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tournante

Ecrit par Nickie
Parue le 08 février 2019
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 8845 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Le groupe s'approchait de la femelle, qui leur étaient offerte. Plus rapide que ses copains, un gars avait pris la place laissée libre par Moussa.

C'était un jeune beurre d'une vingtaine d'années au maximum. Il était super bien membré lui aussi.

Il l'avait pénétrée, pourfendu avec une telle violence sauvage, qu'elle avait reçu sur les cuisses une bonne partie du sperme de son prédécesseur.

Ce qui avait beaucoup fait rire les mecs.

- Putain ce que tu lui a mis à cette chienne Moussa son trou est plein.

Le jeune beur la défonçait comme un sauvage. Il ressortait entièrement pour replonger au plus profond.

Cela faisait des clapotis, des bruits obscènes d'un lavabo qui se débouche.

Cela faisait beaucoup rire les jeunes. Ils débitaient sans arrêts, des commentaires orduriers, dégradants et injurieux envers la pauvre femme.

Moussa lui frappait avec son sexe le visage de la chienne qu'il venait de violer. Il passait son engin gluant sur sa figure, sur sa bouche, finalement il s'était essuyé le sexe dans ses cheveux.

Mais si pendant le viol perpétré par Moussa, la situation avait été relativement, enfin disons, assez calme, les jeunes l'avaient pelotée avec frénésie.

Maintenant la situation avait rapidement évoluée.

On était vite arrivée à ce qui c'était passé au début avant qu'intervienne le chef de la bande.

La véritable mêlée, sauvage, confuse, désordonnée, où tous la pelotait, la tripotait, la touchait avidement, cela avait repris de plus belle.

Ils étaient tous autour d'elle ou sur elle. Certains la tenait, d'autres la touchait brutalement, méchamment.

Pas le moindre morceau de son corps n'était épargné.

Là encore, elle essayait de se défendre, de résister, de lutter, d'éviter leurs attouchements brutaux et vicieux.

Elle gigotait, remuait dans tous les sens. Elle se tortillait, elle s'agitait pour éviter leurs mains, leurs doigts, mais c'était sans aucun succès. A force de lutter, de se défendre, elle se fatiguait beaucoup, ses forces commençaient à lui manquer.

Elle était triturée, palpée, pelotée, malaxée avidement et sauvagement par un nombre incalculables de mains brutales. Ses cuisses, son ventre, ses fesses, sa poitrine.

Ses gros seins étaient malaxés, triturés, maltraités, écrasés, broyés, sucés, mordus, griffés.

On tirait sur ses mamelons comme si on voulait les arracher.

On lui introduisait, on lui enfonçait des doigts qui la fouillait, qui lui explorait son vagin, son anus, sa bouche, mais aussi allez savoir pourquoi, ses narines et ses oreilles. Tous ses trous étaient farfouillés.

Il y avait des rires, des cris, des commentaires, des moqueries, toutes plus obscènes, sordides et ordurières les unes que les autres. Toutes plus avilissantes et humiliantes

Le jeune beurre la défonçait avec fureur et acharnement, mais surtout bien profondément, avec une extrême violence.

Le rebeu était plus vicieux que Moussa, il comptait bien dominer cette bourgeoise raciste.

Il avait gueulé quelque chose en arabe à ses copains. Instantanément plusieurs doigts étaient rentrés dans le cul de la femelle, ils trituraient, furetaient en remuant dans son anus. Afin de la faire bouger et se tortiller, mais aussi pour la soulever, pour le plus grand plaisir de celui qui la baisait.

D'autres doigts étaient rentrés dans son vagin en plus de la bite qui la défonçait déjà , on lui écartait les lèvres vaginales comme s'ils avaient voulus agrandir encore plus sa moule, la rendre béante.

Son violeur la défonçait avec fureur, sans délicatesse. Dix bonnes minutes de ce traitement et il c'était planté une dernière fois bien profondément en elle, il l'avait inondée, remplie de son sperme.

Comme Moussa, il n'en finissait plus de se vider lui aussi.

Un sperme gras et abondant.

Puis il avait laissé la place à un autre, tout aussi violent et déchaîné. Le mec l'avait puissamment et vigoureusement démonté puis il avait lui aussi longuement déchargé en elle, l'inondant un fois de plus.

Puis ils s'étaient succédé les uns après les autres...

Certains, qui étaient très excités, jouissaient très rapidement, d'autres prenaient plus de temps pour la remplir.

