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suite 2 de mes vacances amoureuses

Ecrit par choubidou
Parue le 07 octobre 2014
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 2988 fois | Cette histoire erotique a une note de : 14/20

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J'avais donc retrouvé un mois après notre été torride sur les plages mon Gérard, mon amant amoureux dans sa résidence principale à Nantes.
C'était notre second jour...

Ce que j'ignorais, c'est que son frère Michel venait parfois, car il avait une clef de l'appartement, il habitait un appartement voisin.
Au petit matin, pendant que nous avions nos longues étreintes amoureuses avec mon Gérard dans sa chambre, le frère était derrière la porte à nous entendre nous bisouiller, nous aimer, gémir, râler, nous enfoncer l'un dans l'autre et jouir de nous deux.
Encore innocent, j'ignorais que les deux frères avaient les mêmes orientations sexuelles.

Mon Gérard, mon amant chéri âgé de 30 ans devait partir pour la matinée, j'allais me retrouver seul dans cet appartement avec son frère Michel, qui me regardait avec une insistance assez bizarre.
- Je te confie à mon frère, me dit mon Gérard, pas trop amusé, même un peu inquiet.
Son fère Michel était moins beau que mon amant, il avait 10 ans de plus que son frère, avec une figure terriblement virile, avec une petite moustache fine. Comme il faisait chaud, il ne portait qu'un simple boxer. Un brun costaud, le torse pas trop poilu, musclé, le visage déterminé.
Michel avait besoin d'une toilette, à la sortie de sa douche, il était habillé d'une simple serviette enroulée autour de sa taille. Il était prévenant pour mon petit-déjeuner :
- Café ? chocolat ? des tartines ? me demanda t'il.
- Café, juste comme ça s'il-te-plaît.
- Le voilà, tout chaud, tout comme moi quand je te vois moulé dans ton tee-shirt.
Houla lala qu'est-ce-que cela voulait dire ? Oui d'accord je portais un simple long tee-shirt sans rien en-dessous. Il pouvait deviner mes formes et mon petit sexe bien sage en-dessous, sur lequel il gardait les yeux fixés, et sur mes tétons pointus saillants, qui pointaient visibles sous le tissu léger.
- Je m'assieds derrière toi, je peux ?
- Mouii, d'acc.
Il a commencé un massage du cou, ma foi bienfaisant dès le matin, je ne le repoussais pas, et puis il avait de l'autorité puisque bien plus âgé que moi, je cédais.
- C'est bon n'est-ce-pas, je continue ?
- Hmmm, bon si tu veux, mmm... oui ça fait du bien.

Mouais je le voyais venir l'énergumène, je n'avais pas trop envie de tromper mon Gérard, mon amant absent, en découvrant que son frère âgé de 40 ans était attiré par les petits minets de 22 ans de moins que lui. Mais l'autre n'a pas attendu pour perséverer, à me caresser le cou et les épaules, me faisant de discrets bisous ici et là, sur mes oreilles, mon cou en descendant lentement. Holalala, cela devenait intenable cette affaire, au bout de quelques minutes, je n'en pouvais plus, je tremblotais et commençais à mouiller et à bander, ma queue grimpait, mon bout rose se dessinait nettement sous mon tee-shirt. Michel ne regardait que ça, tout en continuant de me bisouiller. Il tritoullait mes tétons délicatement. Je soupirais et soufflais de plus en plus, et lui augmentait son manège diabolique. Alors n'y tenant plus, je me suis retourné et sans réfléchir l'ai enfourché à califourchon. Sa serviette avait glissé et il était nu, très mâle tandis que j'avais une apparence féminine à souhait, mince avec des cheveux mi-longs. Lui disponible et vigoureux, avec une tige que je voyais démesurément gonflée. Il n'a pas manqué de relever mon tee-shirt pour titiller encore mes tétons pointus dressés qui n'attendaient que ses caresses, mes jolis tétons dressés comme ceux d'une petite femelle en chaleur. Il me les caressaient lentement, me les mordillais doucement, je commençais à me tortiller dans tous les sens, en pleine gourmandise désirée, c'était un bonheur insupportable. Ma queue vivait sa vie agitée mouillée en altitude. Je ne voulais pas être infidèle avec mon amant, mais son frère terrible me captivait. Il me léchait à tour de rôle mes deux tétons gourmands avec gourmandise, et parfois caressait mon gland humide, quelle torture.... On était collés face à face, je me dandinais sur lui qui bandait de plus en plus, je me collais à sa queue tendue comme un arc, ne sachant pas bien comment et pourquoi j'étais envoûté par cette attraction inévitable, en sentant qu'on ne s'arrêterait pas là. Je devinais bien que j'allais passer à la casserole, et au fond je le désirais fièvreusement, ce mâle puissant allait me croquer tout cru, j'allais me faire baiser d'ici peu, c'était inévitable.
Diable, quelle famille, ces deux frères...

