par Mélanie, qui me farde et me maquille, me parfume.
Puis Aimé me tient en laisse de ma cellule au rez-de-chaussée, nue, pieds nus, avec mon serpent logé entre mes fesses.
Arrivée au rez-de-chaussée, j’entre dans un luxueux salon, où quatre étalons masqués s’occupent de quatre filles, une est fouettée et les quatre autres sont enculées.
Aimé me retire la laisse et m’abandonne aux étalons masqués bien montés.
- C’est la dernière conquête de Sir Marc, elle a déjà séjournée au château. Maintenant, elle est marquée et ferrée. Tourne-toi que l’on voie tes fesses.
J’obéis. L’homme me lève les bras et découvre mon tatouage à l’encre noire sur mes reins au-dessus de ms fesses.
Il me retire le serpent et me fait agenouiller, le buste sur le pouf. Il m’écarte les fesses. Il m’encule en me maintenant aux hanches. Je jouis.
- Tu n’es plus étroite comme la première fois que je t’ai prise, dit l’homme comblé.
Puis les trois hommes se relaient pour m’enculer à tour de rôle.
Le second me laisse le buste sur le pouf.
Le troisième m’allonge sur le dos, me relève complètement les cuisses sur les épaules et m’encule.
Le quatrième me fait lever et me fixe les bracelets au-dessus de la tête au crochet, je suis sur la pointe des pieds, il passe une corde autour de la taille et du poteau.
Il m’encule puis il prend un fouet de cordes assez fines, qui se terminent par plusieurs noeuds, et qui étaient toutes raides, trempées dans l'eau, les cordes sont humides et froides.
Le fouet cingle mes reins et mes cuisses. Je gémis faiblement. On me laisse respirer, mais quand je reprend haleine, on recommence, jugeant du résultat non par mes cris ou mes larmes, mais, par les traces plus ou moins vives ou durables, que les fouets laissent sur ma peau.
On me détache, chancelante et presque évanouie.
Un autre homme me lie ensuite les mains dans le dos, m’allonge sur le ventre, sans ménagement et m’encule vigoureusement.
Pour me récompenser, je suce l’ensemble des hommes, je suis agenouillée, cuisses écartées, talons contre fesses, mains dans le dos.
On me remet le serpent en place, je patiente, assise sur un pouf, cuisses écartées, tête et yeux baissés.
On me donne des coups de martinet de poche sur les seins, pour me soumettre.
Au bout d’un long moment, on me libère du serpent et je me retrouve agenouillée, cuisses écartés sur une machine.
Un gode anal long de quatorze centimètres et quatre de diamètre m’encule, tandis qu’un stimulateur clitoridien caresse mon clitoris durci et érigé d’excitation.
Le gode est traversé de sa base jusqu’au gland par un canal d’éjaculation pour le faux sperme.
La Machine fait monter et descendre le gode. À chaque va-et-vient : une sodomie qui ne me laisse pas insensible ! La cadence de va-et-vient est très aisément réglable en temps réel grâce à un bouton rotatif : jusqu’à 300 pénétrations par minute !
Pour m’exciter, le gode se bloque en position haute suivi de cinq éjaculations successives ! je suis enculée avec des va-et-vient continuels.
Je sus pénétrées jusqu’à la jouissance grâce à l’action des stimulateurs clitoridiens et anaux conjuguée aux mouvements de haut en bas. Les éjaculations successives de la Machine sont très stimulantes et très excitantes : il ne faut pas hésiter à les déclencher au moment de mon orgasme sur la machine.
Les yeux bandés, les mains dans le dos, les hommes me cravachent le devant et l’intérieur des cuisses et le ventre, à chacun de mes râles.
J’y passe une demi-heure, avant d’être livrée à une orgie de sodomie jusqu’à l’aube.
Pantelante, je suis ramenée en laisse à ma chambre, où accroupie, je suis baignée et j’ai droit à mon lavement.
Ma chambre est tranquille et sombre, avec une grande porte-fenêtre qui ouvre sur le parc. Le grand lit est si bas, il se confond avec le sol, avec le mur auquel il s'appuie. Tout ce qui n'est pas ce lit tient dans une petite pièce voisine, dont la porte se perd dans la tapisserie, tout : baignoire, armoire, coiffeuse. Dans la chambre un grand miroir fait face au lit. Il est en partie futé sur une porte. S'il bouge, c'est qu'on entre.
Aimé m’allonge sur le ventre, mains jointes au cou et m’enchaîne pour la nuit. Je garde le serpent pour la nuit.

Après trois jours à l’aide nord, je rejoins l’aile donnant à l’est, gardés par des valets nord-africains, j’ai droit qu’au corset. On agrémente mes mamelons de pinces à seins en aluminium Or décorées d'un cristal. Munies d’une attache magnétique, elles se fixent sur le téton facilement et procurent un plaisir avant et après. C’est une cage avec dorure à l’or 24 carats avec têtes coniques revêtus d’argent. La cage est épaisse de cinq millimètres, 1 centimètre de hauteur et deux de diamètre intérieur.
Je les porte en vue d’un prochain percement de mes mamelons pour ma progression comme esclave.
Ce jour-là, nue, je reçois la visite d’un bel étalon, ami de Sir Marc. Il m’encule, enchaînée à mon lit, les jambes ramenées complètement sur mes épaules, me cravache trois fois les fesses et les reins, allongée sur le ventre. Il m’encule une ultime fois et gicle dans ma bouche et m’abandonne.
L’après-midi, après mon bain, je suis fouettée, au martinet, avec lanières à nœuds, sur le palier de l'étage, courbée sur la balustrade de l'escalier, et liée, jamais assez fort pour me marquer, toujours assez longtemps pour m’arracher des cris, des supplications et parfois des larmes.
Pour me récompenser, il m’encule à son tour.
Dans cette aile, je suis constamment fouettée et enculée par les valets, dans leur chambre quand j’y suis seule, dans les vestiaires, au besoin dans les corridors et les vestibules
Mes fesses, mes reins, mes cuisses sont zébrées.

Après trois jours dans l’aile donnant à l’est, je rejoins l’aile sud, où je découvre un restaurant, un bar, de petits salons au rez-de-chaussée, et aux étages, des chambres. Les membres peuvent recevoir au restaurant et au bar leurs invités, sans que ceux-ci aient à payer le droit d'entrée. Le restaurant et le bar ont maître d'hôtel et barman, quelques garçons - les cuisines sont au sous-sol - mais ce sont les filles qui font le service autour des tables. Au restaurant, elles sont en uniforme. Au bar, vêtues des grandes robes de soie, une mantille de dentelle semblable à la mantille d'uniforme leur couvre les seins, elles sont là pour attendre qu'on les choisît. Le restaurant et le bar couvrent leurs frais normalement, l'hôtel aussi. L'argent que rapportent les filles était réparti suivant des quotes-parts déterminées : tant pour l’île, tant pour la fille. Toutes ne coûtent pas le même prix : je suis payée double parce que j’appartiens à Sir Marc et que je porte des fers et une marque.
Fouetter une fille se paie à part, la faire fouetter par un valet, également. Les notes sont payées au bureau de l'hôtel les pourboires remis directement.
Dès mon premier jour de service, cinq clients me fouettent et m’enculent. Un seul, surpris par mes fers, me caresse juste la chatte et les seins, me fait sucer son mandrin et gicle dans ma bouche.

