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Bonne bronzette

Ecrit par simorgh
Parue le 19 mars 2008
Il y a 4 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 9976 fois | Cette histoire erotique a une note de : 16.5556/20

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Pendant une séance de bronzette, nue sur le balcon de mon petit appart, j'étais allongée sur mon matelas et je sombrais doucement dans une sieste qui se voulait reposante. La tête entre deux mondes j'entendais vaguement parler. Je n'avais pas vu en m'installant les deux voisins de l'étage au dessus. Ils parlaient assez fort pour que j'entends les remarques sur mes fesses. Remarques agréables je précise. Alors tout en les laissant croire que je dormais je regardais de côté. Et à ma surprise je les ai vu le caleçon aux chevilles et la queue à la main. Ils se branlaient comme deux malades. S’ils savaient l'envie que j'ai de baiser ils ne feraient pas ça devant moi. Je bougeais légèrement pour leurs faire croire que je dormais toujours et que je ne portais pas d'attention à leur branlette.

J'aimais entendre leurs remarques : "T'as vu le cul qu'elle a? Tu crois que ses seins sont biens aussi? En tout cas elle est bonne!" Bien sur que je suis ‘’Bonne’’ et même franchement ‘’Excellente’’ (ça tu le sais!). Alors pour répondre à leurs questions je me suis retournée en feignant de dormir, dévoilant ma poitrine offerte au soleil et à la chaleur, ma peau colorée d'un léger hâle. Caressant les pointes de mes seins pour les faire grossir. Ils étaient stupéfiés. Alors à ce moment là ils comprirent que je ne dormais pas et que je me caressais pour les faire bander plus dur et plus gros.

Une main sur un sein et l'autre descendant doucement jusqu'à mon sexe bombé et tiède.



En transparence du string on pouvait voir une petite chatte rasée de près. Je levais légèrement la tête en leur lançant : " Bon les garçons vous venez ou vous rester là la queue dans la main". Quelle fut ma surprise quand ils me répondirent : " OK on arrive". Là une échelle de corde (comme dans les aires de jeux pour enfants) fut lancée de leur balcon au mien. Environ 10 mètres nous sépare. Ils descendirent.
J'étais stupéfaite de les voir faire avec tant d'aisance.


Whoo, là vous me sciez. Nous sommes moniteurs d'alpinisme ! Ceci explique cela. Alors demoiselle on allume les garçons en bronzant nue? C’est pas bien vous avez raison. Je me relève les regarde. Moi c’est Gé. Je commence à les branler une queue dans chaque main. "Je ne vais pas faire que vous allumer. Je vais aussi vous éteindre. De mes mains magiques je dirige les hommes par la queue dans le salon ou un clic-clac et installé. Nous le déplions et je les allonge. Les corps sont magnifiques, bronzés musclés, total imberbes, les pectoraux bien dessinés. Ma bouche part d’une queue à l’autre. Ma bouche mes mains, mes mains ma bouche. Puis à mon tour ils m’allongent, me caressent partout : les seins, le ventre, les hanches, le sexe toujours dans le string, les fesses, le dos. Mon corps encore tiède réagit rapidement.



Ils font glisser délicatement le bout de tissus. Mes deux jeunes alpinistes se regardent : "Bon Luc pour l’ascension de Gé tu prends quelle face ? La Nord ou la Sud ? Celle que tu veux? On se la fait en rotation, ça te dit ? Ouai !!!! Bonne idée".

Le pied…deux mecs pour moi, total fantasme. C’est Luc qui commence. Il me mange le sexe, les lèvres et la langue pleine de mon jus. Il fait glisser ses doigts. J’ai la queue de Nico entre les lèvres pendant qu’il caresse mes seins. Luc se met à genoux et introduit sa queue devenue énorme dans ma petite chatte. Je soupire d’aise. Hummmmmm… c'est bon. Je sens ses couilles taper sur mon sexe suintant. Tans dis que celle de Nicos grossie dans ma bouche. Je le décalotte du bout des lèvres pour mieux sentir son pieux de chair je l'aspire pour faire monter la sève.
"Ouiiiiiiii les mecs continuez… c’est comme ça que je veux… OUIiiiiiiiiiii OUIiiiiiiiiiii OUIiiiiiiiii… encore, tape, tape fort, explose ma chatte en chaleur, tape dedans, éclate moi. J’en veux deux. Prenez moi à deux".


