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Arlette

Ecrit par fabrissa
Parue le 30 mai 2013
Il y a 2 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 5850 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Des cheveux fous sur mon torse. Ses mains sur mes cuisses. Elle est entièrement dédiée à son plaisir. Je ne vois d'elle que ses seins secoués par ses mouvements, son pubis contre le mien : elle baise, c'est tout. Nous sommes couchés depuis un bon moment. J'ai déjà joui en elle. Elle sait comment me faire bander longuement, même quand j'ai éjaculé. Je lui ai donné ma semence deux fois depuis le début de la soirée. Elle en veut encore. Elle m'a dit en dînant que cet après midi elle avait joui deux fois, une fois seule, l'autre fois avec son amie de toujours. Je sais qu'elle aime baiser avec sa copine, même si elle ne veux pas que je la vois.
J'ai menti un après midi quand je devais m'absenter. J'étais caché quand Arlette, son amie est venue. Elle est sexy Arlette. Je me la payerais bien. Elles se sont retrouvées dans la chambre, nues, munies chacune d'un bel exemplaire de gode. De la bouche, les langues sont descendues là où il n'aurait pas fallut. Je les voyais en 69, décidées à faire jouir l'autre en même temps qu'elle .
J'avais la queue dehors, ma main l'entourant. Je me branlais pendant qu'elles s’antiquaient. Le plus excitant était quand elle se caressaient le cul avec les godes. Je voyais le cul de ma chérie s'ouvrir, me donnant ainsi l’aperçu de ma queue entrant en elle. Elle ne résistait pas longtemps à la langue et au gode. Je la voyais jouir. J’accélérais ma main sur la pine. Je me suis regardé quand le gland disparaissais dans ma main. J'ai jeté un grande gerbe de sperme........
Je savais où habitais Arlette.......
Je l'ai vu chez elle. Elle portait un peignoir presque transparent : je ne voyais pas grand chose, j'imaginais. Elle comprenait ce que je voulais.
Viens, baises moi, moi qui me paye ta femme.
Tu es une salope de baiser ainsi sans rien me demander.
Et là, qu'est ce j'ai, un corps qui t'attend.
Elle entrouvre son vêtement. C'est plus sexy qu'avec ma femme. Elle m’attire vers son corps chaud. Je commence à bander : elle le voit bien. Je veux la prendre dans mes bras, je n'ai pas le temps. D'elle même elle est contre moi. Je la sens contre ma bite.
J'aime les filles comme ta femme. Nous baisons bien ensemble. Tu as du nous voir.

Je ne vais pas nier. Elle a du me remarquer. Arlette m'a peut être vu pendant que je me branlais. Je me demande si elle a vu mon jus partir au ciel ?

Je veux baiser avec toi, tu aimes un peu les hommes, non ?
J'adore leur queue dans la bouche, moins dans le con, pas du tout dans le cul.
C'est pourtant là que je veux te la mettre.
M'enculer, jamais.
Ma femme te le lèche bien ?
C'est meilleur une feuille de rose avec une fille.
Elle en fait des manières ? Est ce que je dirais non si elle me caressait le cul pendant que la lui mets ? Tant pis, elle l’a cherché : elle aura ma pine au cul. Elle ne se défend pas trop quand je suis sur elle. Elle est tellement contre qu'elle entoure mes jambes avec les siennes. Arlette prend ma queue, la dirige vers son vagin : elle mouille presque trop. Et dire qu'elle préfère les filles !
Je pénètre en elle presque trop facilement. Elle est douce à baiser, ses tissus sont adaptés à ma queue. Nous limons assez longtemps pour que ma bite prenne ses aises. Pour une nana qui n'aime pas baiser avec un homme !
J'oublie sa chatte, je veux me réfugier dans sa bouche. J'aime me faire sucer en cours de route pas celle que je baise : elle profite de son goût et son odeur. J'aime les embrasser sur la bouche pour profiler moi aussi.
Arlette lèche assez bien, moins bien que ma femme. Le gland prend ses aises contre une joue. Je lui caresse doucement le cul, sans y entrer. Elle le tend vers moi pourtant.
Elle s'est mise en levrette. Ma queue entre encore dans son con. Elle est meilleure à baiser que beaucoup d'autre. Ma pine dérive vers le scrotum. Elle ne rejette pas le membre qui va l'enculer. Dire qu'elle n'aimait pas ! Moi j'aime enculer les filles, elles sont étroites pour la queue. Je sais que la plus part disent ne pas aimer le sodomie alors qu'elles adorent ça. J'écarte à peine l'anus. Elle commence par dire non. Elle ne dit plus rien quand je suis au fond de ce cul magnifique. Elle ne voulait pas, elle me demande d'aller plus vite.

Oui, encules moi, j'aime ça.
Branles toi en même temps.
Je n'ose pas le faire devant toi.
Branles toi.
Elle se décide à augmenter son plaisir nouveau. Je sens ses doigts aller et venir sur la chatte, elle entre même deux doigts. Elle voudrait une autre queue que je n'en serais pas étonné. Son cul se ferme, s'ouvre se ferme encore. Elle jouit comme une cinglée. Ma queue est prisonnière du cul. C'est bon de se sentir prit ainsi par un cul qu'on occupe.
Tu ne diras rien à ta femme ?
Pourquoi, tu as peur parce que je la trompe avec toi ?
Je ne veux pas qu'elle demande de venir avec nous deux. Je n’aimerais pas ça du tout de jouir avec vous deux.
C'est drôle une femme qui couche avec la sienne, qui ne veux pas baiser en trio. J'aimerais bien moi les avoir ensemble, une sur la bouche, et l'autre assise sur ma queue.
Je te veux avec ma femme, couchées avec moi, ma bite dans ton cul pendant qu'elle te suce.
Tais toi, te me donne envie d'elle maintenant. J'aimerais la lécher, mettre ma ma langue sur son cul. Tu la lui mettrais dans la bouche. Je pourrais te caresser le cul aussi. J'aime faire ça à des hommes, les enculer, un rêve de voir mon doigt entrer et ressortir, le lécher après, c'est bon, sale, dégoûtant mais bon.
Le rendez vous est pris. Arlette est un peu en avance ce dimanche après midi. Ma femme ne sait rien. La surprise est quand Arlette l'embrasse sur la bouche devant moi. Je n'attend pas longtemps la suite. Excitée ma femme répond au baiser. C'est elle qui commence à caresser directement la chatte de son amie. Je bande aussitôt : c'est la première fois que ma femme se livre ainsi à une autre devant moi. Son désir est fulgurant. Elle se penche presque accroupie, descend la culotte de son amie. Sa langue la lèche aussitôt. Ah, la langue de ma femme, un poème. C'est la championne des félations. Je ne savais pas que c'était la cheffe des cunnilingus : elle passe ses bras autour des cuisses d'Arlette, se serre bien contre elle.
Je suis derrière Arlette qui me laisse faire Ma queue est contre ses fesses. Les mains de ma femmes me caressent les cuisses. C'est elle qui me guide. La bite touche à peine la raie, descend dans le calice des cuisses d'Arlette. Ma propre femme me guide pour que je baise son amante. Je sens son front contre mes couilles. Je suis en entier dans le con d'Arlette. Il se contracte doucement. Si elle jouit, je ne la laisse pas seule à son orgasme. Mon épouse se caresse doucement la chatte : elle jouit aussi : chacun à ses plaisirs.



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