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Christine et Marie : 4

Ecrit par Lord Byron
Parue le 18 avril 2007
Il y a 5 commentaires pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 13285 fois | Cette histoire erotique a une note de : 13/20

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Le restaurant



Vingt heures dans ce grand restaurant parisien où je suis arrivé avec un bon quart d’heure d’avance. Comme d’habitude je suis en complet veston avec cravate ; j’ai commandé un apéritif que je sirote lentement.

Marie arrive la première et je l’observe donnant son manteau au vestiaire. Elle apparaît en robe noire très courte et bas fumé ; la robe très moulante laisse deviner l’absence de dessous comme je l’avais exigé ; seules les marques du haut des bas sont visibles.
Elle arrive à la table en ondulant légèrement de manière à provoquer mon désir : gagné, je bande rapidement autant par les spectacle que par le constat de son obéissance.


- Bonsoir Marie

- Bonsoir Patrick

- Pardon ??

- Bonsoir mon maître

- Assieds toi

- Bien dit elle en s’exécutant

- Je veux que tes fesses soient au contact du tissu de la chaise

- Oh ….

- Allez obéis

- bien

Elle se relève un peu et d’un geste discret remonte l’arrière de sa robe

- tu es prête ?

- oui ?

- obéissance absolue ?

- ….oui ….(la voix est presque inaudible)

- plus fort

- oui maître

- tout

elle se redresse, ses seins sont beaux sous le tissu

- oui mon maître

- reste bien droite

- oui bien voilà, je vous offre mes mamelles

Christine entre dans le restaurant et dépose son vestiaire ; elle apparaît avec une robe assez ample mais courte ; elle approche tenant un sac assez volumineux

- tu as le matériel Christine ?

- Oui maître bien sur.

- Tu as obéi à mes ordres de harnachement ?

- Oh ouiiiii maître.

- Christine je te présente Marie.

- Bonsoir salope dit elle d’entrée de jeu.

- Bonsoir Christine.

- Appelle moi Madame (nous sommes à une table ronde ; elle a passé lestement sa main sous la jupe de marie et lui a pincé une lèvre de ses ongles acérés.

- Aïe fait doucement Marie.

- Tu n’as pas de culotte, c’est parfait ; tu es mon jouet, j’ai une envie folle de te posséder. Tu as déjà gouiné?

- Non Madame.

- Tu vas devoir apprendre ; dis moi que tu as envie de me lécher les trous et le bouton.

- Oh oui Madame, vous êtes très belle.

- Tu sais comment je suis parée?

- Non Madame.

- J’interviens : elle va te le dire mais avant je dois être sur : tu t’es branlée cette nuit.

- Oui Maître … avec l’aiguille.

- Alors ???

- C’est atroce de plaisir, je hurlais, je me suis moi même bâillonnée !

- Merveilleux !

Marie regarde apeurée :

- Tu es inquiéte ?

- J’ai peur … l’aiguille.

- Christine, trousse toi bien sous la nappe ; Marie, fais tomber ta serviette pour regarder.

Marie met juste un peu trop de temps et se redresse rouge de confusion mais aussi … de désir que l’on sent pointer.

- C’est beau demande Christine ??

- Oh c’est … c’est …terrible…. Aïe (Chris vient de repincer la lèvre encore plus près du clito)

- Réponds aux questions.

- Oui j’aime …j’ai envie de toucher mais ….l’aiguille dans votre clito Madame....

- Tu auras la même !

- Nonnnnnnn !!

- Bien sur que si ; allez ne discute pas ; tu as vu ma chatte ouverte.

- Oui Madame ; oh les pinces ; et puis la chaînette ; qu’est ce que c’est ?

- Des boules dans ma chatte ; des très grosses ; il faut pouvoir les sortir ; et mes lèvres étirées tu as vu ?

- Oui Madame ; oh les objets que j’avais vu dans des films …Oh Madame salope je coule tout mon jus.

- Ouiii bien appelle moi Madame Salope j’adore ; mais ce que tu n’as pas vu c’est le plug qui m’est planté au fond du boyau.

