Parue le 20 décembre 2018

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Dans la cité, Kader, 18 ans, voudrait bien se faire Annick cette femme mature à forte poitrine qui de temps en temps viens se faire baiser par des beurs plus âgés que lui, une belle petite salope qui a repoussé ses avances plusieurs fois. comme quoi il était trop jeune. Aussi lorsqu'avec ses copains Boubakar et Souleymane, 17 ans tous les deux, il la croise au pied de l'immeuble, cette fin d'après midi, il n'a qu'un envie : se libérer de la frustration des refus de cette meuf qu'il désire tant ; il va la violer et l'humilier : elle va le sentir passer...

Tous les trois l'entourent ; Il passe son bras autour de son cou ;

– Bonjour, Annick ;

Elle sent l'embrouille, essaie de se dégager, mais la prise du gars est trop forte.

– Tu es jolie ; ça nous donne des envies !

– Non, allez les jeunots lâchez-moi !

Les trois gars se resserrent autour d'elle; elle ne peut plus bouger; ils la poussent vers la porte des caves. Elle est prise dans la nasse; La porte se referme, il fait noir ; elle sent des mains passer sous sa jupe, tâter sa chatte, peloter ses seins et son cul. Elle est poussée dans une cave. Elle connait déjà le sort des femmes qui sont choisies ainsi : elle tremble non de peur mais d'être surprise avec des mineurs et celà peut lui couter très cher.

– Non, allez, s'il vous plait, je ne veux pas...

La réponse de Kader fuse :

– Fous-toi à poil !

Elle refuse ; Boubakar s'approche et lui décoche une violente claque ; alors elle dégrafe sa jupe, et la fait glisser et la fait tomber à terre ; les mecs commentent ....

– Quel belle petite culotte ! Allez, continue ! on veut voir ta chatte !

Elle dégrafe son soutien gorge, libère ses gros seins flasque , les offre à la vue des trois gars. Puis fait de même avec sa culotte, qui rejoint sa jupe.

Les gars se sont rapprochés, et des mains prennent possession de ses appâts sexuel : les seins, son cul sont pelotés, malaxés... sa moule est touchées, ouverte par des doigts inquisiteurs...

– Mets toi à genoux ; tu vas tous nous piper !

– Non, s'il vous plait, j'ai pas le temps !

– Allez ! T'a oublié ta baffe de tout à l'heure ?

Elle comprends qu'il est dorénavant inutile de contester ; elle s'exécute, et à genoux devant Kader, elle embouche le sexe déjà raide. Elle fait ses allées et venues le long de la tige, qui devient luisante. Soudain, elle sent un jet dans son dos ; il coule sur ses reins, ses fesses, ses cuisses...Boubakar est en train de lui juter dans son dos...

– Allez, t'arrête pas, commande Kader.

– Ah, c'est bon de lui juter dessus, en la regardant te sucer ! dit le grand black.

Les douces lèvres de la Française commencent à faire du bien à la queue dressée de Kader.

Entre temps Hassan le petit frère de Lamine est entré : du haut de ses douze ans, il regarde la fille s'activer sur le membre de son grand copain. Annick se sent encore humiliée, de se donner ainsi en spectacle au garçon si jeune.

– Hassan, dit Kader, va chercher Lamine, et préviens aussi toute la bande !

Le petit sort en courant.

– Est-ce qu'elle est une bonne pipeuse ? demande Souleymane.

– Comme toutes les Françaises, bonne à sucer et se faire tringler

Kader sent sa jouissance monter ; il a décidé de jlui uter dans sa bouche ;

– Avale tout ! lui ordonne-t-il.

Boubakar prend immédiatement la place de Kader, et c'est reparti. Elle n'a même pas le temps de reprendre son souffle. Puis c'est le tour de Souleymane.

Soudain, Lamine fait irruption avec d'autre gars. Ils entrent dans la cave, tellement nombreux qu'elle ne peut les compter. Des mains s'emparent de ses seins, de son cul... elle les sucera tous, un par un.

Il est 22h. Kader prend Annick par le bras, la met debout et la conduit, nue, vers une autre cave.

– Mes habits ! s'exclame Maëlle.