Au second jour de mon séjour à l’aile sud, après avoir libéré de mes chaînes vers dix heures, ayant passé la nuit à jouir enculer et fouetter, après mon bain, Mélanie m’épile le pubis, les lèvres et le contour de l’anus.
Le valet me libère les deux maillons et m’insère un double gode réaliste, le gode e vaginal mesure dix-huit centimètres et quatre de diamètre, dont quinze me remplissent la chatte et le gode anal mesure dix-huit centimètres et trois de diamètre dont quatorze m’enculent. Il me l’insère profondément, dans les orifices et me remet les deux maillons ensemble.
Il me lie ensuite les mains dans le dos, pour que Mélanie parfume mes seins, ma chatte et mes fesses.
Le valet me fait asseoir sur le coin du lit, cuisses écartées. Il me bande les yeux..
Pus il me lèche le clitoris, je jouis, tandis que les deux godes me massent, je suis au bord de l’orgasme.
Il fixe ensuite la laisse à un des anneaux de ma chatte. I me fait chausser mes mules et me fait lever.
Il me met sur les épaules, attachée à mon collier, une longue cape rouge qui me couvre tout entière, mais s'ouvre quand je marche puisque je ne peux la retenir, ayant les mains attachées derrière le dos.
On me tire en avant et je marche. Mes mules claquent sur le marbre de l’escalier, puis une porte s’ouvre. Je traverse une allée de graviers, puis un portail s’ouvre.
On me fait arrêter. On me retire la laisse et le portail se referme.
Des mains me retirent la cape et m’inspectent les fesses, les reins, les seins, sans un mot.
On me retire le bandeau. Je retrouve Sir Marc, à sa villa de l’île.
Il me libère les mains et m’embrasse langoureusement.
- Tu es resplendissante, la taille s’est affinée. Le double gode te remplit bien.
Il me prend par la main et me conduit à Jacqueline.
Jacqueline est vêtue d’un chemisier et d’une jupe, de mules à petits talons, les cheveux libres.
Jacqueline est surprise de voir double pénétrée par des godes réalistes.
Les glands apparents et en relief, les hampes veinées me massent les orifices à chacun de mes pas.
Sir Marc me fait allonger sur le dos, une jambe sur le canapé et le pied droit au sol.
Jacqueline se met en levrette pour me lécher le clitoris, tandis que Sir Marc s’occupe d’elle.
Il lui retire son slip et lui déflore l’anus vierge. Jacqueline gémit entre deux léchages. Je la plaque contre mon clitoris, pour étouffer ses râles.
A mon insu, les glands se mettent à vibrer. En effet, Sir Marc m’a mis une variante vibrante, avec va-et-vient, qui décuple mon plaisir.
Ma chatte déborde de mouille, mes mamelons se durcissent et mon clitoris s’érige sous les coups de langue.
Après quelques coups de boutoir dans l’anus de Jacqueline, Sir Marc me fait sucer sa queue et gicle dans ma bouche.
Richard nous rejoint et s’occupe de Jacqueline, qui s’est assise, se remettant de sa première sodomie. Richard l’invite :
- A partir d’aujourd’hui, il ne faut pas t'asseoir sur ta jupe, il faut la relever et t'asseoir directement sur la banquette.
Il déboutonne le chemisier et il allonge la main vers le col de sa blouse, défait le noeud, puis les boutons. Elle penche un peu le buste, et croit qu'il veut lui caresser les seins.
Non. il tâtonne seulement pour saisir et trancher avec un petit canif les bretelles du soutien-gorge, qu'il enlève. Elle a maintenant, sous le chemisier qu'il a refermée, les seins libres et nus comme elle a nus et libres les reins et le ventre, de la taille aux genoux.
- Dorénavant, tu ne porteras ni slip ni soutien-gorge ni porte-jarretelles avant de rejoindre le château.
Sir Marc me libère du double gode et m’écarte les fesses, caresse ma chatte humide.
- Ton anus est prêt et ta chatte est trempée d’excitation. Mets-toi en levrette pour que je prenne.
J’obéis. Le mandrin de Sir Marc m’encule profondément. Il me cravache les cuisses à chaque coup de boutoir. J’explose en un violent orgasme anal. Il se retire et gicle dans ma bouche.
Pour me récompenser, il me fait enfiler un string muni de deux godes.
Ce sont deux godes en latex noir ressemblent à de véritables pénis. Le string de grande qualité a des bordures travaillées avec soin. La ceinture et la lanière du string sont réglables par boucles pour une bonne adaptation. Le gode vaginal : mesure quinze centimètres et quatre de diamètre, et l’anal mesure douze centimètres et trois de diamètre.
Je porte le string jusqu’au coucher du soleil. Sir Marc ne le retire que pour je puisse me soulager.
Je prépare Jacqueline à farder ses mamelons et sa chatte, à se parfumer.
Sir Marc me cravache les fesses et les reins dans une pièce insonorisée de la villa.
Peu avant le coucher du soleil, je rejoins le bâtiment, comme je suis venue, nue, en mules, les yeux bandés, menottée dans le dos, avec le double gode.
Je retrouve ma cellule.
Le maître des lieux me fait écarteler dans les sous-sols pour que je reçoive de nouveau anneaux : un au clitoris, muni d’une langue et d’un poids pour l’étirer et deux aux mamelons, avec le même système.
Une fois percée, je suis l’objet d’une orgie anale intense, par une dizaine d’étalons bien montés qui me sont destinés.
J’enfile une culotte très spéciale pour la nuit, comportant deux godes.
Une fois les godes introduits dans les orifices, le maître visse le tuyau de la pompe sur l’embout correspondant qui dépasse sous la culotte, puis il appuie sur la poire de type professionnelle pour gonfler les godes: le diamètre des godes va alors s’élargir progressivement en me faisant soupirer de plaisir. Il actionne une molette rotative en acier sur la pompe pour libérer de l’air, puis referme la molette pour pomper et rajouter de l’air en déclenchant mes gémissements, en effet les deux godes gonflent ma chatte et mon anus. Il gonfle alternativement le gode en vissant simplement le tuyau sur l’embout de votre choix !
Une fois le tuyau retiré, l’air contenu dans les godes gonflés ne peut pas s’échapper, seul le Maître peut les dégonfler.
Ma chatte est rempli par un mandrin de douze centimètres et trois de large et mon anus est rempli par un bouton d’anus de onze centimètres et trois de large.
Je suis reconduite à ma cellule et enchaînée pour la nuit.
Je fantasme pour mouiller.
J’ai droit à mes coups de cravache sur mes reins et mes cuisses.

Ce n’est que vers dix heures, que le Maître dégonfle les godes et me fait enculer par les valets, cul nu sous mon uniforme.

Le supplice dure jusqu’à la fin de la semaine, marquant la fin de mon séjour sur l’île.
Sir Marc vient me rechercher.
Je suis nue dans ma cellule, la chatte encore béante et l’anus dilaté, après ma nuit avec la culotte et les godes gonflés.
Je suis assise sur le lit, cuisses écartées, devant lui.
Il me caresse les cheveux.
- Il faut te rhabiller, dit-il, nous partons.
Je prends un dernier bain, me fait un lavement avec la canule, m’épile le pubis et les lèvres de la chatte, il me brosse les cheveux, me tend ma poudre et mon rouge à lèvres.
Quand je reviens dans la cellule, ma jupe éventail, à corselet montant jusque sous les seins, et mon boléro fermé au cou, mes mules sont sur le pied du lit
Avant de t’habiller, je voudrais t’enculer.
Je chausse mes mules, me penche en avant. Il m’encule profondément. Je jouis, mains jointes au cou.
Il se retire et gicle dans ma bouche, tandis qu’un autre mandrin m’encule. C’est le maître des lieux.
- Ce gode lui ouvre le cul à merveille. Elle est encore plus ouvre qu’au premier jour sur l’île.
L’homme me doigte la chatte et branle mon clitoris percé. J’explose dans un long râle, rapidement étouffé par le mandrin de Sir Marc.
L’homme se retire et gicle aussi dans ma bouche.
- Enfile la culotte avec les deux godes.
J’obéis. Sir Marc me gonfle le gode anal uniquement.
- Habille-toi.
Le maître des lieux me libère du collier et des bracelets en fer.
Mes anneaux pendent de part et d’autre de l’entrejambe de la culotte.
J’enfile la jupe à corselet et reste seins nus.
Sir Marc me farde mes mamelons durcis par les coups de langue répétés.
Sir Marc me lace le corselet, affinant ma taille et cambre mes reins.
Sir Marc me fait mettre le boléro.
Il me tient en laisse par les anneaux de ma chatte pour me ramener au débarcadère.
Nous rejoignons le débarcadère par un passage souterrain.
Arrivés au débarcadère, avant de monter dans l’hydravion, Sir Marc me retire la laisse et me fait déchausser.

De retour chez Sir Marc, il me fait déshabiller entièrement au rez-de-chaussée, dégonfle le gode et me retire la culotte.
Il me montre de nouveaux cadeaux : une ceinture de chasteté.
La chatte n’est plus accessible à la pénétration par un mandrin : une fente de sept centimètres de long (sur une largeur maximale d’un centimètre) me permet d’uriner, le clitoris et les petites lèvres sont étirés à travers la fente étroite.
La ceinture comporte un orifice anal pour que je puisse aller aux toilettes.
Je l’enfile, et il la cadenasse. Les lèvres de ma chatte reposent sur un rembourrage en caoutchouc.
- Vois-tu ton anus est accessible. Je peux t’enculer, te mettre des boules anales ou un bouton d’anus, selon mes envies.
Je m’observe nue, en mules, avec ma ceinture. Mes cuisses portent encore les lacérations fraîches de la nuit.
- Tu la porteras la journée et le soir, tu porteras un bouton d’anus vibrant, quand tu seras enchaînée à ton lit.
Puis il me conduit à son bureau.
Il me fait allonger sur un divan, les jambes en V, déchaussée.
Soudain, une planche se dresse entre l’écart de mes jambes, il me lie mes bracelets de cuir à mon collier, mains jointes au cou,
- Tu ne seras pas tenté de te caresser, pendant la machine sera en marche.
Un gode bien veiné, au gland décalotté, long de quinze centimètres et quatre de diamètre, s’enfonce centimètre par centimètre dans mon anus dilaté, jusqu’à quatorze centimètres. Je sen les testicules moulés collés contre mes fesses humides.
- Il est enfoncé jusqu’à la butée. Mise en route.
Une série de va-et-vient commence, pour me masser, les testicules claquent contre mes fesses.
Le gland accélère encore plus vite horizontalement mon anus ! enfin, il vibre par à-coups ; avec le gland qui coulisse conjugué aux vibrations qui s’arrêtent et qui recommencent, les vibrations sont à intensité progressive, je suis au bord de l’orgasme anal.
De petites cravaches sortent de la machine viennent cingler l’intérieur de mes cuises.
Je ne peux me dérober, menottée et empalée sur le gode.
Sir Marc me met un bandeau avec un bâillon-boule, pour que mes râles soient étouffés, lors de venues de ses amis.
Ces amis jouent avec les différentes vitesses de la machine.
Je reste trois heures dans cette position, sans défense, comme chez Marianne.