Mais tous la forçaient avec violence, avec fureur, et bien profondément.

Et encore un autre... Et un autre... Puis un autre... il y avait toujours un pieu pour remplaçait le précédent, sans fin.

Avec le traitement qui lui était infligeait, avec ce qu'elle subissait, il y avait longtemps que la pauvre femme ne luttait plus, qu'elle ne se défendait plus. Elle avait perdu toutes ses forces dans cette lutte inutile.

Elle avait des rares moment de lucidité ou elle essayait encore un peu de se défendre, mais sans aucune réussite de pouvoir s'échapper.

Comme elle ne se défendait plus ou si peu, ceux qui la tenaient avaient fini par la lâcher, ils s'étaient joints aux autres soit pour la défoncer et la remplir à leur tour ou pour la tripoter vicieusement et brutalement.

Ils se moquaient d'elle. Ils débitaient sans arrêts des grossièretés, des jurons en arabe ou dans une autre langue.

Ils la traitaient de " sac à foutre pour arabes , de salope de française, de karba, de sale pute blanche... "

Un jeune qui était en train de la défoncer comme un malade avait dit quelque chose en arabe à ses potes et immédiatement les jambes d'Annick avaient été relevées très hautes, maintenues écartées au maximum. Son violeur avait continué à la défoncer puissamment avant de la remplir lui aussi à son tour.

Il avait été remplacé par un autre, qui toujours aidé par ses copains, lui avait fait mettre ses jambes sur ses épaules. Pour la défoncer encore plus profondément, l'inonder de sperme lui aussi.

Encore une fois, il avait été remplacé par un autre. Et encore un autre...

Après Moussa, qui avait été imposé par Hichem, malgré les réticences du reste de la bande, mais les ordres d'Hichem ne se discutaient pas, la suite du viol de cette femme s'était déroulé dans un semblant de bonne organisation, en relatif bon ordre.

Les mecs s'étaient succédés les uns après les autres dans une certaine forme de hiérarchie et de rang pourrait on dire.

Les petits caïds du quartier, les meneurs, les chefs de bandes.

Après que ceux-là furent passé, il s'en était suivi un énorme désordre, une confusion totale. C'était à nouveau redevenu un vrai chaos, une cohue, une mêlée où avec un chahut pas possible, les débordements et les excès étaient arrivés...

Les mecs s'interpellaient, ils se disputaient, ils se querellaient pour prendre la place de leurs pôtes.

Certains jouissaient, se vidant à peine après l'avoir pénétrée.

Les autres se moquaient d'elle, ricanant en se foutant de sa gueule.

Ils se retiraient en l'insultant, pour se venger ils lui pinçaient méchamment les seins, les cuisses et le ventre.

D'autres la pénétrait mais ils restaient trop longtemps à la pistonner, à la défoncer de l'avis de ceux qui attendaient leur tour.

Ils étaient alors littéralement repoussés, tirés, bousculés. Ils se faisaient éjecter avec force et dureté.

Ceux-là allaient se branler et se vider où ils pouvaient, où ils trouvait une place, où leurs copains voulaient bien leur laisser de la place. Dans sa bouche, sur ses seins, son visage, ses cheveux...

Mais eux aussi encore se vengeaient d'elle, ils la punissait en l'insultant, en la battant, en la pinçant atrocement, en la frappant durement. Avec agressivité, avec haine et rancœur.

D'autres, trop excités jouissaient sans même l'avoir pénétrée. Ils jouissaient partout sur son corps, sur ses seins, sur son ventre, sur son visage.

Ceux-là eux aussi comme leurs potes, se vengeaient férocement et cruellement sur elle.

Comme si c'était de sa faute à elle. Comme si elle y pouvait quelque chose, elle...

Elle était dans un état lamentable, pleine de sperme sur tout le corps. Pas le moindre morceau de sa peau n'était pas épargnée.

Elle avait toujours Sa belle jupe de tailleurs mais qui maintenant se retrouvait tire-bouchonnée, entortillée autour de la taille.

Sa jupe était elle aussi pleine de traces blanchâtres et douteuses.

Hichem regardait le spectacle en souriant, en plaisantant. Tout en la tripotant, en se faisant branler, il l' obligeait à regarder elle aussi cet amusement répugnant et horrible.

Par moment on voyait plus Annick, tellement il y avait des mecs autour d'elle, sur elle...