- Il est gros ?

- 5 cm de diamètre sauf plus petit à la base.

- ouahhhh Madame salope
pas possible, dans votre cul …
- oui et tu vas y goûter aussi.

- mon Dieu pitié.

J’assiste à ce débat surréaliste et hyper excitant ; je suis calme et je laisse la séance se dérouler discrètement et tranquillement.

Et puis me vient une idée :

- Chris, mets lui le gonflable dans la chatte.

- Marie demande moi de te planter dit elle.

- Allez y Madame Salope mais discrètement s’il vous plait.

- Bien sur ; regarde sous la table
Marie se penche sous la nappe et voit le gode noir qui dans sa forme de base mesure 4 cm de diamètre (déjà une belle queue) et 20 cm de long.

Elle se redresse et dit :

- Oh tout cela pour moi ???

Marie écarte les cuisses sur ordre de Chris et celle ci la force discrètement ; seul un petit cri attire l’attention de la table voisine mais Marie se tient droite sans sourciller et les clients reprennent leur repas et leurs discussion.

- C’est entré tout seul me dit Chris elle est bien ouverte et lubrifiée cette jeune pute ; qui va gonfler la poire maître ?

- Toi Chris mais sois sans merci.

- Ohhhh nonnn (petit cri de Marie).

Ainsi, tout au long du repas, Chris gonfle de plus en plus le gode qui a atteint un diamètre de 8 cm dans la moule de Marie qui, elle, se retient de manifester plusieurs orgasmes successifs. En fin de repas, Chris débranche discrètement la poire et referme la valve ; Marie va devoir se déplacer ainsi défoncée.
Puis Chris regarde Marie droit dans les yeux et s’adresse à moi :

- Maître cette nuit j’ai retiré l’aiguille et j’ai pu la remettre, maintenant je voudrais la toucher

- Oui salope mais enfonce la de 2 mm en plus ; toi Marie regarde la droit dans les yeux.

La main de Christine plonge sous la nappe ; son regard devient vitreux ; elle est en train de manipuler l’aiguille et elle jouit silencieusement.
Je gifle cette main sous la nappe. Christine se mord les lèvres pour retenir un hurlement, cela dure plusieurs secondes puis elle se calme et me regarde :

- Merci Maître dit elle doucement.

- Vas y maintenant, branle pour jouir mais laisse deux doigts de ton autre main dedans.

- J’ai très mal dit elle en manipulant doucement …non…non… attends ….ouhhhhhhhhh ...

- Donne tes doigts à lécher à Marie.

Elle les tend doucement et Marie timidement hésite :

- Vas y, suce belle salope dit elle ou tire toi en me rendant le gode.

- Pourquoi êtes vous aussi dure madame salope dit Marie en l échant les doigts.

- Tu m’as vue déguster, il faut que je me venge.

- Ohhhhhh … c’est bon vos doigts
Je règle l’addition et je déclare que nous partons mais non sans me permettre un dernier plaisir :

- Chris réenfonce la petite aiguille allez vas y !

- Hummm aie oui c’est bon.

- Tu es prête salope ?

- Oui Maître mais dites moi, c’est toujours d’accord ?

- Quoi donc ?

- Je l’utilise, Marie est à moi, enfin à nous.

- Oui si tu es assez bonne.

- Humm j’ai envie.

- C’est bien, à toi Marie dégodes toi , sors le monstre gonflé!

- Oh je ne peux pas, il faut le diminuer.

Nous sommes encore assis, je passe la main sous la table et lui pince progressivement mais fortement le clitoris ; elle serre les dents mais ne s’extériorise pas pourtant on dirait … oui elle vient de partir la salope :

- Tu as joui sans mon ordre ; Chris se chargera de te le faire payer. Tu vas donc garder l’objet mais ce n’est pas le meilleur choix que tu as fait. Allez debout mes putes ; vestaire ….