L’après-midi, pour me détendre, Sir Marc me fait sortir, avec ma ceinture de chasteté sous une robe d’été assez courte, pour couvrir mes fers, qu'une fermeture Eclair ouvre ou ferme de haut en bas toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d'enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l'ouvrir, si l'on désire voir les seins.
Je porte un lourd bouton d’anus, long de douze centimètres et cinq de diamètre pour 895g Chaque mouvement de la pomme de pin fait bouger le bouton d‘anus en moi.
Je suis chaussée de mes mules à hauts talons, les cheveux libres et sans maquillage.
Seuls mes mamelons sont fardés et je suis parfumée.
Il me conduit par des petites rues au bout d’une heure de marche, à un club privé, dans un ancien dépôt ferroviaire.
Là, deux wagons sont stationnés.
Je prends mon repas, nue, avec juste ma ceinture de chasteté, en compagnie d’amis de Sir Marc. Tous voient mes seins zébrés. Les vitres du wagon sont teintées et seuls les plafonds vitrés éclairent les pièces.
On me caresse les seins.
- Elle porte une ceinture pour un petit moment encore. Ensuite, je lui retirerais. Mais, vous pouvez l’enculer en retirant le bouton d’anus. Son anus est large.
A la fin du repas, je suis conduite, nue et en mules, dan le second wagon, qui abrite des lits.
Là, je suis prosternée, sur l’un d’eux et je suis à une orgie anale collective, avec fellation, sans perdre une goutte de spermes.
L’orgie dure plus d’une heure, moyennant finance.
Pantelante, je suis enculée en dernier par Sir Marc, après le départ des amis.
Il me retire la ceinture, je me soulage, assise sur la cuvette des toilettes, porte ouverte. Je me nettoie la chatte et me fait mon lavement avec une poire adaptée.
Une fois propre,, il m’ordonne
- Je te remets ta pomme de pin et enfile cette culotte.
Une fois, la culotte enfilée, le coton frotte sur mon anneau clitoridien, tandis mes fers pendent de part et d’autre de l’entrejambe de la culotte.
Il m’interdit toute caresse jusqu’au coucher du soleil.
Je passe le reste de la journée, mains jointes au cou, torse nu, cuisses écartées, pieds nus, à la merci de la cravache sur mes reins, puis il alterne, en me liant les mains dans le dos et fouette mes seins. Je mouille d’excitation, trempant ma culotte, ce qui me vaut une cuisante punition, il me suspend à un crochet, culotte baissée, sur la pointe des pieds nus, me cravache les fesses à toute volée, après m’avoir mis un bâillon-boule.

Le supplice se répète plusieurs fois dans la semaine, pour que je m’habitue à porter une culotte en la gardant propre et sèche.
Il aime à me promener en laisse dans son appartement, nue et en mules, me faisant descendre et monter les escaliers, faisant étirer les lèvres de ma chatte.
Il m’encule au rez-de-chaussée et au dernier étage, pour me récompenser. Je le suce jusqu’à la dernière goutte.

Devenue bien docile, il m’autorise quelques masturbations, tout en gardant mon bouton d’anus le plus lourd dan mon anus.

Un soir, en compagnie de Jacqueline et de Richard, de Sir Marc, je dîne nue, ma chaîne passée entre mes jambes, remontée sur mes reins, et entourant ma taille.
Sir Marc m’a fraîchement cravaché les fesses, les cuisses, les reins et les seins. Je suis intégralement épilée, par la beauté africaine.
J’ai fardé mes mamelons, ma chatte, me suis longuement parfumée.
Deux heures avant minuit, nue, je suis conduite par Sir Marc, vers un débarcadère sur un fleuve.
Je porte mon masque de la chouette chevêche avec des plumes fauves et beiges, dont la couleur se fond avec la couleur de mon hâle ; la chape de plumes me cache presque complètement les épaules, descendant jusqu'à mi-dos, et par-devant jusqu'à la naissance des seins.
Il me couve toute la tête, en ne laissant libres, outre la fente des yeux, que la bouche et le menton. Sur Marc resserre une sangle assez large, cachée sous cette manière de chape qui retombe par-derrière, pour que le masque s'applique étroitement au-dessus de la lèvre supérieure (un orifice étant ménagé pour chaque narine) et le long des joues.
Sir Marc me met une cape sur mes épaules, me fixe mes bracelets de cuir du château à mes poignets et mes chevilles. Il me lie les mains dans le dos.
J’offre une vue imprenable sur mon corps nu et lisse, aux épaules larges, aux hanches minces, mes longues jambes, mes lèvres de ma chatte sont assez hautes, avec mes lèvres fines.
Je reste pieds nus. Sir Marc a prévu une paire de mules à hauts talons.
Pendant la traversée de deux heures, Sir Marc me caresse presque timidement comme on fait d'une bête qu'on veut apprivoiser.
Sir Marc me tient, par ma chaîne, dont le mousqueton était accroché au bracelet qu'il porte au poignet droit. Sir Marc conduisait.
Un vent frais cingle mes seins et mes cuisses.
Le bateau entre dans un hangar. Je suis aidée pour descendre. Je chausse mes mules.
Nous entrons dans un cloître à arcades Renaissance, dont trois côtés seulement subsistaient, la cour dallée prolongée au quatrième côté par une terrasse également dallée. Une dizaine de couples dansent sur la terrasse et dans la cour, quelques femmes très décolletées et des hommes en spencer blanc sont assis à de petites tables éclairées aux bougies, un buffet sous la galerie de droite.
Tout le monde s’arrête, dès que j’arrive. Des mains masculines caressent mes seins et des mains féminines caressent ma chatte.
Sir Marc me retire la cape et me fait pivoter devant eux, dévoilant mes lacérations sur mon corps.
On m’écartèle entre deux colonnes, au centre de la dalle, livrée aux regards.
Mais rapidement des mandrins me fouillent la chatte et l’anus, des langues féminines frôlent ma bouche.
J’entends le froissement des billets. C’est le signal.
Les sodomies et les cunnilingus se succèdent, tantôt séparés tantôt combinés. J’explose dans de longs râles.
Je ne compte plus les mandrins qui m’enculent, les mains qui pelotent mes seins et les lèvres sur ma chatte trempée.
Pantelante, je suis fessée pour que je mouille davantage.
De minuit jusqu'à l'aube, qui commence de blanchir le ciel à l'est vers cinq heures, à mesure que la lune faiblit en descendant vers l'ouest, l’orgie continue. On me fait boire. Je pisse en public.
Ce n’est seulement le plein jour venu, tous les danseurs partis, que Sir Marc et l’hôte des lieux me retirent mon masque, me libèrent des colonnes et me renversent sur une table et m’enculent tour à tour à la hussarde jusqu’à l’ultime orgasme anal.
Je me douche prestement, remet mon bouton d’anus, ma cape et mes mules. Nous rentrons chez Sir Marc.

A la mi-septembre, je dois retourner au château. Mes lèvres de ma chatte et mes mamelons se sont étirés par les poids.
Ma taille s’est affinée depuis mon départ du château. Je suis devenue adepte inconditionnelle de la sodomie.
J’entretiens mon pubis et les lèvres de ma chatte pour qu’ils soient toujours imberbes. Je rase aussi mes jambes.
Je reste constamment nue dans l’appartement de Sir Marc, portant juste mon collier et mes bracelets en cuir. Je reste pieds nus. Ainsi, Sir Marc peut me fouetter et m’enculer selon ses désirs, il aime me tirer en laisse pour me dresser davantage.