Alors Lucas s’allonge, sa queue raidit à la verticale. Il pointe son gland contre mon anus qu'il force délicatement. Mon apprentissage dans la prise anale n'est pas très avancé. Il met toute sa délicatesse pour pénétrer entre mes fesses, Je sens sa queue s’enfoncer doucement. Il entame des vas et viens pour bien lubrifier sa queue. C'est bon…j’aime ça. Ça ne m'est pas arrivé souvent mais c’est bon. Je soupire, je crie, je ronronne. Je tourne la tête dans tous les sens. Je ne sais plus où je suis. Ma jouissance est totale. Je trouve que ce qui m’arrive est merveilleux. Luc et Nico s’en donnent à coeur joie. Ils me prennent sans ménagements aucun. Je sens leur queue dans mon ventre. J'ai l’impression qu’elles se rejoignent. Il y a bien longtemps que je ne mouille plus. J'ai ouvert les vannes à fond. Je sens un torrent couler entre mes cuisses. Je suis totalement écartelée. Leurs mains se promènent sur mon corps en sueur. Je ne gémis plus que c’est bon… J'hurle mon plaisir à gorge déployée :
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

C’est à la fin de mes cris de jouissance qu’on réalise qu’il y a un bruit de clef dans la maison. Alors les garçons se retirent mais ne restent pas loin de moi puisque une queue dans chaque main je continue à les branler.

C’est à ce moment là que je réalise que c’est mon amant en titre qui vient d’entrer. Il nous regarde tout étonné mais pas choqué. Plutôt amusé même.
"Alors les jeunes… on profite, on prend du bon temps avec ma copine?". Je présente rapidement le nouvel arrivant sans aucune honte. Une queue au bord de ma bouche.


"Les mecs c’est J-P ". La situation ne le dérange pas du tout. De nous voir ainsi J-P se met à se branler lui aussi, tout en se déshabillant. Et quand il s’approche de moi un bon 19 centimètre tape contre mes lèvres. Il ne me reste plus qu’à les ouvrir pour enfourner cette autre belle queue. J’aspire le gland comme il aime tant que je lui fasse pour faire monter le sang.
Après un petit moment de caresse buccale il me pousse aux épaules pour m’allonger. Mes jambes croisées autour de sa taille. Il passe sa main sur ma chatte plus qu’humide. Fait pénétrer ses doigts, puis sa longue queue qui est comme aspirée par mon vagin. Ses mains s’agrippent à ma croupe de femelle en chaleur et il commence à me limer en regardant les deux autres garçons toujours en train de se faire sucer et branler.



Alors les mecs, c'est comme ça que vous avez fait pendant mon absence?
Continuez à vous branler et regardez comme il faut faire pour faire jouir la petite Gé dans la pénombre de sa chambre !!!

Elle exhibe sa croupe ronde est ferme...une croupe de femelle qui aime faire l'amour longtemps; surtout si c'est bien fait...



- J-P me pilonne à grands coups de queue, mes jambes enroulées autour de sa taille. Je soupire, je commence à avoir très chaud et pourtant des frissons parcourent mon corps. Je réalise enfin ce qui se passe. J'ai trois hommes à poils devant moi. Deux qui s'astiquent le membre et un qui m'empale de sa pine devenue énorme par l’excitation.
Je me sens salope en bloc, sachant que je vais devenir la pute de ces trois queutards qui ont bien l'intention de me faire subir une séance de baise des plus chaude et des plus salace...
C'est bon d'être devenue une petite pute, une de ces femelles qui aime se faire prendre par la chatte et le cul tout en en suçant un troisième...
Je vais les vider ceux là, bien les vider, bien les pomper et les faire jouir. Je veux que leur sperme gicle sur moi pendant que J-P déchargera tout son jus dans mon ventre affamé de foutre. Je me sens jouisseuse, salope, pute, à sentir ces regards lourds de concupiscence mater ma croupe qui monte et qui descend sur ce phallus bien raide.



Je suis fière de mes fesses, car elles sont placées haut, bien sous les hanches et roulent sensuellement quand je marche…
D’ailleurs, quand je suis dans la rue je sens les regards des mecs me chauffer le cul…et pas que les mecs d’ailleurs, car certaines femmes m’ont déjà fait comprendre que, si je voulais, elle serait d’accord…mais moi, si je veux bien essayer une femme, bi ou pas, il faudra que son mec, ou un autre me prenne aussi à moment donné, car depuis que j’ai goûté à la queue c’est tout de même le morceau que je préfère…Il faudra que J-P me fasse essayer ça avec une autre femme.

C'est salacement bon de vivre ces moments de stupre.
J'ai hâte de sentir ces pines venir se faire branler et sucer, puisque j'ai les mains et la bouche libres...C'est de plus en plus salaud, de plus en plus chaud, de savoir que c'est moi, la petite Gé, qui fait triquer ces bites lourdes et puissantes qui vont me pénétrer...en remontant jusqu'à mon nombril.

