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Alice et Jules 8 – Ma femme et ses 5 invités (suite)

Ecrit par doug
Parue le 23 08 2012
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Comme elle l'avait dit, Alice entendait que tout le monde serve ses moindres envies et elle ne se priva pas. Après avoir avalé mon sperme dans une coupe de champagne devant tout le monde, elle comptait bien profiter de sa soirée et s'envoyer les inconnus rassemblés par Mathis dans notre chambre.
Elle désigna un des cinq hommes du doigt et lui fit signe d'approcher avec son index. Alors qu'il venait au plus près, elle l'arrêta en allongeant sa jambe et en pointant sa mule effilée vers sa queue bandée. Il s'arrêta net. Elle reposa son pied au sol.
« Approche ! » Lui dit-elle.
Il hésita. Elle insista.
« Plus près ! »
L'homme s'exécuta. Il se mit devant elle. Sa queue pointée vers son visage. Elle leva légèrement la main pour lui signifier de ne plus bouger.
Alice désigna alors deux autres hommes, dont le colosse noir. Elle ne s'encombrait pas de détail, se contentait de dire le stricte minimum.
« Approchez ! Un de chaque côté ! »
Les deux types se mirent près des accoudoirs, tournés vers Alice. Elle avait trois queues à hauteur de sa tête.
Alice approcha doucement sa bouche. Les trois inconnus ne voyaient pratiquement pas son visage caché derrière sa voilette noire et le petit chapeau posé sur le sommet de sa nuque. Ils ne virent que sa bouche s'ouvrir et le gland de celui qui se trouvait en face disparaître entre ses lèvres carmin. Elle saisit le bassin de l'homme entre ses deux mains et lui imprima un mouvement régulier et lent pour que son sexe coulisse régulièrement, comme un piston,dans sa bouche. Elle relâcha son bassin, le laissant continuer seul à lui baiser la bouche, puis elle saisit les deux autres queues dans ses mains et les branla lentement.
C'était dingue. Mathis et moi étions obligés de nous coller au plus près du mur pour laisser la place aux autres. Spectateur, je la voyais branler deux bites et en sucer une autre à quelques centimètres de moi. Je sentais même le petit mouvement de bassin de celui qui était collé à moi. Je jetais un coup d'oeil discret de côté pour observer Mathis. Sa position n'était pas non plus très confortable. Ses yeux écarquillés restaient fixés sur le queue qui entrait et sortait mécaniquement de la bouche d'Alice.
Alice gémissait de plaisir. Elle s'activa ainsi un petit moment et relâcha les trois sexes désormais très fermes, façonnés comme elle l'entendait. Avec sa main, puis son pied, elle poussa doucement le premier vers le lit.
« Allonge-toi sur le lit ! » Lui demanda t-elle.
Il le fit aussitôt et s'installa sur le dos. Alice se leva de son fauteuil. Elle prit les sexes des deux autres dans ses mains pour leur intimer de la suivre. Elle monta sur le lit, enjamba l'homme allongé se mit à genoux et descendit son bassin sur son sexe jusqu'à ce qu'il la pénètre totalement. Elle ne bougea plus et s'adressa aux deux autres.
« Toi ! Monte sur le lit et baise ma bouche ! » Demanda t-elle à l'étalon noir.
« Quant à toi, encule-moi ! »
Il n'y avait rien à dire. Le second écarta les fesses d'Alice. Il amena son gland au contact de son anus, puis il la sodomisa en douceur. Elle grimaça un peu en se laissant remplir l'intestin des vingt centimètres de chair bandée.
Le colosse monta sur le lit. Il plaça sa bite devant la bouche d'Alice, au contact de ses lèvres. Elle retira son chapeau avec sa voilette et le tendit dans ma direction. Je m'avançais pour le récupérer et retournais dans mon coin. Alice saisit les mains puissantes du colosse. Elle les plaça sur ses tempes en appuyant fort pour qu'il la tienne bien. Sa bouche frémit en voyant la queue longue et puissante devant sa bouche. Elle leva les yeux vers lui et, tout en s'adressant aux trois hommes, dit :
« Baisez-moi ! Baisez-moi fort ! »
Elle enfourna aussitôt la queue au plus profond de sa bouche avide.