Nous prenons un taxi et nous nous rendons au Novotel où j’ai personnellement une chambre


La deuxième partie de soirée


Nous arrivons à la chambre et j’ordonne à mes deux esclaves de retirer les manteaux et les robes ; elles s’exécutent et rangent précautionneusement dans la penderie.
Marie est donc nue en bas autofixants
Christine apparaît dans son corset avec son harnachement de plaisir. Les bracelets de ses cuisses tendent merveilleusement ses petites lèvres où sont attachées les chaînettes ; le clitoris est bien dressé et l’aiguille est atrocement visible, plantée, dressée, obscène ; elle a le bout des tétons pris dans des pinces très serrées ; ses mamelles sont un ensemble merveilleux ; la chaînette des boules de geisha sort de sa chatte et pend entre ses cuisses
Je lui ordonne de se tenir droite cuisses béantes et précise pour Marie:

- Sors lui les boules salope ; sans pitié.

Marie s’accroupit bien ouverte et prend doucement la chaînette puis elle tire. Elle se reprend, lâche la chaînette et donne un coup sur l’aiguille pour la mettre en vibration ; certes que cette femelle a de la disposition. Christine réagit, se cambre d’un coup tout en restant écartée et jouit dans un long feulement. Elle se calme lentement, reste béante, se penche vers l’avant et gifle Marie avec force ; trois claques qui font aller et venir sa tête.

- Qui t’a permis ? demande Christine.

- Merci madame salope, réplique tendrement Marie.

- Hummm que ça va être bon de te dérouiller.

- J’interviens : tire la chaînette doucement et jusqu’au bout ; en même temps tu soulèveras l’aiguille … voilà comme ça … plus haut.

Marie toujours accroupie s’exécute et les boules apparaissent doucement de sa chatte tenue béante par les chaînettes d’écartement. En même temps, je me suis emparé de la cravache et j’inflige trois coups sur les fesses de Christine qui « subit » un nouvel orgasme.

- Comme votre chatte est belle Madame Salope dit Marie.

- Tu veux lécher ma chienne ?

- Oui ouiiiiiii.

- Plus tard chienne …. Apprends à attendre mais nettoie mes boules avec ta langue.

- Humm dit Marie en se délectant de son léchage, c’est bon ;c’est la première fois que j’y goûte ; à part le mien bien sur…

- Tu as l’habitude de te branler et de sucer tes doigts ?

- Oui Maître … j’aime.

- Relève toi dit Christine.

Puis elle se penche en avant ; j’ordonne à Marie de passer derrière Christine et elle voit la base du plug couvrant son cul :

- Oh Madame salope … oh ma future dresseuse … oh votre cul défoncé
Je prends Marie par les cheveux et lui approche le visage du cul de Christine.

- Vas y décule là … d’un coup (mon ordre s’accompagne de deux coups de cravache sur les fesses de Marie.

- Vas y je suis propre surenchérit Christine.

- Pardon ?

- Oui, je me suis lavé l’intérieur comme tu vas le faire bientôt.

- Oh…

- Allons, dis je.
Marie prend son courage à deux mains puis ses yeux s’illuminent ; elle sort l’objet d’un coup comme si elle voulait fournit des arguments à la future cruauté de Chris :

- Aîe réagit Chris dont le cul apparaît béant, ouvert, accueillant.

- Marie as tu déjà assisté à un enculage ?

- Non Maître.

- Tu es prête ?

- Oui Maître, la réponse est un souffle...

- Plus fort salope !

- Oui Maître, enculez madame pour moi ; cette fois elle a crié

- Christine penche toi et ouvre toi bien. Marie déshabille moi.

Marie obéit et me met nu, ses maladresses sont ponctuées de gifles et de petits coups de cravache sur les seins qu’elle accepte en gémissant. Je suis à présent nu, queue bandée et j’ordonne à Marie de me sucer ce qu’elle fait en profondeur. Marie sera très bonne, elle a déjà intégré cette caresse de gorge profonde.

- Vas y mets toi dessous et regarde
Elle s’agenouille sous mes couilles tandis que je perfore la rondelle de Christine … à fond … lentement mais avec force. J’attrape les mamelles torturées de Christine par derrière et je les tords tout en la pistonnant au cul …Marie m’aspire doucement mes couilles …Chris hurle de jouissance puis se calme. Je décule ma queue propre et la donne à sucer à Marie qui s’y prête avec plaisir.