La veille de mon retour au château, après mon bain, fardée et parfumée, Sir Marc me lace dans une guêpière noire durement baleinée seins nus, j’enfile des bas noirs, une veste de tailleur et ma jupe plissée, une paire de mules noires à hauts talons, les cheveux libres. Les baleines de la guêpière, qui sur le ventre descendent presque jusqu'au pubis, qu'elles dégagent, ainsi que les hanches. La guêpière est plus courte par-derrière et laisse la croupe entièrement libre.
Elle comporte des goussets où reposent mes seins. A mesure qu'on serre, les seins remontent, s'appuient par-dessous sur le gousset, et offrent davantage leur pointe.
Sir Marc m’a cravaché la veille les fesses et l’intérieur des cuisses.
Vers huit heures, il me conduit dans une limousine, dans un lieu secret. Il me bande les yeux et lie mes bracelets dans mon dos. Je suis assise cul nu sur le cuir de la banquette.
Arrivée à destination, on m’aide à descendre de voiture. On soulève ma jupe et on me doigte l’anus. Je jouis faiblement.
Je monte quelques marches, puis franchir une ou deux portes toujours à l'aveugle, je me retrouve seule, son bandeau enlevé, debout dans une pièce noire, je ne garde que ma guêpière, mes bas et mes mules.
Puis, quand enfin la porte s'ouvre, et que s'allume la lumière, avec un épais tapis par terre, mais sans un meuble, tout entourée de placards. Deux femmes ont ouvert la porte, deux femmes jeunes et jolies, vêtues de longues jupes légères et bouffantes qui cachaient les pieds, des corselets serrés qui font jaillir la poitrine et sont lacés ou agrafés par-devant, et des dentelles autour de la gorge, et des manches à demi longues avec les yeux et la bouche fardés. Elles ont un collier serré autour du cou, des bracelets serrés autour des poignets.
A aucun moment, on détache mes mains dans le dos.
Je les suis.
On me retire ma guêpière et mes bas, me déchausse.
Je dois m’accroupir, menottée. Les femmes me lavent, m’épilent les derniers poils rebelles.
A la sortie du bain, on me sèche. Une des femmes m’insère dans ma chatte et mon anus, un double gode particulier, le gode anal est un gode réaliste avec son gland en relief et veiné, long de quatorze centimètres et quatre de diamètre, avec une butée, treize centimètres m’enculent et il abrite des boules anales à l’intérieur de trois centimètres et l’autre gode est un chapelet où sont fixées des boules de geisha très chic, de couleur dorée, et munies de petits trous sur la surface pour améliorer les sensations, de trois centimètres de diamètre.
A chacun de mes pas, les boules vibrent dans ma chatte et mon anus, mon périnée se contracte.
Je porte l’ensemble une demi-heure.
On me coiffe ensuite, assise dans un de ces grands fauteuils qui basculent que l'on redresse. Je reste assise sur ce fauteuil, nue, et les cuisses bien écartées, devant une grande glace, du haut en bas de la paroi, que n'interrompt aucune tablette, je me vois, ainsi ouverte, chaque fois que mon regard rencontre la glace.
Le gode anal est enfiché dans un support, déclenchant des vibrations anales, qui font onduler mon bassin. Je suis au bord de l’orgasme anal quand je quitte le fauteuil.
Quand je suis prête, et fardée, les paupières légèrement ombrées, la bouche très rouge, la pointe et l'aréole des seins rosies, le bord des lèvres de la chatte rougi, du parfum longuement passé sur les aisselles et le pubis imberbes, dans le sillon entre les cuisses, dans le sillon sous les seins, et au creux des paumes, on me fait entrer dans une pièce où un miroir à trois faces et un quatrième miroir au mur permettaient de se bien voir.
Je m’accroupis, pour expulser le double gode trempé.
Je m’assois sur le pouf au milieu des miroirs, et d'attendre. Le pouf est couvert de fourrure, qui me piquait un peu, et il y a un tapis. J’ai des mules rouges aux pieds nus. J’ai toujours les mains dans le dos.
Je ne peux me masturber devant cette glace.
Quelques instants après, un bel étalon bien monté, vêtu d’un gilet et d’un short ouvert, le mandrin en érection nu et libre, entre seul. Il m’allonge sur le dos, me relève complètement les jambes sur les épaules et m’encule avec vigueur. Je jouis, sans le regarder. Ses testicules claquent contre mes fesses.
Puis il se retire et m’invite à m’asseoir entre ses cuisses, après avoir rechaussée ms mules. La sodomie est profonde. Il me caresse les seins et le clitoris accessibles. Je coulisse jusqu’aux testicules.
Il me fait lever et je le suce, accroupie, jusqu’à la dernière goutte.
Il me penche en avant, m’insère un stimulateur anal long de douze centimètres et trois de diamètre, dont onze m’enculent. Une bague métal à la base évite le tortillement et facilite la pénétration. Il me l’enfonce jusqu'au bout et je le garde jusqu’à l’heure du déjeuner. La base évasée évite tout risque d'absorption.
Après le déjeuner, je porte un autre stimulateur anal long de quinze centimètres et cinq de diamètre, dont quatorze m’enculent. Il a un gland bien sorti et je sens les veines massées mon anus.
Enfin, je porte la version longue de dix-sept centimètres et cinq de diamètre, dont quinze m’enculent, similaire au second.
Lors du port des trois stimulateurs anaux, je le porte fixé au centre de mes reins par trois chaînettes tendues à une ceinture de cuir autour de mes hanches, de façon que le mouvement intérieur de mes muscles ne peut le repousser. Une chaînette suit le sillon des reins, les deux autres le pli des cuisses de part et d'autre du triangle imberbe du ventre, afin de ne pas empêcher qu'on y pénètre au besoin.
Tous sont là pour distendre mon anus dilaté et humide.
Je la porte nue et en mules, les mains libres, les cheveux libres, dans l’aile rouge. Je suce les valets qui le désirent.
Vers la tombée du jour, on me retire la ceinture et le stimulateur anal. Le valet de service me joint les mains à hauteur du cou. Il me prosterne sur le lit de ma cellule, m’encule longuement jusqu’à l’orgasme anal.
Il me fait accroupir à la salle de bains, pour me laver, les mains liées dans le dos, je garde la tête et les yeux baissés.
Je m’assois au coin du lit, cuisses écartées. Il me bande les yeux. Je reste pieds nus.
Le bandeau se renfle un peu au-dessous des orbites, et s'applique exactement aux pommettes : impossible de glisser le moindre regard, impossible de lever les paupières. Le valet me défait le dernier maillon de l’anneau de mes lèvres de la chatte, qu'il passe dans le second anneau qu'O portait au ventre, puis referme. Le valet fixe un mousqueton au maillon et passe la chaîne à l'anneau de mon collier, et me prie de l'accompagner. Je me lève, sens qu'on me tire en avant, et marche.
Mes lèvres de la chatte sont tirées vers le haut par la tension, la chaîne frotte sur mon clitoris, décuplant mon plaisir.
Ses pieds nus se glacent sur le carreau du couloir de l'aile rouge, puis le sol, toujours aussi froid, devient rugueux : je marche sur un dallage de pierre.
Je monte un escalier en colimaçon.
A deux reprises, le valet me fait arrêter, j’entends le bruit d'une clef dans une serrure, ouverte, puis refermée.
Au dernier étage, sur le palier, il m’allonge sur le dos, je m’accroche comme je peux. Il embrasse mes mamelons, puis me relève complètement les jambes sur les épaules, il m’encule avec vigueur, je ne peux me dérober.
La sodomie dure jusqu’à l’éjaculation sur mon ventre.
Il me relève et je franchis la dernière porte sur le palier
Je sens sous mes pieds, un épais tapis.
La chaîne est encore un peu tirée, puis les mains du valet détachent mes mains, dénouent mon bandeau : je suis dans une pièce ronde et voûtée, très petite et très basse ; les murs et la voûte sont de pierre sans aucun revêtement, ce sont les combles du château. La chaîne qui est fixée à son collier tient au mur à un piton à un mètre de haut, face à la porte et ne me laisse que la liberté de faire deux pas en avant.
Il prend soin de retirer le mousqueton qui est fixé au maillon de l’anneau de mes lèvres de ma chatte, pour réduire l’étirement vers le haut et le frottement clitoridien.
A ma portée, dans une niche d'où part le peu de lumière qui éclaire la pièce, un plateau de bois portait de l'eau, des fruits et du pain.
Il n'y a plus ni jour ni nuit, jamais la lumière ne s'éteint. Les valets me remettent sur le plateau de l'eau, des fruits et du pain quand il n'y en a plus, et me conduisent me baigner dans un réduit voisin.
Avant la venue des hommes qui entrent, le valet me bande les yeux et ne retire le bandeau qu’à leurs départs.
Je suce, je suis fouettée et enculée à maintes reprises, par des hommes à plusieurs ou seuls.
Je suis offerte, agenouillée, cuisses écartées, talons contre fesses, enchaînée, bras tendus à une barre accrochée au piton. Je suis éloignée du mur, pour plus d’aisance.