Les trois mâles se déchaînèrent. Ceux qui la pénétraient s'enfonçaient avec force en elle en tentant de coordonner leur mouvement. Alice, se projetait à fond vers l'arrière pour s'empaler sur leurs queues. Quant à l'athlète qui se tenait debout sur le lit, il tenait la tête d'Alice bloquée entre ses mains larges et impressionnantes et baisait sa bouche puissamment. C'était comme s'il la tenait par la taille. Sa bouche était un sexe et il la pénétrait avec la même vigueur. Le cylindre de chair foncé coulissait à toute allure entre les lèvres de ma femme qui se laissait faire. Le type voulu accélérer. Elle comprit que son heure n'allait pas tarder. Elle retira les mains qui emprisonnaient sa tête pour respirer un instant et sortit le sexe de sa bouche, puis elle le reprit. Mais là, elle fit ce qu'elle n'avait jamais fait. Au préalable, elle retira le préservatif, ensuite, en y allant doucement, elle s'enfonça la bite à fond jusqu'à la gorge. Elle essayait la technique deep-throat devant moi. C'était impressionnant de voir cette longue et énorme queue disparaître progressivement dans sa bouche insatiable. Ses lèvres et son nez étaient maintenant enfoncés dans la toison pubienne de notre homme. Pendant ce temps, les deux autres continuaient à lui besogner la chatte et l'anus. Pensant qu'il allait pouvoir de nouveau lui baiser la bouche, le colosse voulu remettre ses mains derrière la nuque d'Alice qui l'en empêcha. Il ne comprit pas. C'était à elle de conclure, pas à lui. Elle prit son bassin entre ses mains et fit aller et venir l'énorme queue dans sa gorge à toute vitesse. De la salive sortait de sa bouche en partie ouverte. L'homme trembla de la tête au pieds. Ses fesses se contractèrent. Il se mit à jouir. Alice s'enfonça fortement la queue dans la gorge et bloqua le bassin en s'écrasant le visage dessus. Le type chercha à se retirer. Elle l'en empêcha. Sa gorge fit des bruits de déglutition. Elle s'envoyait directement le foutre du type dans l’œsophage. Quand elle estima que ça suffisait, elle retira lentement le sexe ramolli, mais toujours aussi long, de sa bouche. Une longue coulée de foutre déborda de ses lèvres, comme du trop plein qui s'évacue naturellement. Elle repoussa le généreux donateur qui rejoignit le coin de la pièce, puis elle s'activa sur les deux autres. Les deux sexes puissants lui transperçaient ses deux orifices de plus en plus vite. Elle facilita le mouvement en projetant ses fesses vers l'arrière aussi fort qu'elle le pouvait. Les deux hommes accélérèrent et jouirent à leur tour. Alice leur laissa quelques secondes pour finir de jouir. Elle se releva, se retourna et retira leurs préservatifs en prenant soin de ne pas faire couler le sperme qui s'y trouvait. Les deux capotes étaient pleines et s'étiraient vers le bas à cause de leur poids. Elle descendit du lit et congédia ses deux victimes.
Elle se déplaça ensuite autour du lit, se mit face aux deux derniers, dont le serveur du restaurant qui faisait pâle figure à côté de son voisin, une armoire à glace qui le dépassait d'une tête. Elle s'assit sur le bord du lit et m'appela.
« Prend les capotes ! Mets-toi là et ne bouge pas ! » Me dit-elle en me tendant les deux préservatifs pleins.
Je les pris par le haut, un peu dégoûté, et les laissais pendre sans trop y toucher. Je montais ensuite sur le lit et me mis à genoux près d'elle.
Alice Appela demanda au plus grand d'approcher.
« Viens-là et lèche moi ! »
Le type s'approcha. Il se mit à genoux devant elle, écarta ses lèvres trempées et lui lécha le clitoris avec application. Alice soupirait. Elle pris la tête de l'homme et l'amena fermement vers sa chatte.
« Lèche ! Lèche moi fort ! » Lui dit-elle surexcitée.
Il déploya toute son énergie. Toute à son plaisir, Alice se massait la chatte avec sa bouche et sa langue, étouffant presque l'inconnu. Elle regarda Erwan et lui fit signe d'approcher.
Le serveur ne se fit pas prier. Il s'avança. Elle repoussa gentiment celui qui la léchait et lui demanda de s'allonger, dos sur le lit.
Dès qu'il fut installé, elle monta à son tour, enjamba l'homme, dos tourné, et s'empala l'anus sur sa queue raide. Ensuite, elle s'adressa au serveur.
« Baise-moi ! »
Il monta sur le lit et la pénétra fort, d'un coup sec. Alice apprécia. Elle était prise en sandwich. Pendant que les deux hommes pénétraient sa chatte et son anus. Elle attrapa une de mes mains et amena le préservatif au dessus de sa bouche.
« Donne ! » Me dit-elle en ouvrant la bouche.
Plus besoin d'explications. Je pense que venant d'elle, plus rien ne pouvait me surprendre et je m'étonnais moi-même de deviner ce qu'elle voulait. Elle pouvait désormais faire n'importe quoi. Je retournais le préservatif et laissais couler le sperme directement dans sa bouche. Le liquide s'étira en longues coulées. Il tomba dans sa bouche. Elle avala en regardant le serveur. Celui qui la sodomisait, me voyant faire, jouit en elle. Elle se releva, descendit du lit et se mit à genoux devant Erwan.