Sa queue se dressait contre mon ventre, mmmmm.... j'aurais préféré qu'elle soit contre ma raie. Devinant mon envie, il a soulevé mes petites fesses pour que mon petit cul frotte sa queue qui coulait d'un doux liquide et moi je mouillais de plus en plus de ma liqueur. Que faisais-je, ce n'était pas bien sage. D'un doigt agile il a mélangé nos mouilles abondantes en arrosant ma rondelle excitée qu'il salivait pour la rendre plus désirable, en enfonçant son doigt et en tournant délicatement, hmmm, cela devenait franchement trop coquin cette affaire, il m'excitait encore plus, je ne pourrais résister bien longtemps à ses carresses intimes, je voulais plus qu'un doigt, je le voulais lui, je ne sais pourquoi mais je voulais son membre entier en moi.

D'un geste, il m'a saisi par les jambes, me soulevant de ma chaise dans ses bras musclés et m'a fait traverser la pièce jusqu'au canapé, moi toujours perché au-dessous de lui, j'étais agrippé à son cou, je ne le lâchais plus, et nous voilà à rouler tous les deux dans la même étreinte sur ce canapé qui nous attendait.
- Non non, lâche-moi, je disais sans trop de conviction.
- Je te tiens, je ne te lâche plus ! Tu vas être à moi.
Il était dressé au-dessus de moi, le visage rougi de désir, le sexe levé comme une invitation, et moi le cul bien lubrifié j'étais franchement en manque, il m'avait trop excité ce diable d'homme. Cette bête sauvage brutale en rut allait-elle me posséder ?
D'une secousse j'ai rapproché mes fesses comme j'ai pu de son gland et j'ai attendu, il frottait mon entrée, la pénétrant centimètre par centimètre, je le laissais faire.
- Tu as envie, je le sens, me dit-il, et moi j'ai follement envie de toi, mon petit minet tendre, mon ange, petit démon.
- Mmmm, oui oui, mais on ne devrait pas tu sais bien, on n'est pas sages du tout.
- Oui je sais mais c'est trop bon, laisse-toi faire, tu l'as déjà fait, je t'ai entendu le demander à mon frère et jouir, maintenant c'est à mon tour.
J'étais devenu un brin lubrique, aussi sans attendre qu'il me pénètre davantage, c'est moi qui me suis enfoncé sur sa bite dressée en une poussée de mes hanches, et lui s'est un peu enfoncé en moi en 5 ou 6 mouvements. Il me tenait, je le tenais, je serrais mes sphincters pour le garder.
Il fermait les yeux, restant immobile et raide en moi, râlant doucement dans un gémissement vaporeux, et moi couinant de soupirs et d'appels de désir.
- Ne me laisse pas comme ça, lui dis-je, entre, dis.....
Je me conduisais vraiment comme une vraie petite femelle espérant être saillie par le membre géant de ce grand cerf. Lui me traitait de "petite salope dévergondée", de "minette à dépuceler". J'avais honte mais il avait raison, c'était trop délectable, j'en redemandais.