Mes gros seins dardent avec leurs énormes pointes rouges et dures...âââââââââhhhhhhh, j'aime ça...être une femelle en rut qui attend que des grosses queues défoncent alternativement sa chatte et son cul.



Ooooooooooh, ouiiiiiiiii, le cul… « Il y en a bien un, sur les trois, qui pourrait m'enculer à nouveau ? », dis-je, d’un tout a fait détaché…
Nous rompons la joute pour que Nico s'étende sur le dos. Sa queue superbe entre les mains. Je m'allonge sur lui et sens le gland venir écarter les lèvres de ma chatte coulante. Je descends, doucement, pour profiter du moment où cette masse vivante va réinvestir mon ventre. L’intromission se fait en souplesse…Arrivée contre son ventre je ne bouge plus et me penche en avant pour relever mes fesses.
JP, lui, m’attrape par les hanches à pleine main, pour venir appuyer ce qu’il faut bien appeler une « très grosse queue » sur la rosette de mes fesses déjà bien lubrifiée. De la grosse queue c’est ce que j’aime, c’est ce qu’il me faut. J’en ai tâté quelques unes depuis le temps et les grosses, voire les très grosses ne me font pas peur. J’en ai prise une, il y a peu, qui me remontait jusqu’au nombril…et qui maintenant me provoque encore des orgasmes quand mon amant en titre m’en parle pendant qu’il s’enfonce en moi.

Salope je vous dis…je suis devenue salope, pour le faire bander, car de toute façon c’est moi qui en profite, car il est très gros et très raide quand je lui raconte comment j’ai fait avec d’autres…comment je les ai branlé, comment ils m’ont bouffé le ventre à pleine bouche, aspirant mon clito entre leurs lèvres, le mordant, le suçant…comment ils ont rentré leurs queues dans ma chatte en me pognant la croupe…comment je me suis faite limer et marquer toute une après midi, pour, le soir, m’en reprendre du gros, du salace et du copieux, montrant mon corps marqué par les suçons…lui murmurant comment ils ont envoyé tout leur sperme sur mes seins et mon ventre…


C’est salaud et chaud quand sa bite gonfle, surtout au moment où j’oralise la pénétration d’un autre membre dans la chatte de la pute que je suis devenue, pour lui faire plaisir, mais aussi parce que finalement ça me plait d’être cette femelle qui fait bander les mecs et qui n’aime rien tant que de se prendre du nœud dans le ventre.



De toute façon, ça fait des semaines que je dilate cette partie pour enfin pouvoir me faire prendre par là aussi…je peux rentrer deux doigts dans mon cul sans souffrir… ma chatte, elle, reçoit sans problème trois doigts…voire quatre…
Je sens le gland s’immiscer progressivement dans mon cul.

Sous moi, Nico ne bouge pas, se contentant de me murmurer à l’oreille que je suis une vraie pute, totalement salope, que j’ai eu bien raison de les inviter à entrer ces deux là pour me faire ma fête.

Je soupire de plaisir au fur et à mesure que je sens mon ventre recevoir ce membre de folie, qui vient, centimètre par centimètre, à travers la paroi interne, se frotter à celui de Nico.
Si mes copines me voyaient…la petite Géraldine, entre deux mecs membrés comme des ânes…la bouche ouverte, attendant la troisième bite…se faire prendre, posséder, ramoner…et jouir…

JP finit de pousser toute la longueur de sa pine fabuleuse dans mes boyaux et je sens son ventre venir appuyer contre mes fesses.



Je suis possédée, totalement, pleinement, superbement. J’ai la tête en feu en ayant, dans le miroir de mon armoire, la vision des plus salace d’une cavale coincée entre deux étalons, qui se fait saillir sans aucune retenue, demandant au troisième larron de s’approcher car sa bouche veut sucer.
J’ai chaud, mes tempes me brûlent, mes sens sont exacerbés par l’envie de jouir.
Je le dis aux deux salauds, plantés en moi, bien abutés au fond de mon ventre, attendant de me pilonner, en faisant gonfler leur pine par des contractions qui se répercutent dans tout mon ventre.



J-P, bien cramponné à ma large croupe de femelle démarre la chevauchée en se retirant jusqu’au gland, pendant que Nico s’enfonce d’une seule poussée rectiligne…et le mouvement repart en sens inverse. (C’est pas possible… ils se connaissent ces deux là et ils ont déjà du baiser des filles ensemble…!) Tout les deux me pilonnent, me ramonent. Une vague de chaleur parcourt mon corps, puis une deuxième et une troisième. Je tourne la tête de droite à gauche. Puis ma bouche vient buter sur le gland du troisième protagoniste, dont j'ai oublié le nom dans l’extase. Sa tige est tellement raide dans ma bouche que j’ai l'impression qu'elle va casser. Une onde terrible me parcourt à nouveau. La bouche pleine, je râle :
« âââââhhh, ââââââh, ââââââââaaaaaaah, ouiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ôôôôôôôôhhhhooo ». Je transpire, je sens la sueur me couler dans la raie des fesses.