- Allez Christine vas nettoyer Marie dans la salle de bains.

Je lui donne une poire adaptée et les regarde s’enfermer
Pendant les quatre ou cinq minutes que dure l’opération, j’entends quelques cris de Marie et quelques gifles de Christine. Enfin, elles reviennent ; je m’adresse à Christine :

- Elle est propre ?

- Oui parfaite mais serrée oh la la !

- Génial, je suis dans un état d’excitation terrible… c’est vraiment un début Marie ?

- Oui Maître, je n’ai jamais été enculée.

- Même au doigt ?

- Même au doigt.

- Tu es prête à subir ma queue ?

- J’ai peur Maître … Nonnn pitié..

Christine passe devant elle et lui cravache quatre coups les seins. Elle la retourne et la penche en avant par les cheveux ; je suis dans la bonne position et je vois le trou serré et le gode gonflable toujours en place dans la chatte béante. Sur mon ordre, Christine le sort d’un coup provoquant un long feulement de Marie et une ondulation de ses fesses. Sa chatte apparaît monstrueusement ouverte et l’anneau n’en est que plus serré.

- Alors prête ?

- Oui Maître.

- Mieux que cela.

- Oui maître sodomisez moi!

- Sois plus salope ; Christine la gifle et tire très fort sur ses cheveux ; la bouche de Marie est quasiment au niveau de la chatte béante de Christine
- Oui Maître, enculez moi!

Christine lui a nettoyé le cul mais l’a également lubrifié ; je présente ma queue. Christine la maintient immobile. Elle crie mais je m’enfonce inexorablement puis je pistonne lentement. Le fourreau ultra serré me conduit très haut dans le désir et je me retire pour résister. Le boyau se referme instantanément ; il faudra encore de l’entraînement. Christine lui caresse le visage tandis que je rentre de nouveau ma queue à fond mais beaucoup plus sauvagement.

- Ouuuuuaaaaahahhhhhhh aïe aïïïï ou ou ou ; oh Maître ; oh non ; mon cul est déchiré !

- Mais non, ce n’est pas possible allez offre toi !

- Voilà oh oh oh (elle s’écarte les fesses).

- Vas y détends toi dit Christine tu vas jouir du cul.

Marie se détend lentement puis vient à la rencontre de ma queue ; elle se branle fortement le clitoris et elle part dans un orgasme déjanté et exceptionnel. Je décule et la fait accroupir toujours bien ouverte sa chatte présentée, béante, obscène. Je l’embouche sous le regard excité de Christine et je jouis rapidement et abondamment dans sa bouche

- N’avale pas, vas embrasser Christine.

- Pour la première fois, dit cette dernière.

Quel merveilleux spectacle que de voir ces deux femmes s’embrasser à pleine bouche et échanger le sperme de l’amant ; elles aiment cela toutes les deux et je rebande instantanément. Je m’installe dans un fauteuil et, me branlant doucement, je déclare :

- Debout Christine, j’ai envie de te dérouiller avant le clou du spectacle. Présente toi de face , mamelles et chatte
Je me lève également la cravache de cuir à la main :

- Marie vient me branler doucement pendant que je la corrige accroupie, voilà , c’est bien. Mains sur la tête Christine
Dès que le tableau est en place, je cravache doucement d’abord puis cruellement les mamelles torturées de Christine ; elle crie et gémit mais ne bouge pas. Marie est excitée et s’affaire sur ma queue à me faire partir.

- Attention Marie, si tu me fais gicler, je te rase la tête et te renvoie nue chez toi !

Elle se calme et je me détends ; je reprends ma correction de plus belle ; les marques s’impriment. Puis j’abandonne les seins et je cravache la chatte écartelée de bas en haut atteignant chaque fois l’aiguille de plaisir. Christine déroule alors des orgasmes consécutifs et hurle sans discontinuer. J’arrête et me remets assis dans le fauteuil :

- Vas y Christine, elle est à toi, dresse là, étonne moi !



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