On soufflait tous les deux, en s'embrassant, nos langues s'étaient trouvées et se caressaient goulûment ce qui augmentait nos désirs, en tout cas il était très raide en moi, je le sentais entrer de plus en plus, il s'enfonçait profondément, sa verge fouillait mes entrailles, cela devenait irrésistible, elle arrivait au bout. Alors tout s'est précipité.
Il m'a basculé complètement sur le dos, écartant bien mes jambes que j'avais croisées sur ses reins, il pouvait venir en moi selon son désir dément. J'étais sa chose, sous lui dans une bascule permanente sur le canapé, comme son jouet, selon le rythme de soldat qu'il m'imposait et finalement j'adorais ça. Il pesait lourd, il me pénétrait et me ramonait sans cesse comme un diable. Il me faisait jouir du cul et je sentais que j'allais juter bientôt.
Il a commencé à crier, des tas de mots incohérents, en éructant parfois des choses pas trop gentilles : «petite salope, ma chienne, petit jouvenceau, mon minet, ma petite pute, je te désire, je vais te baiser, tu vas prendre mon foutre, prend tout». Oh il me baisait en furie sans chercher à se retenir, et j'adorais sa frénésie. je tenais ses jambes que j'attirais vers moi.
Son membre m'envahissait et astiquait mon intérieur, son bas-ventre frottait contre mon sexe, tellement que je n'en pouvais plus, ma sève montait en moi, alors j'explosais contre nos ventres. Ma petite semence de grand gamin coulait furieusement sans s'arrêter dans un orgasme désespéré, voulu, dégusté. Je me cambrais dans un spasme dément. Il était entré en moi et me possédait comme un primaire, de façon goulûe et insatiable, il me pénétrait en s'enfonçant jusqu'au bout en me ramonant de plus en plus violemment, comme un sauvage qui n'aurait pas eu de femme depuis des années. Il me forniquait en profondeur, et cela me provoquait une jouissance indigne mais éblouissante, je jouissais sans limites, ne pouvant plus me contrôler. Je criais, je me vidais en saccades incontrôlables, je râlais d'extase.
Et en plus j'allais faire jouir un homme. Je criais mon bonheur, qu'il ne s'arrête jamais !....

Vlan, vlan, vlan, vlan... vlan vlan vlan vlan, ses couilles frappaient mon petit cul, et lui arrivait au bord de sa jouissance, il m'insultait toujours. Il s'est alors crispé, arqué de toutes ses forces en s'accrochant à mes épaules, et n'en pouvant plus il est parti à gerber en moi 5 ou 6 fois, déversant son jus épais, énorme et chaud, salé et fumant dans mon intérieur brûlant. Je sentais son jus m'arroser en-dedans comme des coups de canon à répétition. Je jouissais à nouveau violemment avec des secousses fracassantes, je criais frénétiquement de joie d'une voie aigüe, oui je criais un bonheur sauvagement arraché. De tendu extrême je devenais d'un coup ramolli, j'étais totalement inondé, il m'épuisait. Quel salaud immoral, quelle brute mais quel baiseur dingue !
Il continuait à éjaculer jusqu'au bout, se vidait entièrement les bourses dans mon ventre, et moi je recevais tout, les yeux fermés, irradié, inondé de ce plaisir anarchique et fantastique. Il bramait, se cabrait au-dessus de moi, il vidait ses couilles en moi, et je me laissais faire, j'acceptais sa jouissance devenir énorme, et son foutre de gros salaud jouisseur. J'acceptais son orgasme gigantesque, ses crispations, ses griffes sur mes épaules. Puis enfin son abandon, lui maintenant en sueur tout allongé sur moi, inondé de son plaisir et moi plein de sa semence de sauvage. Sa sauce débordait et commençait à dégouliner de mon petit cul de minet de 18 ans, alors qu'il était encore enfoncé en moi. Je savourais le plaisir brutal et frustre qu'il m'avait donné. Je marmonais des mots incohérents, et lui continuait de psalmodier sa jouissance démente, démesurée. Jusqu'à son silence épuisé, alors qu'il haletait lourdement allongé sur moi. J'avais réussi à le laisser sans forces, lui ce démon sauvage, cette bête enragée, je l'avais vaincu par la jouissance, au fond j'étais très fier et reconnaissant. Bienheureux, redevenu doux, il me carressait le cou et les cheveux.