« Décharge moi ton foutre sur le visage ! » Lui dit-elle.
Pour accélérer le processus, elle se retourna vers moi.
« Donne moi l'autre ! » Me dit-elle.
Je fis donc la même chose.
Alice pencha un peu le tête vers l'arrière sans quitter Erwan des yeux.
Notre serveur se branlait à toute vitesse, le gland pointé vers le visage d'Alice.
Je retournais donc le préservatif. Le foutre, plus abondant coula en s'étirant vers sa bouche.
Pour être encore plus salope, Alice laissa le sperme tomber sur ses lèvres. Au fur et à mesure que le liquide coulait, elle se léchait les lèvres avec délectation.
Le pauvre serveur ne résista pas une seconde de plus. Il se raidit et cria. Alice baissa le tête pour faire face à son sexe. Son sperme gicla puissamment. La première giclée éclaboussa sa bouche et son nez. Une autre lui balafra le visage, du front, en passant par son œil droit et sa joue droite. Des gouttes de foutre pendaient au bout de ses cils. Les suivantes s'abattirent sur son menton et ses seins.
Le serveur était vraiment très productif. Alice était couverte de foutre. Ça lui ruisselait entre les seins en une véritable rigole qui coulait sur son ventre, trempait sa chatte et dégoulinait jusqu'au sol.
Malgré l'épisode de la saucière et du footjob sur Mathis la veille au restaurant, notre homme demeurait très impressionné par ma femme, mais sans doute pas autant que moi.
Sur l'ensemble des personnes présentes, seul Mathis n'avait pas été mis à contribution. Elle l'appela.
« Approche ! Je vais te récompenser ! »
Mathis se mit devant elle, sa queue pointée vers sa bouche. Elle me demanda alors :
« Branle-le ! »
J'eus un instant d'hésitation. Elle se fit ferme.
« Branle-le ! Fais le gicler ! »
Je saisis le sexe de Mathis avec un peu d'appréhension et commençais à le masturber, lentement. Le contact d'un sexe d'homme dans ma main me dégoûta un peu. Alice s'en aperçut.
« Plus vite ! » Insista t-elle.
J'accélérais le rythme. Alice s'étalait le foutre de nos invités sur le corps et se massait les seins avec. Son corps était luisant de sperme.
Mathis commença à respirer plus vite. Son gland était gonflé à bloc. Il gémit.
Les yeux d'Alice brillèrent de plaisir. Mathis éjacula. Il lui envoya tout son foutre en prenant bien soin de mettre son gland au plus près. Les giclées fusèrent, l'une après l'autre, en abondance. Alice porta ses mains sur son visage et s'étala le sperme dessus en poussant des :
« Oh oui.... c'est bon.... ! »
Elle en était couverte, des cheveux jusqu'au menton, en passant par ses mains. Elle était comme dans un état second, se caressait les seins, le visage et portait ensuite ses doigts pleins de foutre à sa bouche pour les sucer. J'étais tétanisé dans mon coin, observateur privilégié, mais observateur uniquement. Je la voyais se transformer en une vraie nymphomane, qui ne pensait plus qu'à s'envoyer le maximum de queues et de foutre possible.
Lorsque Mathis eut fini de jouir sur elle, jusqu'à la dernière goutte qu'elle préleva avec son index sous son gland, Alice se releva et vint vers moi. Elle posa sa main fermement sur mon sexe bandé dans mon pantalon, me masturba à travers le tissu et s'adressa aux hommes qui étaient restés.
« Je le termine. Il a bien travaillé ! »
Puis elle s'est retournée vers moi.
« Hein, mon chéri que tu as bien travaillé ? »
Je répondis, un peu hésitant.
« J'ai fais de mon mieux. J'espère que tu es contente.... »
Elle était debout devant moi et me regardait. Elle ne fit aucun commentaire. Le visage et le corps dégoulinant de foutre, qui s'étirait en longs filament sous son menton et la pointe de ses seins, elle me fit jouir dans mon slip, puis elle me dit :
« Va faire un tour dehors, pendant que je m'amuse avec ces messieurs ! »
Je suis alors sorti de la chambre, laissant Alice s'éclater avec les cinq inconnus et Mathis.
La soirée fut très longue. Lorsque je suis rentré, environ trois heures après, les hommes étaient partis et elle prenait sa douche. Je suis entré dans la salle de bains pour la regarder. Elle était magnifique. Elle m'aperçut, me fit un clin d'oeil et continua à se laver. Le jet de la douche faisait ruisseler le foutre sur son corps jusqu'à ses pieds.
J'ai regardé dans la chambre. Il y avait du sperme partout sur le sol. Ses mules étaient remplies de foutre.
« Tu peux passer un coup de serpillière et laver mes chaussures, s'il te plaît ? » Me demanda t-elle.
Le scénario se reproduisait. J'obtempérais sans discuter.



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