Hichem faisait des commentaires ironiques et railleurs du style: " Tu as vu ce que tu prends Salope??? Tu as vu comme ils te défoncent vieille pétasse? La prochaine fois dans le tram tu accorderas plus d'attention à ces jeunes que tu as insultés lorqu'ils voulaint simplement te draguer ???

Hichem avait rameuté les mecs du quartier qui étaient de véritables sauvages, de vrais brutes, avec plein de haine et de rancœur contre la société et se régalaient à défoncer cette salope à gros seins avec son air de maitresse d'école.

Là, avec cette belle bourgeoise mature, en plus d'être raciste, ils laissaient exploser toute leur haine, toute leur colère et toute leur méchanceté, sans parler de leurs dépravation sexuelle.

Cette belle bourgeoise plaisait beaucoup à Hichem aussi

Il aurait pu passer le premier, avant Moussa, mais il tenait à le récompenser, à le gratifier pour sa très très bonne initiative.

Par contre passer après un de ses hommes était inconcevable pour lui le chef incontesté de la cité.

Passer après les autres lui aurait enlever de son autorité.

La violer maintenant, avec ce que la pétasse avait pris, c'était impensable.

Il avait donc volontairement sacrifié le vagin de la bourge raciste à la bande.

Mais lui se réservait son cul. Avec son énorme engin, son vice, la salope allait déguster. Elle allait apprécier...

Il allait prendre plaisir à lui faire très mal, à la démonter.

Mais il voulait être le premier à passer par la porte de derrière.

Donc avant que les dérapages ne se produisent, ce qui allait rapidement arriver, il s'était levé, il s'était dirigé vers le matelas, vers la masse enchevêtrée, vers la mêlée de la femme et des mecs.

Là encore comme tout à l'heure, comme il avait fait pour laisser la priorité à Moussa, il avait gueulée de lui laisser la femme maintenant.

Les mecs c'étaient enfin arrêtés, mais contrains et forcé. A contrecœur pour tous ceux qui n'avait pas encore profité des atouts de la malheureuse femme.

Mais c'était les ordres d'Hichem.

Pour bien se faire comprendre Hichem leur avait déclaré :

- Vous pouvez faire tout ce que vous voulez à cette pétasse je m'en fou!!!! Mais personne ne la prends par le cul avant moi!!!!! - COMPRIS LES MECS???? Le premier qui touche à son cul je le démolis!!!!! Les doigts ok, mais la bite NON!!!!! sinon je bute le connard qui outrepasse mes ordres!!!!! "

Les mecs avaient acquiescé, acceptés de force en hochant la tête

- Oui, Hichem Ouais ouais d'accord mais les doigts on peu quand même avaient demandé certains des violeurs.

- Les doigts je vous ai dit oui!!!!! Vous pouvez lui faire tout ce que vous voulez mais je veux être le premier à passer dans son cul!!!!! Après elle sera à vous!!!!! COMPRIS!!!!

Tous l'avaient bien compris.

Quant à Annick, vu son état semi comateux, pratiquement inconsciente, comme elle était, il n'était pas certain qu'elle ait vraiment entendue et compris ce qui se passait. Tout au plus elle s'était rendu compte qu'elle avait bénéficié d'un petit moment de répit.

De toute façon il valait mieux pour elle qu'elle n'ai pas entendu ce qui se disait.

Hichem avait donné quelques claques sur les fesses de la pétasse afin de raffermir son cul...puis dit ....

- Faites ce que vous voulez avec cette pétasse!!!! Amusez vous bien!!!!! Mais je me réserve son cul!!!!!

Le type qui avait été arrêté par l'intervention d'Hichem avait repris son travail de défonçage brutal et profond. Il avait rapidement jouit, la remplissant une fois encore.

Il fut aussitôt remplacé par un autre. Le mec s'approcha de Nathalie, se glissant entre ses jambes. Deux autres prirent alors les chevilles de la femelle, ils lui écartèrent les cuisses. Dans cette position, le mec enfila dans son ventre sa bite grosse veineuse.

Opposant un peu de résistance, allons savoir pourquoi, la bourgeoise essaya de se dégager, ce qui lui valut quelques baffes. L'un d'eux la prit par les cheveux, celui qui la prenait s'enfonça encore plus profondément.

Après quelques minutes de défonçage frénétique, le mec commença à grogner, annonçant son éjaculation. Puis il accéléra son mouvement, et enchaîna par des grands coups plus espacés, se vidant les couilles dans le ventre de la femme.

Lorsque il sortit son sexe, une coulée de sperme pendait de sa verge brillante. Pas de doute, il l'avait prise bien à fond.

