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Divine Maîtresse,

Ecrit par sandratvtg
Parue le 23 09 2010
Il y a 1 commentaire pour cette histoire


Cette histoire érotique a été lue 9590 fois | Cette histoire erotique a une note de : 10/20

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Divine Maîtresse,

Je suis avec Sandra qui aime prendre l’initiative lors de nos jeux érotiques.
Elle m’entraîne dans sa chambre et s’approche de moi en souriant :
- Aujourd’hui je veux que tu fasses la fille, me dit-t-elle avec un sourire enjôleur.
- J’inverse les rôles pour te faire découvrir le plaisir au féminin, rajoute-t-elle en me lançant un regard équivoque.
Elle choisit dans sa garde robe la lingerie qu’elle veut me voir porter.
- Essayes ces ravissantes petites choses, me susurre t-elle à l’oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.
Puis, elle m’agrafe dans le dos une guêpière ornée de quatre paires de jarretelles.
Elle garnit ensuite mes bonnets 105/C de somptueuses prothèses en silicone.
Leurs poids et leurs volumes me donnent d’agréables sensations quand je les sens bouger à chacun de mes pas
Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui me transforme physiquement et mentalement en femme.
Elle m’aide aussi à enfiler mes bas.
- Ces quatre paires de jarretelles tiendront tes bas à couture bien alignés, m’assure-t-elle en souriant.
Enfin, elle remonte lentement deux jarretières affriolantes le long de mes cuisses en me provoquant une superbe érection.
Heureuse de m’avoir excitée, Sandra ne résiste pas à l’envie de me caresser le sexe.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches un adorable slip ouvert qui met ma queue en valeur en dégageant l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à la taille et des escarpins achèvent ma métamorphose.
- Je vais maintenant t’assouplir l’oeillet, me dit-t-elle d’un air mutin.
Sans me laisser le temps de réagir, elle soulève mon déshabillé et m’enfonce un plug dans les fesses.
- Ce n’est qu’un début, rajoute-t-elle d’un ton prometteur.
Assise devant le miroir de la coiffeuse, je retrousse ma robe de nuit et contemple ma queue dressée contre ma guêpière.
- Ton jouet me fait de l’effet lui dis-je en souriant.
Je contracte mes muscles intimes sur le plug et frotte mes cuisses l’une contre l’autre pour amplifier le désir qui monte dans mes reins.
Pendant ce temps, Sandra me maquille les yeux avec du mascara et du fard à paupières en jetant des regards brûlants sur mon sexe en érection.
Puis, elle souligne mes lèvres d’un rouge intense et me coiffe d’une perruque blonde bouclée très glamour.
Perchée sur mes talons aiguilles, je fais quelques pas devant le miroir qui me renvoie l’image d’une fille attirante portant tous les symboles de la féminité
J’admire ma taille prise dans cette ravissante guêpière et c’est avec émotion que j’ajuste mes jarretelles en relevant très haut mes bas sur mes cuisses.
Mon regard s’attarde sur le galbe parfait de mes jambes mis en valeur par mes escarpins pendant que mes mains caressent avec volupté le nylon de mes bas.
- C’est un résultat magnifique Sandra, mais suis-je à ton goût ?
- Oui, tu me fais craquer ma belle et je vais te le prouver, me dit-t-elle en m’obligeant à m’asseoir.
Elle s’agenouille entre mes cuisses en posant mes jambes sur ses épaules.
Puis, plongeant sa tête dans mes dessous, elle joue avec le plug qu’elle m’a planté dans l’oeillet.
Elle le mordille doucement en le faisant coulisser dans mes fesses.
Un moment plus tard, me voyant bien excitée, elle le retire et m’entraîne sans résistance dans sa chambre.
Avec des yeux de braise, elle me culbute sur le lit et retrousse mon déshabillé sur mes hanches pour saisir ma queue qui jaillit de mon slip ouvert.
Elle la masturbe lentement jusqu’à ce qu’elle soit gonflée de désir.
