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seance de cinéma

Ecrit par mistigrri
Parue le 26 octobre 2017
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 3741 fois | Cette histoire erotique a une note de : 15/20

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séance de cinéma
Les mois d’été , il faisait une chaleur désagréable, et un bon moyen de passer un après-midi sans souffrir de la chaleur de plomb qui s’abattait sur la ville, c’était d’aller au cinéma, même si c’était un navet. Les salles étaient climatisées.
Ce jour-là je déambulais dans la rue Michelet me dirigeant vers mon cinéma habituel. A un kiosque j’achetais une revue de sexe pour adulte. Elle contenait des photos de femmes, de couples, et d’hommes, ainsi que des textes érotiques qui m’excitaient. Je pense que l’homme avait dû me voire acheter la revue en question parce qu’au cinéma il s’est dirigé directement vers le siège voisin du mien. Les publicités défilent sur l’écran et observant mon voisin de siège je me rend compte de plusieurs choses. D’abord il n’arrête pas de surveiller la salle et mon siège de gauche encore vide. D’autre part je remarque qu’il a posé un vêtement en travers de ses jambes comme pour les dissimuler ou comme pour m’imiter puisque j’avais posé ma veste ainsi. Puis les lumières se sont éteintes et la séance a commencée par un documentaire.
Au bout d’une dizaine de minutes j’ai senti un contact au niveau de mon genou droit. Contact non furtif mais qui demandait une réponse. Puisque j’étais déjà un peu excité avec ma revue, je ne me défaussais pas. Ainsi l’homme compris que je pouvais répondre à ses avances. Quelques minutes plus tard c’est une main qui pris contact avec mon genou et qui commença à le caresser avec des petits mouvements circulaires. N’enregistrant toujours pas de refus de ma part sa main investigatrice commença à remonter le long de ma cuisse en prenant bien son temps. Ses caresses commençaient à me faire de l’effet. Je sentais grandir dans mon pantalon une bosse de plus en plus dure à hauteur de ma bite.
Comprenant certainement que j’étais consentant la main chercheuse fini par se poser sur ma braguette et compris à l’ampleur de la bosse qu’elle ne rencontrerait aucune résitance car je bandais déjà comme une bête (une petite bête tout de même). Et ceci juste au moment où le documentaire se terminait et la salle se rallumait pour l’entracte.
Bien évidemment en pleine lumière l’homme fit comme si de rien n’était. Il repris l’inspection de la salle comme si il craignait que quelqu’un puisse le reconnaître. Je n’en avait pas plus envie que lui espérant que la durée du film nous permettrait d’explorer réciproquement nos sexe affamés de plaisir.
Les lumières baissèrent en intensité pour finir de s’éteindre complètement.
Sans s’attarder l’homme repris ses investigations directement là où il les avait abandonnées. C’est-à-dire sur cette bosse qui cachait l’objet de toutes ses convoitises : ma bite. Il me la malaxait avec douceur en mimant les gestes d’une masturbation intense.
Je décidais de ne pas être en reste et passant le bras par-dessus l’accoudoir nous séparant, je dirigeai ma main vers son pantalon. Je le trouvais aussi en pleine forme. Je faisais comme lui, le masturbant à travers son pantalon. J’étais impressionné par le paquet que j’avais au creux de la main. Mais au bout d’un moment il m’en fallait plus. Je pense que lui ne voulais pas trop prendre l’initiative, de peur d’avoir une mauvaise réaction. Aussi je me décidais à faire descendre le zip de sa braguette et passer la main dans le pantalon. Il portait un caleçon et je trouvais rapidement la braguette de celui-ci. Enfin je tenais dans ma main, à l’abri des regards éventuels, sa pine bien raide et satisfaite de mon initiative. Elle n’avait plus de prépuce comme moi et souvent la plus part des hommes dans les pays chaud. Je sentais dans ma paume la fermeté de cette bite d’un bon diamètre avec un gland turgescent au casque bien dessiné.