On est restés ainsi quelques minutes collés, empêtrés l'un dans l'autre, on sentait fort de nos foutres mélangés, c'était odieusement odorant et bon. On a du s'endormir un moment, serrés dans notre coma de plaisir partagé.
M'étant ensuite réveillé, je me suis demandé : mais mon amant, son frère Gérard, allait revenir, et s'il nous voyait ainsi collés après avoir fait cet acte sexuel interdit avec son propre frère ?
- Va vite sous la douche avant que je ne gobe tout ce qui reste en toi comme énergie, me dit-il avec un sourire mauvais, et surtout avant que mon frère rentre.
Comme un pantin désarticulé, j'allais me laver de partout, avant que ce salopard trop gourmand me saute à nouveau dessus. Mais je le concède, j'avais été bien consentant, c'était un beau salaud, un peu brutal certes, mais au fond je l'avais voulu et désiré. Il m'avait propulsé au 7ème ciel, j'étais anéanti, je marchais en zigzaguant, ce gros affamé m'avait défoncé le fion qui dégoulinait encore, il m'avait comblé. Sous ma douche, j'avais beau me laver, je sentais encore la marque et la force de son membre qui m'avait tellement transpercé, pilonné mon petit cul étroit, fait vibrer, hurler de joie, ma petite rondelle en tremblait encore. J'étais honteux, les yeux cernés, fatigué mais saoûlé de plaisir.

J'attendais le retour pour midi de mon amoureux, mon Gérard adoré, mon bien-aimé, mon tendre, mon amant de 30 ans, celui qui me comblait le plus au monde, lui tellement beau, mon séducteur, même si la première fois j'étais un petit puceau de 12 ans de moins que lui... Il savait me parler, me dire des douceurs sucrées, il allait me donner encore plus de tendresse, et surtout cette jouissance que j'attendais de lui. On était follement amoureux, on s'adorait et on allait nous le prouver encore bientôt..... Pardon Gérard mon chéri si je t'ai trompé en cachette avec Michel ton propre frère, ce sauvage, mais chuuut. Il ne fallait me laisser seul entre les mains de ton coquin de frangin pour des jeux interdits.
Avec celui-là plus âgé, je m'étais affranchi de quelques derniers interdits, mon amant chéri tu le comprendras si tu as un jour vent de mon infidélité passagère.
Oui jeux interdits... Ho et puis cela restait dans la même famille, alors rien de trop grave, tu veux bien ? Après tout, je vous garderais bien les deux frères, Gérard et Michel, étant votre femelle favorite, soumise et radieuse à tous les deux. Je n'osais imaginer une partie à trois, quand même, mon jeune amant restait mon préféré !...
Pardon mon Gér ard, mon amant chéri, reviens-moi, c'est toi que j'aime d'amour sans limites, et c'est vrai......

Je m'étais rhabillé, on avait bien aéré la pièce, il était temps, on entendait une clef tourner dans la porte, c'était mon amant Gérard qui revenait. Tous les deux on s'est jetés l'un sur l'autre en nous embrassant avec passion, heureux de nous retrouver, sans prêter attention à son frère ébahi de nous voir et de nous entendre :
- Mon Gérard ! mon doux, mon tendre, mon chéri, mon taureau,
- Mon minet adoré, mon chouchou, ma poulette d'amour, tu m'as trop manqué, je te veux...
- Serre-moi dans tes bras, emmène-moi vite dans ta chambre, emplis-moi d'amour, je veux jouir de toi !

On a glissé enlacés comme dans une danse jusqu'à son lit, on bandait tous les deux comme des ânes. Etourdis on avait laissé la porte entr'ouverte, et son frère peut-être nous épiait, en tout cas il nous entendait nous embrasser, gémir, nous dénuder, nous désirer, et bientôt jouir comme deux bêtes affamées. Alors le frère a préféré sortir dehors. Avec mon amant nous avons encore fait l'amour l'après-midi, moi tout consentant, et lui très ardent, on s'est tout donnés l'un à l'autre, dans une passion torride et dévorante. Du haut fier de mes 18 ans, je resplendissais de joie, j'étais de nouveau un tout jeune homme comblé, une petite femme emplie. Notre lit de plaisirs était tout imprégné des liquides collants de nous deux, on s'est endormi de bonheur dans cette niche chaude, enlacés d'amour. Et le soir on n'a pas pu s'empêcher de recommencer encore, on était fondus l'un dans l'autre, il me faisait jouir comme un damné, j'étais cambré sous lui dans de violentes explosions répétées que je n'avais connues. Et je lui donnais tout mon petit cul brûlant qu'il remplissait plus qu'à ras-bord. On s'était dégustés royalement, nous étions vaincus, flasques, apaisés, on a dormi 10 heures d'affilée.