- Ne bouge pas, je reviens dans un instant, me dit-t-elle en me lançant un regard complice.
Je la vois réapparaître tenant à la main une curieuse ceinture hérissée d’un triple gode.
- Nous allons prendre du plaisir entre femmes, m’assure-t-elle en brandissant cet étonnant jouet devant mes yeux.
Elle retire sa culotte en dentelle et retrousse sa jupe en me dévoilant sa croupe.
Puis, elle plonge le premier gode lubrifié dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir.
Prenant son temps, elle place le second contre sa rosette et l’enfonce lentement dans ses reins en me jetant un regard trouble.
Elle poursuit en ajustant soigneusement les harnais à ses hanches.
Provocante, les seins dressés dans un corset rose et noir et la taille serrée dans sa minijupe de cuir ultra courte, elle me fait face :
- Je t’ai réservé le plus gros ma chérie.
Incrédule, j’aperçois alors l’énorme gode qu’elle me destine et qui retombe lourdement sur ses genoux.
- Je suis sûre que tu n’as jamais pris un tel calibre, s’exclame-t-elle en retirant sa jupe.
Me défiant du regard, cambrée sur ses talons aiguilles qui mettent sa croupe en valeur, elle le redresse en le caressant avec une rare perversité.
Allongée sur le lit, mon cœur bat la chamade lorsque je vois cette envoûtante femme phallique s’approcher de moi.
Mon regard est rivé sur ce long sexe noir qui bat lourdement contre ses cuisses au rythme de ses pas.
Son diamètre croissant atteint neuf centimètres à sa base et je distingue maintenant les grosses veines saillantes courant sur sa hampe.
Je reste tétanisée à la pensée d’être bientôt prise par ce monstre.
Sanglée dans son corset, Sandra bascule son bassin d’avant en arrière en donnant de puissants coups de reins pour mieux me montrer ce qui m’attend.
- Regarde il est plus vrai que nature me dit-t-elle en pressant les bourses du gode.
Avec surprise, je vois un jet de liqueur sortir du gland et arroser mes bas d’épaisses coulées blanchâtres.
Puis, Sandra me retourne sur le ventre et explore d’un doigt les renflements de mon anneau qui lui montrent que je ne suis plus vierge depuis longtemps.
- Eh bien ma petite cochonne, je vois que ton œillet est déjà bien ouvert me dit-t-elle étonnée.
Elle le titille avec la pointe de sa langue qu’elle plonge dans ma grotte en me faisant gémir de plaisir.
Quelques instants plus tard, elle me met à genoux sur le lit et j’écarte les fesses à deux mains pour lui offrir ma chatte humide de désir.
Vicieuse, je serre les fesses lorsque je sens le gode se presser contre ma rosette.
Excitée par ma résistance, elle s’agrippe à ma taille, décidée plus que jamais à forcer mon passage.
Déçue par ses échecs successifs, elle détache le gode de sa fixation pour le lubrifier.
- Tu ne perds rien pour attendre ma belle, me dit-t-elle en me jetant un regard enflammé.
Puis, j’entends un bruit sec qui me fait frissonner lorsqu’elle l’emboîte sur son socle.
- Maintenant, je vais t’enfiler sans problème, m’assure-t-elle.
Elle écarte la fente de mon slip et me donne un puissant coup de rein qui me fait vaciller sur mes genoux.
Cette fois ci, je l’aide en poussant de mon mieux.
Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède et je crie de douleur quand mes chairs s’écartent sous la pression du pal.
Sandra prend un plaisir sadique à me sodomiser en regardant les trente centimètres du gode s’enfoncer brutalement dans mes fesses.
Lorsqu’elle commence ses va et vient, les claquements de son bassin sur ma croupe m’indique qu’elle m’a rentré son dard sur toute sa longueur.
Cette pensée me fait frissonner de plaisir.
Sandra commence à me masturber en me murmurant à l’oreille :
- C’est bien ma belle, laisse moi explorer tes fesses.
Soudée à moi, elle s’agite dans mon fourreau jusqu’à ce que le gode bute contre un obstacle.