– T'inquiète, t'en aura pas besoin !

Elle est poussée à l'intérieur de la pièce. Une dizaine d'autres gars l'attendent...

– Ooooh, soupire t-elle...Comprenant ce qui va lui arriver.

– Dis, elle a un super cul, la gonzesse ! on va bien s'amuser !

Les commentaires accompagnent l'entrée de la meuf dans sa nouvelle cave.

Kader se met à tirer une couverture le sol de la cave...

Désignant du menton l'endroit de la couverture, Kader ordonne :

– Allonge toi là !

Ne bronchant plus, elle s'allonge

Soufiane monte sur sur elle ;

– Ecarte bien les cuisses lui ordonne-t-il

Tout en exécutant l'ordre, elle accepte :

Le jeune beur enfourne sa bite raide dans la chatte de la belle brune. Il pousse, sous les applaudissements des spectateurs.

Et commence à la limer avec fougue

– Eh, les gars, Soufiane la baise ! dit l'un des violeurs.

De nouveau, cris et applaudissements, pour saluer l'exploit de soufiane...

Puis, un des jeunes violeurs lance :

– On se fait une doublette ?

Deux gars placent l'infortunée sur le coté. Ils lui écartent sa cuisse libre très largement pour se faciliter le passage. Et placés devant et derrière elle, ils pénètrent ensemble sa chatte et son anus. La voici enculée ...et baisée en même temps.

Les violeurs suivants, Souleymane, Moussa, Mohamed, Koudio, Kader, Lamine, Mamadou, choisissent tous d'enculer la belle à leur merci...Au grand plaisir des spectateurs, qui commentent chaque pénétration de l'anus d'Annick.

Elle s'est bien fait embrocher durant deux heures. Tous les gars présents se sont bien vidé les couilles.

Kader prend la parole :

– Tu vois Annick, souvent, tu nous ignores, quand on se croise, tu ne nous dis même pas bonjour ; tu nous manque de respect ; alors maintenant, tu as intérêt à être très respectueuse, sinon la prochaine fois, tu t'en souviendras...

Il est minuit passé ; elle est entrainée dehors, toujours entièrement nue.

A ce moment, Abdel, le père de Kader, qui se promène nonchalamment, voit sortir de la porte des caves un bien étrange équipage. Il reconnait son fils et des gars de la cité, et au milieu, éclatante de blancheur éclairée par la lumière des réverbères, il devine une femme nue. Connaissant bien sa cité, il comprend tout de suite ce qui vient de se passer. Et surtout, il voit bien que la fille nue, là au milieu des jeunes, est une Blanche.

– Ils ont baisé une Blanche se dit il, un petit sourire aux lèvres.

Le groupe s'est approché, il voit la fille marcher avec un peu de difficulté, et surtout elle a porté ses mains aux fesses et se les masse, pour atténuer la douleur...Abdel comprend :

– Ils l'ont même bien enculée ! Son fils vient d'enculer celle qui est en train de passer au milieu du terre plein, pense –t-il ;

Il ressent alors une intense libération de frustration et de tensions, vis à vis des blancs.

Abdel est fier de son fils...

Pour l'heure, Annick est poussée dans une voiture, direction l'hôtel formule 1 du coin. Kader reste avec elle. Sans fioriture, il la pousse sur le lit, sur le ventre. Il se place sur elle ; il va la monter. Les genoux de Kader écartent ses jambes, bien largement ; par derrière, le passage vers l'anus s'ouvre ainsi. Il l'encule. Le lendemain, c'est le défilé permanent des gars de la cité, qui viennent tirer leur coup. A la fin de l'après midi, toute la cité a dû lui passer dessus.

A la nuit tombée, Kader conduit Annick qui a pu se rhabiller dans sa voiture, direction la cité. Il la laisse rentrer chez elle...

Quelque temps plus tard, Elle se dirige vers le centre commercial. Sur le chemin, elle croise Mamadou. Instantanément revient à la surface de sa mémoire la douleur que, dans la cave, le gros calibre de Mamadou, dernier violeur, lui avait infligée. Pourtant, elle arbore son plus beau sourire à l'attention de son enculeur de voisin. Il s'approche, et en disant bonjour à la gonzesse, lui met la main au cul. Malgré tout, elle garde son sourire, se laisse peloter le cul.