A partir de cet instant l’homme se renfonça dans son fauteuil, le film n’ayant plus d’intérêt pour lui. Je senti aux mouvements de sa main sur mon pantalon que ma queue était passé au second rang de ses envies sexuelles. Sentir ma main juvénile caresser son membre, avec une certaine adresse, lui procurait un grand plaisir. Je le branlais avec plaisir tellement sa queue me faisait envie. Je faisais aller et venir la peau de bas en haut jusqu’à recouvrir le gland avec des mouvements lents et doux. J’aimai, comme un aveugle qui étudie les formes d’un visage, caresser son gland bien développé et bien sculté comme un casque . Je l’entendais soupirer d’aise. Heureusement le film avait un niveau sonore suffisant pour nous abriter des oreilles voisines. Ils sorti ses couilles de son pantalon me signifiant de les caresser aussi. Je prenais mon temps et cela avait l’air de lui convenir le film étant assez long dans la durée. Et je pense que la proximité des autres spectateurs donnait à notre petit jeu sexuel une autre dimension insolite du plaisir. A son tours il me sorti la verge du pantalon. Elle était bien raide et se mis à se trémousser dans sa main experte. Lui il avait défait complètement les attaches de mon pantalon et ainsi il plongea au fond de mon slip caressant ma queue, mes boules, et même de temps en temps poussant l’index jusqu’à ma petite pâquerette d’ado libidineux. (Ah oui j’aimais vraiment ce contact avec mon anus) Je m’étais avancé sur mon siège pour qu’il puisse tenir en main un maximum de ma mignonne petite verge. Il devait être expert dans l’art de manier les bites et de percevoir leur sensibilité sexuelle. Ce qui devait arriva encore une fois, je senti que ma pompe spermatique était amorcée. J’essayais de me retenir pour bien profiter de tout le temps dont nous disposions. Qu’est-ce que j’aimais ça, sa grande mains experte qui me branlait avec une infinie douceur c’était presque de l’effleurement. Je sentais mon gland qui grossissait au creu de sa main et qui était au bord de l’éjaculation. Mais je me sentais trop bien pour le prévenir. Il y eu d’abord une première giclée généreuse, suivie de plusieurs autres. J’avais l’impression que cela ne s’arrêterait pas.Il avait de l’expérience. Pour augmenter mon plaisir il passait son doigt sur le méat et à chaque poussée de sperme cela me procurait un plaisir très intense, plus qu’avec une simple branlette. C’était tellement intense que s’en était presque douloureux.
Evidemment je m’étais arrêté de caresser sa bite pendant que je prenais mon plaisir. On est toujours un peu égoïste dans ces moment-là.
Comme je recommençais pour le remercier, il me proposa de sortir et de le suivre. Il connaissait un endroit tranquille où je pourrais le satisfaire en toute quiétude et pleinement. Je n’ai pas saisi sur le coup ce qu’il voulait dire. Je pensais qu’il voulait juste que je le termine par une bonne branlette aussi. Donc après avoir remis de l’ordre dans nos vêtement nous sommes sortis de la salle encore dans la pénombre ce qui m’évitait d’avoir la honte de ma vie pensais je. Je me laissais guider. En fait il m’emmena chez lui. Il vivait dans un studio dans une rue passagère du centre-ville.
Arrivé dans son salon, impatient il baissa son pantalon et me demanda de recommencer à le caresser. J’entrepris donc de le faire rebander comme au cinéma. C’est-à-dire retrouver une queue bien raide avec un gland très attirant. Il me demanda si son sexe me plaisait. Oui bien sûr, je le trouvait très attirant. Alors suce moi j’ adore cela me dit il.
Je m’agenouillais devant lui et j’empoignais sa bite puis timidement commençait par déposer des petit bisous sur cette énorme queue. Vu de près ainsi, elle parraissait très grosse et lourde avec une belle paire de couilles bien remplie de sperme
Il me poussa la tête vers son pieu sexuel, pour que j’entrouvre les lèvres et le laisse pénétrer ma bouche. Je l’avais déjà fait avec mes petits camarades de jeunesse mais leur bistouquette n’avait rien à voir avec cet engin de plaisir. J’ouvre donc grand les mâchoires pour ne pas le blesser et subit ses mouvements de va et viens. Il s’échauffe et sa queue devient vite énorme.