Guidant avec ma main ce sexe monstrueux, je me trémousse pour l’aider à passer un repli de ma muqueuse.
Sandra peut alors s’activer à nouveau en sentant les deux sexes lui pilonner le ventre.
Au bout d’un moment, elle se retire de mon fourreau.
- Veux-tu faire une pause ?
- Sodome and go more, lui dis-je en cambrant les reins pour toute réponse.
Stimulée par cette vision, elle s’agite de plus belle jusqu’à ce que je sente un liquide tiède m’inonder le ventre.
- Je lubrifie ta chatte, me dit-t-elle avec excitation.
Puis, elle continue à me violer en ne pensant plus qu’à son plaisir.
Parfois, elle sort de ma croupe en attendant que mon oeillet se referme pour le transpercer à nouveau.
Un moment plus tard, elle m’achève en faisant glisser lentement son ongle sur mon frein.
Ne pouvant plus résister, ma sève gicle en coulées épaisses sur ses doigts.
Je jouis, le corps secoué de nombreux spasmes pendant que Sandra me presse longuement le périnée et la verge pour extraire mes dernières forces.
Satisfaite, elle se lève et détache les sangles de son gode ceinture en me disant avec impatience.
- Maintenant, à ton tour de me baiser.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je vais lui faire.
Elle s’abandonne sans réserve et ses yeux brillent de désir en découvrant le plug vibrant que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un cri quand j’ouvre ses fesses avec ce gros calibre qui la dilate fortement.
Ayant son vagin rétréci par cette intrusion anale, Sandra va pouvoir mieux me sentir en elle.
Très excitée, elle écarte les cuisses en saisissant ses talons aiguilles à deux mains.
- Viens me prendre, je me sens aussi étroite qu’une vierge, me dit-t-elle avec impatience.
En la voyant ainsi offerte, je ne résiste pas à son appel.
Je m’enfonce en elle en sentant ma queue bien serrée dans son fourreau étroit.
- Tu as eu une idée géniale en me mettant ce jouet, me dit-t-elle.
Survoltée, elle croise ses jambes dans mon dos pendant que sa chatte humide et avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité.
Je bande comme un fou en sentant vibrer le plug contre mon gland mais je me retire à temps pour lui faire découvrir d’autres jeux.
Je pousse avec la paume de ma main un gode dans son vagin en glissant mon majeur dans ses fesses.
De l’autre, j’effleure son clito avec un vibro.
Son orgasme monte aussi vite que mon sexe se durcit.
Le contact de ses cuisses gainées de nylon contre les miennes m’excite fortement et je la bascule sur le côté pour la prendre à nouveau.
- J’aime sentir ton oeillet me serrer la queue, lui dis-je en m’enfonçant dans ses fesses.
Emboîtées l’une dans l’autre, je pilonne son vagin avec le gode tout en stimulant son clito avec le vibro.
Très vite, elle jouit et crie sans retenue son plaisir en m’inondant le ventre de cyprine.
- Quel pied tu m’as fait prendre ! s’exclame-t-elle, en se mettant sur le dos.
Je m’allonge sur elle et continue à m’activer dans ses reins.
- Je vais te vider les couilles, me chuchote-t-elle à l’oreille en resserrant ses cuissardes contre ma taille.
Sans que je puisse réagir, elle empoigne mes bourses d’une main tout en me vrillant un gode dans les fesses avec l’autre.
Surprise, j’essaye désespérément d’échapper à ce pieu qu’elle manie avec une efficacité diabolique.
Implacable, elle ne me laisse aucune chance en le poussant à fond dans mon ventre.
Au bord de l’orgasme, je ne résiste plus.
Satisfaite de me voir en son pouvoir, elle s’active de plus belle jusqu’à ce que j’explose en elle.
Elle se relève un instant plus tard en épongeant d’un air étonné la longue coulée de sperme qui s’échappe de ses fesses.
- Et bien ma chérie, tu avais des réserves, me dit-t-elle en remettant sa jupe.