Puis au réveil, on s'est réveillé tout émerveillés.
- Bonjour mon chéri
- Bonjour mon amour.
On triquait déjà comme des malades. Alors on n'a pas résisté, j'ai cherché sa tige, lui la mienne, il adorait mon bout rose. Ni une ni deux on a gobé nos deux zobs, on s'est englouti, on s'est dégusté, on s'est sucé longuement cherchant à aspirer tout notre jus. Sa hampe raide devenait violacée, la mienne plus fine était rouge et follement tendue d'envie, il pelotait mes petites fesses rebondies d'une gourmandise impossible. On ne se retenait plus, on savait qu'on allait jouir ensemble. L'avantage entre garçons c'est qu'on se devine, on sait par nature ce qui convient le mieux à l'autre, on sait très bien faire venir les désirs et les montées de plaisirs.

On persévérait ardemment, les premières secousses irrésistibles grimpaient depuis notre bas-ventre, alors on a lâché les freins, nos spermes montaient en furie dans nos verges affamées qui flambaient de désir. Nos jets successifs ont alors explosé furieusement à travers nos tiges irradiées de plaisir, on se déversait en saccades ininterrompues avec un jus crémeux abondant et odorant dans la bouche et la gorge l'un de l'autre, et on s'avalait goulûment, dans les engloutissements et les frottements de nos bouches accueillantes. Nos lèvres humides étaient brûlantes, la succion de notre nectar salé multipliait nos jouissances. Ensuite on léchait amoureusement ce qui avait débordé, n'en laissant aucune goutte, comme un remerciement pour ce merveilleux cadeau du petit matin.

On a fait cela avant le premier café du matin, puis encore après, que c'était bon !! De retour dans la cuisine on était toujours nus. Midi approchait, mon amant recommençait à me peloter mes petites fesses et mes tétons saillants, ce qui avait le don de me donner instantanément des envies folles, il l'avait compris dès la première fois, et quand il était dans l'envie il commençait par me titiller mes petits bouts durcis de désir, c'était irrésistible à chaque fois, je ne pouvais plus du tout lui résister, je frottais mon petit cul sur sa verge, je m'abandonnais totalement consentant dans ses bras et sous ses doigts agiles, en soufflant de plus en plus, plein de désirs inavoués. J'aurais fait n'importe quoi pour qu'il continue à m'emporter dans ce délire, j'étais comme un poupée de chiffon à sa disposition, en vrai bien de chair tendre et rose frémissante.

Je soupirais et soufflais fort, on bandait déjà à nouveau, on ne pensait plus qu'à ça, on était obsédés à l'idée de se déguster à nouveau, de se faire le bien divin absolu. Cette fois-ci alternativement l'un assis sur une chaise, l'autre à genoux entre les jambes du premier. On prenait en bouche la bite tendue raide offerte, on la suçotait, on câlinait son bout par des mouvements de langue, on gobait tout son gland puis toute la tige, on l'enfournait, arrêtant un instant, prêt à recommencer encore pour la pomper de plus belle, sans relâche de nos lèvres juteuses et de nos bouches chaudes. Nous deux magnifiquement complices, gourmands et impudiques, jusqu'à la première crispation et l'explosion thermonucléaire de chacun dans un râle impressionnant. Ouiii ouiiiii, c'est trop ! Aaahhhhhhh AHHH !!!!!...

On était chacun à tour de rôle assis sur la chaise de la cuisine, secoués d'intenses spasmes fous comme des ondes sismiques répétées, un tsunami, à se retrouver emportés, hébétés, et là totalement vidés pour quelques heures, les tempes bourdonnantes, à moitié dans les pommes, avec juste encore la force pour nous embrasser voluptueusement.
- Mon amant, je t'aime d'amour
- Mon bien-aimé je t'adore.

On se devinait, on se comprenait, on se complétait, certes on était dans une ardeur sexuelle frénétique réciproque, dans une gourmandise insatiable, on s'emportait ensemble liés dans la jouissance ultime, mais le plus magnifique c'est qu'on s'aimait. Et ça se voyait, on suintait d'amour partagé, on était attachés par ce bel amour fou et sauvage.

Le second café nous attendait, et cette belle journée ne faisait que commencer...
La suite, ce sera pour plus tard...

J'ai écrit tout cela dans mon journal intime que j'ai retrouvé avec émotion il y a peu de temps. Cela m'a tout retourné et m'a fait revivre ces moments intimes sublimes et inoubliables.

A suivre ?




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