Le 15 septembre, on m’enveloppe dans une étoffe épaisse, et quelqu'un me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m'emporte.
Je me retrouve dans une chambre, couchée sur ma fourrure, c'est le début de l'après-midi, elle avait les yeux ouverts, les mains libres, et Marianne est présente.
Marianne me lime les anneaux à mes mamelons et à mon clitoris et me montre une variante : elle fait durcir mes mamelons et pince mes mamelons avec des pinces à tampons en caoutchouc, elle règle la « morsure ». Je gémis faiblement. Elle les fait vibrer à distance, ce qui me fait jouir. Mes mamelons sont comprimés.
Pour mon clitoris, elle m’applique une crème dans la région du clitoris. Elle masse bien les tissus sous le clitoris pour partir vers de nouveaux orgasmes. Puis elle prend une pince métallique avec une bague qui coulisse, on obtient un resserrement précis et graduel, ce qui fait que je ressens une pression crescendo mais sans avoir mal, à aucun moment.
Le bout des pinces en encapuchonné dans un petit coussin de silicone qui protège mes zones intimes et des perles en pendentif qui bouge en fonction de mes mouvements, en effleurant délicatement mes lèvres, petites et grandes, tamponnant mon clitoris pour m’apporter plus de consistance à mes orgasmes.
La longue pince métallique presse délicieusement mon clitoris, sa bague coulissante permet un serrage précis et progressif pour que
Le pendentif de perles fantaisies tape doucement mes lèvres et mon entrejambe, bousculant mon clitoris pour me transmettre les sensations les plus troublantes.
- Te voilà prête, ma belle. Va te baigner. Farde-toi et maquille, je te parfumerais ensuite. Mais avant mets-toi en levrette, pour que je te doigte l’anus. Tu as été bien fouettée et enculée cette nuit.
Elle plonge deux doigts dans mon anus et je jouis immédiatement.
Je me lève, le pendentif me fait jouir à chacun de mes pas.
Je fais couler l'eau, me brosse les cheveux, et entrée dans la baignoire, me savonne lentement. Debout dans la baignoire, courbée, le dos tourné vers la glace qui revêt le mur, je me savonne des doigts l'intérieur de la chatte et l’anus, et me rinçant pour enlever la mousse, m'écarte les fesses pour me regarder dans le miroir. Je sors de l'eau et m'essuie : Marianne m’appelle. Sur le lit de Marianne, une jupe fendue devant et derrière assez haut, avec un corset à lacer, des mules à haut talon, et le coffret aux bracelets. Marianne, assise sur le pied du lit, me fait agenouillée, talons contre fesses, cuisses écartées, devant elle, sort de la poche de son pantalon la clé plate qui ouvre les serrures des colliers et des bracelets, et qui est fixée à sa ceinture par une longue chaîne, et j’essaye plusieurs colliers jusqu'à ce qu'elle en trouvât un qui, sans me serrer, m’entoure exactement le cou dans son milieu, suffisamment pour qu'il soit difficile de le faire tourner, et plus difficile encore d'y glisser un doigt entre la peau et le métal. De même, à mes poignets, juste au-dessus de l'articulation qui est laissée libre, les bracelets. Ceux-ci sont en fer inoxydable, articulés et à demi rigides, sont hauts de près de deux doigts et portent chacun un anneau de même métal. Elle m’en choisit pour mes chevilles comme chez Marianne pour la pose des fers.
Le fer est de la même couleur et du même éclat mat que les fers de ma chatte.
Marianne m’annonce lors du dernier déclic qui ferme le collier
- Je ne les retire ni jour ni nuit, ni même pour se baigner, tant que tu loges au château. Lève-toi, penche-toi en avant et écarte les fesses.
Elle m’enfonce un bijou d‘anus avec un personnage très indiscret, qui m’encule de son énorme dard, il me scrute au plus près en toute impudeur et me caresse de ses pieds la chatte. Il est long de treize centimètres et cinq de diamètre, pour 600g, dont douze m’enculent.
- Enfile cet œuf dans ta chatte.
L’œuf me masse la chatte quand je me redresse.
Devant le grand miroir à trois faces Marianne me farde la bouche avec un rouge clair, un peu liquide, qu'elle applique au pinceau, et qui fonce en séchant. Elle me peint du même rouge l'aréole et la pointe des seins, et les petites lèvres de ma chatte, en soulignant la fente du giron. Je me poudre le visage, une fois que je suis peinte, et choisir les mules à ma taille.
Elle me fixe une barre d’écartement à mes chevilles reliées à mes bracelets aux chevilles, je ne peux ainsi resserrer mes cuisses.
Marianne vaporise le parfum sur mes seins, que je n’ai pas le droit de toucher, car j’ai les fers. Elle parfume aussi mes aisselles.
Puis Marianne m’installe sur la banquette de sa coiffeuse, les jambes en V.
Un système de poulie permet de tendre mes jambes.
Le parfum se répand dans le creux de ma chatte. Je me débats.
Une fois sec, Marianne me retire la barre d’écartement.
Je me retrouve serrée dans un corset seins nus similaire à mon arrivée au château.
J’aspire profondément pour me creuser la taille et le ventre, pendant que Mélanie serre les lacets. Le corset monte jusque sous les seins, qu'une légère armature maintient écartés, et qu'un étroit rebord soutient si bien qu'ils soient projetés en avant et paraissent d'autant plus libres et fragiles.
- Tes seins sont vraiment faits pour la cravache, dit Marianne, les clients qui en auront envie le feront.
Debout devant le miroir, ayant mes mules aux pieds, et la taille étranglée dans mon corset. Mélanie me fait enfiler une jupe bouffante me couvant les pieds, largement ouverte devant, dévoilant entièrement ma chatte et mon pubis imberbes et mes fers à tous et largement ouverte derrière, pour voir mes marques au fer rouge sur mes fesses.
Ma croupe et ma chatte sont constamment nues.
Pour mes seins, je porte un boléro découpé en rectangle, juste au-dessus des seins, qui sont ainsi libres et accessibles.
Je déjeune en compagnie de Marianne et de Mélanie.
L’œuf masse ma chatte pendant le repas. Marianne le fait vibrer à distance ; je suis au bord de l’orgasme, à la fin du repas.
Elle me le fait expulser, pour que je sois bien trempée pour le reste de la journée.
Elle m’ôte quelques instants le bijou d’anus pour voir comment mon anus s’est dilaté et le remet en place.
Ce fut seulement à minuit passé que le soir de ce premier jour je suis amenée et mise à la chaîne dans ma chambre.
L'après-midi, je reste dans la bibliothèque, vêtue de ma jupe et de mon corset, sans mon boléro, en compagnie de trois autres filles: ; la règle du silence est toujours, en présence d'un homme quel qu'il soit, maître ou valet, absolue. Il est trois heures exactement quand nous entrons dans la pièce vide, dont les fenêtres sont grandes ouvertes. Il y a un valet en faction contre une porte, les yeux baissés, je fixe mon regard sur son mandrin maintenu en érection par deux anneaux : Le premier anneau est composé de deux cerceaux de quatre boules et le second anneau est composé de quatre cerceaux de quatre boules, un est autour des testicules et un est à la base du pénis, favorisant l’érection et maintient son érection.
Le mandrin est si libre dans une bourse, et si visible entre les cuisses de la culotte noire collante, et les lanières du fouet qui est passé à la ceinture. Au pied des fauteuils, je m’assois sur un des tabourets, cuisses bien écartées, les yeux baissés.
Un autre homme, brun et trapu, avec une cravache à la main, entre, muni de deux anneaux, le long du mandrin, qui raidissent naturellement son mandrin, le rendant
- Joli tableau, dit-il, vous êtes bien sages, vous n'avez donc pas d'amateur ? Il y a un quart d'heure que je vous regarde par la fenêtre. Mais, ajouta-t-il, en promenant le bout de sa cravache sur mes seins, je frémis, tu n'es pas si sage que ça.
Je me lève.
A ce moment-là Mélanie entre, sa robe de satin retroussée sur le ventre où un triangle de toison noire marque le départ des longues cuisses. Elle est suivie de deux hommes. Je reconnais le premier : c'est lui qui l'an dernier m’a énoncé les règles du château. II me reconnaît aussi et me sourit.
- Vous la connaissez ? Dit le garçon. Oui, répond l'homme, elle s'appelle O. Elle est marquée à Sir Marc, qui l'a reprise à Richard. Elle est restée quelques semaines ici l'année dernière, vous n'étiez pas là. Si vous la voulez, Franck...
- Ma foi, je ne sais pas, dit Franck. Depuis un quart d'heure que je la regarde et qu'elle ne me voit pas, elle n'a pas cessé de regarder José, mais pas plus haut que la ceinture.
Franck porte quant à lui, les deux anneaux : un placé à la base des testicules agissent comme des étireurs en rendant ses testicules bien volumineux et super excités et le second à la base commune du pénis et des testicules favorisant l’érection et maintient l’érection.
Franck me prend par les mamelons et me tire vers lui.
- Réponds, petite putain, qu'est-ce qui te faisait envie ? Le fouet de José, ou sa verge ?
- Laissez-moi, laissez-moi.
Il me rattrape, qui trébuche contre un fauteuil, et me ramène.
- Tu as tort de te sauver, dit-il, le fouet, José va te le donner tout de suite.
Ah ! Ne pas gémir, ne pas supplier, ne pas demander grâce et pardon ! Mais je gémis et pleure, et demande grâce, me tord pour échapper aux coups, tente de baiser les mains de Franck qui me tient pendant que le valet me fouette.
- Maintenant je l'emmène, dit Franck, je vous dirai mon avis tout à l'heure.
Mais quand je l'ai suivi dans ma chambre, et que je suis nue dans mon lit, il me regarde longtemps, et avant de s'étendre près de moi, il me dit:
- Tu as été récemment fouettée, traitée de putain.
- J’aime mon amant, dis-je.
Alors le garçon ne dit plus rien. Il me lèche la chatte et le clitoris que j’offre, allongée sur le dos, cuisses écartées. Je jouis ;
Il me retire le bijou d‘anus, me fait pivoter et me met en levrette, il m’encule avec vigueur, pour me soumettre, me donnant quelques claques magistrales sur les fesses que je tends.
Il ressent le double plaisir de la pénétration et de l’action des boules qui masse mon anus tandis que je découvre le plaisir anal d’être enculée par un mandrin orné de boules qui me masse !
- Ton anus est bien ouvert, ma belle.
Il se retire et gicle dans ma bouche. Il me remet le bijou d’anus en place.
Il s’endort brusquement me tenant contre lui, les mains sur mes seins, ses genoux à lui ajustés au creux de mes genoux. Je m’endors nue en sa compagnie
Le jour baisse quand ils se réveillent.
- J’aime le fouet, dis-je, que la beauté africaine de Sir Marc m’applique.
- Alors j'ai bien fait de te faire fouetter par José.
- Oui, dis-je encore.
Il me fait sucer son mandrin ensuite et me fait lever, me complimente sur ma taille fine. Il m’embrasse les seins, me lace le corset et je remets ma jupe et mes mules.
Le bijou d’anus reste dans ma chambre.
- Je te ferai ramener demain, mais je te battrai moi-même », je souris parce qu'il ajouta : « Je te battrai comme lui. »
J’apprends par Mélanie, le soir, que si les valets ne peuvent pas toucher aux filles dans les pièces communes, à l'exception du réfectoire, où ils font la loi, celles-ci sont à leur discrétion partout où les appelait (mais aussi seulement là) leur service : dans leur chambre quand elles y sont seules, dans les vestiaires, au besoin dans les corridors et les vestibules.
José nous rejoint, jeune, grand, et bien monté.
José m’encule sur la première banquette venue, qu'il tire contre le mur pour que ce soit plus commode, il me renverse, les cuisses complètement relevées sur mes épaules, la sodomie est profonde et je ne peux me dérober. Ses testicules bien volumineux et super excités par l’étireur claquent contre mes fesses. Je jouis.
Au vestiaire du rez-de-chaussée, où José me mène ensuite, je me déshabille, je m’accroupis nue sur le siège à la Turque. Quand l'eau a fini de s'échapper de moi la même fille me savonne un instant, puis me rince avec le jet qui, par un ressort obéissant à la pression du doigt, jaillissait d'un tuyau de métal annelé ; une mince canule d'ébonite le termine.Le jet est doux, mais l'eau très froide, se répand dans le fond de mon anus et de ma chatte.
« Ah ! Chaque fois qu'on monte, me dit Mélanie, quand je peux l'interroger, on est douché en redescendant.
- Mais pourquoi si longtemps, dis-je, et si froid ?
- Moi j'aime bien, dit Mélanie. On est toute fraîche après, et bien resserrée.
La fille de garde me remet ensuite, du parfum et du rouge. Je me remaquille et me brosse les cheveux. Le parfum me réchauffe un peu.
Quand je rentre seule dans le salon, où les lampes sont allumées
Les trois hommes qui sont assis dans les grands fauteuils de cuir.
Viens donner tes jolis seins.
Je me penche sur le fauteuil, les mains sur les appuis, les seins juste à la hauteur de la bouche de l'homme, sans la moindre hésitation, évidemment heureuse de lui plaire. C'est un homme d'une quarantaine d'années, chauve.
Un autre homme se dresse entre mes cuisses, m’encule puis les trois hommes m’enculent à tour de rôle.
Il y a trois grilles. La partie du bâtiment, dans laquelle on ne peut pénétrer qu'en franchissant l'une de ces trois grilles, constitue ce qu'on appelle la grande clôture. Seuls y ont accès les affiliés ou plus simplement les membres du club. Elle comprend au rez-de-chaussée, à droite d'un grand vestibule (sur lequel ouvrait l'une des grilles, la plus grande), la bibliothèque, un salon, un fumoir, un vestiaire, et à gauche, le réfectoire des filles et une pièce attenante réservée aux valets. Quelques chambres, au rez-de-chaussée, sont occupées par les filles que les membres du club amènent, Richard m’y a amené. Les autres chambres, aux étages, par ceux d'entre eux qui font un séjour au château. A l'intérieur de la clôture, les filles ne peuvent circuler qu'accompagnées ; elles sont absolument astreintes au silence, même entre elles, et aux yeux baissés; elles ont toujours les seins nus et le plus souvent la jupe relevée par-devant ou par-derrière. On en dispose comme on voulait. Quelque usage qu'on en fasse, quoi qu'on en exige, il n'en coûte pas plus cher. On peut venir trois fois par an ou trois fois par semaine, rester une heure ou quinze jours, faire seulement mettre nue une fille ou la fouetter jusqu'au sang, la cotisation annuelle est la même. Le prix du séjour est compté comme dans un hôtel.
La deuxième grille sépare de cette partie centrale du bâtiment une aile que l'on appelle la petite clôture. C’est dans son prolongement que se situent les communs où habite Marianne. A la petite clôture logent les filles de la communauté proprement dite, dans des chambres doubles, en ce sens qu'elles sont partagées en deux par une demi-paroi, à laquelle est de part et d'autre adossée la tête de chaque lit, lit ordinaire. Elles ont une salle de bain, et une penderie commune. Les portes des chambres ne ferment pas à clé, et les membres du club peuvent y entrer n'importe quand dans la nuit, que les filles passent enchaînées. Mais à part cette mise à la chaîne, il n'y a aucune règle astreignante.
Enfin, de l'autre côté de la troisième grille, qui est située, quand on faisait face à la grille principale, sur la gauche, la seconde étant sur la droite, se trouve la partie libre et quasi publique du château : un restaurant, un bar, de petits salons au rez-de-chaussée, et aux étages, des chambres. Les membres du club peuvent recevoir au restaurant et au bar leurs invités, sans que ceux-ci aient à payer le droit d'entrée. Mais n'importe qui, ou à peu près, peut souscrire une « carte provisoire », valable deux fois, et fort cher. Elle donne simplement le droit, de consommer au bar, de déjeuner ou de dîner, de prendre une chambre, et d'y faire monter une fille, chaque chose étant payable à part. Le restaurant et le bar ont maître d'hôtel et barman, quelques garçons - les cuisines sont au sous-sol - mais ce sont les filles qui font le service autour des tables. Au restaurant, elles sont en uniforme. Au bar, elles sont là pour attendre qu'on les choisît. Le restaurant et le bar couvrent leurs frais normalement, l'hôtel aussi. L'argent que rapportent les filles est réparti suivant des quotes-parts déterminées : tant pour Roissy, tant pour la fille. Toutes ne coûtent pas le même prix je suis payée double parce que j’appartiens officiellement à un membre du club et que je porte des fers et une marque.
Après cette sodomie collective, je me retrouve nue, sur la pointe des pieds, menottée à un crochet, contre une barre au centre du salon, mes mains sont tenues un peu au-dessus de ma tête. Je suis devant un miroir à trois faces pour me voir.
Un a une cravache, le second a un fouet de cuir fait de six lanières terminées par un nœud ; le troisième a un fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs nœuds, et qui étaient toutes raides, trempées dans l'eau, dont on me caresse les cuisses, sentant les cordes sont humides et froides sur la peau tendre de l'intérieur.
Les pinces vibrantes à mes mamelons vibrent, rendant mes mamelons plus durs et érigés. Je suis mêlé entre douleur et plaisir ;
On me laisse respirer, mais quand j’ai repris haleine, on recommencerait, jugeant du résultat par les traces plus ou moins vives ou durables, que les fouets laisseraient sur ma peau.
Je suis beaucoup serrée, pour bien fixer le corps par son milieu contre le poteau, le torse pencha nécessairement un peu sur un côté, ce qui fait saillir la croupe de l'autre. Le fouet de cuir puis la corde mouillée et la cravache me sont donnés à raison de cinq minutes à chaque fois, et on recommence quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois ou plus, haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces soient nettes. Le devant e mes cuisses n’est pas épargné.
Lors d’une pause, les quatre hommes m’enculent à nouveau à tour de rôle.
Quand on me détache, je suis chancelante et presque évanouie.
Mes reins et mes cuisses sont bien zébrées.
Je me retrouve à genoux, mais cette fois le buste reposant sur un pouf, les mamelons libres des pinces, toujours les mains au dos, et les reins plus hauts que le torse, les mains liées dans le dos, pour quatre sodomies successives.
Je les suce et avale leurs spermes, avant de me rhabiller et de rejoindre ma chambre, sous bonne garde.
Dans ma chambre, je me suis nue pour prendre mon bain, accroupie devant le valet de permanence.
Il joint ensuite mes mains à mon cou et m’enchaîne à mon lit, il me replie mes jambes vers ma poitrine, m’encule longuement avec ses anneaux sur la base commune du mandrin et des testicules. Il gicle sur mon ventre et me remet le bijou d’anus en place.
Je me couche sur la gauche, le visage vers la fenêtre, et les genoux un peu remontés, j’offre ma croupe patine. Pendant la nuit, un des valets m’encule, en cuiller, après m’avoir retiré le bijou d’anus sans me mener au plaisir. Il me remet ensuite le bijou d’anus en place.
Un peu plus tard, je suis cravachée, accroupie, pieds nus sur le lit, la chaîne tendue, sur l’intérieur des cuisses, les reins et les fesses, pendant cinq minutes.
Il me fait ensuite agenouiller, talons contre fesses, tend la chaîne de mon collier, me lie les mains dans le dos et me bande les yeux.
On me fouette les seins à l’aide d’un martinet. Puis on me fait sucer un mandrin jusqu’à l’éjaculation en bouche.
Je reste agenouillée ainsi, jusqu’à l’aurore.
Un valet défait la chaîne et me fait allonger sur le lit. Je m’endors, mains jointes au cou. Je sens mes marques sur mes seins sous mes doigts.

