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Nous nous sommes retrouvés un bande de copain et moi autour d'un étang en été pour une partie de pêche. Chacun avait sa ligne et péchait. Nous étions deux par deux tout autour de cette retenue. Il faisait chaud et le poisson préférait le fond pour rester dans la fraîcheur. Au bout deux heures aucun de nous n'avaient eu une touche. Tous les autres découragés quittèrent les lieux et rentrèrent à la maison, nous laissant un véhicule pour rentrer. Bastien mon binôme manifestait l'envie de rester persuadé qu'il y aurait une manifestation du poisson. Il avait amené son maillot de bain et il se déshabilla pour être plus à l'aise. Moi, je n'avais rien prévu et me contentais d'enlever mon tee-shirt pour être torse-nu. Bastien me pria d'enlever mon jean' et de me mettre en slip. Ce que je fis. Il est vrai que j'étais beaucoup plus à l'aise.
Nous péchions donc à quelques mètres l'un de l'autre et j'étais accroupi sur le bord. Bastien me regardait et se mit à rire. Je lui demandais pourquoi ce rire. Il me répondit qu'il avait vu mon sexe passé en dehors de mon slip. Je remettais donc ma tige dans mon slip mais irrémédiablement en ressortait. "Laisse la tranquille, elle est mignonne et elle me plait bien." Il se leva et vint s'assoir à côté de moi. Quand pour la énième fois mon sexe quitta l'échancrure de mon slip, Bastien tendit la main et commença à le caresser. J'étais très excité et très vite mon sexe devint raide. Sa main douce et chaude palpait couilles et tige avec douceur et précision. J'avais planté ma ligne et je le regardais faire. Il s'allongea sur le côté et entreprit de me sucer après m'avoir décalotter. Sa bouche chaude s'appliquait montant et descendant sur ma tige tendue. Que c'était bon d'avoir cette fellation en pleine nature. Je voyais sa tête qui descendait et remontait lentement avec délicatesse. Il tenait mon sexe d'une main pendant qu'il suçait.Son autre main caressait son sexe toujours prisonnier dans son slip de bain. Un vrai délice. Je n'avais jamais pensé que Bastien aimait les garçons et qu'il suçait aussi bien. Mes bras en arrière je le laissais faire. Mais très vite je sentis la sève monter et malgré mes efforts je ne pus empêcher mon sperme de jaillir. Bastien avalait tout ce qui arrivait et paraissait s'en délecter. Il me pompa un long moment avec la même lenteur jusqu'à ce qu'il ne reste plus une seule goutte et que mon sexe se ramollit.
"Il fait chaud, ne trouves-tu pas ?" me répondit-il !
"oui, tu as raison, allons dans le fourré là-bas, nous serons à l'ombre"
Après avoir remonté mon slip et ramassé nos affaires nous nous dirigeâmes vers ce bosquet épais. Nous étalâmes nos vêtement sur le sol pour prendre place l'un à côté de l'autre. Bastien fit glisser son slip et l'enleva complètement pour se retrouver totalement nu. Son corps était lisse et imberbe laissant apparaître un corps bien proportionné. Son sexe imberbe tendu était fin et long et le prépuce recouvrait la moitié du gland. Je me penchais vers lui pour le caresser puis j'avançais ma bouche pour gober ce gland pointu qui s'offrait à moi. D'une main je caressais ses boules lisses et commençais à le pomper. C'était merveilleux,son corps ondulait à chaque passage de mes lèvres et son sexe s'enfonçait dans le fond de ma gorge. Comme lui, je prenais tout mon temps mais il m'arrêta et il prit une autre position. Il se mit à quatre pattes bombant ainsi ses fesses et me les offrait. À genoux, face à sa raie j'écartais les deux lobes pour aller lécher son petit œillet doux et velouté. Ma langue fouilla son anus jusqu'à ce qu'il s'entrouvre puis quand je sentis qu'il était suffisamment chaud je pris mon sexe qui avait repris de la vigueur et j'approchais mon gland et commençais à le pénétrer lentement. Il laissa échapper un petit cri quand mon gland fit le passage de la bague. Je progressais lentement pour lui enfoncer toute ma teub. Dès que j'atteignis le fond, je me mis à faire des va-et-vient le tenant par les hanches. Il criait à chacun des coups de boutoir et ça m'excitait. Je limais lentement voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Mais au bout de plusieurs minutes, ne pouvant plus me retenir j'envoyais tout mon jus dans son ventre. Je restais comme ça figé, ne voulant pas me retirer. Mais mon sexe perdit de sa consistance et glissa au dehors de son anus. Epuisé, je me me mis sur le dos pour me reposer et reprendre mes esprits. Après s'être rhabillés nous sommes rentrés sans ramener un seul petit poisson, ce qui fit rire nos camarades.
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Ecrit par Vladimir
Parue le 24 octobre 2018