Les mecs se succédaient comme dans un film de cul. Les commentaires grossiers, orduriers avec.

Ceux qui ne se vidaient pas dans son ventre le faisaient dans sa bouche.

Son ventre devait se remplir car à chaque nouvelle pénétration, il en coulait des filets.

Des commentaires hard se faisaient entendre:

- Elle est bonne!!!!!!!

- Putain, c'est une vrai salope cette meuf...!!!!!!

- Regarde comme elles les écarte...!!!!!!!!

J'en passe et des meilleures.

Puis ils l'avaient faite se relever, ils l'avaient installée à genou sur le matelas, ils l'avaient prise en levrette. A deux

Un la défonçant puissamment, vigoureusement tandis qu'un autre profitait de sa bouche.

Le mec s'agitait dans sa bouche comme s'il était dans un vagin. Il l'agrippait soit pas les cheveux, soit par la nuque ou par les oreilles et il lui défonçait la bouche.

Deux par deux le passage des mecs était plus rapide.

Elle recevait des quantités surabondantes et copieuses de foutre par ses deux orifices.

Cette position enchantait les mecs. Ils pouvaient y aller à deux sur elle.

Elle ne réagissait même plus, se laissant forcer. Remplir.

Ses gros seins laiteux qui pendaient, qui ballottaient, qui se secouaient dans tous les sens, au rythme des défonçages brutaux, étaient malaxés, triturés, broyés.

Ils étaient malaxés comme un boulanger pétrit son pain.

Cela faisait beaucoup rire les mecs. Ils s'acharnaient dessus.

Sa poitrine enchantaient les mecs. Ils braillaient de joie et d'excitation.

Deux mecs s'étaient couchés sous elle, ses seins avaient été gobés par deux bouches avides et gourmandes.

Comme elle ne tenait plus à genoux tout seule, des couvertures avaient été mises, roulées sous son ventre afin de lui faire maintenir sa position. Ainsi la victime se trouvait la croupe relevée, offerte, sans défense.

Beaucoup de mecs avaient profité d'elle dans cette position.

Puis un gars c'était allongé sur le matelas. Il était sur le dos, son gros et long sexe dressé à la verticale, comme une cheminée de bateau ou d'usine.

Il avait dit quelques chose en arabes à ses copains.

Plusieurs mec l'avaient saisie. Ils l'avaient soulevée, l'avaient portée par les épaules et par les jambes, chacun une main sous une aisselle et l'autre derrière le genou. Ils la maintenaient en position assise, cuisses écartelées au dessus de l'individu allongé. Ils descendaient jusqu'à la positionner, son vagin contre le gland.

Maintenue dans cette position assise jambes écartées, du sperme s'échappait de son ventre comme d'une bouteille. De grosses coulées entremêlant tout les spermes, mélange de toutes les éjaculations.

Puis une coulée gélatineuse, très épaisse, resta pendante entre ses jambes et atterrit sur le gland, sur la verge dressée du mec.

Cela les faisaient beaucoup rire, se moquer.

Même le voyou qui allait l'empaler riait aussi. Pas dégoûté le gars.

A peine le gland était-il engagé dans son vagin que les autres laissaient brutalement Annick retomber, s'empaler sur la bite. Puis ils la remontaient pour de nouveau la refaire chuter.

Ce jeu dura longtemps, trois ou quatre jouèrent le rôle du pourfendeur.

Le corps de la femme était couvert de chair de poule. Devant tant de brutalité, dû à ce traitement qu'ils lui infligeait.

Elle haletait, elle criait sa douleur devant ses pals qui lui ouvraient la chatte de plus en plus profondément.

Sous les assauts des violeurs, sa moule débordait à chaque pénétration.

Elle était retombée inerte, épuisée par tant de brutalité, tant de sexe, tant de haine, et de violence.

Ceux qui la soulevaient toutes les fois, s'étaient sans doute lassés, pourtant les pourfendeurs avaient continués.

Empalée sur les sexe dressés elle se laissait manipuler par les jeunes.

Dans cette positions, elle faisait face à son défonceur, le buste penché en avant.

Le mec avait ses gros nibards qui lui pendaient devant le visage. Il s'amusait avec, en les suçant, en les malaxant.

Un autre forçait sa bouche en lui relevant la tête, il lui défonçait la cavité buccale, la gorge.

Tandis que d'autres, profitant de sa position penchée en avant, lui claquaient, lui trituraient les fesses.






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