Le matin, à dix heures, un valet vient défaire les chaînes. Le bain pris, la toilette faite, l'examen d'Anne-Marie passé, à moins d'être de service dans les chambres de la grande clôture, et en ce cas je dois mettre immédiatement mon uniforme, je reste nue.
A un office de l'étage, on peut prendre un petit déjeuner. Les portes des chambres restent ouvertes sur le couloir, et il est permis d'aller de l'une chez l'autre.
Nue, pieds nus, je suis liée, sur le palier de l'étage, courbée sur la balustrade de l'escalier, jamais assez fort pour me marquer, toujours assez longtemps pour m’arracher des cris, des supplications et parfois des larmes.
La valet qui me fouette, utilise ce jour-là, un fouet à cordes raides. Puis il m’encule vigoureusement, muni de deux anneaux en place le long de son mandrin ce qui va continuer de raidir son mandrin et il éjacule rapidement tandis que son mandrin reste raide ce qui permet aux valets ayant éjaculer de continuer à m’enculer en ayant le pénis toujours rigide !
Le premier matin déliée, je m’abats en gémissant sur mon lit tant mes reins me brûlent encore, Mélanie me prend dans ses bras pour me consoler.
- Au moins une fois par jour, tu seras fouettée, comme tu as des fers et des marques, tu es destinée à être fouettée et enculée.
A l’office, je m’assois sur le tabouret en cuir, cuisses écartées. Mes mamelons grossis et mon clitoris volumineux le sont sous l’effet d’un stimulateur que le valet m’a posé après mon bain. Mélanie a enduit mon clitoris avec la crème de Marianne. J’ai remis ma pince à clitoris.
Sur le tabouret, se trouve dix langues en silicone particulièrement douces qui tournent à vitesse douce, moyenne et intense, en avant, en arrière et en combiné avant et arrière. Je vis une séance de cunnilinctus la plus intense et la plus réaliste possible. Pendant le repas, le valet fait varier les vitesses, pour me mener au plaisir.
A la fin du petit déjeuner, le valet de permanence me fait lever, me joint les mains au cou et me cravache les fesses et les reins pour avoir joui sur le stimulateur.
Il me retire le bijou d’anus et me le remplace par un vibromasseur anal réaliste avec un gland décalotté et un mandrin veiné, long de quatorze centimètres et trois de diamètre, avec de gros testicules en butée. Il met en marche le vibromasseur, il monte et descend sur un axe. La sodomie est jouissive. Puis il bloque le vibromasseur en position haute et cinq jets d’eau froide inondent mon anus.
Je le porte une partie de la matinée. Des valets jouent avec les vitesses à mon insu et le font éjaculer.
J’ai une terrible de me soulager et je dois attendre qu’un valet me le retire.
Une fois l’anus propre, le valet m’encule sur le champ pour mon plus grand plaisir.
Il y a, pour une part, un roulement établi pour ce qui se fait en uniforme ; tant de jours de service au restaurant pour le déjeuner ; tant de jours de service pour le dîner; de même, en grandes robes, tant d'après-midi, ou tant de soirées de présence au bar. Cependant, le bar et le restaurant étant communs aux visiteurs et aux membres du club, rien n'empêche ceux-ci d'y prendre une fille et de la ramener dans les grilles. Pour l'autre part, le seul caprice y semble présider : par exemple, lorsqu'un valet était venu demander deux filles pour le bar, le fait que Mélanie et moi ont été désignées.
Quand je pénètre pour la première fois dans le bar, derrière Mélanie, je garde mon corset et ma jupe bouffante ouverte, avec mes mules, les cheveux libres, je suis frappée par la ressemblance de la pièce avec la bibliothèque que nous avons quitter : mêmes dimensions, mêmes boiseries, mêmes fauteuils. Je m’assois sur un haut tabouret.
Au restaurant, nous prenons une seule table pour eux quatre. Les trois hommes qui ont couché avec Mélanie dînent ensemble à une table voisine. Mélanie a disparu par la porte qui mène aux chambres. Franck entre au moment où j’attends que les hommes ont fini leur cognac. Il me fait un petit signe de la main, et s'installe seul près d'une fenêtre. Je me rapproche de sa table, il glisse sa main entre mes cuisses, caresse mon clitoris et ma chatte trempée et mon anus encore dilaté.
Dans le restaurant ou le bar, et à condition qu'elle soi prise discrètement, c'est la seule liberté permise.
Enfin, je monte dans une des chambres. Un garçon d'hôtel ouvre deux chambres contiguës, mais non communicantes, montre le téléphone, la sonnette, et referme les portes. Je me mets nue, il me caresse les seins, devant la glace à trois faces, qui dans toutes les chambres est fixée à une paroi, le reflète, et debout, je lui offre mes seins, entre ses genoux, et penchée pour lui être plus commode, m'étonne de trouver naturel de tendre ma poitrine à cet inconnu.
Il n’est pas surpris par mes fers, me renverse sur le bord du lit, me tient par-dessous les jarrets, il m’encule longuement et gicle dans ma bouche.
Avant que je me rhabille, il me laisse une poignée de billets sur la cheminée.. Je me lave, remet ma jupe et Mélanie me lace mon corset, je glisse les billets pliés glissés entre ma peau et mon corset, à l'entrebâillement des seins.
Arrivée au bar, un autre client me choisit, me fouette et m’encule nue, enchaînée au lit, prosternée.
Je deviens un objet de plaisir, enculée ou fouettée ou soumise, nue.