- Maintenant repose toi quelques minutes et regarde moi jouir.
Assise dos au mur, elle écarte lentement ses cuisses en me fixant d’un regard trouble.
Puis, elle s’enfonce un gode dans la chatte en posant un vibro sur son clito.
Au bout d’un moment, submergée par le plaisir, son regard se voile.
Elle est vraiment très belle…
Je contemple sans me lasser ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.
Elle fait durer longtemps son plaisir avant de jouir dans une succession de spasmes et de gémissements.
Toujours brûlante de désir, elle se met à genoux sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps.
- Viens, j’ai le cul en feu me dit-t-elle d’une voix suppliante.
Très excitée par ce spectacle, je m’agenouille derrière elle et écarte ses globes à deux mains en posant ma queue contre son oeillet.
- Maintenant ne bouge plus et laisse moi faire me dit-t-elle les yeux brillant de désir.
Elle s’embroche elle même sur mon sexe en entamant de lents va-et-vient.
Puis, elle accélère le rythme en faisant claquer ses fesses contre mon ventre.
Par moment, elle sort totalement ma queue de son fourreau pour avoir le plaisir de s’empaler à nouveau dessus.
Voyant que j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, elle se colle perfidement contre moi en tortillant de la croupe
- Jouis maintenant mon ange, me dit-t-elle en me pressant les bourses.
Ne pouvant plus me retenir, je donne un dernier coup de rein qui nous plaque contre le matelas.
Transpercée jusqu’à la garde par le poids de mon corps, elle reste immobile, le souffle coupé pendant que je me vide en elle.
Peu après, nous décidons de faire une pause en évoquant d’autres jeux que nous aimerions vivre.
Prise d’une inspiration soudaine, Sandra se lève et sort d’un tiroir un plug gonflable vibrant d’une redoutable efficacité.
- Ce jouet va te donner des sensations fortes.
- Mets toi sur le dos, me dit-t-elle avec une lueur d’excitation dans les yeux
D’un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.
Très vite, quelques gouttes de sève perlent à la surface de mon gland.
- Ne jouis pas maintenant, me dit-t-elle sur un ton de reproche en me serrant la queue.
Elle reste un moment immobile entre mes cuisses en attendant que je me calme.
Puis, elle me masturbe lentement jusqu’à ce ma verge atteigne sa taille maximale.
Elle s’arrête alors pour me dire :
- Puisque ton anneau est maintenant bien ouvert, je vais pouvoir passer à l’étape suivante.
Elle me retire le plug et sort de dessous les draps un autre jouet.
Pendant qu’elle le lubrifie avec un regard lourd, elle me plante sournoisement son orteil dans l’anus pour me faire patienter.
Puis, elle me montre le gode massif et trapu qu’elle veut me planter dans l’œillet.
- Il est trop gros, lui dis-je avec inquiétude.
- Bien au contraire ma chérie, c’est précisément son diamètre qui va te donner du plaisir, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui augure bien de ce qu’elle me réserve.
- Il va rentrer facilement, me promet-t-elle avec assurance.
Je bande déjà comme un malade à la pensée que mon anneau tiendra le rôle principal dans son scénario.
Je tremble d’appréhension et de désir quand elle ramène mes jambes au dessus de ma tête.
Puis, avec détermination, elle appuie le gode contre mes fesses.
Forçant mon passage, elle le tourne vicieusement de droite à gauche pour m’embrocher.
Elle sourie en voyant mon regard exprimer successivement la surprise, la crainte, le plaisir.
- C’est bon n’est-ce pas, me dit-t-elle sans me quitter des yeux.
Pour toute réponse, j’écarte les cuisses en m’offrant totalement à elle.
Elle me pilonne alors sous tous les angles en donnant libre cours à sa perversité.
Un moment plus tard, elle se retire de ma croupe en décidant de faire une pause.
Me sentant libre, je me mets sur le ventre pour reprendre mon souffle.
- Tu as un cul magnifique, s’exclame-t-elle en me titillant l’anneau avec sa langue. .