Mais je crois qu’il ne veut pas aller si vite. Il me propose que nous enlevions nos vêtement pour être plus à l’aise et se caresser un peut tout de nos corps. Nous voilà complètement à poil allongés sur le lit. Je sens ses grandes mains qui m’enveloppent et me caresses depuis le torse jusqu’au cuisses en passant par les tétons, le dos , puis la queue bien raide, les couilles, les fesses, et même la raie du cul avec quelques petites touches d’un doigt inquisiteur pour mon anus. Et comme je le caresse en même temps je m’apperçoit qu’il est de plus en plus raide. Il est de plus en plus incistant sur mes fesses, et où il accompagne ses caresses de mouvements du bassin qui font qu’ elles rentrent souvent en contact avec sa queue. Avec une grande habileté ou devrais je dire une grande expérience, petit à petit il me met en position du phoetus, ma petite lune fendue avec mon petit cratère bien détendu et ouvert en son centre, tourné vers son bas ventre et exposé à son projectil sexuel dressé sur sa rampe de lancement.

Maintenant je sens son gland qui vient percuter mon annus. Il est un peu tard pour jouer les vierges éffarouchées, je n’en ais pas envie non plus et d’ailleurs j’avoue être excité par ce qui m’arrive. Je le sens, dans mon dos, qui manipule un peu sa bite. Il la pose à nouveau sur mon petit œillet cullier, et j’ai une petite sensation de fraîcheur. Je comprendrait après qu’il s’est enduit le gland d’un peu de vaseline.
Alors il commence à pousser doucement. Il me demande s’il me fait mal. Malgré l’appréhencion, mais par fierté je lui dit que non. Alors il continue à pousser. Je sens son énnorme gland qui déplisse avec autorité ma pâquerette anale. Il est énnorme. Enfin c’est une impression car je n’ai pas encore été pénétré par une bite d’adulte. J’ai l’impression d’être complètement distendu. Puis, d’un coup, je sens le gland qui passe le sphincter qui se resserre derrière le casque et sur le cylindres de sa bite. Je crois le plus dur accomplie. Mais il commence à s’enfoncer de plus en plus loin dans les profondeurs de mon cul. Il doit bien faire dans les vingt centimètres sur 5 peut être plus, tellement j’ai l’impression que son diamètre est énorme et qu’il n’arrête pas d’avancer dans mes profondeurs. Il n’en finissait pas d’avancer dans mon tuyau anal. C’était tellement perceptif que dans mon imagination je voyais clairement sa queue s’enfoncer petit à petit écartant les parroies de mon intestin. Mais pour un novice comme moi l’énnormité de son pieu ne me faisait pas vraiment jouir. Rien à voir avec la petite bistouquette qui m’avait dépucelé l’anus. Quand son pubis vint buter contre mes fesses, il fit une pause un instant. Ce que j’appréciais grandement. Mais pas longtemps. Car il commença a éxécuter des va et viens . Et doucement, lentement en de lents mouvements prenant son plaisir à être dans cet étroit conduit; puit chaud et soyeux de son désir. De temps en temps il accélérait, puis reprenait une allure plus calme. Une fois il est ressorti laissant mon anus béant et grand ouvert me dit-il et de le re remplir de son gros mandrin d’une poussée un peu sauvage, d’un seul coup, me procurant une terrible sensation d’écartement des parois du boyau. Puis il me changea de position, me mettant sur le dos. Il me pris les chevilles, leva mes jambes en l’air et les posa sur ses épaules. Il se positionna à nouveau pour me pénétrer d’un seul coup de toute la longueur de son sexe tendu au maximum. Quand il buta contre mes couilles, il n’en pouvait sans doute plus de se retenir car il envoya tout son jus bien gluant dans le fond de ma turbine à chocolat. J’ai ressenti ses chauds jets de sperme m’engluer le conduit anal. Il accompagnait chaque jet de sperme d’une poussée vigoureuses avec un Han ! de bucheron, puis marquait un temps d’arrêt, se retirait et plongeant de nouveau au plus profond de moi, jusqu’à la dernière goutte de son jus chaud. C’était une sensation de lavement (comme ceux que ma mère me faisait subir quand j’étais constipé), toute cette quantité de liquide entre mes fesse. Quand il sorti sa bite de mon trou elle était moins bandante et avec une goutte qui perlait sur le gland. Il me damanda si j’avais aimé. Je répondit par l’affirmative mais pas convaicu. Il m’invita à revenir le voir. Mais je n’y suis jamais retourné, sa bite étant trop grosse pour mon petit trou du cul.



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