Interrogée sur la question de la fiche trois jours plus tard, alors que je déjeune chez Marianne,
- J'attends d'avoir tes photos ; on transcrira au dos la fiche que m'aura envoyée Sir Marc, non pas les renseignements sur toi, tes particularités et ton emploi... Oh ! ça tient toujours en deux lignes et je sais ce qu'il dira.
Mes photos ont été prises un matin, dans un studio, installé sous les combles de l'aile droite. Je suis fardée et photographiée vêtue de mon corset et de ma jupe elle et enfin, nue, de face, de dos, de profil : debout, couchée, à demi renversée sur une table et les jambes ouvertes, courbée et la croupe tendue, à genoux et les mains liées.
- Oui, dit Marianne. On les met à ton dossier. Les plus réussies, on en fait des tirages pour les clients.

Quand Marianne me les montre, le surlendemain, elles sont jolies pourtant; pas une qui n'a pu prendre place dans les albums qu'on vend à demi clandestinement dans les kiosques.
Mais la seule où je me reconnais est une photo où je suis nue, debout, de face, accotée au rebord d'une table, les mains sous les reins, les genoux desserrés, mes fers bien visibles entre les cuisses, et la fente de ma chatte aussi bien marquée que ma bouche entrouverte. Je regarde droit, le visage noyé et perdu.
- On donnera surtout celle-là, dit Marianne. Tu peux regarder au dos, ou plutôt non, je vais te montrer la fiche de Sir Marc.
Elle se lève, ouvre le tiroir d'un secrétaire et me tend un carton mince qui porte à l'encre rouge, de l'écriture de Sir Marc, mon nom: et la mention :
Ferrée. Marquée. Bouche très bien dressée.
Au-dessous et souligné : « A fouetter ».
« Retourne la photo maintenant », dit Marianne. Le tout est transcrit au revers de la photo. Ce qu'elle répète, Sir Marc l'a dit devant moi, en termes plus crus, toutes les fois où il m’a remise à quelqu'un, et même, il ne me l’a pas caché, simplement en parlant de moi à ses amis.
Les photos, deux ou trois pour chaque fille, sont dans des albums à feuillets mobiles que tout le monde, au bar et au restaurant, peut consulter.
C'est aussi celle-là que préfère Sir Marc, dit Marianne, et celle-ci » (où je suis agenouillée, talons contre fesses, avec ma jupe ouverte).
Marianne s'interrompt : on frappe à sa porte. C'est celui qu'on appelait le Maître de du château. Il ne m'a guère jusqu'ici prêté attention, et ne m'a pas touchée.
Va t’habiller, il est était près de trois heures - il rectifie:
Non, qu'elle m'attende dans le couloir.
Mais il me dit, qu'il m’a fait demander et attend au bar, qu'il vient de la part de Sir Marc, et me prie à dîner. En même temps il me tend une enveloppe. J’ouvre : c'est bien un mot de Sir Marc qui me dit de faire en sorte que Charles revienne. Je remet le papier dans son enveloppe, et lève les yeux sur lui, qui est assis sur un tabouret du bar (je suis debout devant lui), il me dit de sa voix rauque :
Alors, tu seras obéissante ?
Oui , dis-je.
J’entre en sa compagnie, au restaurant.
Il me fixé tantôt sur mes lèvres, tantôt sur mes seins qui bougent aux mamelons fardés.
Au bureau, où je le conduit ensuite pour qu'il prenne une chambre,
Après qu'il m’ai longuement enculée sur le lit, je le suce et avale son sperme jusqu’à la dernière goutte et prosternée, il me cravache à trois reprises sur les fesses, les reins. Je jouis faiblement.
Ma chambre est tranquille et sombre, avec une grande porte-fenêtre qui ouvre sur le parc. Le grand lit est si bas qu'il se confond avec le sol, avec le mur auquel il s'appuie. Tout ce qui n'est pas ce lit tient dans une petite pièce voisine, dont la porte se perd dans la tapisserie, tout : baignoire, armoire, coiffeuse. Dans la chambre un grand miroir fait face au lit. Il est en partie futé sur une porte. S'il bouge, c'est qu'on entre. Ce n'était pas lui. C'est un valet qui porte un plateau. Le thé pour trois personnes, avec un gâteau de fruits très sucré, presque noir.
Il a posé le plateau sur l'angle du lit, il est parti.
La porte-fenêtre s'ouvre. Charles est entré, il me sourit, me prend dans ses bras quand je me suis levée. Je me suis agenouillée sur le tapis près du lit pour verser le thé et lui ai tendu une tasse, j'ai coupé une tranche de gâteau.
Tu auras une visite, tout à l'heure.
- Qui ?
- Qu'est-ce que cela peut faire ? Quelqu'un que j aime bien.
- Vous ne resterez pas ?
Pas tout à fait. »
J'ai vu que le grand miroir n'est miroir que de mon côté, et que la porte est transparente, qui ouvre dans une seconde pièce d'où l'on surveille, tout ce qui se passe dans ma chambre.
Il est rare que des membres du club ou des visiteurs vinssent au restaurant, ou au bar, accompagnés d'une femme, mais enfin cela arrive. A condition effectivement qu'elles soient accompagnées, l'entrée n'est pas interdite aux femmes, ni même l'accès des chambres. L'homme qui les amène n'a rien à payer en plus, que leurs consommations ou leur repas, et n'a pas à fournir leur nom.
Durant les huit jours où je sers au restaurant à midi, il en vient trois, à des jours différents.
Je suis offerte à un couple. Dans la chambre, la femme se déshabille, caresse mon corps, s’attarde sur mes seins, mon clitoris et ma chatte, tandis que son mari m’encule en levrette. Je jouis. Je suce son mari jusqu’à la dernière goutte. Son mari me cravache les fesses et les reins, enchaînée au lit. Ils me parlent avec courtoisie pendant la sodomie.
Lorsqu’ils partent, je reste enchaînée nue à mon lit.

Au neuvième jour, je suis conduite dans mon uniforme à l’aile bleue, qui accueille les seuls hommes soumis du château, de jeunes puceaux, bien montés.
On m’attribue Oscar, un beau brun, au pubis et au torse velus, musclé, bronzé.
Il est assis nu sur le lit, cuisses écartées, les yeux baissés. Il porte un collier et des bracelets en cuir.
Je m’agenouille entre ses cuisses et le suce, il éjacule rapidement dans ma bouche.
Je dois le punir. Un valet m’apporte un coffret contenant divers modèles de chasteté. J’en choisis un :pour empêcher qu’il éjacule.
J’enduis son gland que je décalotte, de salive, je positionne la tige parallèlement à l’anneau puis je fais glisser l’anneau sur le gland, en tirant le gland et à pousser sur le gland pour le faire passer à travers l’anneau, je pivote lentement la tige qui bloque le sperme pour que la boule entre doucement dans l’urètre, je continue à pivoter la tige jusqu’à ce qu’elle soit perpendiculaire à l’anneau en étant alors totalement introduite dans le gland : le sperme de mon soumis ne peut plus sortir de son mandrin ! L’anneau de gland très étroit de deux centimètres de diamètre) congestionne le gland en empêchant l’anneau de tomber ou de bouger : la tige qui bloque le sperme ne peut pas quitter l’urètre ! La boule s’enfonce de 2 centimètres à l’intérieur de l’urètre en bloquant bien le sperme qui ne peut plus jaillir, la boule a sept millimètres de diamètre qui empêche bien le sperme de passer. Mon soumis se retrouve en excitation sexuelle, tout en pouvant pas éjaculer.
Je cadenasse ensuite son mandrin sans toutefois lui imposer la chasteté ! cela le conduit à des érections suscitées. L’anneau pénien chromé et le cadenas chromé pèsent 90 grammes : un poids tout à la fois conséquent et léger qui excite le pénis sans imposer de gêne trop importante durant toute une journée de travail. Le métal chromé lisse sans arrêtes est très doux et très excitant au contact de la peau, l’anneau pénien bénéficie d’une articulation qui lui permet de se refermer facilement à la base commune du pénis et des testicules, l’anneau pénien a un diamètre interne de quatre centimètres qui enserre bien la base commune du pénis et des testicules sans toutefois la serrer trop fort. Il a une envie permanente de se masturber et l’envie d’exhiber son anneau pénien cadenassé : c’est moi qui décide où et quand le soumis pourra éjaculer !
Ce n’est que le soir, que je le retrouve, pour lui retirer la tige et l’anneau pénien cadenassé, pour qu’il se vide dans ma bouche, après m’avoir enculée.