Soudain, sans que je puisse réagir, elle me plante à nouveau l’énorme gode dans les reins.
Totalement relâchée, je gémis en sentant le pieu terminer sa course au plus profond de mes entrailles.
Clouée par ce dard qui me coupe la respiration, je n’ose plus bouger et Sandra en profite pour assurer sa prise.
Insatiable, elle explore les moindres replis de mon fourreau.
Puis, elle me retourne sur le dos en s’allongeant sur moi tête bêche.
La tête entre ses jambes, je suis sans défense, entravée par le poids de son corps.
Je m’agite frénétiquement, le corps tendu en arc de cercle dans l’attente de mon orgasme.
Surprise par ma réaction qui la déséquilibre, elle enfouie mon visage entre ses cuisses pour garder le contrôle.
A moitié étouffée, je me calme très vite.
- Laisse moi t’achever ma belle, me dit-t-elle d’une voix ferme.
Avant de poursuivre, elle regarde dans quel état elle m’a mise.
La queue tendue, humide, tressautant de désir, elle sait qu’elle ne peut plus la toucher sans la faire exploser.
Néanmoins, elle prolonge mon plaisir en tournant imperceptiblement le gode dans mon fourreau sans dépasser le point de non retour.
Puis, elle me lance un regard brûlant qui m’indique qu’elle va m’achever.
Elle passe à l’action en avalant ma queue gonflée de désir et en poussant le pal à fond dans mon ventre.
Malgré mes soubresauts, elle me tient fermement contre elle en continuant à me pilonner les reins.
J’essaye en vain de retarder mon orgasme.
Mes râles de plaisir sont étouffés par sa chatte qui me bâillonne la bouche et je jouis en déversant ma liqueur dans sa gorge.
Dans le même temps, Sandra sent le gode tressauter de nombreuses fois dans sa main sous l’effet de mes contractions anales qui témoignent du fabuleux orgasme qu’elle me donne.
Me voyant toute étourdie de plaisir, elle me laisse récupérer un instant.
Un moment plus tard, toujours brûlante de désir, elle m’invite à poursuivre nos jeux.
Elle s’enfonce un dong dans la chatte en m’embrochant avec l’autre extrémité.
- J’en ai pas fini avec toi ma chérie, m’assure-t-elle.
Face à moi, ses yeux rivés aux miens, elle me sodomise lentement en s’aidant de ses mains.
Une fois empalée, je saisis à mon tour le dong en le faisant aller et venir en elle.
Elle ne résiste pas longtemps à mon savoir faire et jouit la première.
Gardant le jouet dans sa grotte, elle me défonce à son tour à grands coups de reins tout en me suçant la queue.
A la fois sodomisée et pompée, je sens très vite une coulée de lave monter en moi.
Au moment crucial, elle se retire de mes fesses et plonge son majeur dans ma grotte à la recherche de ma glande d’amour.
Elle le recourbe vers le haut en massant mon point G avec la pulpe de son doigt.
Je reste les yeux mi clos et en extase pendant qu’elle titille mon frein avec sa langue en faisant perler mes premières gouttes de rosée à la surface de mon gland.
- Tu vas jouir du cul ma belle, m’assure-t-elle en plongeant maintenant trois doigts dans mon fourreau.
Elle les fait aller et venir de plus en plus rapidement jusqu’à ce qu’un flot épais de sperme sorte lentement de ma verge en inondant ma guêpière.
Puis, Sandra masse habilement mon point G pour prolonger le mince filet de sève qui s’écoule sans fin de mon gland.
Lorsque je reprends mes esprits, elle m’implore du regard pour que je m’occupe d’elle.
J’enfonce alors mon pouce dans sa chatte et mon index dans ses fesses et je frotte doucement dans un mouvement circulaire la fine membrane interne qui sépare ses muqueuses.
Je vois qu’elle apprécie mon massage et je la fais jouir en appliquant le vibromasseur sur son clito
Dites-moi si ce récit vous a plu ou envoyez-moi vos suggestions à : sandratvtg@yahoo.fr



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