Un peu plus loin, absorbée dans ses pensées, elle n'avait pas remarqué Hassan. Mécontent, le gamin de 12 ans bouscule Annick :

– Alors ?

– Oh, excuse moi ! Bonjour Hassan, dit-elle avec un grand sourire.

– C'est trop tard, tu va me payer ça ! Je vais le dire à Kader.

– Oh non, s'il te plait !

– Alors montre-moi ta chatte !

– Ici ?

– Oui, maintenant !

Piégée par le gamin, elle s'exécute, et passe ses mains sous sa jupe, pour baisser sa culotte.

– Donne la moi, ordonne le garçon.

Annick la fait tomber à terre, la ramasse, et la tend docilement à Hassan.

Puis elle soulève le devant de sa robe, afin de lui dévoiler son sexe.

– Plus haut, je ne vois rien.

Maëlle a relevé sa jupe au nombril ;

Les amis de Hassan, qui se trouvent un peu plus loin en retrait, apprécient la situation ; Annick est rouge de honte ; pourtant, elle reste ainsi, jupe relevée, à montrer largement son sexe au gamin. Il ne se prive pas, en s'approchant, de la toucher ; elle est bien touchée par Hassan, sa chatte et son cul bien palpés par le gamin.

Un autre jour, il est 19h30. Elle allait s'apprêter à passer à table. On sonne à l'interphone. Elle saisit l'écouteur.

– Ramène ta chatte, on a envie de tirer un coup ! !

Immédiatement, elle enfile ses chaussures.

– Je sors un moment, dit-elle à son mari !

En arrivant dans le hall, elle est soulagée : il n'y a là que six garçons ; c'est que parfois, il sont vingt ou trente à l'attendre pour la baiser...

Il l'emmènent dans la cave.

– Vous êtes des salauds... Je n'ai même pas le temps de manger.

– Ne t'inquiète pas, nous on va te nourrir : allez, à genoux et ouvre la bouche !...

Régulièrement, trois ou quatre fois par semaine, les gars font passer à Annick l'ordre de descendre à la cave. A chaque fois, elle obéit. Elle va se faire violer à la chaine, par les gars qui l'attendent. Une fois, elle a même entendu une autre fille, dans la cave d'à côte, aussi ne train de se faire violer.

Kader ne recule vraiment devant rien pour profiter la salope brune.

Samira, une de la cité, a apporté des vêtements.

– Tiens, mets –ça !

Elle enfile les bas résille, la mini jupe et le corsage semi-transparent, qu'elle doit porter sans soutien gorge.

– Puisque tu es une pétasse, et bien tu vas aller tapiner sur le boulevard tout proche, et nous ramener un paquet de fric, dit Samira.

Ainsi habillée, maquillée aussi, Annick va faire les cent pas sur le boulevard.

Considérant la meuf ainsi présentée, il y a fort à parier que le premier client ne sera pas long. Et de fait, un automobiliste s'arrête. Les deux discutent, puis elle monte dans la voiture.

Il se place sur la femme, et présente sa bite à l'entrée de la chatte

– Eh, il n'a pas de préservatif, pense t-elle. Le temps de réagir, il est trop tard ; le client a d'un coup de rein ouvert le passage pour son gland, qui est maintenant profondément enfoui en elle.

Elle tente de le repousser :

– Pas comme ça, attendez !

Mais le gars continue à s'activer dans le charmant conduit de la brune.

Il n'est pas long, excité qu'il est de baiser à cru ; et de pouvoir enfin inonder un vagin de son sperme. Et il ouvre les vannes en longs jets puissants. La chatte d'Annick est remplie du sperme de son client...

Ce soir là elle a eut droit à 25 clients, tous des beurs d'âge différents des jeunes à presque des vieillards et ils ne sont pas les plus maubais bandeurs les vieux.

Kader, samiran sa cousine et ses potes empochérent le pognon durement gagné par sa chatte et son cul et allérent faire la fête dans la brasserie installée à l'entrée de le cité bel air.

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