J-P me prend les nibards à pleine main et tire sur les énormes pointes… (Le salaud, il sait que ça m’excite…). Nicos, lui aussi cramponné à ma croupe, souffle comme un diable tout en poussant son énorme queue en avant, en tirant sur mes hanches pour bien s’enfoncer. Il serre fortement mes chairs en plantant ses doigts dans ma peau. Je sens ses couilles, pleines de jus, taper contre les lèvres de mon sexe avec un bruit mouillé des plus salaud. Il m’affole avec sa grosse pine qui me ramone le cul à une cadence infernale, pendant que J-P ne chôme pas lui non plus…



Ce queutard excite tout le monde par ses cris de plaisir qui donnent une cadence démoniaque à la séance de baise intense dont je suis le centre. Je me donne à fond, pour jouir à fond…Je suis enfin une femme libre et bandante, prise entre deux mecs, matée par un troisième, avec la vision dans un miroir d’une splendide salope échevelée qui s’envoie en l’air comme une pute.

Je suis fière de moi…tout à fait fière, puisque jamais je n’aurais pensé arriver un jour à cette libération sexuelle qui fait de moi, à ces moments là, une superbe baiseuse sans tabou ni complexe, avide de queues et de sperme.



Je hurle à gorge déployée en jouissant de la chatte et du cul, me moquant tout à fait des voisins qui de toute façon ont déjà du m’entendre à plusieurs reprises depuis maintenant plus de trois ans.

Je suis une énorme salope, buccale, vaginale, clitoridienne et anale...
La totale pour moi, qui, pendant longtemps, fut abonnée à de la petite queue molle…
Ma jouissance s’amplifie, devient ouragan…je me secoue à mon tour, entre ces deux manches vigoureux, car je ne peux pas rester passive, dans cette séance que j’ai provoqué, en invitant ces deux jeunes à entrer chez moi. Je me remue dans tous les sens pour faire pénétrer, encore plus, ces deux pines énormes et fabuleuses…je me regarde dans le miroir de l’armoire et je jouie encore plus…

Cette femelle en rut que je vois… c’est moi… pleine, remplie, possédée… ma cyprine coule sur J-P, nous baignons dans un jus de sexe tellement je mouille et suis trempée de sueur. J’orgasme, en vraie pute qui prend son pied.



Désarçonné par mes coups de rein, Nicos se retire et se place à ma droite tandis que J-P, qui vient de me faire remettre sur le dos, accélère la cadence de sa pénétration...Quelle endurance ce type…baiser comme, ça pendant deux heures, sans viagra…
Et moi qui suis ravie de provoquer cette furia j’en jouie de la tête.
Mes deux voisins, les yeux fous, se branlent avec une rapidité pas possible, se servant de leur main libre pour, alternativement, me pogner les seins…rentrer leurs doigts dans ma bouche…puis leurs queues, puis leurs doigts, puis encore leurs queues… Je ne sais plus combien de fois j’ai encore jouie, en hurlant de plaisir…
Dans un râle puissant ils déchargent sur mon cou, mon ventre et mes seins, faisant gicler leur foutre qui tombe en grosses gouttes grasses et lourdes.
J-P lui, dans un cri sourd se vide dans mon ventre à longues saccades qui pulsent contre les parois. Je vais le sentir pendant une semaine avec la dose que je viens de prendre… Il ressort sa queue et d'une main appuie sur le gland pour faire sortir la dernière goutte qui tombe sur mes lèvres. Je lèche ce nectar de baise et en ressens un certain plaisir.


Mes deux voisins complètement lessivés par cette séance de baise intense se rhabille et pendant qu'ils se dirigent vers le balcon pour remonter chez eux J-P leur lance : « Hé les mecs, maintenant vous saurez que Gé n’est pas toute seule ».

Puis, en me regardant : "Oui, c'est vrai je ne suis pas jaloux mais là tu as fais fort. Mais c'était sympa quand même cette séance à trois…tu ne trouves pas? » « Allez à la douche, on sort ce soir. Je t'invite au resto pour fêter ça et en rentrant je te remets une ronflée…Puisque tu aimes la queue…tu vas dérouiller, en vraie bonne salope que tu es devenue !!! ».




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