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Depuis notre premier contact sexuel, Annick avait décidé d'espacer nos rencontres jusqu'au jour où je me suis attrapé avec son mari au sujet d’une pécadille, il m’a traité detous les noms et là mon sang de breton n’a fait qu’un tour, je me suis juré de bien l’humilier et de le rabaisser à son rang de sous-merde. je retentais ma chance auprès de sa femme et
depuis pas mal de temps je cherchais comment m’y prendre pour la courtiser à nouveau qui, comme vous le savez, depuis longtemps hantait mes pensées....et l’inspiration m’est venu en la croisant un matin dans le jardin.
C’est vrai qu’elle me plaisait malgré qu'elle ai pris quelques kilos en trop mais celà ne me la rendait pas moins désirable et son air ou plutôt c’est son air sévère de maitresse d’école qui m’attirait. Les lévres pincées, une moue hautaine, son visage aux joues bien rouges faisant ressortir ses yeux bleus magnifiques m’attiraient toujours.
Femme mature aux formes rebondies, une belle paire de cuisses, des fesses semblant fermes sous son jean’s, une belle paire de seins que l’on voyait poindre sous son t’shirt, tout çà me donna une idée peut être saugrenue mais bon, un bon breton tétu comme je le suis, ne peux que suivre son idée et la mienne était de la mettre au bout de ma queue
Je fus surpris car je ne mis pas beaucoup de temps à la séduire, à la courtiser à chacune de nos rencontres (je su plus tard qu'elle était toujours attirée par moi)... au début je ne voulais surtout pas la brusquer de crainte de la voir filer et refuser mes avances. Enfin le grand jour est arrivée lorsqu’un jour encore dans le jardin le croisais la mine triste et lui demandais la cause de son état.
Elle me répondit qu’elle s’était engueulée avec son connard de mari, je la consolais comme je pus tout en lui parlant tendrement, je lui pris la main tout en m’approchant d’elle ,la tenait serré contre moi.
-"..... Tu te rappelles de notre permière fois Belle Annick, je n'ai pas compris pourquoi tu ne voulais plus de moi et que tu refusais de me rencontre ?????
-".......J'avais un peu honte Christian de m'être laissée aller comme çà, c'est vrai que j'avais envie de toi mais ensuite je me suis résolue à te refuser et à poursuivre ma vie monotone au lit.........?
-"............Et maintenant avec ce qui est arrivée avec ton mari t'as pas envie de recommencer ????
-..." Je sais pas,...je sais plus.....me répondit-elle en se serrant contre moi et pleurant dans mes bras......"
Malgré celà elle ne recula pas, ma voix douce, chaude, mâle semblait la calmer et je profitaisde cet instant pour lui relever la tête et la fixant tendrement de mon regard qui parait-il hypnotise les personnes. Je posais alors mes lévres sur les siennes et nos langues entremélées, je lui donnais un baiser tendre et plein d’amour.
Mes mains se portèrent immédiatement sur sa poitrine et là sentant des seins lourds et imposants, j’eu une érection subite qui ne pouvait attendre. je lui pris la main et la conduisit jusqu’à chez moi. Elle me suivit sans rechigner. Je la fis passer devant moi pour grimper l’escalier de bois menant à mon logement, pour qu’elle évite de partir après réflexion et aussi pour voir son cul devant moi remuer son son jean's....les marches de bois carquauent sous notre poids mais heureusement la vosine du rez de chaussée étant sortie, je ne craiganis pas de faire du bruit. Arrivée à l'étage je serrais Annick contre la balustrade faisant face à ma porte d'entrée puis sentant bien qu'elle ne refusait pas mes avances, je l'embrassais à nouveau en lui roulant une pelle plus énergique et l'a fit entrer chez moi.
Je fermais à double tour la porte et la conduisit immédiatement dans ma chambre. Là n’y tenant plus je l’embrassais à pleine bouche, nos langues s’emmelaient, des envies sauvages nous prirent tous les deux, je lui otais son t-shirt ainsi que son soutien gorge, deux seins lourds, blancs, pendant, flasques étourdissants s’offrirent à mes yeux, je les pris entre les mains, les massaient, les pelotaient avec tendresse et douceur car elle m'avoua apprécier le douceur, je les portais à mes lévres et les suçait, les tétait, les léchait comme un malade, elle poussait des gémissements jouissifs me faisant comprendre qu’elle appréciait fortement mes caresses……………..
Ensuite je lui descendis son jean’s, lui enlevais sa culotte et lui bouffait la chatte avec toute l’avidité d’un homme qui n’avait pas touché une femme depuis pas mal de temps, elle m’avoua que depuis notre baise elle n'avait connu aucun autre homme et comme son mari ne la touchait plus depuis longtemps suite à des problémes d’érection, elle avait autant envie de moi que moi d’elle
Ne pouvant plus tenir je me mettais nu à mon tour, la couchait sur mon lit et tout en lui bouffant la chatte et lui pelotant ses deux seins magnifiques, bandant comme un cerf, je montais sur elle et sentis ses doigts aggriper ma queue et présenter à l’entrée de son sexe, mon gland nerveux et ma hampe bien dressée, par une légère pression pénétra dans Annick qui était bien lubrifiée par la cyprine qui coulaitde sa chatte.
Je la limais de toute ma vigueur tout en lui roulant des pelles d’enfer tant j’avais envie d’elle et la pinait si fort que le lit craquait et le sommier grinçait sous mes coups de boutoirs répétés..... mais ne pu retenir plus longtemps ma semence et lui expédiait au fond de son sexe de longs jets de mon sperme.
Je la serrais contre moi et l’embrassant tout ne lui demandant de m'excuser de cette décharge subite mais lui fit comptendre que j'avais gardé toujours en tête le bonheur qu'elle m'avait offert quelques années auparavant, je lui avouais que j'avais quand même rencontré quelques femmes de la communes mais jamais elle n'ait pu égaler le bonheur que j'avais eue avec elle et de la voir, là couchée sous moi je n'avais pu résister longtemps à la saillir.
– ".....Hummmm oui Christian me répondit-elle Humm c’était super bon …..
-".... Mais un peu rapide excuse moi Annick mais j’avais trop envie de toi, le temps de récupérer et je vais te montrer comment j'ai envie de toi.. et ne désires plus te perdre...."
Je mis pas lontemps à récupérer et la baisa une grande partie de la nuit et dans toutes les positions, j’étais enfin arriver à humilier son mari et à la reconquérir par mes assauts fougueux. Ce ne fut que le début de notre liaison amoureuse et depuis cette nuit je cocufiais son mari tous les week-end.
Je la pris dans toutes les positions qui me passait par la tête, à la fin de ce qui fut notre deuxiéme liaison sexuelle je connaissais parfaitement toute son anatomie, aucun millimétre de sa peau blanche ne m'était inconnue, ses seins avaient rougis sous les caresses et çà et là de petits suçons apparaissaient sous ses mamelles faisant ressortir la blancheur de lait de ses seins. Je mettais abreuvé de sa chatte, avais dégusté sa liqueur, lui avais léché les fesses, les pieds, enfin tout son corps avait été léché, sucé, dégusté. J'en avais fait ma maitresse et depuis ce jour je suis son maitre, son amant et le cocufieur de son mari.
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Ecrit par Nickie
Parue le 06 novembre 2019