Le lendemain matin, je lui fais porter un harnais intime de soumis qui étire ses testicules par un sac en simili-cuir et simultanément le mandrin stimulé par un doux anneau pénien en simili-cuir ! je lui place la plus petite sangle autour des testicules afin les testicules bien étirés et la grande sangle à la base commune du pénis et des testicules. Ses testicules sont enserrés par une petite sangle de trois centimètres de diamètre pour que les testicules qui gonflent bien et deviennent bien lourds et bien pendants. La grande sangle de quatre centimètres de diamètre permet au paquet pénis et testicules devient alors très sensible et prêt à éjaculer après quelques mouvements masturbatoires, ce qui forme une bosse plus généreuse que d’habitude les testicules et le pénis sanglés à fond.
Avec la petite chaîne qui relie les deux sangles, je le prend en laisse pour le promener dans le couloir, mains liées au dos.
Le soir, je lui fais porter le Harnais présentateur de pénis qui présente le pénis nu en permanence même s’il n’est pas en érection ainsi que les testicules en les rendant particulièrement tentatrices et douces et érotiques et enfin l’anus en l’offrant totalement aux sodomies grâce à 2 lanières.
Je passe le mandrin et les testicules dans le large anneau métallique qui se place à leur base commune, je sangle le mandrin avec trois petites ceintures en cuir qui vont bien serrer le col du gland et la hampe du mandrin en maintenant le mandrin vertical même s’il n’est pas en érection. Le gland est alors offert à ma bouche et mes mains, la hampe du mandrin est offerte à tous les attouchements et les testicules deviennent très facilement saisissables et bien pesants ; Encore mieux, je l’encule, avec un gode-ceinture avec un gode anal de calibre moyen, tandis que le mien est rempli par un gode anal réaliste large, grâce aux deux sangles sur ses fesses qui laissent un libre accès à l’anus de l’homme !
Le harnais érotise incroyablement le mandrin et les testicules en faisant du gland un nouveau centre de sensations inédites ! Un homme soumis éprouvera des nouvelles sensations exquises en portant seul car il redécouvrira les zones érogènes de son gland et de ses testicules. Son mandrin, ses testicules et son anus sont à ma disposition.

Au troisième jour, je lui fais porter une ceinture à boule anale.
Je lui introduis la boule dans l’anus, j’enfile l’anneau pénien à la base commune de son mandrin et de ses testicules ; j’ajuste la ceinture pour qu’elle maintienne bien la boule enfoncée dans son anus, qui se place naturellement, avec trois centimètres de diamètre. La tige très fine ne provoque pas de dilatation anale, il est uniquement excité car sodomisé en permanence par une boule. L’anneau pénien a un diamètre interne de cinq centimètres, il suffit de faire passer le mandrin puis un testicule puis l’autre testicule pour le mettre : l’anneau pénien est très excitant à conserver.
L’après-midi, je lui fais porter un carcan de pénis et de poignets. Encore mieux, je l’immobilise en levrette pour menotter son mandrin et ses poignets dans son dos : il est alors contraint de se positionner en levrette les épaules au sol et les fesses en l’air !
Le carcan se place très aisément grâce à deux guides-picots en bois situés dans l’épaisseur du bois, puis le carcan se referme très aisément grâce à une patte en cuir munie d’un velcro : le mandrin et les testicules de votre soumis sont emprisonnés ! Le trou central se place à la base commune du mandrin et des testicules (il mesure six centimètres de diamètre), les trous latéraux se placent au niveau des poignets (ils mesurent sept centimètres de diamètre).
Une fois le carcan mis en place, je masturbe le mandrin. Le carcan est très humiliant pour le soumis lorsqu’il est ainsi présenté nu.

Enfin, pour la nuit, il porte toujours le "harnais de chasteté" en cuir avec deux anneaux en métal qui enserrent le mandrin... et il se referme grâce à deux cadenas ! Une fois mis en place (grâce à de multiples réglages des courroies qui s'adaptent à toutes les anatomies), le "harnais de chasteté" ne peut pas être retiré par le soumis en vous garantissant que votre soumis ne pourra pas pénétrer une femme.
Le mandrin a son érection contrainte ou impossible : il deviendra alors très difficile ou impossible de se masturber et d'éjaculer. Le cuir souple et doux du "Harnais de chasteté" permet au soumis de se soulager.
Il l’empêche réellement d'avoir une érection. Il ne peux se masturber et il ne pourra donc pas éjaculer !
Un gode souple long de quatorze centimètres et trois de diamètre est inséré dans son anus pour la nuit, maintenu en place par une ceinture en cuir. Le mandrin est stimulé par trois anneaux péniens en métal (diamètres intérieurs cinq à quatre centimètres).
Le gode possède une butée pour qu’il ne puisse l’expulser .
Ainsi, chaque matin, quand je le libère du gode anal, je l’encule, avant de lui retirer son harnais pour qu’il m’encule ensuite et gicle dans ma bouche.
Je porte toujours mes marques sur mes fesses, mes reis, mes cuisses et mes seins. Je lui rends souvent visite, nue et en mules, tenue en laisse par un valet. Il n’est pas rare que le valet nous promène en laisse tous les deux, avant une sodomie respective.

A mon premier séjour, quels désirs j’éveille des désirs autour de moi, désir de me parler, de m'aider, de savoir qui je suis, de m'embrasser, chez les filles qui m’ont, à mon arrivée, déshabillée, lavée, coiffée, fardée, revêtue de mon corset et de ma robe, qui chaque jour ensuite ont pris soin de moi et ont si vainement tenté de me parler quand elles croient n'être pas vues ; d'autant plus vainement que je n’ai jamais essayé de répondre.
Quand mon tour vient de faire ce qu'on appelle le service des chambres, c'est-à-dire de me rendre, accompagnée de Mélanie, dans les chambres de la grande clôture, pour faire la toilette des filles qui y sont logées. On est à l'équinoxe de septembre. Mais la cinquième chambre est occupée par Jacqueline, les cuisses portant pour la première fois les sillons violets de la cravache. Mais cette Jacqueline est brune aux yeux verts.
Mélanie la lave. Je la farde, lui lace son corset, lui passe sa robe. Elle a, des seins tendres aux pointes roses, des genoux ronds.
Mais je retrouve Jeanne, qui est restée un an dans la communauté, puis est partie, puis est revenue, Jeanne que Richard a caressée devant moi, et qui m’a regardé avec tant d'admiration et d'envie.
Je peux partir si je le veux.
Mélanie reste deux mois, part trois mois, revient quand elle n'a plus d'argent. Mais je reste fouettée souvent plusieurs fois par jour, je suis aussi volontairement prisonnière que les filles de la grande clôture.

Au bout de six semaines, je deviens la préférée de José, je m’assois à califourchon sur lui, de ses mains me tenant à la taille et aux reins.
Charles revient parfois quatre jours de suite, me faisant toujours demander pour le soir et vers neuf heures.

Un soir d'octobre, au lieu de s'en aller comme il a coutume, il me dit de me rhabiller, et il me tend une longue boîte de cuir bleu. Je l’ouvre : elle contient une bague, un collier et deux bracelets de diamants qu’il lui offre. Je les porte à son départ, en lieu et place de mon collier et mes bracelets en fer que Marianne m’a retiré.

Dix jours après, nue et en mules, je rejoins la bibliothèque, j’entends courir derrière elle, et me retourne : c'est Marianne, qui a un journal à la main, et le me tend : en première page, un visage perdu, la bouche entrouverte, des yeux qui regardent bien en face : son visage.
Des alpinistes ont découvert l’épave d’un avion avec trois hommes, dans les Alpes, tous sont morts d’une balle dans la nuque. Il y a Richard, Sir Marc et Charles.
On trouve, glissée dans la doublure du veston par une poche décousue, qu'une photo de femme entièrement nue, d'après certains indices vraisemblablement une prostituée, que la police recherche.
Quand la police arrive au château, Charles a déjà été identifié, grâce à des marques de vêtements et de blanchissage, par son tailleur, et par les garçons de son hôtel. Je suis interrogée trois heures sur Charles.
- Tu es libre, maintenant, dit Marianne. On peut t'enlever tes fers, le collier, les bracelets, effacer la marque. Tu as des diamants, tu peux retourner chez toi.
Je ne réponds pas à Marianne
« Mais si tu veux, dit encore Marianne, tu peux rester. »
Je continue à dresser mon soumis qui m’appartient.

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